PREMIERE RENCONTRE DE JULIE AVEC LE DOCTEUR J.Cette rencontre a eu lieu, il y a de cela une quinzaine d’années, dans des circonstances particulières.Ayant décidé de faire construire notre maison, nous procédons à une demande de prêts auprès d’un organisme bancaire. Les démarches administratives étant achevées, nous attendons la confirmation officielle du prêt. Un jour, en rentrant le soir, une fois installés pour notre repas, ma femme n’annonce que nous venons de recevoir une lettre de la banque. Non pas pour confirmer notre prêt, mais nous demandant afin de boucler définitivement le dossier de passer, tous les deux, une visite médicale.Cela me surprend un peu, étant donné notre age, Julie vient d’avoir 33 ans et moi 36. Ma femme, le lendemain téléphone au praticien pour confirmer un rendez-vous qui est fixé au jeudi suivant tard le soir.Nous nous présentons donc ce jeudi soir tous les deux au cabinet du Docteur Jacques L. médecin assermenté par la société d’assurance. La salle d’attente est classique, quelques fauteuils confortables, des gravures et des peintures au mur représentant la plupart des femmes nues, mais ne sommes nous pas chez un praticien ?Une jolie femme nous précède, elle attend son tour. Elle décroise fréquemment ses jambes. Elle dévoile le haut de ses cuisses, manifestant une certaine nervosité. Je profite au mieux du spectacle. La porte du cabinet s’ouvre, le Docteur Jacques L. apparaît vêtu d’une blouse blanche, fin de la trentaine, bel homme.La cliente se lève, ramenant sa jupe vers ses genoux. Le praticien la dévisage avec intérêt, parcoure sa silhouette lentement de haut en bas. Avant de refermer la porte, il nous aperçoit, et jette un regard appuyé et insistant sur les jambes de Julie, promenant rapidement son regard sur son buste, semblant évaluer son corps. Ma femme aperçoit ce regard, elle décroise, elle aussi nerveusement ses jambes. Je vois Jacques L. accompagner du regard ce mouvement. Tout se passe très vite, d’une façon furtive, mais tous ces petits détails, me sont revenus en mémoire bien plus tard.Une bonne demi heure passe et la porte du cabinet s’ouvre. La cliente ressort accompagnée par le praticien. Elle est un peu embarrassée, les joues roses démontrant une certaine émotion.Il nous fait entrer dans son cabinet, nous demande de nous installer dans de large et profond fauteuil, tout en accompagnant du regard mon épouse. Elle bascule en arrière dévoilant, en écartant ses jambes, son entre jambe, surprise par la profondeur du fauteuil. Comme par hasard, le docteur se trouve à ce moment précis debout derrière son bureau. Il accompagne attentivement le mouvement de son regard. Elle remarque qu’il fixe avec insistance l’intérieur des ses cuisses momentanément écartée. Elle est convaincue qu’il a eu largement le temps d’apercevoir sa petite culotte.Il nous demande, ensuite, quelques minutes de patience pour ranger le cabinet d’auscultation qui se trouve juxtaposé à son bureau. Intriguée, Julie se retourne, elle aperçoit le médecin qui replie les étriers de sa table d’auscultation, ranger un spéculum de bonne taille dans un bassin rempli de désinfectant, ramasser un gant en latex qu’il jette dans une poubelle, puis il se lave les mains soigneusement. Ma femme me regarde intriguée, car cela ne fait pas de doute, la cliente précédente a subi un examen gynécologique.Ces opérations terminées, il revient, s’assoit derrière son fauteuil bien en face de Julie, nous dominant tous les deux. Il commence à lire attentivement un dossier qui visiblement provenait du ’’ Service Assurance Vie’’ de notre banque. Au bout de quelques minutes, il lève la tête et nous dit que notre banque, pour tenir compte de la conjoncture économique actuelle, prend actuellement un maximum de précautions. Il est donc, dans l’obligation, de procéder à des examens approfondis. Ma femme, qui à cette époque est encore d’un naturel très pudique, surprise, décroise ses jambes. Jacques suit de nouveau ce mouvement , et le visage de Julie s’empourpre, car tous ces regards appuyés l’effrayent et lui font craindre le pire.L’avenir confirmera son inquiétude ainsi que mes doutes. Il ajoute que nous sommes ces derniers clients et qu’il dispose de tout son temps. Il déclare qu’il a un long questionnaire à remplir avec beaucoup de questions et il précise que certaines peuvent paraître indiscrètes, mais normales dans le milieu médical.Le trouble de ma femme augmente encore, elle commence à respirer un peu plus vite. Il demande à ma femme s’il peut commencer avec elle, le questionnaire concernant les femmes étant le plus détaillé, avec de nombreuses questions, certaines pouvant paraître indiscrètes et plus difficiles à compléter. Elle acquiesce de la tête, respirant bien fort pour se donner du courage.Il démarre son interrogatoire en lui demandant son age, sa profession, sa taille et son poids, son tour de taille, de bassin et de poitrine approximativement. Il affirme qu’il sera amener à vérifier mais que ces premières indications vont avoir une incidence quant au choix des questions suivantes. D’autres questions suivent, anodines et classiques, Julie reprend un peu confiance. Puis, il dit avoir à aborder des questions précises sur ses menstruations.A ce moment, on frappe à une porte latérale, une femme élégante, son épouse semble-t-il, ouvre la porte et invite son mari à sortir. Il parle quelques instant avec elle, puis avec une autre personne. Nous ne prêtons guère d’attention pensant qu’il s’agit d’une urgence.Il revient après quelques minutes et semble un peu embarrassé. Il retourne derrière son bureau, s’assied et nous annonce qu’il avait oublié la venue d’un jeune étudiant en médecine, en deuxième année de médecine. J lui a proposé de venir ce soir pour commencer à se faire une expérience pratique qui se répétera quelques heures par semaine. Il le suit particulièrement, envisageant de lui demander de le remplacer pendant ses congés, d’ici 2 à 3 ans.Il précise, ensuite, que cette présence n’est pas obligatoire, que l’accord des patients est demandé. Il ajoute qu’il pourra être amené à lui demander, sous sa responsabilité, d’effectuer lui aussi quelques gestes médicaux. Il se retourne vers