Contact— Alors comme ça, vous êtes Bordelais ?S’ensuit une discussion policée, mais les deux hommes sont bien là pour la même chose ; il est vrai que le tchat était sur un réseau social libertin et que le principe n’était pas d’échanger des patrons de macramé, mais bien de savoir si une rencontre pouvait matcher entre eux et leurs dames de cœur.Libertin, voilà un état partagé par 7% de la population, un truc qui comme le vélo, une fois que l’on y a goûté, on ne peut pas oublier. Certains raccrochent, d’autre continuent, certains font des pauses, quelques-uns prennent même des cachets : peur de ne pas assurer la performance ou envie de briller pour des soirées qui – soyons clairs – sont basées sur plusieurs coïts.— Et vous avez découvert il y a longtemps ?Eh oui, un sujet récurrent de discussion sur les tchats libertins : l’expérience de chacun, le comment, le pourquoi. Un sujet très souvent commenté par les hommes, qui au clavier sont là pour sélectionner et leurs femmes pour éliminer ou valider le moment qui peut ou pas se faire.Mon prénom est Joseph ; celui de mon épouse, Marie. Je sais, cela fait biblique ; mais ce sont les prénoms que nous avons choisis pour raconter cette histoire, car comme tous bons libertins qui se respectent, nous tenons à notre anonymat. Et oui, la cinquantaine arrivant, nous avons eu envie de redécouvrir les frissons de l’adolescence, les joies de la drague, la découverte d’un corps qui n’est pas celui de la compagne ou du compagnon qui partage le même lit depuis un jubilé.— Et vous y êtes venus comment ?Ah, le comment ! Je souris ; il me renvoie presque deux ans en arrière, lorsqu’un couple d’amis en vacances firent devant nous et un autre couple leur coming out libertin ; même si nous pouvions imaginer qu’ils étaient des candidats potentiels, nous en étions restés pantois. Nous en avons parlé avec eux trois mois plus tard après cette révélation et… nous avons eu envie de savoir.— Nous sommes sur Angers le week-end prochain. Nous pourrions prendre un verre pour faire connaissance ; qu’en pensez-vous ?C’est dans le champ des possibles. S’ensuivent des modalités d’usage très théâtrales : temps, espace, lieu, échange de nos numéros de portables.Catherine et Henri, prénoms royaux pour un rendez-vous dans une ville chargée d’histoire, même si là aussi les prénoms sont changés, car oui, les vrais libertins sont toujours discrets sur les pseudos et prénoms de leurs conquêtes d’un soir, même si pour les meilleures elles peuvent s’inscrire dans le temps.Eh oui, un rendez-vous et non une rencontre : le temps est l’allié des vrais libertins. Ne croyez pas qu’ils enfilent des perles… Non, ils sélectionnent, organisent leurs agendas avec minutie, les rendez-vous s’intercalant au milieu des rencontres, des tchats, mais aussi de la vie de famille, des copains dits verticaux, du professionnel, etc., sachant que le libertinage est un art de vie, pas un mode de vie.Rendez-vous est pris avec ceux qui pourront être nos futurs partenaires de jeux.______________________Nous nous apprêtons : séance salle de bain, rasage de près pour monsieur, fond de teint pour madame, choix des fringues… Eh oui, une soirée de séduction, c’est aussi l’apparence ; cinquantenaire, on a le droit d’être coquet, mais pas zazou !Rendez-vous dans un bar à cocktails où le rhum est déjà une invitation aux voyages. Voici pour de vrai Catherine et Henri. Ouf, au moins ils sont fidèles à la photo que nous avions découverte dans leur album. Un rendez-vous qui confirme nos intentions réciproques : nous sommes joueurs, coquins à souhait, pas de tabous au-delà de l’inacceptable, sachant que le curseur est dans le cas présent en libertinage celui que l’on se fixe ; la règle communément reconnue est que « tout est possible, rien n’est obligatoire ». Les libertins ont ce point en commun : une très grande tolérance aux pratiques sexuelles, et la règle qui s’applique est que l’on se cale sur la moins forte. Pour illustrer, prenons trois pratiques : côte-à -côtistes, mélangistes, échangistes. Les côtes-à -côtistes aiment