Le délicat tremblement des perles sur sa poitrine frémissante, image gravée à jamais dans l’esprit de Jérôme, parachevant de longs mois de négociations, de circonvolutions autour de l’objectif. Il avait fallu lever une à une les défenses de Sylviane, la sortir enfin de sa réserve, lourd héritage d’une éducation puritaine. Mais ce soir, Sylviane vient de fermer les yeux, le torse raidi et le souffle court, les mains posées à plat sur les accoudoirs de son siège. De l’autre côté de la table, Jérôme imagine le trajet de la main de Marie sur les cuisses de Sylviane, les yeux rivés sur le va-et-vient de la poitrine électrique de Sylviane sous son chemisier.Il visualise le doux trajet des doigts de Marie, du haut du genou vers l’intérieur de la cuisse, par vagues successives remontant un peu plus haut à chaque oscillation, relevant un peu plus la jupe noire du tailleur de Sylviane. Ils atteignent l’attache du bas, et jouent autour, avec cette permanente modulation de la pression, de l’index au majeur, puis à l’annulaire. L’ébauche d’un sourire apparaît sur le visage de Marie lorsque ses doigts atteignent la peau nue. Se redressant légèrement sur son siège, elle se rapproche un peu de Sylviane. Jérôme vérifie d’un rapide coup d’œil que personne d’autre que lui n’a remarqué la scène. » Vous prendrez un café ? « . Sylviane sursaute et ne peut réprimer un petit cri de surprise pendant que Marie retire brusquement sa main. Rouge comme une pivoine, Sylviane bégaye » ex…excusez-moi, vous m’avez fait peur « . Jérôme commande trois cafés et repose son regard sur la poitrine de Sylviane, cherchant à deviner les tétons dressés de ses petits seins sous le chemisier. Un silence gêné s’installe, aucun des convives ne semblant prêt à le briser. Jérôme allume une cigarette à la flamme de la bougie, et aspire la fumée, fixant Sylviane du regard. » Enlève ta culotte » lui dit-il doucement.Sylviane sent peser sur elle le regard mi-amusé, mi-étonné de Marie. Les yeux perdus dans le vague, submergée par un flot d’interrogations sans réponse, elle glisse ses mains le long des accoudoirs du fauteuil, remonte sa jupe sur les côtés pour dégager l’élastique de sa culotte. Se tortillant le plus discrètement possible dans son siège, elle la fait glisser le long de ses cuisses, jusqu’aux genoux, avant de la laisser tomber sur ses chevilles. Se penchant comme pour ramasser une serviette tombée par terre, elle récupère d’un mouvement rapide sa culotte et la serre dans son poing tremblant. » Donne-la moi « . C’est Marie qui a prononcé ces trois mots, d’une voix ferme et assurée, les yeux plantés dans ceux de Sylviane. C’est au tour de Jérôme de regarder Marie d’un air amusé, voyant à peine le serveur déposer les cafés sur la table. Sylviane pose doucement sa culotte entre la cuisse de Marie et le bord de sa chaise. » Pour ma collection » dit Marie en souriant, déclenchant un éclat de rire de Jérôme. » On va voir quoi ? » demande Sylviane sur le trottoir devant le restaurant. » Y tu mama también, c’est un film mexicain pas mal « . Arrivés dans la salle, Jérôme laisse Sylviane s’installer entre Marie et lui, dans un des premiers rangs, et pose son blouson en évidence sur le siège à côté de lui. La salle est peu remplie, quelques spectateurs isolés ou en groupe occupant principalement les rangs du milieu.Pendant les bandes-annonces, Jérôme se remémore l’instant où tout a basculé, ce déjeuner où il a senti que l’ouverture était là, qu’il fallait foncer. Sylviane venait de lui avouer qu’elle avait du mal à meubler ses journées depuis qu’elle avait renoncé à reprendre son boulot, qu’elle commençait à prendre conscience de son splendide isolement de mère au foyer, épouse modèle qui couche les enfants et participe au dîner avec les invités, avec ce qu’il faut de présence et surtout de discrétion. Elle avait enfin fini par exprimer ce qu’il pressentait depuis longtemps, cette frustration d’une vie sexuelle limitée, cohérente avec son éducation et opposée à ses pulsions instinctives effrayantes et instantanément réprimées.Il lui a