Cette histoire m’est arrivée alors que j’avais à peine 18 ans. Étant en été, j’ai eu l’occasion de passer deux semaines de vacances chez mes grands-parents, dans un petit village de province. Quelques années auparavant, j’avais fait la connaissance d’un gamin de mon âge, fils du boulanger. Un après-midi, alors que je me promène, je le rencontre. Nous faisons un bout de chemin ensemble, discutons. Il m’invite à monter dans sa chambre pour écouter le dernier disque qu’il vient de se procurer. Je le suis. Il me fait passer par une entrée de service de l’arrière-boutique, on monte à l’étage. Sa mère est occupée avec des clients, son père se repose dans la chambre à côté. Il commence très tôt pour faire le pain et les croissants et ensuite faire sa tournée dans les villages alentour. Nous arrivons dans la chambre, je m’assois sur le lit, le regarde. Il a l’air timide, me dit :— C’est la première fois qu’une fille entre ici, je n’y amène que mon meilleur copain.Il vient s’asseoir à côté de moi, a l’air quelque peu emprunté, ne dit rien. Je le repousse un peu pour qu’il me laisse la place, m’allonge. Il ne bouge pas, puis se tourne vers moi, se met à genoux sur le lit contre moi, me regarde, ne dit mot, je ne sais pas à quoi il pense. Je lui prends la main, la tire, la plaque sur mon sein. Incrédule, il hésite, s’enhardit, la presse, ce qui le fait durcir et le téton s’ériger, ma respiration s’accélère. Je ne dis rien, ferme les yeux, attends la suite.— Je peux les regarder ?Sans attendre la réponse, sa main quitte mon sein, il déboutonne mon chemisier, l’ouvre. Je n’ai pas de soutien-gorge, je n’en ai pas besoin, mes seins sont petits et fermes (85 C). Enfin il parle !— Qu’ils sont beaux ! Je peux les toucher ?— Suce mes tétons !Il prend mes seins l’un après l’autre, les pétrit, agace les bouts, les suce. Ma poitrine durcit, les mamelons s’érigent. Je remue le torse, le bassin, pousse des soupirs. Je sens que je mouille, laisse faire, c’est bon. Alors que sa bouche aspire un téton, je sens que sa main quitte mon sein, descend doucement sur ma peau, me caresse, passe sur la ceinture de la jupe, continue à descendre, appuie sur mon pubis. Pas de réaction de ma part. Elle arrive sur mon genou, remonte lentement sous la jupe, la soulève, ses doigts frôlent ma cuisse telle une caresse. Que c’est bon de la sentir aller le long de ma cuisse, passer entre mes jambes. Je bouge, les écarte légèrement. Ça y est, elle est sur ma culotte, passe entre mes cuisses, appuie sur ma vulve, la caresse au travers du tissu, essaie de l’écarter pour y passer les doigts.Je ne peux pas tenir plus longtemps, j’ai envie de sa bite. J’enlève sa main, me redresse, le repousse, il descend du lit, est debout, me regarde surpris. Je m’assois au bord du lit, ouvre la braguette, passe ma main dans le jean, cherche la queue. Il est tellement surpris par l’attaque qu’il en reste pantois. Il me laisse presser sa bite au travers du boxer. Il bande dur. Je cherche l’ouverture, la trouve, m’acharne à deux mains. Il ne fait rien pour me faciliter la tâche, j’ai du mal à la sortir tellement elle est raide ! Enfin la voilà , elle est belle, de taille moyenne, le gland nettement plus gros que la tige. Je la prends en main, tire sur la peau, le gland devient violet, je commence à l’astiquer doucement. Il ne bouge pas, se laisse faire, regarde mon doigt agacer le méat, incrédule, se demande ce qu’il lui arrive. Je sors ses couilles, les soupèse, tire sur la queue, dépose un bisou sur le gland, le mouille avec ma langue. Je m’allonge de nouveau sur le dos, remonte la jupe sur mon ventre, replie mes jambes et cette fois écarte les cuisses en grand.Il se glisse entre elles, s’allonge au-dessus de moi. Je saisis la queue derrière le gland. D’une main j’écarte ma culotte, de l’autre glisse le gland dans ma fente, l’amène au bord de mon trou, me cambre et d’un coup de rein l’engloutit jusqu’aux couilles. Il réagit, fait deux