Le fils adoptif est monté comme un âne. 7
Les deux soeurs jumelles veulent tellement profiter de Damien que, sans lui dire, elles lui font prendre du viagra.
Pour lui, déjà bien gâté par la nature et très résistant, la course habituelle se transforme en vrai marathon. Elles le pressurent comme un citron, lui et ses bourses…
Proposée le 1/02/2021 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: GroupesLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Une famille pas ordinaire.
Septième chapitre :
Les deux jumelles sont démoniaques.Résumé de l’épisode précédent.
Rappel : Mon frère de cœur (adopté à l’âge de quatre ans par mon père et ma belle-mère) et moi avions été invités dans le midi chez une de mes amies pour une semaine de vacances ou tout le monde sait à l’avance que ça va finir à l’horizontale.Sandrine a caché à Damien et Aude qu’elle a une sœur jumelle Virginie.
Arrivée sans prévenir pendant leur semaine de vacances, elle prend la place de sa sœur auprès de Damien et Aude, se relayant sans discontinuer sur la verge phénoménale de Damien.
Mais la supercherie est découverte quand Virginie, voulant faire comme sa sœur, veut que Damien la sodomise.
Son petit trou n’a pas été suffisamment préparé à ce qui l’attend et elle ne peut accepter ce défonce-cul tellement elle hurle de douleur. Sa sœur intervient complètement affolée et avoue le subterfuge.
Correctement préparée maintenant, elles s’apprête à recevoir en elle ce chibre imposant, ses 26 cm ne lui font pas peur, ce qui l’effraie le plus, c’est le diamètre phénoménal de ce vit.
Mais si sa sœur y est arrivée, elle doit aussi en être capable.Récit de Virginie.
J’appréhende ce qui va suivre, j’ai tellement dégusté tout à l’heure, son énorme clé ne va jamais pouvoir rentrer dans le petit trou de ma serrure.
Je sens le gland épais s’immiscer entre mes fesses et je sais que je ne peux empêcher cet énorme pénis de faire son œuvre, j’ai tellement peur qu’il me déchire.
La douleur de l’intrusion initiale est vive mais les préparatifs ont fait leurs effets.
– Nonnnnnnn ….. Ohhhhhhh ….. Ohhhhhh ….. Mmppfff…
L’épais gourdin s’enfouit dans mon petit trou. Centimètre par centimètre il s’enfonce lentement dans mon conduit étroit me faisant sangloter. Il me poignarde de plus en plus profondément, forant impitoyablement son chemin jusqu’au maximum de sa longueur.
Damien entend le grognement angoissé que je pousse pendant tout le temps ou sa grosse bite s’immisce dans mon cul. Il m’agrippe aux hanches se préparant à me défoncer avec sa grosse trique. J’essaie de le supplier d’y aller doucement :
– Oh s’il te plaît ……Non,….. J’ai mal ……. Tu es beaucoup trop gros ……..! Oh, mon Dieu …. Ohhhhh ……. Nonnnnnnn ….Ouuuuiiii, Continue !
Je commence à apprécier en moi cet énorme morceau de chair qui irradie une telle force et transforme en quelques minutes mes cris de douleur en râles de plaisir. Je sens en moi monter le plaisir :
-Que m’arrive-t-il? ….. Mon Dieu, je vais jouiiiiiiiiir ! Terrassée par l’orgasme, je me serais écroulée si je n’étais pas enfichée sur cet axe démesuré. Je reprends mes esprits quelques instants plus tard, toujours épinglée comme un papillon par son vit en plein travail.
Sous ses allées et venues, je constate que mon corps réagit mécaniquement s’offrant lubriquement à ses assauts.
– Ohhh mon Dieu … Oh … Oh …. Ouuuiii ….
Je me lamente, alors que la grosse bite grossit encore, annonçant les prémices de son plaisir.
Soudain, sa jouissance l’a emporté, il s’est vidé en moi, j’ai senti au fond de moi les puissantes giclées de sperme au moment où le spasme du plaisir l’emportait.
Il n’en finissait plus de se vider.Récit de Damien.
Elles sont magnifiques, belles au-delà du possible, elles viennent chacune à son tour, comme des abeilles, se délecter de mon nectar. Mon cerveau est déconnecté, c’est mon bas ventre qui commande, mais ma verge a des difficultés à réagir après ces folles agapes sexuelles. Sandrine s’en empare riant devant son manque d’érection en s’adressant à sa sœur :
– Il était plus en forme tout à l’heure, Virginie, on lui a vidé les bourses à l’étalon !