proposé l’exploration rationnelle de cet espace de désir, se doutant qu’elle avait besoin de rationalité pour l’aborder, pour ne pas mettre en danger son mariage, sa situation. » J’ai besoin de trouver quelqu’un qui soit prêt à explorer des zones inconnues sans risquer de mettre en place une relation dangereuse et affective, quelqu’un qui soit prêt à jouer autour du sexe sans se prendre trop au jeu, tu serais la personne idéale Sylviane, rationnelle, mariée, mère de famille, peu de risques que nous allions trop loin, mais en même temps un espace de découverte infini. « Elle avait hésité, puis accepté un peu plus tard, après un long silence de quelques semaines. Ils s’étaient donné rendez-vous dans un hôtel de Montmartre, et avaient fait l’amour simplement, sans fioritures, comme pour poser le socle de leurs explorations futures. Ils avaient discuté des règles de fonctionnement, rationnellement, comme prévu. La fréquence souhaitée, les modes de communication, la liberté d’arrêter sans explications.Pour Marie, cela avait été différent. Il avait très vite repéré les portes-jarretelles sous les pantalons que Marie portait au bureau, et ne se lassait pas d’en observer les traces fugaces sous la tension du tissu. Il y avait aussi ce côté légèrement dominateur dans les relations avec ses collègues, cette assurance qui dérangeait tant. Un jour, alors qu’il fumait une cigarette, elle s’était assise en face de lui sur un des canapés du salon, pour discuter avec un collègue. Les jambes légèrement écartées, lui jetant un coup d’œil amusé de temps en temps – probablement à cause de ses contorsions pour apercevoir le haut de ses bas – elle avait en se levant dévoilé un instant un pan de culotte blanche sous sa jupe.Le film avait commencé depuis un moment déjà. Jérôme se pencha vers Sylviane et lui chuchota à l’oreille : » ouvre ton chemisier « . Sylviane défit doucement un à un les boutons de son chemisier et en écarta les pans, libérant ses petits seins. Jérôme sourit à Marie qui observait la scène et glissa son majeur entre les lèvres de Sylviane, forçant délicatement le barrage de ses dents pour jouer avec sa langue. Ressortant son majeur humide de la bouche de Sylviane, il le fit glisser lentement sur son menton et son cou avant de venir tourner autour de la base de son sein gauche.Ils avaient baisé partout chez Sylviane, sur le canapé, dans la cuisine, sur la table de la salle à manger, et même dans la chambre des enfants, en levrette, Sylviane accoudée sur le lit en bois de son fils. Elle n’appréciait rien autant que de se faire lécher le sexe, sentir la langue de Jérôme fouiller entre ses cuisses et jouer avec son clitoris. Son mari ne l’avait jamais fait, restreignant la copulation conjugale à un missionnaire expédié au plus vite. Jérôme plongeait son visage entier entre les jambes de Sylviane, ne craignant pas de se barbouiller de cyprine. Elle jouissait violemment, serrant ses jambes autour de la tête de Jérôme, le ventre secoué par des vagues successives, le corps tordu et les mains cherchant des points d’appui, le visage crispé lorsqu’elle expulsait l’air de ses poumons à grands à-coups.Jérôme la poussait un peu plus loin à chaque fois, la forçant petit à petit à relâcher ses jambes et à laisser son ventre accepter les convulsions de l’orgasme. Il introduisit un doigt, puis deux dans sa fente pendant qu’il titillait de la langue son clitoris tendu, il massait son ventre et son pubis pour multiplier la jouissance de Sylviane. Un après-midi, alors que Sylviane était au bord de l’explosion, il retira ses deux doigts humides du vagin de Sylviane et, lui écartant doucement les fesses avec la main gauche, introduisit son majeur dans l’anus ainsi découvert. Après une contraction instinctive sous l’effet de la surprise, elle se relâcha petit à petit, et Jérôme entama une série de va-et-vients. Après un moment, il fit pivoter son poignet, et réintroduisit son index dans le vagin de Sylviane, reprenant également son travail de langue autour du clitoris et des grandes lèvres. En quelques instants, elle