faire l’amour à côté d’un autre couple ; par contre, ils n’acceptent pas de contact physique avec l’autre couple. Les mélangistes acceptent les contacts, mais pas de pénétration hors couple. Les échangistes, eux, recherchent la pénétration hors couple.Dans le cas présent nos amis sont branchés SM (sado-maso) un cran au-dessus de la DS (domination-soumission), sont hétéros, homos, bis. Nous sommes tout juste bi-curieux, et le SM n’est pas dans notre carte. Maintenant, approcher l’univers domination-soumission est possible.Déterminer les règles du jeu avant de jouer est d’une logique implacable ; les non-initiés pourraient en être choqués. Je vous explique : c’est comme si vous aviez envie d’une blanquette de veau et votre femme d’un poulet basquaise ; eh bien, si vous ne vous entendez pas, chacun va manger de son côté, et même prendre le risque de se faire la tête. En libertinage, c’est la même chose : il est préférable de connaître le plat principal avant, sachant que si l’ambiance est là , il est toujours possible d’explorer d’autres champs.Les modalités fixées, ne pouvant recevoir, nous avons trouvé non loin de Saumur une chambre d’hôtes dont le logement est indépendant de la demeure des propriétaires, ce qui est fort pratique pour laisser libre expression aux vocalises des partenaires. Cette maisonnette est dans un écrin de verdure ; une grande baie vitrée donne visibilité à l’orée de la forêt proche, avec avant une prairie qui permet de voir paître les chevreuils aux premières lueurs de l’aube, voire à la tombée de la nuit.Nous y avons pris nos habitudes ; les propriétaires sont charmants, se doutant – ou pas – de la destination que nous donnons à leurs locations… Tout le monde est gagnant, et même si un jour ils souhaitent venir jouer avec nous, il est vraisemblable que nous ne fermerons pas la porte.Aimer le sexe, le dire, le faire et le pratiquer au-delà de la sphère de la couche conjugale, c’est effectivement faire preuve non pas de perversité libidineuse comme peuvent le penser certains esprits bien-pensants, mais prôner la curiosité au-delà des conventions établies et de faire preuve aussi de courage, le courage passant par la nudité. Beauté des corps et des âmes fluctuant avec le temps… Les libertins y sont vigilants, s’entretenant en salle de sport et/ou salon d’esthétisme, qu’ils soient hommes, femmes ou trans.La rencontre et des jeux15 heures. Après une petite douche et application du dernier coup de rasoir sur le pubis et les aisselles – les libertins appréciant avec modération les poils sur les parties intimes – bouclage du sac de voyage avec quelques joujoux mécaniques ou semi-mécaniques ; oui, jouer avec un gode est aussi dans nos pratiques.Une rencontre se prépare, et avec Henri nous avions imaginé des gages allant crescendo pour émailler notre rencontre,Nous nous rejoignons en cet après-midi. Sortie des bagages ; il est 16 heures. Installation de bougies et de musique, l’ambiance étant une composante essentielle pour caler une ambiance.Chacun s’observe. Nous avons réservé dans un restaurant à cinq minutes à pied : pas besoin de reprendre la voiture. Nous avons quatre heures pour faire connaissance, et tout le monde en a envie. Nos amis sortent de leur valise un jeu de l’oie qu’ils ont confectionné spécialement à notre intention avec des cartes gages basées sur nos échanges ; l’ordre des joueurs est déterminé. Catherine lance le dé ; c’est un quatre qui sort. La carte est retournée : « Catherine doit embrasser Joseph pendant deux minutes sans poser les mains sur lui. » Clin d’œil entre Henri et moi :— Alors là , chapeau ! C’est pour le moins un jeu personnalisé.Marie me regarde, amusée.— Dis-moi mon chéri, tu n’aurais pas oublié de me dire quelque chose cette semaine ?