Jai raconté, dans le premier épisode, le début de ce mémorable été 1992. Jétais déjà fort occupé avec ma fiancée Angélique et sa copine Béatrice, aussi exigeantes lune que lautre. Mais Angélique était venue en vacances avec sa mère, Marie-Cécile, qui venait de divorcer et sen remettait très mal. Angélique cherchait désespérément un moyen de lui remonter le moral. Or, ce moyen, je lai trouvé un soir où Marie-Cécile et moi étions seuls en voiture, et nous lavons mis longuement en pratique sur le tapis de sa salle à manger. Restait à annoncer la nouvelle à Angélique : Tu vas être contente, ma chérie, je crois que ta mère reprend goût à la vie. La preuve, nous avons baisé ensemble !Enfin, je ne le lui ai pas dit comme ça, jai essayé denrober un peu la chose. Angélique me jette un regard dubitatif : Ça lui a plu, au moins ? Euh Si elle na pas aimé, elle faisait bien semblant.Son visage séclaire et elle me saute au cou. Gégé, tu es génial ! Cest exactement ce quil fallait à ma mère. Enfin, cest quand même mieux que si elle se laissait dessécher jusquà ce que mort sensuive, ou, pire, si elle se laissait sauter par quelquun de pas bien ? Non, tu es la meilleure chose qui pouvait arriver à ma mère. Et de mon côté, si tu dois courir après dautres femmes, jaime autant savoir lesquelles.Je dois reconnaître que ça a une certaine logique. En me poussant successivement dans les bras de Béatrice et de Marie-Cécile (car, elle me le confirme : en me laissant seul avec sa mère, elle avait sa petite idée), elle sest assuré que je puisse la tromper sans quelle ait limpression dêtre trompée. De plus, elle fait un beau cadeau à sa mère. Certains machos pourraient se vexer davoir une fiancée qui choisit pour eux leurs maîtresses parmi les femmes de son entourage, mais ceux-là nont pas vu Marie-Cécile ni Béatrice de près.Justement, le lendemain, Béatrice et moi venons manger chez ma future belle-mère. À mon arrivée, jai la surprise de la trouver dans une robe dété très décolletée, sous laquelle il est évident quelle na pas de soutien-gorge. Ce nest pas quavec ses quarante-deux ans, elle en ait vraiment besoin, et sa jupe courte dévoile quant à elle des jambes de rêve. Mais Marie-Cécile est (ou était) assez collet monté, au propre comme au figuré ; je ne lai jamais vue dans une tenue semblable, et un regard échangé avec Angélique mapprend quelle non plus ! À ses yeux, je vois quelle me félicite de décoincer un peu sa mère.Marie-Cécile part à la cuisine pour préparer la salade, et je la suis, sous prétexte de laider. En fait, à peine est-elle occupée à secouer sa salade dans lévier que je la saisis par derrière et remonte sa jupe sur ses cuisses. Je men doutais un peu en la voyant marcher : elle ne porte pas de slip non plus. Et je commence, tout en lembrassant dans le cou, à lui caresser les fesses, les hanches, à écraser ma braguette – bien tendue, comme vous limaginez – contre sa raie, à passer ma main droite par-devant et à introduire mon index dans sa chatte déjà trempée Vous trouvez peut-être cette conduite abominablement phallocrate, envers une femme qui est face à un évier, avec les mains embarrassées dun panier à salade ? Moi aussi, en fait – sauf quand la fille de ladite femme, qui est en même temps votre fiancée, se trouve dans la pièce voisine.Lidée de la pièce voisine semble inquiéter Marie-Cécile, qui lâche son panier et pose les mains, sans grande conviction, sur mes avant-bras : Arrête, les filles pourraient nous voir.Si elle savait que je suis là avec leur bénédiction, et quelles doivent être en train de chercher à imaginer ce que nous faisons dans la cuisine ! Et comme mon index sagite de plus en plus autour de son petit bouton, elle ne dit plus rien et commence à gémir doucement. Ses tétons