mon épouse la regardant avec insistance. Julie exprime son désarroi, ne sait pas quoi répondre surprise par l’évènement. Le praticien lui repose à nouveau la question, en insistant. Il précise que c’est un usage courant , nécessaire à la formation des nouveaux médecins. Il ajoute, qu’il subit peu de refus, et qu’en cas d’accord l’opération se fera discrètement.Julie, de plus en plus rouge d’émotion, se dandine dans son fauteuil, prise au dépourvue, de plus en plus inquiète, ne trouvant plus de mots pour répondre à cette requête inhabituelle. Etre examiné par le praticien passe, mais l’idée de se faire ausculter par un si jeune homme, à peine sorti de l’adolescence, la perturbe au plus haut point. Etre amener à se déshabiller devant ce jeune homme, presque de l’age de son fils, être touché par lui, devant son mari, ceci ne lui est jamais arrivé. Le temps passe, le praticien insiste en montrant de l’impatience et de l’incompréhension. Elle se tourne vers moi, le regard interrogateur. À ce moment pour débloquer la situation, je me vois répondre, oui, à la place de Julie. Le praticien semble soulagé. Il regarde ma femme avec un sourire de satisfaction.Il se lève et fait entrer un jeune homme de 20 ans environ, bien fait de sa personne, d’un naturel timide au demeurant. Il parait un peu décontenancé, quand il aperçoit mon épouse. Néanmoins, il lui jette un regard intéressé, évaluant avec un intérêt non dissimulé le corps de mon épouse. Le médecin demande au jeune étudiant de s’installer sur une chaise à la droite de son bureau. Ceci lui permet d’avoir une vue générale à la fois sur le bureau mais également sur la pièce à coté, qui ne comporte pas de séparation avec la partie bureau. Il s’excuse pour cette interruption.Il dit, ou en étions-nous, Ah! , Oui, nous parlions de vos règles, ma chère madame. Ma femme rougit de plus belle, davantage intimidée à cette question par la présence insolite de ce tout jeune homme. Il lui demande alors à quel âge elle a eu ses premières menstruations, si elles sont abondantes, la durée du cycle.Elle répond avec embarras que ces premières règles sont survenues à un peu plus de 14 ans, quelles sont plutôt abondantes, que la durée de son cycle est régulièrement de 4 semaines. Il lui demande la date de ses dernières règles. Il précise que cela avait de l’importance pour les examens à venir, particulièrement pour l’examen des seins, car ils présentent de meilleures conditions d’examen et d’auscultation à un certain moment du cycle menstruel.Elle comprend qu’il a probablement l’intention de lui examiner les seins. Il lui paraît impensable de se faire examiner, en présence de ce tout jeune homme. Il a presque l’age de son fils. Très embarrassée et de plus en plus rougissante, elle répond d’une toute petite voix qu’elle est à son troisième jour de ces règles. Il demande ensuite la nature des protections hygiéniques utilisées, elle répond qu’elle utilise presque exclusivement des tampons. Jamais de serviettes lui demande-t-il ? Si la nuit, répond-t-elle, pour éviter des accidents compte tenu de l’abondance de mes pertes de sang. Cette précision venant de la part de Julie me surprend, mais je mets cela au sujet d’une dose de fatigue qui pointe chez elle.Assis, d’où je suis, je peux apercevoir le jeune étudiant et observer les réactions de mon épouse. Il semble de plus en plus subjugué par elle. Il dévisage avec attention cette jeune femme obligée de répondre à des questions de plus en plus intimes.Peut-être pense-t-il déjà à la suite de cet interrogatoire, en fixant avec attention le corsage et les cuisses largement dévoilée par sa position dans ce fauteuil un peu trop profond. Profondeur probablement voulue par ce praticien pour dévoiler au maximum l’entrejambe et les culottes des clientes qui l’intéressent. Cette position dominante lui permet d’avoir facilement une vue plongeante sur la culotte blanche de Julie.A nouveau elle s’aperçoit son manège, car elle me jette des regards angoissés et interrogateurs. Une certaine excitation gagne mon bas ventre. Je commence à être émoustillé par cette situation que je n’avais pas encore vécue. Le médecin se tourne vers le jeune étudiant et lui demande s’il veut également poser une question. Perturbée, il réfléchit et demande en regardant Julie d’indiquer la durée de ces règles ; cinq jours répond-elle ; ce qui signifie que vous êtes encore au maximum de votre flux menstruel, lui fait-il remarquer.L’interrogatoire se poursuit de plus en plus précis, quelques questions sur notre méthode de contraception. Ma femme répond que nous faisons attention, et je précise qu’à certain moment du cycle nous utilisons des préservatifs.Il continue son interrogatoire et il lui demande des précisions sur sa vie sexuelle : Age du premier rapport ? 17 ans dit-elle . La fréquence de nos rapports ? Deux à trois fois par semaine, répond-t-elle, en rougissant et en me regardant . A-t-elle des problèmes de lubrification durant les rapports ? Souffre-elle de sécheresse vaginale ? Je vole à son secours et répond pour elle, non, pas du tout, bien au contraire! Il la questionne ensuite sur ses capacités de femme à éprouver du plaisir, d’avoir osons les mots, dit-il, des orgasmes . Oui, je n’ai pas de problème à éprouver des orgasmes, dit-elle en rougissant de plus belle.Pour justifier cette question très personnelle, il lui précise qu’il pourra lui prescrire la pilule (nous étions tout au début de son apparition et elle est encore confidentielle). Mais, les réponses à ces questions sont importantes car elles peuvent donner des idées précises sur la vie hormonale de ses clientes. Les yeux de notre jeune homme brillent d’un éclat particulier, mélange de surprise et de désir non dissimulé, enchanté par la tournure de cet interrogatoire.Le médecin, à cet instant ,dit que cet interrogatoire était à présent clos pour la partie administrative. Julie paraît soulagée, elle tire sur sa jupe pour la faire remonter du mieux qu’elle peut. Ce faisant, elle aperçoit le jeune étudiant, rempli de désir sexuel, qui plonge son regard entre ses jambes. Elle comprend qu’il essaye d’imaginer ce qui se trouve derrière cette culotte blanche qu’il aperçoit entre ses