ou trois va-et-vient, bute au fond de moi. Soudain il s’arrête, se crispe, je sens sa bite grossir, se raidir, se contracter. Je resserre mon vagin, il ne tient plus, décharge. À chaque secousse je sens ses jets de foutre m’inonder le ventre. Il me remplit le vagin, c’est bon, c’est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête lorsque le gland est passé, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus.Il reste là , affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, il roule sur le côté, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je ne veux pas salir ma jupe, me lève en vitesse, quitte la culotte, m’essuie avec. Elle est trempée, collante, il en coule toujours, je ne peux pas la remettre, la jette au pied du lit, une forte odeur de sperme envahit la chambre. Bon sang, qu’est-ce qu’il m’a mis !Il est là , allongé, jean ouvert, la bite à la verticale dépassant de la braguette, couilles à l’air, il bande encore, la queue retombe lentement sur le boxer. Je baisse ma jupe, referme mon chemisier, me penche sur lui, prends la queue, colle un bisou sur le gland, ouvre la porte, file en silence. Je passe par l’arrière-boutique, personne, je suis dehors. C’est drôle, je n’ai pas l’habitude de me promener sans culotte, j’ai peur que les gens que je croise s’en rendent compte, je rentre chez mes grands-parents, ils ne sont pas là , ils ne sont pas rentrés du boulot. Aujourd’hui j’ai perdu ma culotte, mon vagin est tapissé de sperme, il en coule le long de mes cuisses pendant le retour, j’en ai certainement encore plein le ventre. Ce coup de bite a été trop rapide, je n’ai pas eu le temps de jouir. Je sens le foutre, passe ma main entre les jambes, mon sexe est gluant, le haut des cuisses collant, j’ai besoin d’une toilette intime. Je vais directement au lavabo. Heureusement qu’il n’y a personne dans la maison !Je retourne dans ma chambre, m’allonge sur le lit, pense à ce qui vient de se passer. Il s’est laissé faire, n’a pris aucune initiative, il a fallu que je le guide pour qu’il m’enfile, je ne comprends pas. Je le crois un peu timide ou a-t-il eu peur de se faire surprendre par son père qui dormait dans la chambre à côté ? J’ai besoin de me doigter, d’évacuer la pression qui est encore en moi, de me faire du bien. Je passe un doigt à l’intérieur, le sors, le goûte, il reste encore du foutre. Pourtant je croyais avoir tout vidé dans les toilettes. Heureusement que je prends la pilule. Ce coup de bite m’a laissée sur ma faim.Le lendemain, je décide donc d’aller faire un tour dans le patelin ! Et je rencontre le garçon d’hier qui discute avec un copain. On s’embrasse, il me présente. On parle un peu et le copain trouve un prétexte pour nous quitter. Restés seuls, nous marchons tranquillement côte à côte, parlant de choses sans importance. Chemin faisant, on passe devant le domicile de mes grands-parents.— J’ai soif, pas toi ?Je l’invite à entrer pour boire quelque chose, car il fait chaud. On entre, on s’installe dans la cuisine, il prend un jus d’orange comme moi. On reste debout, il est un peu gêné de se trouver seul avec moi. Il est devant moi, je regarde la bosse qui apparaît dans son pantalon.— Attends, j’ai quelque chose à te montrer !Je vais dans ma chambre. Je sens qu’il est derrière moi, me suit en silence. Soudain je me retourne, il est là , bras le long du corps, interdit, m’examine de la tête aux pieds.— C’est là que tu dors ?Je décide de le provoquer. Je m’approche de lui, me frotte, l’embrasse en cherchant sa langue, passe ma main dans son entrejambe, appuie sur les couilles. Je sens une bosse qui déforme de plus en plus son pantalon. Il me repousse— Qu’est-ce qui te prend, tes parents risquent d’arriver !— Non, ça ne risque pas, ils sont au travail !— J’n’ai plus rien à faire chez toi, je m’en vais !Il se retourne et se dirige vers la porte. Je l’attrape par le bras, le retiens.— Pourquoi tu m’as suivi dans ma chambre ?