Le carrier du RoyFoutaises!Carrier du roi, la belle affaire. Me voilĂ beau, mon père m’avait bien dit que la queue doit se dĂ©gainer comme la rapière, toujours Ă propos. Qu’est-ce que je pouvais en savoir moi que le roi l’avait culbutĂ© avant moi celle-lĂ . Si encore cette saillie avait Ă©tĂ© glorieuse. MĂŞme pas, la donzelle n’avait pas rĂ©ussi Ă accepter son chibre imposant, et ce foutriquet de Blouin qui les avait surpris. Inutile de se demander comment la nouvelle Ă©tait parvenue au Roi.Le seigneur de Magnac chevauchait de rage, au nord d’Amiens en direction des vastes carrières de Naours. La poussière soulevĂ©e par son cheval se dĂ©posait sur les champs de pastel. Finalement il s’en sortait assez bien pour avoir voulu fourrager dans un trou dĂ©jĂ honorĂ© par la royale queue du Louis. Peu importe d’oĂą lui venait cette clĂ©mence. Son nom, sa loyautĂ© pendant la Fronde, la gloire de son père, la taille de sa queue? Il s’en foutait. La colère du roi jaloux ne s’Ă©tait que partiellement abattue sur lui.Il regrettait de ne pas s’ĂŞtre arrĂŞtĂ© Ă l’auberge du dernier village. Il avait soif. Et les poussières de la route n’arrangeaient rien, sa gorge sèche le brĂ»lait. Il arrivait en vue du château de Bertangles, il n’allait certainement pas s’y arrĂŞter, son propriĂ©taire trainait bien trop en cour pour s’y risquer.Une maison au toit bas apparue sur sa droite en contrebas du chemin. Il n’Ă©tait plus qu’Ă quelques lieux de la première carrière Ă inspecter, mais il devait boire. Une pression des talons en tirant sur les rĂŞnes l’engagea dans la sente qui menait Ă la bâtisse. Des piaillements de marmailles lui parvinrent rapidement. Le pas lourd de son cheval Ă©cumant dispersa les gamins dans les taillis voisins. Descendant de sa monture, il jeta un billon au plus grand des marmots qui lui paraissait avoir une dizaine d’annĂ©es.— Si tu veux encore de la petite monnaie dans un moment occupe-toi de mon cheval.Les gamins dessellaient dĂ©jĂ la monture pour l’emmener au ru voisin lorsque Magnac tambourina Ă la porte en s’annonçant.— Hola, on a soif dehors, un pichet contre une pièce?La porte s’ouvrit sur une trogne fuyante d’un homme bien ancrĂ© dans la quarantaine. Quelques cicatrices trahissaient le vieux soldat. Une fois dans la maison, il discernait peu de chose dans la pĂ©nombre. On l’invita Ă s’attabler. Le chevalier se prĂ©senta en tendant la main, le paysan porta la main Ă sa tĂŞte et se nomma.— Marin, je n’ai que du rouge, ça ira?Magnac posa une bourse entrouverte sur la table et dit,— Donne, et paie-toi.Une femme installĂ©e dans l’encadrement de la porte d’une pièce voisine apostropha le vieux.— Et bien Marin, on fait aubergiste maintenant!Le cavalier se leva pour saluer l’Ă©pouse qui s’approchait. Les cheveux simplement mais joliment tressĂ©s en deux nattes sur les cĂ´tĂ©s et nouĂ©es en arrière pour tenir son abondante tignasse. Elle n’Ă©tait pas petite, de bonnes hanches et un regard appuyĂ© du chevalier lui permit de savourer une poitrine bien grasse et lourde, engoncĂ©e dans une robe de serge grossière mais propre.La Marin vida le contenu d’un panier sur la table et s’apprĂŞtait Ă prĂ©parer des galettes au saindoux. Elle se penchait en s’affairant, offrant Ă Magnac une vue imprenable sur ses mamelles.L’effet ne se fit pas attendre, une vigoureuse Ă©rection commençait Ă tendre les chausses du chevalier. Il se resservit sans quitter des yeux ce magnifique sillon de chair hâlĂ©e par les travaux des champs. Il se surprit Ă dĂ©sirer cette paysanne. Il la voulait. La femme s’amusait de son regard insistant. Allant jusqu’Ă tendre le bras en se penchant plus que nĂ©cessaire pour remplir Ă nouveau le gobelet.Magnac finit son verre d’un trait, se redressa en gardant ses yeux rivĂ©s sur la Marin. Ses chausses ne masquaient plus son dĂ©sir animal. Il reprit sa bourse, la soupesa et la lança au mari. Au moment oĂą ce dernier s’en saisit Ă la volĂ©e, le chevalier enlaça la taille de la femme.