Je suis abasourdi par leur conversation grivoise, je ne suis plus qu’un jouet qu’elles se passent et se partagent. Virginie en rajoute une couche :
– Sandrine, j’ai toujours envie de lui, et on n’a jamais encore fait ça, trois filles pour un seul mâle, si Aude le veut bien on va « presser le citron jusqu’à la pulpe »
– On peut essayer, ça va être chaud avec un tel étalon et on n’en a pas le mode d’emploi, mais on peut toujours essayer ! Surenchérit sa jumelle.
Je m’exclame.
-Eh les filles ! J’ai peut-être mon mot à dire, je veux bien essayer mais il faudra attendre demain, pour aujourd’hui je manque de carburant. Je vais me coucher pour refaire le plein pour demain.
Et sur ces mots je quitte la pièce laissant mes trois femelles sur leur faim et vais me coucher tout seul pour récupérer, je suis complètement vidé.Le lendemain je les fais languir repoussant à l’après midi la joute tant attendue par ces trois femelles déchainées. Trois belles femmes rien que pour moi. Le moment est venu quand nous nous retrouvons tous dans la chambre de Sandrine.
-Faudra que tu assures, ironise Virginie.
Je lui réponds du tac au tac.
-Je devrais pouvoir fournir, vous voulez relever le défi les filles ?
-Chiche, répond Sandrine. On verra qui abandonnera le premier.
Ma « sœur de cœur » me regarde d’un sourire narquois, elle connait bien mon endurance.
Tout le monde se déshabille intégralement. Virginie siffle en voyant mes attributs au repos et s’exclame.
-Bordel, même comme ça, il a une matraque entre les cuisses ! Si mon mari pouvait en avoir une comme ça en érection ! Allonge-toi sur le lit.
J’obéis. Virginie se glisse entre mes jambes, elle se penche et avance sa tête, elle me gobe les couilles à pleine bouche pendant que Sandrine et Aude, chacune d’un coté du lit me saisissent d’une main la bite, l’une me branle la partie basse pendant que l’autre remonte jusqu’au gland qu’elle agace avec sa langue et ses lèvres.
Il ne me faut pas longtemps avec un tel traitement pour transformer cette grosse saucisse molle en une barre bien dure. Et c’est parti pour cinq minutes de caresses et papouilles. Je pousse des plaintes de plaisir. Virginie se met à califourchon sur moi me tournant le dos, déplace son corps vers mon bas-ventre, me saisit la queue. Elle la guide vers sa chatte, et s’y empale dessus en poussant un aaahhh de contentement. Elle fait jouer les muscles de sont vagin. Je défaille sous l’assaut.-Oh putain, comme tu serres ma queue, un vrai étau. Que c’est booonnnn !!!
Sandrine s’est assise sur mon torse me donnant à lécher sa grotte d’amour, Aude est allongée à l’autre bout du lit. Virginie lui a soulevé les fesses, et lui prend la chatte à pleine bouche
agaçant son clitoris de sa langue.
-Regardez comme elle mouille, dit Sandrine. Tu es une petite pute. Tu aimes te faire lécher.
Tu jouis, hein?
-Oui, oui, ha…ha, oh Virginie, vas-y ha… Ha oui !
Sandrine se retourne et vient se placer derrière Virginie toujours empalée sur ma queue.
Elle lui saisit les seins, faisant rouler les bouts entre ses doigts. Elle lui tourne la tête et lui prend les lèvres puis lui demande :
-Tu es entrain de te faire défoncer par Damien. C’est un bon coup ?
-Putain, si c’est un bon coup. Je vais en profiter jusqu’à ce que ses couilles soient vides. Tu vas l’entendre gueuler. Je vais le mettre minable.
-Et moi, implore Aude. Personne ne s’occupe de ma minette ?
-Mais si, je lui réponds. Viens la poser sur ma bouche, sœurette.
Aude se précipite littéralement sur moi me donnant à laper sa moule et me met au défi :
-Je ne me lève pas tant que ma chatte ne s’est pas vidée dans ta bouche.
Le spectacle vaut le déplacement. J’ai trois filles qui chevauchent mon corps. Je suce le bouton de ma sœur tout en lui caressant les seins. Virginie est empalée sur ma queue et s’est lancée dans un rodéo, se faisant caresser les seins par Sandrine.
Les deux jumelles sont hyper chaudes.
-Tu te régales petite pute ? Murmure Sandrine à l’oreille de Virginie. Ote-toi de là que je profite moi aussi de ce mandrin extraordinaire.