cuisses largement entre-ouvertes. Sa position est très inconfortable dans ce fauteuil trop profond. Elle pense que tout est terminé pour elle, elle se détend un peu. Elle ne sait pas encore que le pire allait venir.Jacques L. se lève, dit à ma femme qu’il va maintenant, pour les préciser, procéder aux différentes mensurations, à la pesée etc… Il lui demande de passer dans la salle d’examen. Ma femme se lève difficilement de son fauteuil, sous les regards attentifs des deux praticiens, les cuisses largement découvertes, dévoilent une bonne partie de sa petite culotte blanche. Elle ramène rapidement sa robe sur ses jambes et gagne la pièce juxtaposée. Elle passe à côté d’eux, suivi du regard appuyé des deux praticiens. Ils suivent avec intérêts le mouvements chaloupé des fesses, bien moulées dans sa robe, bougeant légèrement mais suffisamment pour les mettre en valeur. Il est vrai que Julie est une très belle jeune femme, un début de trentaine, qui lui donne un air, mélange de femme épanouie et de jeune fille. Elle entraîne dans son sillage un parfum tenace.Elle porte ce jour là , une robe classique mais bien ajustée à son corps parfait. Les fesses sont bien cambrées et rondes, prolongées par de longues jambes fines. Sous le haut de sa robe, on devine des seins ronds, en forme de pomme, de taille agréable plutôt grand que petit. Julie fait toujours dans le très classique pour ses visites médicales. Elle a eu dans le passé quelques surprises. Les médecins ayant, compte de sa beauté naturelle, tendance à la faire se déshabiller plus que nécessaire.Ce jour là , nous étions en juillet, il fait très chaud, Julie n’a pas de collant et ses jambes sont effilées et galbées, brunies par le soleil de l’été. Elle s’installe à côté d’une chaise qui est dans un coin de la pièce, manifestement prévue pour recevoir les habits des patients amener à se déshabiller. Décontenancée, elle attend manifestement des instructions, ne voulant pas compte tenu de sa pudeur se dévêtir spontanément et surtout de trop si ce n’est pas absolument indispensable. Elle paraît soumise.Le médecin continue de la scruter et il remarque quelle attend des instructions de sa part. Il lui demande d’enlever ses chaussures et sa robe. Elle se déchausse et après un moment d’hésitation, elle ouvre la fermeture éclair de sa robe qui se trouve dans son dos avec quelques difficultés, témoignant d’un certain énervement. Elle fait glisser lentement sa robe le long de son corps, l’enjambe et la pose délicatement et lentement sur la chaise comme pour ralentir la suite.Elle apparaît dans une combinaison de couleur claire, qu’elle a voulu porter lors de cette visite médicale, malgré la chaleur, pour préserver sa pudeur. Ce sera peine perdue pour cette fois-ci. Julie apparaît si désirable en combinaison blanche. Elle est ainsi offerte aux regards de ces deux hommes dans cette fine lingerie. L’image de cette jeune femme, la mienne est d’une sensualité étonnante.La combinaison, à cause de la transpiration liée à la chaleur du soir et à son émotion, lui colle à la peau et met bien mieux encore en valeur ce corps désirable. La combinaison collante ressort légèrement au niveau du ventre bombé. Les bouts des seins pointent fortement malgré la combinaison ; le soutien-gorge, il est vrai, est très souple.Les deux médecins, surpris, s’attendent à la trouver en sous- vêtements, culotte et soutien-gorge. Mais malgré leurs déceptions, toutes temporaires, ils ne perdent rien du spectacle. Ils savent qu’il y aura obligatoirement une suite. Ils passent en revue sa silhouette sous la combinaison transparente. De face, ils distinguent, au travers, la culotte et le soutien-gorge.Le praticien, que j’appellerai par son prénom Jacques ( J dans le texte), demande à l’étudiant, appelé Nicolas ( ou N dans le texte), d’intervenir et de procéder aux différentes mensurations et à la pesée. Il se lève rapidement visiblement satisfait d’intervenir, de pouvoir regarder de plus près la patiente. Il demande à Julie de monter sur la balance, puis de passer ensuite sous la toise. Il s’approche d’elle pour lui mettre la toise au-dessus de la tête. Il lui frôle, comme involontairement, les seins tout en plongeant son regard dans son décolleté ( Il fait 1m85 et elle 1m60) . Ma femme fait un petit geste de recul mais elle est coincée contre le mur et elle perçoit donc très fortement la pression de la main sur un de ses seins. Ses joues, redevenues plus pâles, repassent au rose.J demande au jeune étudiant de procéder à la mesure de la capacité respiratoire. Pour cela, il demande à Julie de rabattre sa combinaison jusqu’à la taille. Puis il ajoute, après réflexion, qu’il valait mieux pour la suite des examens de l’enlever complètement. Julie descend les épaulettes de sa combinaison de chaque côté et la fait glisser le long de son corps comme elle l’a fait précédemment avec sa robe.Le jeune homme recule pour ne rien perdre du spectacle offert par cette charmante et jolie jeune femme. J s’est déplacé pour bien voir lui aussi. Il n’y a que moi qui engoncé dans mon fauteuil ne voie pas grand chose. La voilà enfin dans l’intimité des ces sous- vêtements. Elle porte une culotte blanche assez grande (son côté classique !) et un soutien-gorge de la même couleur. Ils sont tous les deux constitués d’une matière fine qui fait apparaître avec précision le bout de ses seins et la marque d’un triangle plus sombre au bas de son ventre.L’étudiant enroule un mètre ruban sous les seins, il lui demande d’inspirer et d’expirer fortement. Il prend les mesures tout en n’hésitant pas à lui frôler la poitrine. Il examine avec délectation cette poitrine pour l’instant encore suggérée mais dont les bonnets du soutien-gorge laisse deviner les bouts des seins durcis par l’émotion. Il enroule également le ruban autour de sa taille puis autour de ses hanches, en n’hésitant pas à frôler le ventre et les fesses.J lui demande de regagner sa place, on sent qu’il brûle de désir de poursuivre, lui même, les examens. Il demande à Julie de s’allonger sur la table qu’il a recouvert préalablement d’un long rouleau de papier. Elle s’allonge en serrant bien ses jambes et en fermant les yeux. J commence à ausculter