RĂ©sumĂ©Â : La dernière fois nous sommes retournĂ©s au club du Moulin et nous avons eu notre première expĂ©rience Ă trois. Un peu malgrĂ© moi d’ailleurs. Depuis je suis comme fou.Depuis l’aventure du club, je fais comme si de rien n’était. Mathilde a paru un peu gĂŞnĂ©e au dĂ©but, le lendemain surtout, mais rapidement elle s’est dĂ©tendue. Contrairement Ă la première fois, tout est très vite redevenu normal. Comme si rien ne s’était passĂ©. Il fallait que je sache jusqu’oĂą elle serait prĂŞte Ă aller. Quelle histoire devrais-je encore mettre au point ? Puis soudain l’idĂ©e m’est venue comme ça. J’allais faire venir un homme Ă la maison. Je ferais tout pour les mettre en situation et nous verrions comment elle rĂ©agit. En fonction, je serais fixĂ©, et je pourrais alors poser mes conditions et la prendre en main comme je l’ai toujours espĂ©rĂ©.Je dĂ©cide donc de m’inscrire en tant qu’homme sur un site de rencontres. Je choisis un site plutĂ´t orientĂ© rencontre d’un soir, de sorte Ă trouver des hommes vraiment accros, expĂ©rimentĂ©s et surtout très cochons. Je veux vraiment la pousser dans ses derniers retranchements en prenant un homme qui saura peut-ĂŞtre dĂ©clencher en elle le dĂ©mon qui sommeille, me permettre enfin de profiter pleinement de ma femme et de son corps.Un homme qui recherche un autre homme pour sa femme, c’est, je pense, toujours plus intĂ©ressant, pour les pervers qui traĂ®nent.Je sĂ©lectionne donc quelques photos d’elle, habillĂ©e pour la plupart ou lĂ©gèrement vĂŞtue. Il me faut maintenant trouver une annonce aguicheuse. Après quelques heures de recherche en lisant d’autres annonces, je griffonne une annonce puis l’amĂ©liore. VoilĂ elle est prĂŞte.Homme 40 ans, mariĂ©, recherche pour sa femme, 50 ans, homme, 55 – 60 ans, très expĂ©rimentĂ© pour la sĂ©duire et lui faire l’amour. Femme plutĂ´t BCBG, mais coquine et volontaire. Hommes fortement membrĂ©s apprĂ©ciĂ©s. Merci de bien vouloir faire suivre photos.Pourquoi avais-je parlĂ© de coquine, volontaire ? Sans doute pour justement qu’il y aille franco. Pas de fioritures. Je voulais un mâle, un vrai. Je voulais qu’il la sĂ©duise et qu’elle se donne Ă lui corps et âme.Les rĂ©ponses n’ont pas tardĂ© Ă pleuvoir. Deux cents mails en trois jours. J’ai commencĂ© par trier par âge enlevant tout les moins de 55 ans. J’ai rĂ©ussi Ă mettre des filtres sur ma messagerie pour que seuls les profils correspondant Ă ma recherche puissent m’écrire. Tout s’est rapidement calmĂ©. J’ai ensuite Ă©liminĂ© ceux qui n’avaient pas envoyĂ© de photos. Il ne me restait finalement qu’une dizaine de profils. J’ai ensuite doucement triĂ© pour finalement rester sur un profil intĂ©ressant.Ce profil m’a vraiment beaucoup surpris et intriguĂ©Â :Je m’appelle Bernard, j’ai 65 ans, photographe de charme professionnel Ă la retraite, mobile et expĂ©rimentĂ©. Je me propose de vous aider Ă dĂ©bloquer votre femme pour en faire la salope dont vous rĂŞvez. En bonne condition physique et bien membrĂ©, je saurai lui faire apprĂ©cier le plaisir qu’on peut prendre Ă se donner sans contrainte, sans tabou et sans honte.La photo le prĂ©sentait en costard, lĂ©gèrement bedonnant et dĂ©garni, pas un top-modèle mais une certaine classe qui ne laissera pas Mathilde indiffĂ©rente, j’en suis sĂ»r. Puis il me parle de ma femme en des termes très polis puis très crus disant qu’elle a une belle bouille de suceuse qu’elle doit bien prendre et que je fais bien de la prĂŞter car ce genre de femmes, et il a l’œil dit-il, aiment la queue et il faut leur en donner. Enfin, je tombe sur la photo de son sexe en Ă©rection. Un bel engin. Assez long mais Bon Dieu vraiment large avec un gros gland. Mon dĂ©volu se posa sur lui, encore faut-il que je sache oĂą il habite et s’il se sent capable de rentrer dans mon dĂ©lire et participer Ă mon stratagème. J’apprends au final qu’il est veuf et qu’il passe son temps Ă batifoler de droite Ă gauche. Rapport toujours protĂ©gĂ©, il est sain.Pendant plus d’une semaine nous avons conversĂ© par mail. Nous Ă©changions des photos, pour