Un samedi matin, alors que je prenais mon petit déjeuner, un bruit de remue-ménage se fit entendre à travers la porte d’entrée de mon appartement. Je me collai derrière le judas pour assouvir ma curiosité. Manifestement c’était mes nouveaux voisins qui emménageaient.Quelques jours plus tard, je me retrouvai dans l’ascenseur avec l’homme qui partageait désormais mon palier. Nous nous sommes présentés et avons échangé quelques banalités avant de regagner nos logements respectifs. C’était un mec ordinaire, brun, yeux marrons, 1,80 m, 35 ans, un peu carré, mais avec un petit quelque chose de charmant, un peu réservé, sans doute un peu timide.Nos voyages en communs se renouvelèrent assez souvent, nos horaires de travail devaient être sensiblement les mêmes ou les distances et les temps de trajets accordaient nos rencontres. Après trois semaines, je me permis de lui demander s’il vivait avec quelqu’un car je ne voyais que lui.— Non je suis célibataire.Je voyais bien qu’il mourait d’envie de me retourner la question mais qu’il n’osait pas, et je le laissai cruellement dans l’ignorance, enfin ce n’était pas difficile de le savoir car il est noté Mme Bal… Marie-Claire sur ma boîte aux lettres. Durant nos petites envolées ascensionnelles, il se dévoila un peu plus chaque fois. Puis, un dimanche soir, alors que je rentrai chez moi, je le surpris derrière sa porte entrouverte, en train de déposer un sac sur son paillasson. Il portait un peignoir bleu foncé à moitié ouvert ce qui me permis d’apercevoir, juste avant qu’il ne le referme rapidement devant mon arrivée, ses jambes poilues, sa hanche gauche dénudée ainsi qu’une touffe de poils bordant son sexe que, malheureusement, je n’avais pas eus le temps de voir. Peut-être avais-je vu l’un de ses testicules mais cela s’était passé si vite que je n’en suis pas sûre. Il me sourit gêné.— C’est la poubelle, j’oublie toujours de la descendre le matin.Surprise et un peu émoustillée de cette furtive vision, je lui bafouillai un :— Bienchouir bonzoir…Enfin, quelque chose comme ça.Cet événement me trotta dans la tête toute la soirée et je me surpris d’y penser dès mon réveil le lendemain matin. Une ou deux autres fois, je le vis sur son balcon en caleçon arrosant ses plantes. L’une d’elle était plus intéressante que les autres d’ailleurs, car elle était par terre et il devait se pencher pour verser l’eau dans le pot, ce qui me dévoilait une partie de ses fesses. Un peu troublée par la répétition de ces différentes visions, je me demandais s’il ne le faisait pas un peu intentionnellement, aussi je décidai d’y prêter plus d’attention.Pendant un mois, j’épiai tous ses faits et gestes dès qu’il était dans son appartement, je suis même descendue dans la rue, sur le trottoir d’en face, pour tenter de l’observer, mais finalement je conclus à un mode de vie assez libertin. Curieusement cela m’attirait encore plus vers lui et surtout différemment ; un homme qui ose se montrer en caleçon sur son balcon sans être gêné doit avoir une idée du sexe très saine, et c’était de connaître ce côté là qui m’attirait.Un matin, prévoyant notre rencontre de fin de journée, je choisis dans ma penderie un caraco noir, sur lequel j’enfilais un gros pull (car nous étions en mars et il ne faisait pas très chaud), un jean, mes tennis et mon long manteau, puis, je pris mon sac de sport que je remplis de serviettes pour qu’il paraisse bien plein et bien lourd. Le soir venu, je sortis un peu plus tôt et me postai au coin de la rue pour surveiller son arrivée. Avant cela, j’avais pris soin de retirer mon pull pour ne garder que le caraco sous mon manteau, sans oublier de prendre mon sac de sport. Lorsqu’il arriva, je me précipitai à l’entrée de l’immeuble, déceinturai mon manteau que j’ouvris largement et entrai d’un air innocent.— Bonjour, vous allez bien ?— Oui merci. Oh là , où allez-vous avec ce gros sac ?— Je reviens de la piscine, alors j’ai tous les vêtements que je portais ce matin avant de me changer.À ce moment, je posai le sac en question devant moi en me penchant généreusement afin qu’il profite du panorama que lui offrait l’ouverture de mon caraco causée par mes seins restés libre (comme à mon habitude).— Attendez, je vais vous le porter !