— Connaissant ton attrait pour les surprises, j’ai cru bon de ne pas t’en parler. Arrête de parler et ne fais pas attendre Catherine.Catherine se lève et se penche vers moi, et nos langues s’initient dans nos palais. Mes mains effleurent au passage son 90D ; je sais que ma verge coulissera dans son sillon tout à l’heure, et celle-ci commence déjà à gonfler dans mon boxer.Tour suivant : je lance le dé, et c’est aussi un quatre : « Caresser les seins du partenaire de votre choix sans enlever son vêtement. » Je me retourne vers Catherine ; d’effleurer, je vais passer à la caresse. Je suis debout face à elle ; je place mes bras à la verticale de sa poitrine et je descends doucement vers les pointes. Lorsque j’y suis, je les pince légèrement entre mes doigts, puis je poursuis mon exploration en redescendant pour contourner le galbe et revenir vers le centre de ce sillon qui m’attire ; ce sillon est fait pour que les bites le graissent d’éjaculations copieuses.C’est au tour de Marie : « Marie, relève ta jupe, écarte ta culotte et masturbe-toi pendant deux minutes. » Marie nous regarde, se lève et se dirige vers l’espace cuisine, prend un tabouret, se retourne et pose son escarpin droit dessus. De sa main gauche elle trousse sa jupe tout en écartant son tanga noir, laissant apparaître ses lèvres fines dépourvues de poils et commence à se masturber lascivement le clito, remontant régulièrement à sa bouche pour mouiller ses doigts qui continuent à agacer son bourgeon. Marie se donne du plaisir sans retenue devant nous ; le tut-tut de l’alarme de l’iPhone annonce à regret la fin des deux minutes.Marie revient vers nous, et avant de s’asseoir pose négligemment sur les lèvres d’Henri ses doigts humectés de cyprine et de salive.Henri lance le dé : « Henri doit caresser les seins de Marie sans enlever le haut. » Henri se lève et se dirige vers Marie, qui décide de dévoyer le gage en se mettant à genoux afin de profiter de la queue d’Henri en la mordillant au travers de son pantalon ; les mains d’Henri ne restent pas inactives, pinçant les tétons de la coquine qui redouble ses mordillements au biveau de la braguette de notre ami. Catherine, tout en regardant, en profite pour flatter mon vit.Le dé roule sur la table. « Tu dois enlever ton haut, te caresser la poitrine avec de la chantilly, et les joueurs doivent te débarrasser de celle-ci. »Catherine se lève s’installe face à nous, et très lascivement se caresse la poitrine et dégrafe son soutien-gorge ; ses splendides mamelons 90D ne demandaient que cela. Elle se saisit de la bombe d’une main, du mamelon de l’autre, le pointant vers sa bouche et appuie sur la languette. Un pschitt s’échappe et la chantilly se répand. Elle répète l’opération une seconde fois sur le second sein, puis avec ses deux mains se tartine sa fière poitrine, puis elle nous regarde : c’est à nous. Nous n’attendions que cela, et nous nous jetons sur le dessert. C’est un jeu de langues qui s’organise, se croisant, se touchant à l’occasion. Notre amie étant fort sensible, elle prend un pied manifeste ; mes doigts qui s’égarent au niveau de sa vulve détectent une humidité plus que présente…Nous rejoignons la table avec excitation ; le jeu continue, il ne peut être que plus chaud.Je lance le dé, et Marie de lire : « Joseph doit se mettre à genoux devant Catherine, lui enlever sa jupe et lui caresser les cuisses. »Nous nous levons et nous mettons en position légèrement de biais afin que nos compagnons profitent du spectacle. Je m’installe à genoux, et mes mains se positionnent sur le bas de son dos afin de dégager l’agrafe qui retient sa jupe. Ceci fait, mes mains glissent, emmenant le tissu. Progressivement, un magnifique tanga se dessine ; la jupe tombe au sol, et mes mains remontent progressivement vers l’intérieur des cuisses, s’arrêtant à son intimité que je devine vierge de toute toison, puis je redescends et contourne légèrement au-dessus de ses genoux pour remonter vers sa taille que je contourne pour descendre vers ses fesses et l’extérieur de ses cuisses. Là encore, l’humidification de son tanga devient de plus en plus prégnante.Nous nous relevons et nous nous portons un baiser profond tout en laissant nos mains s’égarer vers nos intimités prometteuses.Marie jette le dé : 5. Carte bleue encore : « Marie enlève la chemise d’Henri et lui suce et mordille les tétons. »Henri n’a