explosa littéralement, inondant la main de Jérôme de cyprine et balançant de grands mouvements de bassin dans tous les sens, comme devenue folle. Pour la première fois, elle n’avait pu s’empêcher de crier sa jouissance, malgré sa terreur d’être potentiellement entendue par des voisins.Jérôme a maintenant saisi le téton du sein gauche de Sylviane, et le fait rouler entre pouce, index et majeur, le sentant se durcir petit à petit. Il le serre plus fort par intermittences, lui imprimant un mouvement de torsion léger au départ, plus sec parfois. Marie passe sa main à l’intérieur du genou droit de Sylviane, et soulève doucement la jambe droite de Sylviane en l’écartant pour que sa cuisse repose sur l’accoudoir. Remontant délicatement la jupe de Sylviane, elle découvre les bas et le porte-jarretelles qui encadrent un sexe nu au triangle de poils rasé de frais, éclairé sporadiquement par l’éclat du film sur l’écran. Elle place ensuite la jambe gauche de Sylviane de manière symétrique sur l’autre accoudoir. Se laissant glisser vers le bas sur son fauteuil, Marie pivote à l’abri des regards et se place à genoux face à Sylviane. Elle pénètre de son majeur droit le sexe de Sylviane, qui n’offre que peu de résistance, même lorsque la bague d’argent qui orne le doigt de Marie vient en heurter l’entrée à chaque aller-retour.Marie avait vingt-quatre ans lorsqu’elle a rencontré Ronald. Elle venait de quitter son ex-petit ami, ayant fini par apprendre qu’il l’avait fréquemment trompée dans les quatre années qu’ils avaient passées ensemble. La désillusion avait été brutale. Elle avait pourtant accepté beaucoup d’innovations dans sa vie sexuelle pour le satisfaire. Même si elle avait toujours refusé les partenaires multiples et les jeux de domination. Aussi lorsque Ronald avait évoqué ses envies, elle s’était convaincue que les hommes étaient donc tous ainsi, et que pour les garder il était nécessaire de se plier à leurs fantasmes.Un soir, il l’avait appelée au bureau et lui avait demandé de s’isoler dans une salle tranquille. Marie l’avait rappelé aussitôt d’une des salles de réunion rarement occupées en fin d’après-midi. Il lui avait demandé de lui décrire comment elle était habillée, quels dessous elle portait, puis lui avait ordonné d’enlever culotte et soutien-gorge, et de se masturber. Pendant qu’elle s’exécutait, il la pressait de questions, lui demandant de décrire l’environnement de la pièce, sa position, ses sensations le plus précisément possible. Après quelques minutes il lui ordonna de frotter son sexe et son clitoris avec le combiné du téléphone. Lorsqu’elle eut joui, se mordant les lèvres pour ne pas faire trop de bruit, il lui demanda de rester nue sous ses vêtements et de le rejoindre au plus vite chez lui.Lorsque Ronald la fait entrer dans l’appartement, il lui ordonne de relever sa jupe. Satisfait à la constatation qu’elle ne porte pas de culotte, il la pousse vers l’ascenseur qui mène au parking de l’immeuble. Pendant la descente, il sort de sa poche un bandeau noir qu’il noue sur les yeux de Marie, vérifiant qu’elle ne peut voir au travers. » Pas un mot, sauf si je t’y autorise. Compris ? « . Marie hoche la tête en silence. Ronald la guide lentement jusqu’à la voiture et lui ordonne de s’installer à l’arrière, sur la place du milieu. Après quelques minutes, la voiture s’arrête. Les portes s’ouvrent et Marie sent deux personnes s’asseoir à ses côtés. Les portes claquent et la voiture repart. » Préparez-la » dit Ronald. L’une des deux personnes assises à côté de Marie remonte sa jupe jusqu’à sa taille, découvrant son sexe nu. L’autre lui pousse le bassin vers l’avant. Marie entend un léger grésillement provenant du siège avant passager. Elle a un hoquet lorsque le vibromasseur effleure ses grandes lèvres, dégageant doucement son clitoris.Sylviane n’oppose pas de résistance lorsque Marie tire ses jambes vers l’avant, et s’enfonce un peu plus dans son fauteuil, basculant son bassin pour ouvrir encore un peu son sexe. La langue de Jérôme joue délicatement avec ses seins, tournant