— Non il n’est pas si lourd que ça.Pendant que je relevai mon courrier, il alla appeler l’ascenseur. Pour être sûr qu’il regarde dans ma direction, je lui lançai :— Vous m’attendez !Et je me rebaissai en avant pour reprendre mon sac. La remarque qu’il me fit m’assura de sa vision :— Vous devriez plus vous couvrir par ce temps ou vous allez attraper la mort.— Oh mais je n’ai pas froid, vous savez, après la piscine on a toujours chaud.Une fois dans l’ascenseur, je reposai mon sac à mes pieds, mais cette fois-ci je relevai rapidement la tête avant qu’il ne touche le sol. Patrick avait ses yeux plongés dans mon décolleté, je restai penchée attendant la fin du voyage, et poursuivis la conversation :— Vous avez fini de vous installer ?Il releva les yeux, mais les reglissait de temps en temps dans mon manteau.— Oui, il faudrait que vous veniez prendre l’apéritif un soir, entre voisins, ça se fait non ?— Oh, vous savez, les précédents locataires ne l’ont jamais fait en cinq ans…Enfin bref, nous échangions une fois encore des banalités dans une politesse d’homme d’état. Arrivés à l’étage, nous nous sommes séparés dans un « bonsoir » des plus conventionnels.Quelques minutes plus tard, on frappa à ma porte, c’était mon gentil voisin :— Vous avez laissez vos clefs sur la porte, heureusement que je suis ressorti sinon vous alliez passer la nuit la porte ouverte.— Oh merci beaucoup, ça m’arrive jam…Et c’est là que l’idée du scénario qui va suivre m’a traversé l’esprit— Enfin… C’est pas la première fois, merci encore !— Mais je vous en prie, c’est normal.Comme par hasard, cet oubli se répéta de plus en plus souvent, parfois je devais aller les chercher moi-même après avoir attendu en vain sa venue, mais parfois, surtout lorsque je rentrais avant lui, Patrick sonnait à ma porte pour me les rendre. À ces occasions, je me préparais toujours à sa venue en portant des vêtements de plus en plus évocateurs.Un soir, je me suis mouillé les cheveux au moins dix fois avant qu’il ne frappe à la porte. Je mis une serviette sur la tête et une autre que je tenais d’une main sur la poitrine, en laissant toutefois une bonne moitié de l’un de mes seins apparent. Une autre fois, j’avais même laissé la porte mal fermée et je l’attendais habillée d’un simple string. Lorsqu’il toqua à l’entrée, je me précipitai dans le fond du couloir (il faut vous préciser que ce dernier fait un « L » qui va du hall d’entrée aux chambres et à la salle de bains en passant devant de salon), j’attendais en espérant qu’il se rende compte qu’il suffisait de pousser légèrement la porte pour qu’elle s’ouvre. Après un second « toc toc » resté sans réponse, il frappa plus fort pour se faire entendre, c’est alors que la porte s’ouvrit. Il lança :— Hé-ho, y a quelqu’un ?Après une dizaine de secondes je fis claquer une porte et m’avançai dans le couloir ; arrivée à l’angle, je me retrouvai face à Patrick.— Oh, qu’est-ce que vous faites là  ?Faisant semblant d’être surprise, je croisai mes bras sur ma poitrine.— Vous avez encore laissé vos clefs sur la porte, j’ai frappé mais la porte s’est ouverte toute seule ; je suis désolé, je ne voulais pas vous surprendre !Comme il me tendait les clefs, je m’avançai pour les prendre en tendant le bras dévoilant l’un de mes seins, me rendant compte de la chose, je remis aussitôt mon bras dessus.— Heu… j’ai les mains prises là , vous pouvez les mettre sur la serrure ?— Oh vous savez, je suis plutôt libéré de ce côté-là et ce n’est pas en me dévoilant vos seins que vous me choquerez.— Oh, bien sûr, mais c’est peut-être moi que ça gêne, non ?— Oh, je ne pense pas que vous soyez très réservée de ce côté-là mais si vous préférez continuer à me cacher vos seins qui ont l’air superbes d’ailleurs, je ne vous oblige en rien.— Très bien, donnez-moi ces clefs et merci pour le compliment.J’avançai de nouveau mon bras pour me saisir des clefs, Patrick me les tendit en me demandant :— J’ai pas le droit aux deux ?Je lui souris en restant le bras tendu mais sans attraper les clefs qu’il tenait à quelques millimètres au-dessus de ma main, nos regards plongèrent l’un dans l’autre comme pour un défi. Doucement je descendis mon autre bras le long de mon corps, découvrant ainsi la totalité de mon buste entièrement nu.