le cou, la palpant sur les cotés, il lui demande d’ouvrir la bouche pour examiner avec une languette de bois le fond de sa gorge. Il écoute ensuite avec un stéthoscope son cœur et sa respiration en déplaçant, lui-même, largement le soutien-gorge, au point de faire apparaître l’aréole de ses seins.Ayant terminé cet examen, il se redresse, dit qu’il veut procéder maintenant à l’examen approfondi de ses seins et lui demande d’enlever son soutien- gorge. Julie obtempère avec hésitation, elle a du mal défaire la fermeture de son soutien-gorge dans cette position allongée, elle y arrive, mais a encore plus de mal à l’enlever. J, voyant les efforts prodigués en vain par Julie, se propose de l’aider à l’enlever, ce qu’il fait délicatement. Il pose le soutien-gorge sur la chaise.Ses seins apparaissent maintenant dans toute leur splendeur, de bonnes dimensions, légèrement écrasée par la pesanteur mais parfaitement proportionnée. J les observe, les contemple, les évalue, les effleure puis commence à les palper vigoureusement. Il décrit, ainsi, des cercles concentriques de l’extérieur vers l’intérieur. Il appuie sur les mamelons avec leurs pointes bien dressées, car une certaine émotion gagne mon épouse.L’examen se fait avec calme mais fermeté. Il pousse ses gestes cliniques jusqu’à saisir les seins entièrement avec ses mains, largement ouvertes, tout en saisissant le bout des mamelons, les faisant rouler entre ses doigts.L’étudiant se rapproche discrètement, il ne veut rien perdre de la vue de cette poitrine épanouie offerte à la vue et au toucher. Après avoir encore palpé les seins avec délicatesse, J demande à Julie de se relever et de se mettre debout les bras en l’air, derrière la nuque, pour procéder à une dernière palpation. Julie se lève, mais ses bras en arrière tel que demandé. Ce geste met encore plus en valeur sa poitrine parfaite, la faisant paraître encore plus plantureuse.Pour lui permettre de prendre quelques notes à son bureau, J demande alors au jeune homme, qui en meurt d’impatience, de prendre temporairement la suite. Il se précipite, avance avec plaisir ses mains pour agripper les seins de ma femme. Cet examen se pratiquant Julie debout, je peux tout apercevoir. Il malaxe donc fermement à son tour les deux seins, mais nerveusement et d’un geste saccadé. C’est pour lui, la première fois qu’il peut toucher des seins. Des seins, bien développés, légèrement écartés, les mamelons dirigés vers les cotés. La peau est douce, les seins fermes, les mamelons formes une grande tache ronde brune, avec au centre des tétons proéminents et gonflés. Il est excité et il continue, avec un plaisir manifeste, l’examen. Il lui effleure de la paume des mains les tétons qui durcissent sous la caresse. Julie semble ailleurs.Au bout d’un certain temps J demande à N de cesser cette palpation estimant qu’il s’est suffisamment défoulé. Julie se trouve debout les bras ballants, elle se demande, avec anxiété, ce que sera la suite. Elle, comme moi, nous nous rendons parfaitement compte que le plus difficile allait venir dans quelques instants. J demande à Julie de se retourner afin de pouvoir examiner sa colonne vertébrale et diagnostiquer une éventuelle scoliose.Il passe ses doigts de sa main droite lentement et doucement, tout en la maintenant Julie avec sa main gauche placée sous son aisselle. La transpiration de Julie devenue abondante, à cause de la chaleur conjuguée à son émotion, ne semble pas déranger J, bien au contraire. Puis, il dirige ses doigts progressivement vers le bas du dos. Il rencontre le haut de la culotte qu’il descend de sa main droite au fur à mesure de sa progression. Il lui fait apparaître ainsi le haut de la raie qui sépare ses deux fesses. Il poursuit avec deux doigts plongés dans la culotte, descend lentement vers l’anus qu’il effleure.Au même moment, elle frisonne. Il laisse Julie les bras ballant, la culotte a moitié descendue, surtout à l’arrière, découvrant largement ses fesses. Tandis qu’à l’avant étant moins baissée, elle laisse apparaître quelques boucles noires qui recouvre son pubis.J retourne quelques instants derrière son bureau, il prend des notes tout en regardant Julie, promenant son regard sur ses seins, libres, qui comportent les traces rouges des manipulations précédentes. Son regard quitte lentement ses seins pour se porter vers son ventre légèrement bombé par sa dernière grossesse. Puis son regard descend lentement vers la culotte blanche, fixant le bas-ventre. Il se prépare mentalement à découvrir, bientôt entièrement, le triangle un peu plus sombre que l’on aperçoit sous sa fine culotte, les poils du pubis la soulevant légèrement.Il a maintenant la certitude que Julie se laissera entièrement guidé par lui comme hypnotisée et consentante. Constatant également ma neutralité, plus que bienveillante, il demande au jeune homme, si dans sa vie d’étudiant mais également personnelle, il a eu l’occasion de voir ou d’approcher une femme nue. Il répond un peu embarrassé que non, sauf ajoute-il, confus, dans les magazines, en vidéo ou encore dans ses manuels, mais sans plus. J lui dit que pour parfaire sa formation et l’initier à l’intimité profonde du sexe féminin, il peut lui en donner la possibilité maintenant, avec cette jeune et jolie femme.Julie inspire profondément, à plusieurs reprises, faisant encore davantage gonfler ses seins… Il lui dit brusquement, pour ne pas lui laisser l’ombre d’une hésitation, qu’il procède toujours à ses examens, en auscultant du haut vers de bas. Maintenant, après avoir fait le haut, il va procéder maintenant à l’examen du bas.. Il lui demande derechef d’enlever sa culotte. Julie est désemparée, mais depuis un certain, elle s’attend à cette éventualité et elle s’est préparée, dans sa tête, à cet examen intime. Pour se donner bonne conscience, elle se dit dans son fort intérieur qu’elle va le faire pour aider ce jeune homme à parfaire son éducation professionnelle et personnelle. Elle reconnaît qu’elle n’est pas insensible à la façon de procéder de J, qui avec un savoir-faire indéniable lui a réveillé sa sexualité endormie depuis sa dernière grossesse, avec lenteur, douceur.Le spectacle de ma femme presque entièrement