adroitement autour des mamelons, qu’il aspire et rejette régulièrement. Marie a maintenant trois doigts dans le sexe de Sylviane, pendant qu’elle masse délicatement son clitoris avec le pouce. Sur l’écran, l’héroïne du film est entourée de deux jeunes hommes qui la déshabillent. Sylviane sent les premières vagues de plaisir monter sous les va-et-vient des doigts de Marie. Sa respiration s’accélère, et le mouvement naturel de son bassin s’amplifie. » J’ai un cadeau pour toi « . Sylviane avait ouvert le petit paquet, dévoilant une petite boîte nacrée. À l’intérieur, trois petites boules de métal reliées par une chaînette d’argent. » Qu’est-ce que c’est ? » avait-elle demandée, intriguée. » Viens « . Dans le parking, Jérôme avait relevé doucement la jupe de Sylviane et fait glisser sa culotte sur ses chevilles. Après avoir rapidement humidifié son sexe, il avait sorti les trois boules de métal et les avait introduites une à une dans le sexe de Sylviane, avant de rajuster sa culotte. Ils étaient ressortis du parking, et Jérôme avait entraîné Sylviane jusqu’au Factory, bar-club de Bastille. Les quelques mètres parcourus à pied avaient rapidement fait comprendre à Sylviane la fonction des petites boules. Le mouvement interne déclenché par la marche produisait des vibrations profondes dans son bas-ventre. Elle fut toute heureuse de pouvoir s’accouder au bar pendant que Jérôme commandait deux cocktails. Elle sourit lorqu’il lui dit : » je t’ai pris un Screaming Orgasm « .La piste de danse s’était remplie et Jérôme entraîna Sylviane. » Je ne vais pas pouvoir » lui chuchota-t-elle à l’oreille. Il sourit et la prit par la taille, donnant de petits coups secs sur ses hanches. En quelques minutes, Sylviane sentit le feu prendre en elle. La bouche entrouverte, elle respirait par à-coups. Elle se mit à jeter des coups d’œil affolés autour d’elle, mais personne ne semblait prêter d’attention à elle. Se rapprochant de Jérôme, elle colla son pubis contre sa cuisse, déclenchant une vague électrique dans tout son corps. Jérôme ne poussa pas son avantage, forçant Sylviane à provoquer le frottement elle-même. En quelques secondes, Sylviane sentit son bas-ventre exploser. La tête enfouie dans l’épaule de Jérôme, elle mordit sa chemise pour ne pas hurler, et serra désespérément ses bras autour de sa taille. Au bord de l’évanouissement, elle sentit ses jambes flageoler, et une vague de liquide chaud jaillir de son sexe et tremper sa culotte. Jérôme la soutint jusqu’à ce qu’elle se calme. Elle chuchota dans un souffle à son oreille » Il faut que j’enlève ça « . Il l’accompagna jusqu’aux toilettes. En chemin, elle croisa le regard amusé d’un couple qui dansait auprès d’eux.Le vibromasseur était dans des mains expertes. Marie avait été amenée quatre fois au bord de la jouissance, mais chaque fois le vibromasseur était retiré, et Marie laissée quelques instants, haletante, une envie folle de se masturber violemment pour jouir enfin. Mais ses poignets sont fermement maintenus dans son dos par ses deux voisins. L’exposition aux regards, à l’arrière d’une voiture circulant dans Paris ne fait qu’accentuer la tension de Marie. Après trois-quarts d’heure de trajet, la voiture s’arrête et Marie est tirée hors de la voiture. Elle est introduite dans une pièce et laissée debout, sans consigne aucune. Autour d’elle, elle peut entendre des gens déplacer des meubles. » Ecoute-moi attentivement « . La voix de Ronald est ferme, à proximité de son oreille. » Tu es l’enjeu d’une partie de poker. Nous allons jouer, et le gagnant de chaque mène pourra disposer de toi comme il l’entend. Tu te soumettras à l’intégralité de ce qu’il souhaite, sans jamais refuser. C’est ta dernière opportunité de refuser. Si tu acceptes, pas de retour en arrière possible. Si tu refuses, nous te ramenons à Paris, et nous ne nous verrons plus jamais. Tu peux répondre par oui ou par non, je ne veux pas entendre d’autre mot. » Après une brève hésitation, Marie répond d’une voix mal assurée : » oui « .Ronald ôte le bandeau qui couvrait les yeux de Marie. Au milieu