— Je ne m’étais pas trompé, ils sont vraiment superbes.J’attrapai les clefs d’un geste un peu brusque— Bon, allez, maintenant dehors, le spectacle est terminé…Je replaçai mes bras en croix sur ma poitrine. Il ouvrit la porte et sortit en me disant très gentiment :— Merci beaucoup, et ne vous inquiétez pas pour vos clefs, c’est un plaisir de vous les rapporter.— Oui, allez, bonne soirée.— Bonsoir…Et pour la première fois il ajouta :Après cette aventure, j’étais tout excitée de savoir qu’il me trouvait sans aucun doute désirable, et comme ce petit jeu ne m’amusait plus simplement mais me donnait de plus en plus de plaisir, je décidai de le provoquer franchement ; soit, je ne l’intéressais pas et pour lui ce n’était qu’un jeu, soit il craquait et nous allions passer un bon moment.Je ne savais pas comment m’y prendre pour que cela ne soit pas trop direct, et puis un soir, en relevant mon courrier, j’aperçus une enveloppe qui dépassait un peu de sa boîte aux lettres. Vérifiant autour de moi que j’étais bien seule, je retirai le document de son logement et le glissai dans mon sac, puis regagnai mon appartement. Cette fois-ci, je ne laissai pas mes clefs sur la serrure car cela faisait un trop téléphoné. Je laissai sur mon paillasson une lettre, un peu de travers, comme si elle était tombée sans que je m’en aperçoive. Lorsqu’il frappa à ma porte, je me présentai à lui avec une grande serviette de bains que je tenais devant mon corps complètement nu :— Bonjour, cette fois c’est pas mes clefs, elles sont sur la serrure !— Non en effet, mais vous avez quand-même laissé tomber ça…— Ah merci, décidément. Oh, mais attendez, moi aussi j’ai une lettre pour vous, le facteur la glissée par erreur dans ma boîte.Je me retournai pour allez la chercher lui dévoilant ainsi mon dos mais surtout mon postérieur entièrement dénudé. Faisant mine de ne plus penser à ma tenue je fis quelques pas avant de réagir en tirant sur la serviette :Je disparus quelques secondes, le temps d’aller la chercher et d’attacher correctement la serviette autour de moi, avant de réapparaître. En arrivant devant lui, je lui tendis l’enveloppe et là , geste inconsciemment volontaire de ma part ou maladresse de la sienne, elle tomba par terre. Dans un réflexe commun, nous nous sommes penchés en même temps, Patrick posa sa main sur le devant de mon épaule afin de me retenir pour m’éviter de me cogner la tête contre la sienne.— Hop attention ! laissez, je la ramasse.Presque aussi vite je me redressai, et là , il arriva quelque chose que je n’avais pas prévu : sa main posée sur moi accrocha la serviette qui se détacha et glissa le long de mes jambes. Patrick releva sa tête et se trouva le nez en face de mon sexe. Cette surprise réellement inattendue me décontenança et je restai sans bouger, debout devant lui, sans même penser à cacher quoi que ce soit. Au contraire, devant mon désarroi, je levai la tête au plafond pour ne pas voir son visage.— Ah bin, voilà , comme ça je connais tout ! C’est vraiment adorable et puis sorti de la douche, c’est frais. C’est doux ?Patrick posa sa joue sur ma touffe intime. Cela aussi me surprit et je restai toujours paralysée. Patrick en profita donc pour me poser ses mains sur les fesses et me serrer contre lui. Après quelques secondes, je retrouvai enfin mes esprits, mais un peu tard.— Hé, n’en profite pas !Curieusement, je me mis à le tutoyer, ce qui lui donna sûrement de l’assurance car il me tutoya également :— Chut, ne bouge pas, laisse-moi profiter de cet instant ; je veux juste continuer à te sentir contre moi.Si ce n’était que ça, pourquoi pas, et puis finalement cet incident arrivait au bon moment, j’en espérais même plus maintenant. Alors pour l’inciter à aller plus loin, je ne bougeai pas et le laissai faire. Petit à petit, ses mains se mirent à me caresser les fesses et sa joue se frottait délicatement sur mes poils. De temps en temps, il remontait ses deux mains le long de mon dos, cela me donnait des frissons et je sentis arriver entre les cuisses les premiers signes du plaisir.