-Tais-toi et attends ton tour ! Répond Virginie, laisse-le me finir. Je sens qu’il se vide. Oh putain, qu’est-ce qu’il me met le salaud. Aaahhh..Oui. Tire mes bouts Sandrine, oui, comme ça ah ouiii…
-Tiens, bois ! Crie Aude, me noyant sous des flots de cyprine. Oui oh ouiiii, je jouiiiis, vas-y, suce, suce, ne t’arrête surtout pas.Je reprends mon souffle et grogne à mon tour de plaisir me déchargeant en Virginie et fais remarquer à Aude.
-On a fait jouir nos deux sœurs ensemble, quel pied. Tu as vu ces deux petites putes, elles en veulent encore.
-On aime aussi bien ta langue que ton gourdin hein. Allez, poursuit Sandrine. On change, c’est à moi maintenant d’être baisée. Prend-moi en levrette.
Elle se met en place.
-Regarde mes reins comme ils sont bien cambrés. Je suis assez écartée ? Dis-moi. Je t’offre ma chatte mon chéri, prend-la.
Le sexe toujours en érection, je me place entre les cuisses de Sandrine et la pénètre doucement jusqu’à buter au fond de sa grotte d’amour. Sa sœur se met debout devant sa bouche pour qu’elle s’occupe de sa chatte pendant qu’Aude lui triture la pointe de ses seins.
Ha…ha…ha…ouiii !. Tire mes bouts Aude, oui, comme ça, oh ouiii.
-Tiens, bois, crie Virginie, oui, oui, je jouis, vas-y, suce, suce.
Aude saisit Virginie et l’attire à elle.
-Viens ici toi que je m’amuse un peu avec ton corps. Écarte-toi bien la chatte avec tes mains !
Virginie, soumise, obéit. Elle sait que la nuit n’est pas finie. Aude fait des va et vient avec sa main sur les lèvres enflées de Virginie totalement offerte, pince le clitoris entre deux doigts. -Tu aimes te faire doigter, dit Aude. Tu le remues ton cul, salope. Et ça, c’est quoi ?
-C’est mon petit trou, répond Virginie. Tu peux jouer avec si tu veux, vas-y !
Aude, les doigts imbibés de mouille, branle et sodomise Virginie.
A côté d’elles, Sandrine se cambre de plus en plus pour mieux se faire prendre. D’une main, je joue avec son clitoris. Je retire ma queue, et l’appuie sur sa rosette.
-Je vois ou tu veux en venir, salaud ! S’exclame Sandrine. Vas-y nique-moi.
-Oh mon dieu, crie Virginie, je jouis. Regarde comme elle me doigte et me sodomise.
-Et moi, hurle sa sœur. Tu as vu comme il m’encule, oh putain. Si mon mari voyait comme je me fais mettre par une grosse queue.
Soudain je n’y tiens plus et m’extrayant de son cul explose en longs jets lui couvrant le dos de longues et copieuses décharges. A la longue j’arrive désormais à les distinguer l’une de l’autre. Elles ont une saveur différente, l’une est plus poivrée, l’autre plus sucrée. Je joue à trouver les différences, il y en a, dans des endroits secrets.
Virginie a un tempérament de feu, alors que Sandrine est plus douce et voluptueuse. Récit de Sandrine.
Damien sait comment s’y prendre. Les jambes un peu fléchies, il se penche vers moi et me chuchote à l’oreille des obscénités. Il revient en arrière et en tenant sa queue toujours raide dans sa main droite, s’approche de ma raie culière.
Quand il est au contact, je vois les yeux de ma jumelle s’écarquiller et elle ouvre la bouche en grand en nous observant.
– Ça y est Sandrine, je suis au fond de ton cul, tu dois bien me sentir !
– Oui ! Vas-y doucement !
Heureusement je m’étais préparée le fion car la taille de sa bite n’a rien à voir avec celles qui ont l’habitude de passer par la porte de derrière.
Il est doux et laisse ma gaine serrée s’habituer à sa queue avant de me prendre à fond. Quand ses hanches sont collées contre mes globes fessiers, il reste de longs moments sans bouger.
Puis il recule et revient vers l’avant pour me limer. Heureusement le gel facilite les choses et cette enculage est bon, je sens un plaisir encore diffus monter dans mes reins.
Brusquement je pars et exprime bruyamment mon orgasme. Quand j’ai fini de jouir, Damien sort de mon cul et branlant rapidement sa bite de la main droite, il crache de longs jets de sperme sur mes reins.Récit de Virginie.
Je retrouve à nouveau face à moi sa belle queue vigoureuse et généreuse qui m’avait fait tant fantasmer lorsque Sandrine m’en avait parlé.