sa part, de modèles plus ou moins, voire pas du tout connus. Certaines photos Ă©taient mĂŞme Ă caractère pornographique. Il m’avoua avoir, Ă une certaine Ă©poque, travaillĂ© pour un metteur en scène porno dont il refusa de me donner le nom et finit par concĂ©der avoir vu grand nombre de castings, prises de vues et scènes aussi hard les unes que les autres. Je lui fis parvenir quelques photos volĂ©es, Ă l’occasion, en nuisette ou en maillot de bain. Il me dit que Mathilde Ă©tait très photogĂ©nique et que, bien qu’à la retraite, il avait gardĂ© un petit studio dans sa maison d’Arcachon et qu’il Ă©tait toujours aussi mordu de photographie investissant encore dans du matĂ©riel de haute qualitĂ© et que ce serait avec plaisir qu’il ferait un petit book Ă Mathilde, en ma prĂ©sence bien Ă©videmment. En confiance, je lui racontai nos deux escapades, comment elle avait rĂ©agi, ce qu’elle aimait, etc.J’ai pris beaucoup de plaisir Ă parler de Mathilde avec Bernard. Jamais je n’avais aussi peu pensĂ© Ă faire l’amour avec Mathilde. Puis vint le jour oĂą je lui ai soumis de mettre en place notre rencontre. VoilĂ le plan :Nous avons pas mal d’amis et nous sortons rĂ©gulièrement en boĂ®te. J’organise donc une soirĂ©e, resto, bar, boĂ®te avec Ă©videmment un capitaine de soirĂ©e qui passera nous prendre et nous ramènera. Donc pas de voiture, on pourra boire tranquillement. Mathilde adore faire la fĂŞte. Elle aime boire et quand elle boit ses inhibitions disparaissent comme par enchantement. Souvent nous avons failli avoir des ennuis parce que justement elle n’a plus aucune limite quand elle a trop bu. MĂŞme si depuis quelques annĂ©es elle s’est calmĂ©e, il n’en reste pas moins que parfois le naturel revient au galop.Nous convenons donc de nous rencontrer en boĂ®te de nuit samedi prochain. Il est d’accord, le rendez-vous est fixĂ©. Le soir mĂŞme, je dis Ă Mathilde, ravie, que nous avons rendez-vous en boĂ®te avec des amis ce week-end. Mathilde adore faire la fĂŞte avec ses copines. J’organise tout ça tranquillement. L’air de rien.Le samedi arrive, doucement ma femme s’apprĂŞte, je l’encourage Ă mettre une tenue un peu sexy pour l’occasion. Elle opte finalement pour les chaussures Ă talons de l’autre fois, une paire de bas noirs, son micro string et une jupe mi-cuisse lĂ©gère. Un petit chemiser blanc translucide assez dĂ©colletĂ© oĂą l’on aperçoit ses tĂ©tons au-dessus des demi-bonnets du soutien-gorge dentelle que je lui ai offert et qu’elle rechigne Ă mettre. Et nous voilĂ partis.ArrivĂ©s en boĂ®te nous retrouvons nos amis. Je me mets en quĂŞte de mon apollon. Je trouve un coin discret et calme et l’appelle sur son portable. Il me dit qu’il est en route, il sera lĂ dans dix minutes que je le retrouve Ă l’entrĂ©e. Dix minutes paraissent des heures. Je ne cesse de regarder ma montre. Ma femme boit et s’amuse comme une petite folle. Elle tourne Ă la vodka-orange, moi au whisky-coca. Elle ne supporte pas super bien les alcools forts, et rapidement elle est un peu Ă©mĂ©chĂ©e. Dans ces moments-lĂ , elle est très amoureuse et très tactile. Elle me colle, m’embrasse, elle est chaude, je le sens. Elle colle aussi nos amis leur passant la main sur les cuisses ou dans le dos sans mĂŞme une arrière-pensĂ©e. Je ne bois pas trop, je veux rester maĂ®tre de la situation. Je m’approche de l’entrĂ©e, j’attends un moment puis le voilĂ qui entre habillĂ© plutĂ´t classe. Je lui montre rapidement oĂą nous sommes placĂ©s et laisse libre cours Ă sa mĂ©thode d’approche. Ça me permettra de le tester et ainsi de voir ce qu’il vaut.Le voilĂ parti sur la piste de danse, il attrape une amie de ma femme et la fait danser, elles rigolent, dansent, il sait y faire, c’est sĂ»r, il danse super bien, l’ancien. Mathilde adore danser, sa jupe virevolte laissant parfois apparaĂ®tre le haut de ses bas. Puis arrive une sĂ©ance de slows. Mathilde dĂ©teste ça. Les filles, elles sont trois, invitent notre homme Ă venir boire un verre sans doute pour le remercier de les avoir si bien fait danser. Je dois avouer que