nue, obligée de se dénuder entièrement sous le regard de ses deux hommes, m’excite au plus haut point. Je jouis intensément de cette situation. Depuis ce jour, j’aime voir ma femme se dénuder devant d’autres personnes et même jusqu’à aller la voir touchée par d’autres, les laisser profiter de ce corps féminin si parfait.Elle hésite encore une dernière fois, tourne le dos à J et N. Elle enlève sa culotte lentement, la fait glisser et la ramasse en l’ayant franchie des ses pieds, la dépose lentement sur la chaise avec le reste de ses vêtements. Elle offre ainsi d’abord la nudité de son dos et de ses fesses. Des fesses bien rondes et musclées, toutes blanches, contrastant avec son long dos fin tout bronzé. Vers le bas, la raie profonde qui les sépare, les jambes légèrement écartées, laissent entrevoir une touffe de poils noirs, longs et denses. Quel spectacle ! Ne tenant, plus engoncé dans mon fauteuil, à tourner désespérément pour essayer de voir ce qui se passe et de participer moi aussi à la vue de ma femme entièrement dévêtue, je me lève. Il ne lui reste maintenant plus rien à enlever et Julie se tourne vers nous.Elle apparaît dans toute la splendeur de sa magnifique nudité. Sa toison est formée de nombreuses boucles de poils noirs très fournis qui recouvrent abondamment son pubis et débordent largement sur les cuisses. À son denier accouchement, la sage-femme avait procédé à un rasage complet. Ce rasage avait eu comme conséquence de développer encore davantage son système pileux auparavant déjà très fourni comme chez la plupart des femmes brunes. Le corps de Julie est offert aux regards de ces deux hommes, qui la regarde avec volupté. Son corps splendide apparaît maintenant dans une très légère pénombre, le soir approchant ce qui donne une bonne indication de la durée de cet examen.J se lève et augmente l’éclairage de la pièce. L’élastique de sa culotte a laissé une marque rouge tout autour de sa taille légèrement au-dessus du pubis et des fesses. Elle est toute bronzée sauf les seins, le bas ventre et les fesses qui sont d’un blanc laiteux parfaitement mis en valeur par le bronzage soutenu du reste de son corps. Le jeune étudiant se délecte de ce spectacle, son excitation se manifestant par une grosse bosse au bas de son ventre. J lui porte une blouse qui permet d’être plus discret sur les conséquences sexuelles de cette vision, mais il également vrai que des corps de femme dévêtues, il en voit tous les jours..De mon coté, j’avoue que je ne suis pas insensible, je sens mon sexe grossir. J demande à ma femme de s’allonger sur le lit, mais cette fois-ci sur le ventre. Julie se dirige vers la table, s’assied. Elle s’allonge mais obligée d’ouvrir largement ses cuisses dévoilant à l’interne son sexe entièrement recouvert de poils noirs laissant apparaître une raie de chair brune. Elle se retourne pour s’allonger sur le ventre. Elle dévoile ainsi l’intimité arrière entre ses fesses bien rebondies..N et J s’approchent. Ils voient apparaître une grosse touffe de poils à l’avant de l’anus partiellement caché par les poils. Il demande à N d’examiner à son tour la colonne vertébrale. Celui-ci passe avec volupté ses doigts sur les vertèbres et masse avec délicatesse le cou, le dos. Ses mains se dirigent lentement vers le bas du dos, atteignent le bord des fesses. Il brûle d’impatience de pouvoir les toucher, les masser. Il les recouvre nerveusement de ses mains, les pétrit avec fermeté.J lui montre la jonction de la colonne avec le coccyx. N touche l’endroit situé tout près de l’anus. Il ne peut pas s’empêcher d’effleurer l’ouverture. J lui demande d’enfoncer son index l’anus sur 2 à 3 cm et d’apprécier l’ouverture du sphincter anal. Julie se contracte avec un petit cri, resserrant brusquement son sphincter, attirant le doigt à l’intérieur. N, effrayé, le retire rapidement. N ne peut pas détacher son regard et ses mains des fesses blanches, rebondies mais très fermes. J demande à présent à Julie de se mettre sur le dos. Il lui tâte fermement le ventre et le bas ventre. Ma femme préfère de nouveau fermer ses yeux. Après avoir tâter amplement son ventre en insistant particulièrement sur le bas-ventre, J n’hésite pas à toucher fréquemment, du plat de sa main, la toison fournie. J cesse ensuite cet examen, retourne à son bureau, reprend des notes.Julie est là allongée toute nue, elle attend la suite inévitable, l’examen gynécologique qu’elle s’attend à être complet et très long. Elle est inquiète car elle sait qu’elle va être obligée d’écarter ses jambes, d’ouvrir largement ses cuisses, installée dans une position inconfortable et un peu dégradante. Elle sait aussi qu’elle va montrer son sexe ouvert à leurs regards et aussi à leurs manipulations. Elle pense à N, qui n’a jamais vu de sexe de femme et qui va scruter entièrement tous les recoins intimes de sa vulve.J revient vers elle, il se met à côté de la table. Il dégage les étriers, les déplace très haut en leur donnant leur écartement latéral maximum. Il demande à Julie de se déplacer et de mettre ses fesses tout au bord de la table et ses pieds dans les étriers. Vu leur écartement, Julie arrive à peine à mettre un pied, le droit, dans un étrier mais pas l’autre car on lui demande de réaliser un vrai grand écart. J demande à N d’aider sa patiente à s’installer.Il se précipite, saisit le pied gauche de sa main gauche et avec sa main droite, il prend la cuisse à l’entrejambe, écarte et relève lentement la jambe, demande à ma femme d’avancer encore plus ses fesses, de cambrer au maximum le bassin. Il arrive, enfin, à poser le pied dans l’étier correspondant. Ce mouvement, il le fait tout en regardant l’entrejambe de ma femme s’ouvrir progressivement, très largement. Puis, il retire ses mains, examine sa main droite qui est maintenant toute humide. Il se tourne vers J, l’air intrigué. J lui dit que ces sécrétions sont les secrétions intimes des femmes qui par leur pouvoir de lubrification permettent les rapports sexuels. Et de réaliser dans de bonne condition les touchers vaginaux. Il ajoute qu’il apprendra à reconnaître cette odeur caractéristique que répand le sexe d’une femme. En effet cette odeur forte commence à se répandre dans la