d’une grande pièce trône une table de jeu, revêtue d’un tapis vert. Dans un coin de la pièce, un grand lit, aux montants en métal. Assis autour de la table de jeu, cinq personnes, trois femmes et deux hommes, élégamment vêtus. Marie ne reconnaît personne. Ronald s’assoit à la table. » Approche » lui ordonne-t-il. » Hors-d’œuvre, messieurs dames « . Chacun des participants tire une carte et la retourne. C’est la femme assise à la droite de Ronald qui a la plus haute, un roi de pique. » A toi l’honneur, Eliane. » Elle se lève et s’approche de Marie. Blonde, les cheveux coupés au carré, tombant légèrement sur ses épaules, la peau laiteuse, elle porte un chemisier noir et rose près du corps, tendu sur sa poitrine rehaussée par un soutien-gorge noir à balconnet qui apparaît. Une jupe noire fendue très haut sur le côté laisse apparaître le haut de ses bas. » Mets tes deux mains sur la table « . Marie obéit et s’appuie sur la table de jeu. Eliane retrousse doucement la jupe de Marie sur ses hanches, découvrant ses fesses nues. » Régis ! « . Le ton est impérieux. L’un des hommes se lève, sort de la pièce et revient quelques instants plus tard. Marie ne bouge pas, ses cheveux bruns tombant devant son visage. Elle sent la présence de Ronald à ses côtés.D’abord surprise par le claquement sec de la cravache sur ses fesses, il lui faut un instant pour sentir la douleur monter en elle. » Compte » lui dit Eliane. Marie lâche dans un souffle » Un « . Le deuxième coup claque, sur le haut des cuisses, à la base des fesses. Marie sent une boule se former dans sa gorge pendant qu’elle murmure » Deux « . Le bout de la cravache se promène sur ses fesses, les effleurant doucement. » Trois « . Ce coup-là est direct et franc, porté sur le sommet des globes de ses fesses. Marie peut quasiment visualiser la marque rouge qui doit zébrer sa chair. Le suivant est identique, porté presque exactement au même endroit. Marie ne peut réprimer un hoquet de douleur. » Quatre « , sa voix tremble doucement. Le cinquième coup est sec, porté verticalement le long de la raie qui sépare ses deux fesses. Marie ne peut retenir ses larmes, chevrotant un » Cinq » d’une voix quasi inexistante. Eliane rabat d’un coup sec la jupe de Marie avant de retourner à sa place. Marie sanglote doucement, toujours penchée sur la table de jeu, dans un silence glacial. Elle se relève après quelques instants et se recule légèrement. Ronald prend le jeu de cartes et distribue cinq cartes à chacun des participants.Sylviane jouit intensément, les mains cramponnées aux accoudoirs de son siège, les doigts de Marie fouillant en elle. Elle sent sa cyprine inonder la main de Marie et expulse bruyamment l’air de ses poumons. Marie retire sa main et lèche doucement ses doigts humides, les yeux fixés sur Sylviane. Jérôme se replace sur son siège, observant Marie. Celle-ci redescend doucement la jupe de Sylviane et referme son chemisier, le boutonnant délicatement, effleurant au passage les tétons de Sylviane, encore extrêmement sensibles. La lumière revient, Marie, Sylviane et Jérôme quittent le cinéma.C’est Xavier qui gagne la première mène. Il fait signe à Marie de s’approcher. Lorsqu’elle est à côté de lui, il se lève et arrache brutalement le chemisier de Marie, déchirant le tissu autour des boutons, et le rabat sur ses bras, découvrant sa poitrine. » A genoux » ordonne-t-il, lui tenant la tête vers l’arrière en tirant sur ses cheveux. Marie s’agenouille maladroitement. Xavier déboutonne son pantalon et sort son pénis déjà dressé. Il pousse la tête de Marie vers son sexe. Elle le prend dans sa bouche et commence à le sucer doucement. Après quelques va-et-vients, Xavier accentue sa pression sur la tête de Marie et la force à accélérer. Soudain, il la tire en arrière, sortant son sexe de la bouche de Marie. Il se masturbe rapidement et en quelques secondes éjacule sur le visage de Marie. Elle sent le jet chaud heurter son front, puis un deuxième sur sa joue. Xavier la lâche et remet son pantalon avant de se rassoir, sans un mot. Eva, assise à côté de