— Je ne sais pas, par curiosité !— C’est tout, t’en es sûr ? Je vois à la bosse de ton pantalon que c’est parce que tu as envie de moi !Je m’avance, me colle contre lui, mais cette fois j’attaque directement la ceinture, puis la braguette. Il me repousse brutalement des deux mains.— Fous-moi la paix, j’avais soif, c’est tout !Mais j’ai eu le temps de déboutonner la ceinture, d’ouvrir la braguette, le pantalon tombe à ses pieds, l’entrave. Il est tout penaud, prend un air gêné, surtout que le boxer ne dissimule rien !— De quoi as-tu peur, je ne te plais pas ?— Si, bien sûr !Je reviens à la charge, me plaque contre lui, frotte mon ventre contre son sexe, met ma tête sur son épaule, d’une main je comprime sa queue au travers du boxer. Il pose ses mains sur mes fesses, remonte ma jupe doucement, passe dessous. Il est sur ma peau, je n’ai pas mis de culotte. Il est surpris, j’écarte les jambes, il passe sa main entre, la met sur ma vulve, l’enserre, la caresse, je mouille.— T’es toute mouillée !— C’est parce que j’ai envie de toi !Je le sens troublé par sa découverte, l’écarte de moi, attrape la ceinture du boxer, tire vers le bas. Son sexe est tellement gonflé et raide que j’ai du mal à descendre le boxer, mais il finit par rejoindre le pantalon. Il a l’air honteux de dévoiler son érection, cache sa bite avec sa main. Je lui dis :— Approche-toi pour que j’enlève ton tee-shirt !Il se dégage de l’entrave de ses vêtements, s’approche, me laisse faire, et le voilà à poil devant moi. Je descends mes mains le long de son corps, m’accroupis devant lui, attrape la queue rouge et raide comme du bois, serre la tige derrière le gland violacé, le prends en bouche.— Qu’est-ce que tu fais ?Je ne réponds pas, absorbe la bite en entier, aspire le gland, le suce avec douceur, passe la langue sur les couilles, les soupèse.— Arrête, arrête, je vais gicler !Je continue à le sucer. Je sens le gland gonfler, la tige se raidir. Soudain il m’attrape par les cheveux, se cambre et m’enfonce sa queue en fond de gorge, ses mains bloquent ma tête. Il envoie tout par jets saccadés, c’est épais, j’étouffe, avale, déglutis, ça me coule sur le menton. Il me lâche la tête, recule :— T’as eu c’que tu voulais, j’t’avais prévenue ?Je ne peux pas répondre, me relève, fonce au lavabo, recrache le surplus, me rince la bouche, lave le visage, soulage ma vessie, fais une petite toilette intime, me parfume un peu. Me voilà de nouveau présentable. Je reviens dans la chambre. Il s’est assis au pied du lit, toujours à poil, bite pendante entre les cuisses écartées, songeur. Ses vêtements traînent au sol, je ne sais pas ce qu’il pense, il a un drôle d’air.— Tu te promènes toujours sans culotte ?— Bien sûr que non.— J’ai envie de te voir nue !— Déshabille-moi !Il se lève, s’approche timidement, déboutonne mon chemisier, il est fébrile, ses mains tremblent. Le chemisier tombe au sol, la jupe suit. Je recule, me présente à lui d’abord de face, puis de dos, me retourne, me penche un peu en avant, écarte les jambes, glisse ma main entre mes cuisses, enserre ma vulve, enfonce un doigt dans mon trou.— Comment tu me trouves ?— Tu es belle ! Enlève ta main ! Laisse-moi voir !Je m’approche de lui, lui prends la main, la plaque sur ma vulve. Il presse mes lèvres gonflées, introduit un doigt dans la fente, le glisse jusqu’à mon trou dans lequel il entre. Je vais prendre une serviette dans l’armoire, l’étends sur le lit, m’allonge dessus, écarte les cuisses. Il regarde ma toison, ne quitte pas mon sexe des yeux.Il hésite puis s’allonge à côté de moi, s’appuie sur un coude, regarde mon bas-ventre. J’ai l’impression que c’est la première fois qu’il voit une chatte de près.— T’as déjà fait l’amour ? Touché le corps d’une femme ?— Non, hier c’était la première fois !— Tu m’as juste pénétrée et lâché la purée tout de suite ! J’appelle ça baiser, pas faire l’amour !— Je t’ai pourtant bien remplie !