— Paie toi Marin, je crois que vais prendre un supplĂ©ment.Dit-il en troussant la robe pour empoigner le con de la femme en lui remontant la main entre les cuisses.— Faut pas vous gĂŞner surtout— Allons l’ami, si tu ne veux pas, dis le vite avant qu’il ne soit trop tard, je crois que ta dame est dĂ©jĂ prĂŞte Ă la saillie, alors dis-moi de partir ou paie toi qu’on en finisse.La main de Marin plonge dans la bourse du chevalier en mĂŞme temps que les doigts de Magnac s’enfoncent dans le con trempĂ© de sa femme.— Ah va donc salaud, il me fout ses doigts l’animal. C’est pas des façons.— Allons fais pas la bĂ©gueule je vois bien que tu es trempĂ©e et que tu es en chaleur, viens par ici.Magnac pousse la Marin contre la table en levrette, il la trousse, dĂ©voilant une croupe blanche magnifique et ronde. Le chevalier empoigne dĂ©jĂ son membre en le sortant de ses chausses dĂ©boutonnĂ©es. Un premier coup de rein pour ouvrir la vulve charnue et accueillante. Un premier gloussement l’incita Ă plus de hardiesse. Une deuxième secouĂ©e plongea son gros vit au fond de la croupe offerte. Un petit couinement de surprise et de douleur lui indiqua qu’il tapait bien au fond.— Ah foutre, le saligaud il me met bien profondMagnac besogne mĂ©thodiquement la Marin qui se rĂ©pand sur la table, secouĂ©e par la vigoureuse saillie.— Ah bon Dieu Marin ta moitiĂ© est bien bonne Ă saillir, elle est bien serrĂ©e!— brute vous me dĂ©foncez! Chuis pas serrĂ©e, vous ĂŞtes trop gros butor!— t’es trempĂ©e gourmande je te sens couler sur mon membre, ah bon sang ca fait longtemps que j’ai besoin de me vider les sacs.La Marin se cambre et apostrophe son fouteur.— Pas de ca maraud, j’ai bien assez de mal Ă nourrir mes marmots sans m’en faire mettre un autre, alors fais ton affaire dehors de mon con!Magnac en rut, saisit la Marin Ă la nuque et la plaque contre la table avec une puissance et une autoritĂ© qui surprend la femme.— Certainement pas, je ne vais pas interrompre ce que j’ai commencĂ©, mais je ne vais pas t’engrosser va.Il tend la main vers la petite jatte de terre contenant le saindoux, il en recueille une noisette du bout des doigts et commence Ă en oindre le trou du cul poilu de la Marin qui glousse de surprise en sentant les doigts gras du chevalier lui ouvrir le cul tout en sentant encore son membre lui labourer le ventre.— Allons donc vilain nourrain, j’ai dĂ©jĂ bien du mal Ă me la prendre dans la boudiche, ah ca non alors, pas derrière, certainement pas derrière.— Choisis vite fumelle, c’est ça ou je t’engrosse un batard!Magnac prit le silence de la Marin pour un oui, il fit taire les protestations timides du mari en lui indiquant la bourse. Il raffermit sa prise sur la nuque de la femme, l’Ă©crasant sur le plateau de la table. Il empoigne son membre Ă©pais, trempĂ© de mouille, se frotte le gland de saindoux. Il encule. La Marin, les deux mains sur la bouche se retient de hurler, en sentant son cul se dĂ©chirer.— Ah foutre ce qu’elle est serrĂ©e par le cul la jument!La longue pĂ©riode d’abstinence du chevalier a raison de son endurance, l’orgasme le prend, son membre se gonfle et palpite dans ce cul bien Ă©troit. Il empoigne la croupe blanche des deux mains et besogne Ă en faire bouger la lourde table sous sa belle enculĂ©e. Il dĂ©charge, la Marin se tourne en lui frappant la hanche.