— Ouiiiii, laisse-toi couler, c’est ça continue à ne pas bouger, laisse-moi te donner envie.Plus besoin de me le dire, j’étais déjà montée jusqu’au deuxième ciel et je n’allais surtout pas l’empêcher de me faire atteindre tous les autres.Devant mon silence et mon immobilité, Patrick poursuivit ; l’une de ses mains m’écarta la raie des fesses pour que les doigts de l’autre s’y glissent. Doucement, l’un d’entre eux passa sur mon petit trou, puis le massa en faisant de petits cercles juste dessus, puis d’avant en arrière ou en appuyant dessus comme s’il voulait y entrer. Un autre doigt vint le rejoindre puis aussi vite un troisième. Une fois regroupés, ces deux derniers arrivés écartèrent mes fesses dilatant ainsi l’ouverture de mon cul. Le premier doigt s’y engagea quelque peu en remuant légèrement ; ce début de pénétration me contracta le ventre, mais les petits mouvements que faisait le doigt me décontractèrent rapidement.Une fois complètement détendue, mon visiteur repris son chemin, il s’enfonça en moi de toute sa longueur. Une fois à l’intérieur, il commença de petits va-et-vient sans trop ressortir mais en s’enfonçant bien à chaque remontée dans mon cul. Sur l’autre face, la bouche de Patrick avait pris la place de sa joue, et sa langue allait et venait contre mes lèvres à plaisir. Je mouillais de plus en plus et les coups de langues de Patrick se faisaient remarquer par de petits bruits aquatiques. Devant le plaisir qui montait en moi, je pris la tête de Patrick entre mes mains et l’appuyai entre mes cuisses— Viens… rentre ta langue… vas-y…Je sentis enfin cette langue me pénétrer en glissant entre mes lèvres trempées de jus poisseux. Toute sa langue était dans mon intimité et menait un ballet intérieur délicieux. Appuyant encore d’avantage la tête de Patrick, sa langue frotta contre mon bouton d’or ce qui me donna de fortes vibrations. Mes jambes fléchirent, Patrick me soutenait mais sans arrêter aucun de ses gestes. Bien au contraire, il accentua les va-et-vient de ses doigts dans mon cul et la pression de sa langue sur mon clito. Presque arrivée au sommet de ma jouissance, je remontai une main sur mes seins afin de me pincer les mamelons qui s’étaient gonflés, durcis et devenus très sensible.— Oui, oui, ouiiii, ça y est, je jouis !Hummm, j’étais en train de jouir et de prendre mon pied comme rarement je ne l’avais pris. Patrick se releva et m’embrassa langoureusement ; il m’enfonça sa langue très profondément dans la bouche, elle était pleine de mon jus et je lui aspirai littéralement. Notre baiser était sans fin, nos langues se mélangeaient ; il glissa ses mains entre nous, saisi mes seins et les malaxa.Le plaisir de ma jouissance n’avait pas encore totalement disparu que je recommençais déjà à reprendre du plaisir par ce délicat massage. Cette fois, Patrick étant debout, je pouvais moi aussi, passer à l’action. Je fis sauter le bouton de son jean, baissai la fermeture éclair et glissai une main à l’intérieur pour me saisir de son membre. Il était dur comme du bois, je ne me rendais pas bien compte de la taille et, bien que ce ne soit pas un critère d’importance chez moi, il me semblait que le sexe de Patrick était imposant.Je le massais à travers son caleçon, il était de plus en plus raide. Ma main se glissa par une jambe sous le tissu et remonta jusqu’au gland qui bavait déjà de joie. Je le branlai un peu, histoire de la faire pleurer encore ; rapidement ma main fût toute mouillée et glissait de haut en bas sur ce piston parfaitement lubrifié. Patrick qui commençait à gémir fit tomber son pantalon à terre, il était temps. Je m’accroupis en descendant son caleçon sur ses chevilles, présentai son sexe juste devant ma bouche et commençai à lui administrer quelques coups de langue bien mouillée.Je constatais alors qu’en effet, son sexe était d’une longueur normale mais d’un très gros diamètre. Mes coups de langues se transformèrent en caresses partant du dessous de ces bourses jusqu’au bout de sa queue. Mes lèvres se refermèrent juste sur la fente de son gland pour y déposer un baiser, puis je l’enfonçai dans ma bouche. Je devais déjà l’ouvrir en grand pour y parvenir et lorsque j’ai poussé ma bouche en avant pour y faire pénétrer le reste de ce membre, je dus l’ouvrir au maximum.Tout doucement, les lèvres serrées sur la chair, j’avalais malgré tout son sexe en entier. Patrick se crispa jusqu’à ce que sa queue soit entièrement entrée dans ma bouche. Là il se détendit et je commençai alors de longs et profonds va-et-vient que ma langue accompagnait. Patrick se pencha sur moi pour que ses mains atteignent de nouveau mes seins, ma tête était un peu bloquée mais je poursuivais