— Allez, caresse mes seins, suce les bouts, tu vas voir comme c’est bon, ils vont durcir !Je suis excitée, je sens que je mouille, lui ne rebande pas, il vient de se vider dans ma bouche. Son sexe est à ma portée, je le caresse pendant qu’il couvre mon corps de baisers. Il descend de plus en plus vers ma chatte, fourre son nez dans ma toison. Je remonte les jambes, les écarte au max, cambre et relève le bassin, m’expose. Sous l’action de ma main, la vue de mon sexe et des caresses qu’il me prodigue, sa queue se redresse lentement, devient de plus en plus raide, ça va être bon. J’espère qu’il pourra tenir plus longtemps qu’hier !— Mets-toi entre mes jambes !Il passe par-dessus moi, se place à genoux entre mes cuisses, ouvre ma fente, mes grandes lèvres recouvertes de poils sont gonflées. Il a l’air de faire des découvertes. Il glisse un doigt à l’intérieur, s’arrête à l’entrée du vagin.— Ouvre-moi, mets deux doigts dans mon trou, fais-les tourner !Il entre ses doigts en entier, son pouce appuie sur mon clito. Un flot de mouille envahit ma fente— Qu’est-c’qui t’arrive ?— C’est rien, continue, écarte bien les lèvres, enfonce bien tes doigts !Il a compris, les fait tourner dedans, les ressort, tire sur les nymphes, remonte vers mon clitoris. Deux doigts le décalottent, il appuie sur le petit bouton rose qui émerge et durcit.— C’est ça le clitoris ?— Oui, caresse le petit bouton, dégage-le bien !Mon bas-ventre se cambre, je pousse un cri. Il paraît étonné, recommence, insiste, le roule entre deux doigts, je ne tiens plus, couine de plus en plus fort. Je me redresse, relève la tête, regarde son sexe, il est de nouveau en érection, pointé vers moi. J’attrape sa tête, tire, la fourre entre mes jambes, appuie sa bouche sur mon sexe.— Vas-y, lèche-moi !Il glisse sa langue au fond de ma fente, suce les nymphes, titille le clito du bout de la langue, aspire ma mouille, passe sa langue à l’entrée du vagin.— Viens, prends-moi !Il se couche sur moi, je prends sa queue, l’appuie sur mon clito, la glisse dans ma fente, elle se bloque devant mon trou. Il pousse, l’entrée lubrifiée, déjà ouverte par ses doigts, se dilate, le gland passe sans peine, le reste suit, il est au fond de moi, s’arrête, ne bouge plus. Pourvu qu’il ne lâche pas la purée tout de suite ! Je remue doucement le bassin, me cambre, je sens ses couilles frotter contre mon cul.Le voilà parti, il commence de lents va-et-vient, sort, rentre, va de plus en plus loin en moi. C’est bon de le sentir à l’intérieur de moi, je goûte ces instants magiques, j’accompagne chaque coup de bite. Il va de plus en plus vite, je serre mon vagin, emprisonne ses reins entre mes jambes pour bien le maintenir sur moi. Ses coups de queue sont de plus en plus rudes, il me l’enfonce jusqu’aux couilles, je les sens taper contre mon cul, il me ramone terrible. La tension monte en moi, ma respiration s’accélère, mon cœur bat la chamade, je suis partie. C’est le nomment qu’il choisit pour m’envoyer plusieurs giclées au fond du vagin, ressort, entre de nouveau, finit de se vider. Je crie.— Ouiiiiiiiii, vas-y, plus fort, encore. Oh ouiiiiiiiiiiiii, j’en veux !Je me cambre, bloque sa queue au fond, défaille, j’ai chaud, retombe. C’est fort, quel orgasme. Cette fois il m’a fait jouir. Il ne bouge plus, est là , aplati sur moi, récupère. Sa queue est toujours à l’intérieur, je serre mon vagin pour bien la sentir, la garder en moi le plus longtemps possible. Je mets les bras sur son dos, je ne veux pas qu’il ressorte tout de suite… La queue, toujours enfoncée jusqu’aux couilles, diminue, je sens le gland qui recule dans ma gaine, je contracte mes muscles du vagin, comprime le gland, relâche, recommence, je veux qu’il reste en moi.Que se passe-t-il ? Je sens que le gland, augmente de volume. La tige gonfle et se raidit, s’allonge. Je la sens qui se redresse à l’intérieur de moi. Un soubresaut, le gland toujours en retrait, envoie une giclée au fond de ma gaine. Je n’en reviens pas, il en a encore ! Il