— Ah salaud va, vilain bestiau, tu me dĂ©fonces comme une catin de bordel!Le chevalier, une fois les bourses bien vidĂ©es, se retire de ce cul magnifique en provoquant Ă nouveau des couinements d’indignation.— MĂŞme au retour il m’arrache le cul ce bouc-lĂ !Magnac s’essuie le membre avec une toaille souillĂ©e de farine qui traine sur la table, il la jette dans l’âtre, et flatte la croupe de la Marin qui tremble encore de jouissance et de colère, prostrĂ©e sur sa table. Reprenant son chapeau, il s’avance vers le vieux, et lui prend sa bourse des mains. Il la soupèse un instant. Il sourit.— Dis donc vieux pendard, tu t’es bien payĂ©.— C’est que les vendanges ont Ă©tĂ© bien mauvaises l’an passĂ© monseigneur, le vin est cher. Et puis il y a toujours un dĂ©dommagement quand la jument est blessĂ©e Ă la saillie.Magnac Ă©clata de rire et quitta la maison.La Marin reprenait son souffle, les jambes encore tremblantes, le ventre encore agitĂ© de spasmes de plaisirs, une main en appui sur la table, l’autre tentant de remettre un peu d’ordre dans sa poitrine en libertĂ©.— Oh bon sang ce qu’il m’a mis ce saligaud-lĂ . Me voilĂ dĂ©foncĂ©e, je sens mon cul ouvert et je parviens pas Ă me refermer. Ah ca me brĂ»le!— T’as aimĂ© ça trainĂ©e, je t’ai entendu couiner de plaisir en te faisant besogner tu te pâmais comme une donzelle enfilĂ©e par son amant.Se rapprochant de sa femme, au bord de l’apoplexie. Il saisit son petit vit encore palpitant, encule et besogne sa femme encore troussĂ©e, l’anus bĂ©ant, blessĂ© et souillĂ© de sperme.La femme gloussa d’indignation— Ah vilain maubec tu m’as vendue comme une puterelle, et si tu veux savoir, j’ai joui Ă me faire enculer comme une ribaude. Il m’a dĂ©chirĂ©e et j’ai aimĂ© ca vieux salaud. Vas y, mais vas y donc, vieux bougre fous moi le cul toi aussi. T’en rĂŞves de me saillir par le cul. Mais fous moi donc, bourre moi, te voilĂ content, il t’a fait de la place ce jean-foutre avec sa pine de cheval!Le père Marin crispe ses mains et s’agrippe Ă la croupe dodue de sa femme,— Mais tais-toi donc, baveuse! Laisse-moi dĂ©charger en paix.— Oh bon sang salopard, je te sens me gicler dans le fondement! Ta trique est bien petite après le mandrin qui vient de me dĂ©chirer mais dieu que tu as du foutre mon vieux salaud!Ah va tu me souilles comme une catin, me vla pleine! Vous m’avez chauffĂ©e les sangs. Me vla en chaleur, il va falloir que je m’en donne encore.Toujours Ă©tendue sur sa table, elle glisse une main sous elle pour empoigner son con poilu. Elle se branle hardiment. En gĂ©missant, le cul encore offert, son anus bĂ©ant palpite et se contracte de jouissance en Ă©vacuant des trainĂ©es de foutre.Le Père Marin n’y tient plus, remontant ses chausses qui gisaient sur ses chevilles, il se saisit de son ceinturon en cuir.— Ah trainĂ©e! TrainĂ©e! Ah la foutue trainĂ©e, t’en as jamais assez va!Les premiers coups claquent sur les fesses offertes. La Marin se redresse en gloussant de surprise et de douleur.— Ah saligaud, tu m’Ă©trilles!Les coups pleuvent et cinglent le beau cul de pouliche qui se couvre de stries rouges.— Ah butor, je jouis, frappe, frappe encore, j’ai les fesses en feu, je jouis, oh ça me resserre le cul, je sens le foutre me sortir des entrailles, ah je viens, je jouis, frappe, Marin, frappe toujours!La Marin se cambre et s’agite, une main agrippĂ©e Ă la table, l’autre fourrageant les poils de son con souillĂ© du sperme qui suinte de son cul et coule le long de ses lèvres. Elle s’effondre sur la table, le corps tremblant, les fesses souillĂ©es de sperme et le con luisant de mouille.Magnac est dĂ©jĂ loin…HausMun