pièce, contribuant notablement à l’excitation de tous les intervenants, y compris la mienne.J s’approche, se met bien en face de la table et jette un regard scrutateur sur la vulve de ma femme. À ce moment, n’en pouvant plus je me dirige à mon tour vers la table d’examen. Julie repose sur cette table, le buste presque complètement renversé vers l’arrière. Ses seins pointent fièrement vers le haut, la tête est légèrement renversée, les yeux mi-clos, son souffle court. Les jambes sont tellement écartées, que malgré son système pileux si fourni, on distingue facilement les deux petites lèvres roses et gonflées, faites de chair boursouflée et plissée formant un ovale, avec une pointe supérieure effilée et une autre pointe inférieure plus arrondie. Elles ont au moins 3 cm de hauteur, mais accolées l’une à l’autre elle ferment complètement l’orifice vaginal. Sa position, les jambes en l’air, mais aussi l’excitation, qui la gagne, ont provoqué un afflux important de sang vers cette partie de son sexe.On distingue difficilement son clitoris également gonflé ( il est chez ma femme particulièrement développé). Il est presque entièrement recouvert de poils noirs. J prétexte, qu’avant de procéder à l’examen gynécologique proprement dit, il doit évaluer la présence éventuelle d’une infection. Il lui demande, si elle s’est lavée la vulve en prenant sa douche ou son bain avant la visite. Elle dit que non, car elle sait que cela permet de meilleurs diagnostiques gynécologiques.Pour évaluer la nature des sécrétions, il demande à l’interne de lui passer la petite culotte de ma femme. J l’ouvre avec précaution, et examine soigneusement le fond de la culotte. Il constate non sans une certaine surprise mais avec satisfaction que le fond est tout mouillé. Ceci prouve que l’excitation sexuelle de sa patiente dure déjà depuis un moment. J montre à N la culotte froissée, tachée et imprégnée de cette odeur particulière. Il l’examine avec curiosité.Je me rends compte que ma femme, qui a des secrétions particulièrement abondantes lors de nos rapports sexuels, n’a de loin pas été insensible au déroulement de ces examens. Ces examens qui se déroulent dans une atmosphère et des conditions très particulières. Je dois reconnaître que, cette fois, elle fait très fort ce qui me fait craindre le pire pour la suite des examens. Il se retourne vers moi en me disant que j’ai de la chance. Puis avec l’index et le pouce, il écarte les grandes lèvres abondamment recouvertes de poils noirs légèrement bouclés et très longs.Ces opérations ont comme effet de dégager immédiatement les petites lèvres et l’entrée, d’un rose pâle du vagin. La vulve et les poils sont englués de sécrétions, J demande à N de prendre, une petite serviette en papier, pour enlever le maximum de glaires en essuyant délicatement le sexe de la patiente.En procédant à cette opération, l’étudiant découvre entre les lèvres la cordelette du tampon hygiénique, ignore pourquoi. J s’en aperçoit également car il quitte rarement ma femme des yeux, et surtout son sexe béant. J s’excuse auprès de ma femme, il dit qu’il aurait du se souvenir qu’au troisième jour des règles durant environ cinq jours, elle avait encore le tampon dissimulé dans son vagin. Tampon, trahi uniquement par la fine cordelette qui pend, entre sa vulve. Il ajoute, qu’elle est maintenant toute nue et installée en position gynécologique. Il ne va, donc, pas lui demander de se rhabiller pour gagner les toilettes à l’extérieur du cabinet pour en extraire le tampon avant l’examen. Il demande à ma femme, si par exemple, lui ou l’étudiant, peut procéder à l’enlèvement.L étudiant, dit-elle, dans un souffle se rappelant ses bonnes résolutions et prête maintenant à aller jusqu’au bout, faisant fi des derniers remparts de sa pudeur. J lui demande donc de procéder à l’enlèvement du tampon. Celui-ci n’ayant visiblement jamais réalisé un tel geste, hésite en saisissant la cordelette gluante, puis il tire doucement. Julie est crispée, ses muscles se contractent, le tampon est gorgé de sang, Julie ne l’avait pas changé s’attendant à un examen rapide et sommaire, il résiste.J s’en aperçoit et lui demande de le saisir en introduisant deux doigts dans son vagin. L’étudiant parvient à le retirer en tirant sur la cordelette et en s’aidant de ses doigts. Le tampon apparaît gorgé d’un sang rouge foncé entre ses doigts ensanglantés par l’opération. Il ne sait pas quoi faire avec l’objet, hésite puis se dirige vers une poubelle et le jette.Il laisse le champ libre à J qui saisit un spéculum de bonne taille, déposé en attente sur une tablette chauffante, ayant probablement servi à l’examen de la cliente précédente. N’avait-elle pas subi le même traitement, peut être pas totalement, mais quelque chose d’approchant. Elle se rappelle le regard de J sur son corps et les joues enflammées de la femme à la sortie du cabinet. J dit à N qu’il est inutile de chercher un lubrifiant, la nature de ma femme ayant plus que largement pourvu au nécessaire.Ma femme a une réaction instinctive quand elle entend ces paroles, un début de spasme que les docteurs aperçoivent évidemment. J introduit le spéculum doucement avec beaucoup de précaution dans le vagin rose et largement entrouvert. Les deux doigts plaqués de part et d’autre des grosses lèvres charnues, abondamment recouvertes de poils permettent d’ouvrir au maximum la voie à l’introduction de l’appareil. Il pénètre doucement au-dessus de la fourche vulvaire, puis il l’enfonce progressivement et le remonte vers le haut du vestibule vaginal.J se penche en avant, allume une lampe incorporée au spéculum et commence à écarter les deux plaques de métal lentement. Il continue, ne s’arrête pas, le vagin se dilate énormément, on aperçoit les parois roses et au fond le col de l’utérus. Les parois du vagin et le col de l’utérus de Julie sont recouvertes d’un mélange de sang menstruel et de sécrétions féminines. On aperçoit à l’entrée du vagin les glandes de Bartholin qui ont si bien fonctionnées et données lieu à cette éjaculation de liquide visqueux….Après cet examen visuel approfondi, J retire doucement, avec un bruit de succion, le spéculum du vagin de Julie et le dépose tout englué