doivent être durs à lui faire mal, car elle se glisse une main dans le décolleté et commence à les malaxer. Je ly aide activement de ma main restée libre, et bientôt elle doit se fourrer un torchon entre les dents pour sempêcher de crier.Une fois retrouvés ses esprits, elle se retourne vers moi, semble se rendre compte que je nai pas eu les mêmes satisfactions quelle, et soudain, sans que je ne lui demande rien, me débraguette, sort mon sexe et le branle jusquà ce que je gicle sur le parquet – ce qui, dans létat où je suis, ne prend que quelques secondes.Pendant que je nettoie le sol, Marie-Cécile essuie ses cuisses trempées de mouille. Elle remet de lordre dans sa tenue, essaie de la défroisser avant que nous ne rejoignions les filles. Lorsque jarrive à table, Angélique mattrape la main droite et dépose un baiser sur mon index. Ce serait un geste banal entre amoureux dans toute autre circonstance, mais là, Béatrice est prise dun fou rire quelle étouffe dans sa serviette. Visiblement, les filles ne se sont pas contentées dimaginer ce que nous faisions ! Heureusement que Marie-Cécile ne sest aperçue de rien.Après le repas, les filles vont dans la chambre dAngélique en annonçant quelles vont faire la sieste. Je lai assez faite avec elle pour savoir ce que cela veut dire, et de mon côté jaccompagne Marie-Cécile jusquà son lit. La relative ignorance dans laquelle son mari, de son propre aveu, lavait laissée commence à se dissiper, en même temps que ses préjugés. Elle accepte puis provoque des caresses nouvelles, me les rend Après une demi-douzaine dorgasmes (non, je ne suis pas un sur-mâle, mais je vous ai dit quelle y mettait de plus en plus du sien), nous sommes tous les deux étendus dans le lit, elle sur le dos, les yeux clos, à moitié endormis, moi à côté delle, lui caressant le ventre et la chatte, lui préparant un nouveau départ au septième ciel.Elle atteint doucement le cinquième ou le sixième lorsque Béatrice ouvre silencieusement la porte. Entièrement nue, elle me fait signe de me taire et se glisse au pied du lit sans que Marie-Cécile ne sen aperçoive. Je lui laisse lendroit que jétais en train de caresser, portant ma main un peu plus haut. Dans son demi-sommeil, ma future belle-mère met un moment à comprendre que la langue qui lui enflamme le clito ne peut pas être la mienne. Elle a un sursaut, mais Béatrice se couche déjà sur elle, lembrasse, presse ses seins, son ventre, son bouton contre les siens ; de mon côté je redouble mes caresses, et il ne faut quun instant à Marie-Cécile pour franchir les un ou deux cieux qui lui restaient à escalader.Inutile de poser la question à Béatrice : il est évident quelle est là avec lapprobation dAngélique. Ma fiancée est de plus en plus gonflée, pensai-je, elle vient tout simplement de faire violer sa mère par sa copine ! De fait, Marie-Cécile (elle nous confirmera par la suite que cétait sa première expérience lesbienne) est rouge de confusion et au bord des larmes. Les baisers et la tendresse de Béatrice, secondés par les miens, ne tardent pas à la réconforter. Elle accepte de partir avec nous pour de nouveaux voyages, regarde Béatrice prendre avec moi des postures inconnues delle mais quelle sempresse de reproduire ; voyant lamie dAngélique moffrir ce quau siècle dernier on appelait une « complaisance », elle se penche à son tour sur mon sexe le prend dans sa bouche, ondule timidement de la langue et des lèvres, puis se fait de moins en moins timideBéatrice na pas refermé la porte, et je vois distinctement la silhouette dAngélique apparaître dans louvertureLaprès-midi est loin dêtre finie, et Marie-Cécile nest pas au bout de ses surprises, mais je suggère quon la laisse un peu se reposer. Je vous raconterai la suite une autre fois.