Je l’ai prise en bouche le plus loin possible et en la ressortant plusieurs fois, je l’ai copieusement enduite de salive. Je masturbe sa bite d’une main et suce l’extrémité en me concentrant sur le gland. Cela fait maintenant plus de deux heures que nous nous occupons à tour de rôle de cette verge infatigable. Damien commence à se poser des questions.
-Je ne sais pas ce qui m’arrive, j’ai pourtant joui déjà cinq fois depuis que nous avons commencé mais je n’arrive toujours pas à débander, ce n’est pas normal.
Sandrine et moi nous regardons, complices.
Sans le dire à Aude et Damien, nous lui avons fait prendre dilué dans ses aliments un cachet de Viagra mais avec ses capacités sexuelles déjà peu communes, sa bite est comme branchée sur la haute tension. Elle reste tétanisée en position érectile pour notre plus grand plaisir, j’espère qu’il a la santé car nous ne sommes pas encore assouvies.
Il m’enfile à nouveau et chaque fois qu’il arrive au fond de mon vagin, je ressens comme une décharge électrique qui monte de mes reins jusqu’à ma nuque. Sa queue longue et épaisse entre et sort à une vitesse extraordinaire entre mes lèvres vaginales. Il me fait partir deux fois avant de se vider lui aussi une nouvelle fois mais le volume spermique a beaucoup baissé. Je m’extrais, comblée de son nœud.
Les heures passent. Il bande toujours comme un fou, son sexe pointant vers le ciel.
Aude ne veut pas être en reste et le fait s’allonger sur le dos, enjambe son corps et guide le phallus dans son con. Elle se baise toute seule de plus en plus vite. Elle a orgasme après orgasme et Damien n’a toujours pas joui.Récit d’Aude.
Je reprends doucement contact avec la réalité après cette chevauchée fantastique, je suis morte pour aujourd’hui, j’abdique. Damien est toujours allongé, repu de fatigue, il n’est plus bien frais mais subit encore vaillamment nos assauts répétés.
Mais il commence à m’inquiéter car sa bite qui ne débande plus me paraît bizarre. Et nos orgies l’ont faîtes enfler un peu.
Sandrine me remplace, empaume la grosse tige dressée et commence à la lécher, d’abord sous les couilles velues en remontant sur la hampe en direction du frein. Elle reprend sa fellation, se concentrant sur le gland et le frein avec sa langue. Ses doigts coulissent en cadence sur la tige. Sandrine sent contre sa bouche l’instrument dur et chaud. La chose frémissante bute contre ses lèvres. Elle les ouvre, mais la taille de l’organe l’oblige à desserrer les mâchoires au maximum de leur possibilité. La matraque de chair enflées s’engouffre dans la place, et elle commence sa fellation, la verge cogne contre les parois internes des joues, pour repartir de plus belle vers le fond de la gorge.
C’est chaud, c’est gros, bon à lécher, enfin du mieux qu’elle peut, l’engin est si imposant.
Elle retire le gros nœud de sa bouche pour reprendre sa respiration, s’appliquant comme dans un état second avant de nouveau s’embrocher sur cette barre d’acier, la queue fend le sexe pour entrer. Elle sent la pénétration se faire tout entière, distendant les parois de son minou et allant buter tout au fond de son vagin. Elle se baise toute seule gémissant sans discontinuer pour arriver à son plaisir.-Putain !!! Il est de plus en plus gros… !
Les deux jumelles sont déchaînées se relayant sans discontinuer sur la verge qui a encore enflée d’être trop sollicitée, pourtant ses bourses sont taries, il a fourni toute sa semence disponible. Damien est complètement vidé, au propre comme au figuré.
Il ne réagit plus aux sollicitations des jumelles mais elles continuent jusqu’à ce qu’elles soient complètement écœurées de son pal qui ne veut décidément pas débander.
Enfin, elles sont repues de sexe et s’endorment chacune d’un coté de Damien déjà dans le coltard depuis un bon moment.
Leurs rêves doivent être érotiques car instinctivement deux mains s’agrippent sur l’obélisque de chair qui barre toujours le ventre de Damien. Je les laisse et vais moi aussi me coucher, toute seule….
Le lendemain, elles avouent leur forfaiture, penaudes.
Damien a des cernes sous les yeux et il est tellement épuisé que nous avons été sevrées de son sexe pendant deux jours longs, très longs… Il leur a fait jurer de ne jamais recommencer.Ce fut nos plus belles vacances mais aussi la plus éprouvante expérience sexuelle pour Damien.
Il m’a avoué plus tard qu’il aimait bien les joutes sexuelles avec plusieurs partenaires, mais que jamais il ne voudrait revivre une telle débauche de sexe.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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