ma fellation gourmande en accélérant le mouvement.Comme il s’occupait de mes mamelons durcis, je glissais une main entre mes cuisses pour titiller mon clito, noyé dans mon sirop d’amour. J’accélérai encore mes va-et-vient que Patrick accompagnait maintenant de coups de reins qui m’enfonçaient sa queue tout au fond de la gorge. Un peu étouffée par la grosseur de son sexe, je me contentais de n’en aspirer que le gland. Cela me donna l’occasion de branler le reste de son membre avec la main qu’il me restait de libre, car avec l’autre je me masturbais toujours ayant enfoncée deux doigts dans ma chatte.J’étais prête à jouir et cela ne tarda pas ; soudain Patrick s’appuya sur mes épaules et colla son ventre contre moi en m’enfonçant tout son membre dans la bouche, je sentis sa veine se gonfler et une première vague de sperme envahit ma gorge. Comme je ne pouvais plus reculer la tête sous l’emprisonnement de Patrick, j’avalai ces premières gouttes pour ne pas m’étouffer. Sa verge se contracta de nouveau pour me lâcher plusieurs autres giclés de son breuvage, toujours coincée j’avalai le tout. Si ma tête ne bougeait plus, mes mains, travaillaient toujours, l’une malaxait les bourses de Patrick et les doigts de l’autre encore dans mon minou, m’emmenèrent jusqu’au plaisir intense.Patrick coula encore un peu en moi avant de se redresser dégageant ainsi ma tête ; je repris donc quelques secondes de petits va-et-vient très courts mais très serrés sur son gland. Il me releva et m’embrassa de nouveau.— Pououou, non seulement tu es belle, mais en plus tu as une bouche délicieuse.— Merci, mais j’avais un peu de mal parce que tu as un sacré engin.— Mais je suis sûr qu’il est à ta taille.En disant cela, il posa sa main sur ma foufounette et glissa un doigt sur ma fente.— Je sais pas, il faudrait essayer… mais un peu plus tard, une autre fois.— Pourquoi attendre, tu es encore toute mouillée…Il me poussa contre le mur et me souleva une jambe, je sentis son sexe se plaquer contre mon ventre, mais il n’était plus aussi vigoureux.— Je suis peut-être en état mais toi ?— Laisse, il suffit de remettre la machine en route.Il prit son sexe en main et le présenta contre ma fente, puis il l’enfonça un peu difficilement du fait de sa mollesse. Très vite, je le sentis gonfler en moi, c’était une sensation bizarre mais bien agréable. Pendant ce temps, ou plutôt durant ce temps, nous nous embrassions, toujours avec le même ballet de langues. Une fois sa queue en forme, et quelle forme ! Patrick commença à s’agiter en moi, sa tête tomba sur mon buste et sa bouche aspira l’un de mes mamelons.Ma foufounette s’était très largement ouverte sous le gonflement de cette queue généreuse qui était un peu à l’étroit. De ce fait, je la sentais vraiment bien entrer et sortir de mon intimité et le plaisir m’échauffait de nouveau le corps. Heureusement, ma chatte restée mouillée inondait ce membre qui allait et venait de plus en plus vite. Bientôt Patrick me pilonna sans ménagement, ma tête et mes fesses cognaient contre la cloison, je gémissais fortement de plaisir.Après plusieurs longues et délicieuses minutes, il éjacula dans mon ventre sans arrêter ses mouvements, puis, enfin, il ralentit avant de s’arrêter complètement. Nous sommes restés quelques secondes collés l’un à l’autre puis il se retira doucement, je sentis alors notre cocktail amoureux couler dans mes poils et le long de ma cuisse. Patrick descendit doucement, aspirant au passage mon sein, baisant mon nombril pour finir en léchant ma cuisse, du genou à ma chatte, en recueillant sur son chemin les ruissellements de nos deux jus mélangés. Puis il se releva et m’embrassa pour me faire partager le breuvage qu’il était allé chercher.— Alors tu n’as pas eu mal ?— Non, au contraire, tu m’as plutôt fait du bien.Il remit son caleçon et remonta son pantalon.— Tu m’offres quelque chose à boire ? Ça m’a donné soif…Je ramassai la serviette et l’emmenai dans la cuisine pour boire un verre, lorsque je mis la serviette autour de moi il m’en empêcha :— Non, reste comme ça, j’aime te voir nue…Je restais donc dans la tenue d’Ève pendant que nous buvions un jus d’orange bien frais. Puis il me fit un bisou et repartit dans son appartement. Depuis je ne laisse plus mes clefs sur la porte… plus besoin… il a un double !