même pas le temps de se lever que Marie est déjà sur ses genoux et lui roule une pelle. Tout en déboutonnant sa chemise, elle glisse ses doigts sur ses tétons en les tenant entre le pouce et l’index, les tirant vers elle. Puis sa main serre la peau de son sein gauche, et avec ses dents se met à mordiller, répétant l’opération sur son sein droit. Henri l’encourage en massant son entrejambe sous sa robe.Caroline rejoint sa place tout en se caressant.Je jette le dé : 4. Marie prend la carte et me lance un clin d’œil. « Henri doit faire glisser le pantalon de Joseph et le cajoler sans enlever son slip. »L’approche bi est présente dans notre carte depuis maintenant près d’un an ; c’est une variable dans notre jeu que nous ouvrons que si l’envie est là . Maintenant, nous en avions convenu avec eux avant de jouer, sachant que nous nous donnions la possibilité d’y renoncer si le feeling bi n’était pas là . Dans le cas présent, le goût du jeu s’étant installé depuis le début de la partie, je me lève donc.Henri s’approche de moi, met ses mains sur ma ceinture, me regarde et me roule une pelle. Surpris – je n’ai jamais embrassé de mec – je me laisse faire. Ses mains poursuivent leur ouvrage. Nos langues tournent l’une sur l’autre, puis il se met accroupi et fait glisser mon pantalon. Sa bouche prend possession de ma verge au travers du tissu ; heureusement que l’élastique de mon boxer est solide, ma barre gonflant de plus en plus sous ses assauts. Il délaisse ma verge pour s’attaquer maintenant à mes bourses ; sa main droite ne reste pas inactive, se glissant entre mes cuisses pour me masser du périnée jusqu’à la rondelle. C’en est trop : ma verge dépasse maintenant à la verticale pour atteindre mon nombril, sous le « Waouh ! » des filles. Henri est content de son effet et me lèche le gland tout en poursuivant son massage. Il est temps qu’il s’arrête. Il se relève, et c’est moi qui remercie mon amant par un baiser profond.Catherine joue un 3 ; je prends la carte et lis : « Catherine réalise le même gage précédent avec Marie. »Catherine, en maîtresse femme, prend Marie par la main et l’emmène au centre de la pièce. Les deux femmes s’embrassent, et Catherine crochète les bretelles de la robe de Marie. Elle poursuit son baiser profond et accompagne doucement la robe, caressant au passage sa poitrine pour poursuivre vers son slip ; ses doigts, au passage, s’accrochent au tissu et poursuivent doucement, laissant apparaître son abricot : la langue de Catherine en prend possession. Marie pose ses deux mains sur la nuque de Catherine pour l’encourager, ouvrant ses cuisses à la langue de Catherine qui peut enfin déguster la cyprine de ma douce. Elle glisse deux doigts dans la fente juteuse à souhait tout en mordillant son clitoris, puis se relève et donne ses doigts à lécher à Marie qui l’embrasse dans la foulée.Nous sommes maintenant totalement nus. Marie et moi nous nous regardons et nous dirigeons vers nos amis afin de faire tomber les derniers remparts. Je me mets à genoux et glisse mes paumes de mains à l’intérieur du haut des cuisses d’Henri et je mordille sa bite gonflée dans son boxer… il en crève d’envie ! Marie, pendant ce temps, mordille les tétons de Catherine. N’oublions pas que notre ami est amateur de jeux de domination-soumission. Des images de film de boules me reviennent à la mémoire ; je happe avec mes dents le côté droit de son boxer et fais descendre ma tête, entraînant le morceau de textile qui est bloqué par la queue. Ne souhaitant pas lui faire mal, avant de répéter l’opération sur le côté gauche je happe sa queue et me délecte de la perle de foutre à son sommet… Le boxer poursuit sa descente ; les filles me rejoignent, Marie s’occupant de sa tige, et Catherine et moi s’occupant chacun d’une boule. Mes paumes, toujours à l’intérieur, font pression ; Catherine en profite pour y glisser ses mains et les fait coulisser vers le fondement d’Henri afin de faire rouler dans ses doigts un plug dont notre ami est déjà pourvu, petit cadeau de sa douce qu’elle lui a glissé juste avant leur