Xavier, se penche vers Marie. Brune, les cheveux longs, elle est vêtue d’un pantalon noir en cuir à taille basse et d’un bustier rouge très court, laissant libre son ventre. Posant ses deux mains derrière la tête de Marie, elle attire son visage près d’elle et l’embrasse doucement. Marie s’abandonne un instant à ce long et doux baiser. Elle sent la langue d’Eva chercher la sienne et jouer avec. Eva lèche ensuite doucement le sperme de Xavier qui reste sur le visage de Marie.Epuisée, Sylviane se laisse aller sur le fauteuil que Jérôme a déniché pendant qu’elle retirait les boules de geisha de son vagin aux toilettes. Elle croise sans cesse le regard de l’homme qui l’observait tout à l’heure sur la piste. » Tu l’as impressionné » lui glisse Jérôme. Irritée par ce manège, Sylviane décide de rentrer chez elle. Jérôme l’accompagne jusqu’au parking. Au moment où elle glisse les clés dans la portière avant, il la plaque contre la carrosserie. » Et moi ? Je rentre comme ça, sans rien ? « . Sylviane essaie de se dégager, mais Jérôme pèse de tout son poids sur elle. » Arrête, je n’en peux plus « . » Moi non plus « , lui répond-il en remontant sa main gauche le long de sa cuisse, tirant sa jupe vers le haut. Il relâche la pression un instant et lui saisit les deux poignets qu’il lui maintient fermement dans le dos. Sortant sa cravate de sa poche, il lui lie solidement les mains derrière le dos. » Non, Jérôme, je t’en prie » balbutie-t-elle. Au même instant, elle se remémore leur conversation quelques semaines auparavant, lorsque poussée dans ses retranchements, elle lui avait avoué parfois fantasmer sur le fait d’être prise brutalement par un inconnu.Il la pousse sans ménagement sur le capot de la voiture, la forçant à se pencher en avant. Relevant la jupe de Sylviane sur sa taille, il ouvre son pantalon, dégageant son sexe, et pénètre sans ménagement son vagin encore humide. La joue plaquée contre la tôle, Sylviane pousse un petit cri de douleur en sentant le pénis de Jérôme entrer en elle. Celui-ci entame un mouvement de piston, en la tenant par les hanches, poussant de plus en plus violemment à chaque aller-retour. Après quelques minutes, il se retire. Sylviane tente de reprendre sa respiration, les bras et le dos douloureux.Soudain, elle sent les mains de Jérôme se poser sur ses fesses et les écarter avec ses pouces. Son » non » se perd en une longue plainte lorsque le sexe de Jérôme s’enfonce dans son anus. La douleur est instantanée et irradie son ventre. Jérôme ne bouge plus, le sexe planté dans le cul de Sylviane. Petit à petit, elle sent ses muscles se relâcher, son corps s’accomoder à cette présence. Jérôme commence de légers va-et-vients. Après quelques secondes, elle sent les mains de Jérôme se crisper, puis il éjacule en elle. Après quelques soubresauts, il se retire, reboutonne son pantalon et s’éloigne sans un mot ni un regard. Sylviane se laisse glisser par terre, le corps secoué par des tremblements incontrôlables, et se met à pleurer. Elle reste de longues minutes là, sur le sol froid du parking, avant de dégager ses mains de la cravate qui les emprisonnent. À l’humiliation et la colère ressentie se mélange insidieusement le plaisir de l’extrême.C’est Sarah qui remporte la troisième mène. Petite, brune, le corps fin, elle est vêtue d’une minijupe noire et de longues bottes de cuir qui lui arrivent jusqu’au bas des genoux. Un soutien-gorge violet pigeonnant est son seul vêtement au-dessus de la taille. Elle ordonne à Marie de s’allonger sur la table de jeu. Ouvrant un sac posé à ses pieds, elle en sort une paire de menottes, avec laquelle elle attache les poignets de Marie. Elle tire les bras de Marie vers le bord de la table et passe la chaîne des menottes dans un crochet posé là. Ecartant les jambes de Marie au maximum, elle demande à Xavier et Ronald de lui tenir chacun fermement une cheville. Elle dégage ce qu’il reste du chemisier de Marie et découpe sa jupe avec des ciseaux, pratiquant une large ouverture sur le devant. La jupe de Marie n’est plus maintenue que par une fine