sur un plateau métallique. Il s’adresse à N et il lui demande de prendre la suite des examens, c’est à dire à un toucher vaginal pendant qu’il prend des notes à son bureau. Notre étudiant peut enfin assouvir son désir avec ses doigts, certes avec un gant en latex à une main, l’autre restant libre et permettant un contact direct avec les organes génitaux de mon épouse.Il enfile le doigtier recouvrant volontairement uniquement l’index et le majeur pour favoriser avec une partie de la main droite un contact direct avec le corps de Julie. Le sexe est de nouveau redevenu gluant malgré le nettoyage qui a été fait précédemment. Il écarte la vulve humide avec sa main non protégée en favorisant au maximum le contact avec le sexe touchant carrément les petites lèvres toutes gonflées avec ses doigts.De l’autre main avec ses doigts protégés d’un latex tout fin, il cherche l’orifice au milieu des chairs roses, tâtonne, le trouve et s’enfonce facilement dans le vagin de ma femme.Il procède ensuite à de multiples, va-et-vient dans son vagin, en appuyant sur son bas ventre. Ces mouvements réguliers et fermes ont un effet immédiat, car son bassin est pris de quelques mouvements irréguliers. J voit que son orgasme est proche et ne désire pas de conclusion trop précoce. Il demande à l’étudiant de terminer son exploration vaginale. Celui-ci retire son doigtier et constate qu’il est recouvert par les sécrétions intimes, mais aussi ensanglanté par le sang de ses règles.J enfile des gants, il s’approche des cuisses écartelées, et se met à dégager le capuchon du clitoris enfoui partiellement dans les longs poils humides. Je veux vérifier que vous n’avez pas d’irritation a ce niveau car votre clitoris me paraît un peu trop rouge, dit-il. Julie, qui au contact des doigts de J, a eu un nouveau soubresaut de son bas-ventre. Elle soulève même ses fesses d’une dizaine de cm en arquant ses reins. Pour mieux pouvoir examiner le clitoris, il se tourne vers le jeune homme, lui demande de dégager le maximum de poils, avec des ciseaux appropriés, déposés sur la tablette.Notre étudiant saisit l’instrument. Il s’en donne à cœur joie, montrant un vrai talent de coiffeur, pour dame, évidemment. Les poils tombent au sol avec profusion, mais une bonne partie, engluée, reste collée au sexe. J, estime que l’étudiant a plus que largement accompli son travail, il saisit une large éponge qu’il mouille abondamment. Il se met à rincer le sexe de ma femme pour enlever le reste des poils coupés.Il observe le travail accompli. Le clitoris apparaît dégagé ainsi que le reste du sexe, presque rasé. Je pensais, pour moi-même, que suite à cette opération, ses poils allaient pousser bien plus dru. Porter un maillot de bain sans attirer le regard des hommes, surtout vers son bas-ventre, sera difficile pour Julie. Les boucles noires de son bas-ventre inévitablement jailliront abondamment de chaque côté des aines, et au haut des bikinis. Surtout lorsqu’elle fera du sport. Elle refuse, malgré les regards insistants des hommes sur son ventre, de se faire épiler le maillot par une esthéticienne. En effet, une épilation aura simplement comme effet de mettre en évidence le développement du système pileux de son sexe et de faire empirer le problème.Pendant que je pense aux conséquences prévisibles de cette tonte, embarrassante pour Julie, J a saisi entre ses doigts le clitoris à sa racine. Avec les deux doigts de son autre main, il tire délicatement la hampe, dégage le gland gonflé. La manipulation me paraît plutôt une caresse qu’un acte médical.De plus en plus sidéré par la tournure que prends cet examen gynécologique, je suis tout pantois regardant avec étonnement mais aussi avec une excitation sexuelle grandissante, l’enchaînement de toutes ces scènes à haut degré d’érotisme et de sexualité. Tout en continuant à caresser son clitoris et les petites lèvres charnues il enfonce un doigt vigoureux dans son anus, bien serré. Julie sursaute. Vous n’avez certainement jamais subi de toucher rectal, ni de pénétration rectale, dit J à Julie, votre anus étroit est donc très sensible. Il demande à l’interne de prendre un tube de vaseline et de lui injecter une bonne dose dans l’anus. Ceci facilitera grandement cette pénétration, dit-il. Maintenant, J peut procéder à une exploration profonde de son rectum.L’autre main, plonge dans son vagin, et, par une suite de pressions successives, il examine la paroi située entre le vagin et le rectum. Le doigt est enfoncé à son maximum dans son rectum, le reste du poing se heurtant contre l’anus de Julie. Ce qui permet à J de procéder à une succession de va-et-vient. Julie apprécie maintenant beaucoup mieux cette double exploration.J retire ses doigts des deux orifices intimes de Julie. Il constate que notre interne a collé son bas ventre contre la cuisse de Julie en l’agrippant à l’aine plaqué contre sa vulve. Son excitation est si grande qu’il râle légèrement.J demande à Julie si elle est disposée à avoir un rapport sexuel avec le jeune homme pour compléter totalement son expérience.Julie, toute secouée par l’expérience précédente, réfléchit. Elle se souvient de son premier rapport sexuel et l’inexpérience du jeune ami de l’époque. Il avait eu beaucoup de mal à la pénétrer, il est vrai qu’elle était encore vierge. Elle me regarde pour me demander mon accord. Je hoche de la tête positivement, car j’ai compris qu’elle s’est prise un peu d’affection pour ce tout jeune homme.Julie murmure un oui presque inaudible. N entend ce oui, avec excitation et joie, mais accompagné aussi d’inquiétude. Cette femme expérimentée, mure, excitante et excitée, lui offre la plus belle expérience de sa vie. Perdre son pucelage, avec une fort belle femme au corps parfait. Il détache sa ceinture, ouvre sa braguette, descend son pantalon. Il déboutonne et enlève sa chemise, se retrouve en slip gonflé par son sexe rempli de désir. Julie relève sa tête pour regarder le jeune homme. Son slip a une auréole de sécrétions due à son excitation extrême.Il prend un peu de courage, il descend son slip rapidement. Julie regarde avec intérêt la verge dressée verticalement, légèrement arqué, très longue mais fine. Une toison de boucle blonde