Je vais vous raconter quelque chose de peu commun. J’ai même cru au début que cela ne s’était jamais passé et pourtant, la situation était bien réelle. Je ne vais pas tout vous raconter pour éviter d’être reconnue, lui comme moi, mais ce que je peux vous dire, c’est que j’ai vécu une expérience sexuelle hors norme avec mon gynécologue.
Chaque année, je me force à aller voir un gynéco pour vérifier que la machine fonctionne bien. Mon gynéco est un homme. Cela m’a surpris au début, mais comme les visites se sont toujours très bien passées, je ne voyais aucun inconvénient à ce qu’il m’ausculte. Surtout qu’en général, ça dure 10 minutes alors je pouvais bien faire l’effort. Il n’a jamais eu de gestes déplacés envers moi donc tout allait bien.
La secrétaire m’a accueillie avant de souhaiter une bonne soirée au gynéco et à moi-même, elle avait terminé sa journée. J’étais la dernière patiente et je me suis retrouvée seule avec le médecin dans son cabinet. Tout a commencé de manière très professionnelle où il m’a demandé de m’installer sur la table et d’écarter les cuisses. J’avoue que cette phrase me fait toujours un petit effet surtout venant d’un professionnel de santé. Je me suis exécutée me sentant évidemment gênée d’être ainsi exposée de la sorte.
Il me tournait le dos et j’ai vu qu’il a mis un gant et lorsqu’il s’est retourné, il a marqué un mouvement d’arrêt. Il a fait un blocage sur mon intimité. Je n’aime pas avoir le pubis lisse. J’ai déjà essayé bien évidemment, mais cela ne m’a pas plu. Aujourd’hui, je garde ma chatte poilue tout en l’entretenant. Je la trouve bien plus jolie ainsi et elle me procure davantage de sensations. Ce n’est que mon expérience personnelle et je ne juge absolument pas les filles épilées. Lorsque j’ai vu la réaction du gynéco, j’ai tout de suite compris que la majorité des autres filles avait le minou tout lisse.
Il s’est vite ressaisi et a pratiqué son examen médical comme d’habitude. Juste avant de terminer, il s’est mis au niveau de mon visage, a placé sa main sur mon ventre et m’a fixé dans les yeux en me demandant s’il pouvait me poser une question qui pouvait me paraître indiscrète. D’un naturel curieux, je lui ai dit qu’il pouvait poser sa question. C’est là qu’il me demande s’il peut retirer son gant pour toucher mon sexe poilu.
Je suis surprise et décontenancée. Mais peut-être aidée par la fatigue, je me suis dit « pourquoi pas ! ». J’ai acquiescé et j’ai vu que le gynécologue avait un grand sourire. Il m’a fait un signe de tête pour me remercier et a retiré son gant. Il a caressé mon pubis lentement et longuement. Il est descendu doucement vers mes lèvres et ma vulve et a passé son doigt sur l’ouverture de mon vagin. Alors en tant que gynécologue, c’est un expert en chatte et en vagin. À peine avait-il touché mon intimité que je me suis mise à mouiller. C’est à ce moment-là qu’il a décidé de passer à la vitesse supérieure. M’ayant auscultée un peu plus tôt, elle a bien vu que j’étais sèche sûrement à cause du stress. Il a donc déduit que ses caresses m’excitaient et c’était le cas !
Sans me demander la permission, cette fois-ci, il enfonçait un doigt puis un deuxième dans mon vagin. Il m’a doigté l’intérieur de la grotte d’une manière très habile et très douce. De son pouce, il me malaxait le clitoris. En moins de deux minutes, j’ai senti le plaisir monter en moi et j’ai expulsé de la mouille et des sécrétions sur ses doigts. Un puissant orgasme m’a terrassé et m’a laissée pantelante. Le gynéco a alors essuyé avec son propre mouchoir en tissu mes sécrétions vaginales, a replié soigneusement le mouchoir avant de le remettre dans sa poche. Il m’a dit que mon examen était normal et que je pouvais me rhabiller pour le rejoindre dans le bureau.
À ce moment-là, je l’ai trouvé très froid. Il m’a renouvelé mon ordonnance pour la pilule et m’a rendu ma carte vitale. Il ma quand même dit que je pouvais revenir le voir quand je voulais pour lui poser des questions ou approfondir l’examen d’aujourd’hui. Je suis rentrée chez moi et je me suis caressée en repensant à ce qui s’était passé quelques heures plus tôt. Le lendemain, j’ai appelé son cabinet et j’ai demandé à lui parler directement. Il m’a dit de passer le soir en fin de journée et qu’il aurait toujours du temps pour moi. C’est ce que j’ai fait huit jours plus tard en me pointant de manière imprévue à son cabinet. Cette fois-ci, c’est moi qui me suis occupée de lui. Mais chaque chose en son temps, je reviendrai peut-être vous rencontrer la suite.
Bisous à tous et merci de m’avoir lue jusqu’ici.
Myriam 38 ans Évian