bande de tissu au niveau de la taille. Elle introduit son majeur dans le sexe nu de Marie, puis très vite l’index et l’annulaire, dans un mouvement de plus en plus accéléré. Les yeux fermés, Marie sent son bassin onduler sous les coups de boutoir des doigts de Sarah. Sa tête bascule d’un côté à l’autre, pendant qu’elle sent ses poignets douloureux lorsqu’elle tire sur ses menottes. » Ouvre les yeux « . L’ordre est sec et accompagné d’une gifle. Marie obéit. Quelques instants plus tard, Sarah ralentit le mouvement et se penche vers le sexe de Marie, donnant de petits coups de langue sur son clitoris. Marie ne peut plus résister, elle cambre son bassin, son corps frissonne, elle entend le cliquetis de la chaîne des menottes. Soudain elle sent les cinq doigts de Sarah forcer le passage et pénétrer son sexe. Une fois à l’intérieur, le sexe de Marie refermé autour de son poignet, Sarah entame un lent mouvement de rotation. Marie a l’impression d’exploser. Comme dans un rêve, elle s’entend gémir, de plus en plus fort, puis pousser un long feulement au moment où elle atteint un orgasme unique, incomparable avec tout ce qu’elle a pu connaître précédemment. Lorsqu’elle rouvre les yeux, Sarah est debout à côté de Ronald, qui lui lèche doucement le poing. Elle s’essuie négligemment la main sur le visage de Ronald, avant de détacher Marie.Debout à côté de la table, Marie observe les joueurs. Sa jupe déchirée pend sur ses jambes, et couvre à peine son porte-jarretelles et ses bas. Ses petits seins sont durs et dressés. Elle sent encore la douleur lancinante sur ses fesses et ses poignets. C’est à nouveau Sarah qui gagne. Elle s’approche de Marie, et lui caresse doucement les tétons. » Tu dois être fatiguée, non ? « . Marie baisse les yeux sans répondre. Sarah la force doucement à s’agenouiller face à Ronald, et lui redresse la tête. Elle fait un signe à Eva, qui se lève et la rejoint. Elles se placent chacune d’un côté de Ronald et s’agenouillent également. Sarah déboutonne le pantalon de Ronald et descend sa fermeture éclair. Elle dégage le pénis de Ronald et commence à le lécher doucement, bientôt rejointe par Eva. Les yeux dans le vide, Marie regarde les deux langues s’activer sur la queue de Ronald, se frôlant parfois quelques instants. La main d’Eva s’infiltre dans le pantalon de Ronald, cherchant ses couilles pour les masser.Après quelques minutes, Sarah se lève, remonte sa minijupe et, dégageant son string sur le côté, dos à Ronald, s’assoit sur son sexe dressé. Les mains de Ronald cherchent instantanément les seins de Sarah, qui se plie vers l’avant, amenant son visage à quelques centimètres de celui de Marie, le regard planté dans les yeux de Marie. » Regarde-moi » lui ordonne-t-elle. Marie a du mal à soutenir ce regard intense et ce sourire assuré. Sarah entame ses va-et-vients, frôlant à chaque extension le visage et les cheveux de Marie. Pendant ce temps, Eva offre sa poitrine généreuse à la langue de Ronald qui ne se fait pas prier. Le mouvement imprimé par Ronald au corps de Sarah s’accélère doucement. Soudain, elle attrape fermement Marie par la nuque et colle son visage contre l’oreille de Marie, la léchant doucement. Elle chuchote à son oreille : » il va jouir en moi, je sens la belle queue de ton mec aller et venir, je la sens toucher le fond de ma chatte. Je sens ses mains sur mes seins, ses doigts faire rouler mes tétons durcis. Il ne jouit jamais autant quand il te baise toute seule, je le sens au bord de l’explosion. » Marie peut voir Ronald, les yeux fermés, mordillant le sein gauche d’Eva. Sarah, se met à haleter, de plus en plus fort. Au bord de l’orgasme, elle embrasse Marie, sa langue fouillant goûlument la bouche de Marie, son corps secoué par des vagues successives de plaisir pendant que Ronald jouit en elle, la tête rejetée en arrière, gémissant de plaisir. » Où allons-nous ? » demande Sylviane. » Chez moi » répond Jérôme. Arrivés dans l’appartement distant de quelques minutes à pied, Jérôme passe des menottes aux poignets de Sylviane et l’attache à une corde fixée au