Chaque fois que je me remémore mes premières activités homosexuelles, je me retrouve dans un état d’excitation extrême. J’ai pris la décision de les partager avec vous.J’étais un jeune étudiant comme les autres, peut-être un peu plus timide et introverti, amoureux des mêmes filles que les autres jeunes. Le soir, dans ma chambre, je m’excitais sur des photos de revues pornos récupérées ici et là. Mais la nuit il m’arrivait souvent de me réveiller en chaleur, la queue complètement raide, avec des souvenirs de rêves ayant pour acteurs des hommes matures.Il est vrai que près de l’appartement de mes parents se trouvait un parc fréquenté par les homos matures et que je devais traverser ce square tous les jours sur le chemin du campus. Plusieurs fois j’avais reçu des compliments, des invitations, des réflexions sans équivoque. Chaque fois je prenais la fuite, rouge de honte et perturbé. Arrivé à destination, je me réfugiais dans les toilettes pour me masturber.Un soir, en revenant de chez un ami, je me retrouvai dans le parc sans vraiment m’en rendre compte. Un bruit bizarre me tira de mes rêveries. M’assurant qu’on ne me voyait pas, je me glissai à pas de loup dans les broussailles. Là, à quelques mètres, il y avait deux hommes, l’un le pantalon baissé et l’autre à genoux devant lui, lui suçant la bite. Je regardai, fasciné, sans oser bouger. L’homme debout poussa un râle, sortit un mouchoir de la poche de sa veste, nettoya sa verge, remit son pantalon, murmura quelques mots que je ne compris pas et disparut. L’autre se remit debout, nettoya les genoux de son pantalon, regarda autour de lui, ouvrit sa braguette et se masturba. En faisant le moins de bruit possible, je retournai sur le chemin et sortis du parc.En une seule séance, j’étais devenu un parfait petit voyeur. Chaque fois que j’en avais l’occasion, j’allais mater les hommes dans le parc, j’avais même repéré les meilleures endroits pour observer sans être vu.Un après-midi de week-end, quelques semaines après ma première séance de voyeurisme, je me retrouvai dans le parc à mon endroit préféré, avec un livre pour me tenir compagnie et aussi pour me servir d’alibi en cas de danger. J’étais installé depuis quelques minutes lorsqu’un homme se présenta sur le chemin qui était désaffecté et très peu utilisé. Bien que je fusse en retrait du chemin, il me repéra tout de suite et m’interpella.— Bonjour, jeune homme, un bien bel endroit pour lire en paix, dit-il en souriant.— Bonjour, monsieur.Moi, j’espérais qu’il allait continuer son chemin, mais il se laissa tomber sur un tronc d’arbre, à deux mètres de moi.— À mon âge, mes jambes ne me portent plus aussi bien.C’est vrai qu’il devait avoir aux moins soixante-cinq ans. Je fis semblant de continuer à lire, dans l’espoir qu’il se lasse et s’éloigne, mais manifestement il se trouvait très bien sur son tronc. Je craignais aussi que les hommes, en bas, ne le remarquent et ne choisissent un autre endroit. Ce ne fut pas le cas. Juste en dessous de nous se présentèrent deux hommes, dans une petite clairière. Je regardai le vieux monsieur qui prenait beaucoup de plaisir au spectacle et je me rendis compte que ce n’était certainement pas la première fois qu’il venait ici.J’avais pris l’habitude de me masturber en voyant faire les hommes en bas, mais là, ce n’était pas possible, et cependant je bandais dur. Comme s’il avait lu dans mes pensées, il me dit :— Vas y, jeune homme, branle-toi, ça ne me gêne pas du tout, je vois bien que tu en as envie.Je ne bougeai pas, devenu tout à coup rouge de honte.— Allez, fais-moi plaisir, je suis un vieux monsieur, ça fait trop longtemps que je n’ai pas vu une belle queue jeune et vigoureuse. Je te promets de ne pas bouger, t’as rien à craindre.Sans doute mis en confiance par ses paroles, son attitude et sa gentillesse, je me mis à genoux, ouvris mon pantalon et le descendis avec mon slip.— Quelle belle queue, et en plus tu as le plus beau petit cul du monde, murmura-t-il. Vas-y maintenant, branle-toi.J’étais tellement excité que quelques mouvements suffirent à faire jaillir mon sperme. Un peu honteux, je remontai slip et pantalon sans trop oser regarder le vieux monsieur.— Tu as fait mon bonheur, mon jeune ami, et maintenant fais-moi le plaisir de m’accompagner en bas de cette côte, car mes vieilles jambes…Je descendis le raidillon avec le vieux monsieur qui parlait de tout et de rien, comme s’il ne s’était rien passé. Moi, l’idée de m’être mis nu devant le vieil homme m’excitait terriblement.Arrivé à la sortie du parc, Lucien – il m’avait dit son nom sur le parcours du retour – m’invita à boire un verre chez lui. Il habitait à deux pas. J’acceptai volontiers. En arrivant chez lui, il m’invita à entrer et, en passant, me caressa doucement les fesses.On était tous les deux dans le vestibule de son appartement.— Ici, on est tous les deux seuls, mon garçon, tu risques rien, fais-moi plaisir, enlève tes vêtements, j’aimerais tellement te voir tout nu.Moi aussi j’avais envie de me mettre nu pour Lucien et je commençai à me déshabiller. Une minute après, j’étais complètement dévêtu. Le voyeur que j’étais était devenu exhibitionniste.Je bandais, ce qui faisait beaucoup plaisir à Lucien.