départ.Je laisse les filles s’occuper de sa queue et vais chercher deux doubles vibros et les enfiche dans les moules dégoulinantes de cyprine. L’effet immédiat est que l’ami Henri lâche sa jouissance ; les filles s’en régalent et se roulent une pelle, puis se tournent vers nous pour nous en faire profiter. Catherine déclare :— Part one faite. Voyons la part two.Elle revient équipée d’un gode-ceinture, en tend un à Marie et dit :— Voyons maintenant la souplesse annale de ces messieurs, et surtout s’ils sont aussi bons suceurs que nous.Nous nous positionnons en 69, Marie derrière Henri. Catherine de son côté fait de même, et après nous avoir largement tartinés de gel, elles s’enfoncent en nous progressivement. Une fois installés, nous reprenons nos jeux buccaux, et un lent va-et-vient s’initie ; il durera plus de dix minutes, avec les commentaires et les claques de nos dames de cœur qui se lâchent.Malgré tous les efforts prodigués par Henri, je n’ai toujours pas éjaculé.— OK, les filles ; à nous de vous donner du plaisir.Les filles s’installent à leur tour en 69 et nous décidons, afin de garder notre influx, de nous équiper à notre tour du gode-ceinture. Après en avoir changé le préservatif, nous plongeons dans leurs chattes béantes de désir. Après un jeu de dix minutes, les filles partent dans un orgasme qui les cloue l’une sur l’autre.— Voyons maintenant vos petites rondelles…Progressivement nous nous y enfonçons en ajoutant du gel, et un nouveau ballet s’organise.Mes couilles et ma bite sont gonflées ; je ne vais pas tarder à venir. Aussi j’enlève le gode-ceinture et informe l’assistance :— Si vous souhaitez vous régaler de ma jouissance, c’est maintenant !Mes amants se mettent en cercle, ouvrant leur bouche pour recueillir le fruit de ma jouissance. J’astique ma queue, et trois lampées se propulsent vers les bouches avides…Il est 18 h 30 ; une petite douche fera du bien. Je relance un peu de musique et nous rejoignons la salle de bain. Salle de bain un peu comme dans une série de spots publicitaires ; un truc de rêve : une douche à l’italienne avec quatre pommeaux et quatre places assises réparties en face-à -face.Nous nous savonnons tous, et commence un jeu à huit mains où les parties charnues ne sont pas oubliées ; nous nous rinçons et poussons une porte donnant sur un jacuzzi à quatre places.Nous profitons des bulles bienfaitrices pour nous remettre en forme, nous installant en couples pour profiter du concerto n° 2 de Rachmaninov et de l’intimité retrouvée. Par le skydome, nous observons les premières lueurs des étoiles s’allumant les unes après les autres…Il est temps de nous habiller pour rejoindre le restaurant.Marie prend la parole et déclare, à ma grande surprise :— Je vous propose le jeu suivant : nous ne portons pas de sous-vêtements, et au restaurant nous jouerons le plus discrètement possible sous la nappe.Après tout, nous sommes là pour ça. Catherine regarde Marie et déclare ;— Cela sera plus amusant avec ceci.Elle sort alors de son sac à main deux cockrings vibrants qu’elle installe sur nos verges qui se retendent pour l’occasion. Les cockrings sont équipés d’une lanière et d’un petit plug qu’elle suce avant de l’enficher dans nos anus, puis elle donne à Marie un petit porte-clefs bleu – elle gardant le rouge – en lui disant :— Un grand fantasme masculin, c’est de jouer avec une télécommande et de déclencher nos orgasmes à leur bon vouloir. Eh bien, à nous de jouer aussi !Puis elle positionne un préservatif sur nos queues.— Messieurs, au retour, si l’un des préservatifs est rempli, il sera le premier soumis de la deuxième partie de soirée. Si les deux sont remplis, ce sera la quantité qui vous départagera.Puis Catherine de poursuivre :— Quant à nous, je te propose de porter des culottes-godes : il n’y a pas de raison que nous ne puissions pas jouir nous aussi. La première de nous deux qui au restaurant ira se repoudrer le nez sera la première soumise ; et cas d’égalité, la première de nous deux qui jouit en 69.C’est ainsi équipés que nous prenons la direction du restaurant.