sort de moi, donne un coup de rein, entre sauvagement, se rue au fond de moi, ressort, recommence, il s’acharne dans mon ventre. Voilà qu’il gicle de nouveau, ce n’est pas possible, c’est bon, c’est chaud. Chaque coup de piston me fait crier de plus en plus fort :— Ohhhhhh, Ahhhhhhhh, Ouiiiiiiiiiiii, défonce-moi !Je perds la tête, j’ai l’impression que mon cœur s’arrête, je respire difficilement, décolle, plane. Encore un orgasme, plus fort que celui de tout à l’heure Il m’a encore bien servie, je le repousse, sa bite quitte mon antre, le sperme coule dans ma fente, dans la raie des fesses, sur mes cuisses, sur la serviette tellement il y en a. Je me lève, sors de la chambre, vais dans la salle d’eau, il me suit. Je m’installe sur les toilettes, ouvre largement les cuisses, écarte les bords de mon trou, vide mon vagin, en profite pour me soulager la vessie, m’essuie. Il me regarde, intéressé.— C’est la première fois que tu vois une femme pisser.— Oui, moi aussi j’ai envie que tu me regardes.Je me lève, lui laisse la place, le regarde viser la cuvette, le jet est un peu dispersé, il arrose un peu les bords. Puis il vient vers moi, me dit :— Laisse-moi te laver !— Si ça te fait plaisir !Je lui donne un gant de toilette, il le mouille, l’enduit de savon, le passe entre mes cuisses, dans ma moule, le rince, recommence. J’ai besoin de plusieurs passages tellement mon sexe est enduit de sperme, il en coule encore. Il m’essuie, s’accroupit devant moi, m’écarte bien les jambes, dégage mon clito, y passe sa langue, le suce, l’aspire, il bande. Ses lèvres tirent sur mes nymphes, sa langue va jusque dans mon trou. Je mouille, c’est bon. Mais on a plus le temps, je le repousse :— À moi maintenant, passe-moi ta queue, je vais la laver !Il se met devant moi, je la prends en main, l’enduis de savon, fais coulisser ma main sur sa queue, la lave soigneusement, la rince, l’essuie. Voilà qu’il rebande, ce n’est pas vrai. Je donne une tape dessus. Il me retourne brutalement, me plaque le buste sur le lavabo, passe ses jambes entre les miennes, les force à s’écarter.— Qu’est-ce qui t’prend ?Je sais ce qui va se passer, je remue le cul, place ma fente à hauteur de sa bite, il la glisse dedans et d’un coup de rein m’enfile. Il me burine sec, chaque coup est accompagné d’un : Han, han, han. J’ai chaud, je fatigue, donne un coup de cul, me dégage.— On a plus le temps, ça fait deux heures qu’on baise, tu dois partir !On retourne dans la chambre, on se rhabille, je vire la serviette au sale, ouvre en grand la fenêtre, la pièce a besoin d’air. On repasse dans la cuisine, on crève de soif.— Tu sais, j’avais un peu peur, je n’ai jamais baisé, je t’ai déçue ?— Non, pas du tout, tu m’as fait jouir deux fois.— Je n’avais jamais fouillé un sexe de femme. Tous ces plis, ce petit bouton rose, la fente ! Ça a un drôle de goût !!!— Tu apprends vite, j’ai mouillé terrible quand tu as introduit tes doigts puis fait bander mon clito. Tu as goûté ma cyprine, t’aimes ça ?— Non, c’est âcre ! Et toi, mon sperme, ne fallait pas me sucer !— Je ne voulais pas que tu gicles en entrant dans moi, comme hier ! Les préliminaires, ça t’a permis de connaître le sexe d’une femme, et à moi, d’avoir vraiment envie de me faire sauter. Allez, mes grands-parents vont rentrer du boulot, faut pas rester là  ! Qu’est-ce que tu as fait de la culotte que j’ai laissée chez toi hier ?— Je ne savais pas quoi en faire, elle était toute collante, je l’ai mise à la poubelle.— T’aurais pu la mettre dans un sac plastique et me la rendre !— Je ne voulais pas que ma mère la trouve !Je vais refermer la fenêtre, il retourne chez lui, les couilles bien vides. Je l’embrasse sur la joue, lui dis :— À demain, entre nous, pour une première fois, tu baises pas mal. Qu’est-ce que tu m’as mis ! Je sens qu’il en coule encore !Il passe sa main sous ma jupe, touche ma vulve, elle est de nouveau collante.— Remets une culotte, reste pas le cul nu ! Bye, bye !