— Rentre, mon mignon, installe-toi dans le canapé, tu es ici chez toi.Il disparut dans la cuisine et revint une minute plus tard avec un plateau de rafraîchissements.Sur la table de salon étaient disposés quelques magazines. J’en pris un que je feuilletai. C’était une revue porno homo.Lucien, après avoir servi les boissons, s’installa à côté de moi.— Tu permets que je touche ta queue ?Et, joignant le geste à la parole, il prit ma queue dans sa main et commença à la caresser doucement. C’était divin. Voyant que j’adorais, il se baissa et, très vite, ce fut sa langue qui se promena sur mon gland. Bientôt sa bouche se referma sur ma queue. C’était trop bon. Impossible de me retenir. Je voulus me retirer mais il me garda dans la bouche, me fit jouir et avala tout.— Je reviens de suite, me dit-il.Et je le vis disparaître dans un couloir. Je repris la revue porno et continuai à la parcourir des yeux. Il faisait chaud dans l’appartement et j’étais vraiment bien. Après quelques minutes, j’entendis la voix de Lucien :— Mon mignon, viens me rejoindre, dernière porte à droite.Je me mis debout et allai vers la porte indiquée. Lucien était allongé sur le lit, nu. Sa queue était à demi érigée. Il était encore bel homme pour son âge. Je m’avançai vers le lit et m’allongeai à côté de lui. Il se pencha vers moi et m’embrassa sur la bouche. Ses mains parcouraient mon corps.— Suce-moi maintenant.Je fis de mon mieux, avec un bon résultat, puisqu’il bandait. Il n’avait pas une grosse queue, mais elle était fine et longue.— Maintenant, je vais m’occuper de ton petit cul.C’est à ce moment que l’on sonna à la porte d’entrée.— Reste là, dit Lucien en enfilant un peignoir.Il quitta la chambre. Une minute plus tard, j’entendis des rires dans le séjour. Ils devaient être plusieurs. J’allai vers la porte pour écouter.— Cet après-midi, j’ai trouvé une petite salope dans le parc. C’est un petit bijou. Et il aime ça. Vous allez adorer. Une belle queue et un petit cul tout rond, tout mignon.— Montre-nous ça, Lucien, on ne peut pas attendre.Là, je pris conscience que j’étais tout nu et que mes vêtements se trouvaient dans le vestibule.— Viens par ici, mon mignon, que je te présente à mes amis, n’aie pas peur, allez, viens.Je ne pouvais rien faire d’autre que me rendre dans le séjour. Avec Lucien, il y avait deux hommes. Ce qui me soulagea, c’était qu’ils avaient le même âge que mon amant, et que Lucien, s’étant débarrassé de son peignoir, était nu comme moi. Je rentrai dans le séjour en cachant le plus possible mon érection. Lucien m’attrapa gentiment et écarta mes mains de mon sexe qui bandait dur. Honteux, oui, mais je prenais aussi beaucoup de plaisir à être exhibé devant ces hommes.— Voici Pierre, dit-il aux deux hommes… et voilà André et Marcel, ajouta-t-il pour moi.J’avais peur que les hommes me sautent dessus et me violent, mais pas du tout, ils me faisaient plein de compliments, et en très peu de temps mon angoisse du début avait disparu et je me sentais très à l’aise avec eux. Ils parlaient de leurs aventures dans le parc et ailleurs, et je compris très vite qu’André et Marcel étaient passifs et Lucien plutôt actif, bien qu’il apprécie une bonne queue vigoureuse dans son cul, comme il disait. Les hommes devisaient à bâtons rompus, et très régulièrement j’interceptais des regards concupiscents vers mon corps, des regards qui m’excitaient beaucoup.Lucien me demanda d’aller chercher des boissons dans la cuisine. Je revins avec le plateau chargé de bouteilles et de verres. En passant près des hommes assis sur le canapé, ils ne se privèrent pas de me palper, de caresser mes fesses. Marcel empoigna ma queue et je me tournai vers lui. Sa langue était chaude et humide. André, assis à côté de lui, déboutonna sa braguette et sortit sa queue qu’il commença à caresser. Lucien s’était placé derrière moi et sa main se promena sur mes fesses, rentra dans ma raie et caressa ma rondelle. Sa main se retira et, tandis qu’il me murmurait des mots doux, je sentis entre les fesses un liquide froid.La main de Lucien était revenue et ses doigts me massaient l’intérieur et spécialement mon petit trou. Le gel devenait chaud. Marcel prit mon sexe dans sa bouche et me suça divinement. À ce moment, un doigt força l’entrée de mon cul. Cela faisait un peu mal, mais j’étais dans un tel état d’excitation que je n’y prêtai pas grande attention.Le premier doigt fut rejoint par un deuxième, ils firent des allers et retours dans mon anus qui s’ouvrait. La douleur s’était estompée et Lucien retira ses doigts. Je tortillai mon cul et me cabrai pour qu’il continue. Lucien m’écarta les fesses et je sentis contre mon orifice le bout de son gland qu’il avait induit de gel. Il poussa et sa queue entra doucement, mais sûrement. Son va-et-vient et Marcel qui me suçait me mirent dans un indescriptible état d’excitation.Le souffle de Lucien s’accéléra, tout comme le mien. D’un coup il se retira et je reçus tout son sperme chaud sur les fesses. Dans le même instant, j’éjaculai dans la bouche de Marcel. Je m’écroulai sur le canapé. André tira ma tête vers sa bite que je tétai avec avidité. Pendant que je le suçais, une langue nettoya tout le sperme sur mes fesses. Une minute après, André éjaculait. On est tous restés muets plusieurs minutes, essoufflés.J’ai récupéré mes vêtements et me suis rhabillé. Les trois hommes m’ont affirmé qu’ils attendraient ma prochaine visite avec impatience.