plafond, les bras levés au-dessus de la tête. Marie s’approche et défait la fermeture de la jupe de Sylviane, la laissant glisser au sol. Elle déboutonne un à un les boutons du chemisier de Sylviane, et lui caresse doucement les seins et les aisselles. Sylviane sent des frissons de plaisir la parcourir à nouveau. Jérôme prend le relais pendant que Marie se déshabille, ne conservant que ses dessous, une guêpière noire et des bas assortis, sans culotte. Il descend doucement le long du ventre de Sylviane, parcourant des cercles avec ses doigts. Il écarte les jambes de Sylviane, tendant encore un peu ses bras aux poignets menottés. Sa main masse l’entrejambe de Sylviane, passant de son sexe humide à son anus, appuyant délicatement sur son pubis et son clitoris. » Je vais te baiser comme une petite pute. » Eva vient de gagner la cinquième mène. Après s’être éclipsée un instant, elle est revenue dans la pièce. Arrachant ce qui reste de la jupe de Marie, elle la couche violemment sur le dos sur la table de jeu. Elle défait les boutons de son pantalon et dégage la partie apparente d’un énorme gode ceinture. » Je vais te défoncer avec ma bite. » Eva soulève les jambes de Marie et les pose sur ses épaules. Elle introduit son membre de caoutchouc dans le sexe de Marie et commence ses allers et retours. Elle lui pince les tétons sèchement, arrachant un petit cri de douleur à Marie. Eva jouit une première fois, avant Marie. Montant sur la table de jeu, elle pèse maintenant de tout son poids sur les jambes de Marie, se lançant dans un missionnaire frénétique. Ses seins lourds se balancent au-dessus de la tête de Marie, sous un visage crispé par l’effort. Marie finit par jouir sous ses coups de boutoir. Eva se retire et s’assoit sur la poitrine de Marie, la forçant à sucer le gode trempé de cyprine. » Tu aimes ça, te faire défoncer comme une petite salope, hein ? « .Marie introduit l’une des extrémités du gode dans son sexe, bouclant la ceinture autour de sa taille. Elle s’approche de Sylviane et la soulève par l’intérieur des cuisses. Sylviane sent instantanément une douleur fulgurante dans ses poignets meurtris par la tension subite des menottes. Jérôme aide Marie à introduire l’autre extrémité du gode dans le sexe de Sylviane, qui noue ses jambes derrière la taille de Marie. Les pieds bien campés au sol, Marie commence à pénétrer Sylviane tout en lui mordillant les seins. Agenouillé derrière Sylviane, Jérôme lui lèche doucement la rondelle de l’anus, avant d’y introduire son majeur. La douleur de Sylviane se teinte progressivement de plaisir.Sylviane pose sur la table les huit feuilles du texte que lui a remis Jérôme. » Lève-toi » ordonne-t-elle. Jérôme obéit. » Déshabille-toi « . Rouge comme une pivoine, Jérôme ôte ses vêtements un à un. » A genoux « . Elle lui saisit les deux poignets et les tire en arrière dans son dos, avant de les attacher solidement ensemble avec la cravate de Jérôme. » Alors comme ça, je suis frustrée par une vie sexuelle limitée, hein ? « . » Tu m’as prise pour qui ? » lui chuchote-t-elle à l’oreille avant de le pencher vers l’avant sur la table basse du salon. Ayant pris dans la cuisine une bouteille d’huile d’olive, elle revient au salon et s’en badigeonne les mains. Elle masse doucement les fesses de Jérôme, tournant rapidement autour de son anus. Le majeur entre très facilement, rapidement accompagné de l’index. Sa main gauche pince doucement mais fermement les tétons de Jérôme. Trois doigts maintenant pour accompagner le mouvement quasi naturel du bassin de Jérôme et ses halètements. Soudain, sans prévenir, Sylviane introduit sa main entière dans l’anus de Jérôme, forçant doucement le passage. L’anus de Jérôme se resserre sur son poignet, tandis qu’elle le relève en le tirant par les cheveux vers l’arrière. Les yeux fermés, le souffle court, il ne peut réprimer les contractions de son ventre sur la main de Sylviane. De l’autre main, elle commence à le masturber lentement. Il éjacule rapidement, avant de s’effondrer, la main de Sylviane toujours bien plantée dans son cul.