recouvre son pubis en remontant vers le ventre. Ses testicules, d’une bonne proportion, pendent entre ses jambes s’offrant à son regard. Le prépuce rétracté dévoile un gland rouge violacé par l’afflux de sang lié à son excitation extrême. J demande à N de se mettre entre les cuisses de Julie.Il plaque son sexe contre sa vulve, ses testicules se balançant contre elle. Mais son sexe est dressé verticalement et le vagin, à cause de la position gynécologique, est également orienté vers le haut. N ne sait pas quoi faire. Il regarde Julie en l’implorant de l’aider. Julie dans un geste presque maternel saisit le pénis, caresse de ses doigts experts le gland gonflé. La verge est tendue et dure comme de la pierre. Elle descend son bassin au maximum. De son autre main, elle écarte ses lèvres et dirige fermement le sexe du jeune homme dans les profondeurs humides et chaudes de son vagin. Elle imprime quelques va-et-vient à son bas-ventre.N a les yeux révulsés, le souffle rauque. Julie sent dans son vagin le pénis se durcir davantage. La conclusion est proche. Elle lui saisit les testicules et elle les presse fermement sans les écraser. N se cabre et son sperme jaillit par des saccades successives dans son vagin. Julie, à son tour, se pâme, des râles profond sortent de sa bouche, des tremblements successifs agitent son bas ventre. Elle se cabre une dernière fois en criant de plaisir et retombe sur la table d’auscultation. N reste un bon moment dans son ventre les mains agrippées à ses cuisses. Puis il retire, doucement, avec regret, sa verge flasque, enduite de sperme et du sang des règles. Nous sommes tous silencieux pendant que Julie et notre étudiant récupère de leurs orgasmes respectifs.Ensuite, J me demande de m’approcher à côté de ma femme, le jeune homme étant placé de l’autre coté. J nous dit qu’il allait nous montrer l’importance du point G. Il nous demande de bien suivre ses gestes pour pouvoir les répéter. Cette fois, il enfonce sans protection son index droit dans son vagin à travers les poils noirs, se cherchant naturellement un chemin dans son sexe. Il nous prévient qu’il va appuyer fortement un point situé a environ 4 cm de l’entrée du vagin, vers le haut. Cette pression peut entraîner des réactions insoupçonnées et violentes chez beaucoup de femmes.A cette époque, on ne parlait pas encore beaucoup de cette découverte.. Il avait à peine appuyée sur ce point avec son index que Julie se met à avoir des mouvements impulsifs avec son bas ventre. Elle se cabre sous la pression en laissant échapper un long gémissement aigu et plaintif. Elle se met à râler de plaisir tout en se contorsionnant sur la table d’auscultation. Je n’avais jamais vu ma femme dans un état pareil les yeux révulsés avec une grimace, mélange de plaisir intense et de souffrance. Elle tente d’accrocher avec ses mains ce quelle peut attraper autour d’elle et c’est le bras de notre jeune étudiant qu’elle accroche, le serrant au sang.Elle se met à gémir et à haleter. L’étudiant est au paroxysme de son excitation, il l’agrippe fortement à la cuisse avec ses deux mains, il la serre au niveau de l’aine et de la vulve. Julie a un mouvement nerveux, lâche le bras. Elle veut saisir autre chose dans ses convulsions. Elle saisit sans immédiatement s’en rendre compte ses parties génitales, elle lui serre très fort son pénis à nouveau complètent dressé.A ce moment, elle se cabre, elle souffre d’être bloquée dans les étriers, car elle n’arrive pas à se dégager, ce qui rend les spasmes a la limite du supportable. Elle crie son plaisir, libérée par une suite ininterrompue d’orgasmes de plus en plus intenses. Julie gémit à présent sans retenue et dans un sursaut, son corps se tend comme un arc et elle a encore une nouvelle série rapprochée d’orgasmes.Une forte coulée de liquide jaillit de l’orifice de son vagin. Le jeune homme n’a jamais pu imaginer possible qu’un tel torrent de plaisir puisse submerger une femme. Plus fort que l’éjaculation chez un homme. Il se crispe et souffle très fort. Il éjacule de nouveau, mais cette fois-ci, son sperme s’écoule par saccades sur la toison de Julie. Je vous avais prévenu que cela pouvait être violent, dit J la tête toute rouge.Tout est terminé. J dégage Julie de ses étriers. Il l’allonge sur la table, à demi inconsciente, pour lui permettre de reprendre son souffle. J regagne son bureau. Nous sommes tous très silencieux après cette tornade de sexualité. Julie a repris ses esprits, s’assied sur la table, J lui fait boire un verre d’eau et lui caresse tendrement le visage. Elle se lève ensuite. Elle est, là toute nue, de nouveau offerte à nos regards d’hommes.Julie est toute recouverte de sueur et ses jambes toutes gluantes de ce liquide jaunâtre jailli hors de son corps tel une fontaine. J propose à Julie de prendre une douche dans un renfoncement aménagé au fond de la pièce. Il intime l’ordre à l’N de l’aider. N l’aide à se laver sur tout le corps sans oublier les endroits les plus intimes. Puis, il la sèche doucement avec une serviette.Désemparée, elle cherche à retrouver ses vêtements. Le jeune homme saisit sa culotte, l’aide à l’enfiler et la lui monte à la taille. Il saisit le soutien-gorge, il lui met les bonnets sur les seins. Il agrafe la fermeture dans son dos, en lui faisant une caresse appuyée sur les seins, et surtout sur les fesses qu’il n’avait pas eu le plaisir de peloter. Moi je termine le travail en lui donnant sa robe. Sa combinaison qui devait être un rempart a sa pudeur est maintenant superflue, je la fourre dans son sac. J jouit de ce strip-tease a l’envers et observe une dernière fois ce corps nu parfait. Ma femme et moi, nous quittons ces lieux tout bouleversés par ce qui c’était produit. Avant de partir, elle embrasse tendrement le jeune homme sur la bouche et lui dit qu’il fera un bon gynécologue plus tard. J propose de la revoir dans six mois. Elle ne répond pas. Il déclare que mon examen est inutile et qu’il signera les papiers demandés par la banque.Le jeune étudiant avait en deux heures, bien plus appris sur la gynécologie et la sexualité féminine qu’avec tous les manuels et les cours théoriques à la faculté. Moi de mon coté, je voyais mon épouse différemment.