la chance a jouĂ© en ma faveur cette fois, il leur a plu de suite. Nous sommes entre mecs, on papote et on picole tranquillement. On le salue, lui serre la main, nous discutons tous ensemble comme si de rien n’était. Le temps passe et la soirĂ©e tire Ă sa fin, nous rions tous de bon cĹ“ur, Bernard fait danser les filles, je danse aussi un peu et Mathilde est maintenant Ă point, elle n’arrĂŞte pas de me faire des bisous. Elle a une pĂŞche d’enfer, ça fait longtemps que je ne l’avais pas vue aussi joyeuse. Une dernière danse avec Bernard, elle est accrochĂ©e Ă son cou comme une bernique Ă son rocher. Ses mains Ă lui se baladent sur sa jupe, sur ses fesses. Elle ne dit rien, c’est qu’elle est Ă point. Tant mieux.Finalement tout le monde se prĂ©pare Ă rentrer. Bernard nous propose de nous ramener Ă©vitant ainsi un dĂ©tour Ă l’un de nos amis. On accepte avec plaisir. Bernard nous prĂ©cède et c’est une superbe BMW sĂ©rie 7 qui nous attend.— On ne se refuse rien ! dis-je jaloux.J’aime les belles voitures et j’ai presque failli gaffer en parlant de son mĂ©tier alors que j’étais censĂ© ne pas le connaĂ®tre. C’est le coup de coude de Mathilde dans les omoplates qui m’a empĂŞchĂ© de finir ma phrase.— Oui depuis le dĂ©cès de ma femme, je ne me refuse plus rien. La vie est trop courte et j’ai la chance d’avoir bien prĂ©parĂ© ma retraite.Je fais monter Mathilde derrière qui malgrĂ© son dĂ©sintĂ©rĂŞt total pour l’automobile trouvait celle-ci particulièrement belle. Moi je n’en croyais pas mes yeux. J’aurais donnĂ© n’importe quoi pour avoir la mĂŞme.ArrivĂ©s devant la maison, il est dĂ©jĂ 4 h 30 du matin, Mathilde, bien Ă©mĂ©chĂ©e, lui propose de boire un dernier verre en me regardant sachant que je ne suis pas très sociable, j’acquiesce, Mathilde me fĂ©licite de cet Ă©lan de savoir-vivre qui ne me caractĂ©rise pas, surtout Ă cette heure. Bien sĂ»r il accepte. Mathilde sourit et dit :— Allez, champagne pour tout le monde.Bernard Ă©clate de rire, dĂ©tendu et serein, comme si tout Ă©tait normal.— Quelle santĂ©Â ! dit-il.Il l’attrape par la taille et l’accompagne jusqu’à la porte d’entrĂ©e. Je suis nerveusement, mais confiant. Je suis sĂ»r de mon coup. Elle ne cĂ©dera pas, malgrĂ© l’alcool, je suis sĂ»r qu’elle le repoussera. On entre dans le salon, Bernard et Mathilde s’installent dans le canapĂ© pendant que je vais chercher le champagne. Je mets les coupes sur la table basse et fais le service. On trinque et on commence Ă discuter de tout de rien. Des enfants, du boulot, de nos passe-temps. Je vois le regard de Bernard dĂ©tailler le corps de Mathilde dont la jupe est remontĂ©e et laisse voir la lisière de ses bas, elle a dĂ©fait un bouton de son chemisier, offrant une vue imprenable sur son dĂ©colletĂ©. Bernard n’en perd pas une miette. Je mets un peu de musique douce, histoire de me dĂ©tendre. Bernard saute sur l’occasion pour la faire danser. DĂ©cidĂ©ment, il est vraiment douĂ© pour s’attirer les grâces de Mathilde. Ils dansent enlacĂ©s doucement, il a les mains sur ses hanches et elles sur ses Ă©paules. Il caresse le haut de ses jambes, son dos, lorgnant franchement dans son chemisier.— J’adore votre soutien-gorge. J’adore ces soutien-gorge qui n’enveloppent que le galbe des seins et laissent libres les tĂ©tons, dit-il— C’est mon mari qui me l’a offert, je ne le mets quasiment jamais. Il a insistĂ© pour que je le mette aujourd’hui, rĂ©pond-elle en rougissant.— Eh bien ma chère Mathilde, votre mari a très bon goĂ»t et il a bien eu raison, car il vous va Ă ravir.Mathilde, toute rouge, lui sourit, sans mĂŞme un regard dans ma direction. Elle se cambre fièrement comme pour lui en montrer davantage. Moi, je suis fou, je bois, sans doute plus que de raison. Quand ils reviennent, j’ai fini la bouteille de champagne et en ouvre une autre. Je me dĂ©cide Ă lancer les hostilitĂ©s.Surpris pas la question. Il me fusille du regard.— Non mais t’es con ou quoi ! Ă©ructe Mathilde. Je suis navrĂ©e, mais l’alcool le rend complètement idiot.— Ce n’est pas grave, je vous ai dit tout Ă l’heure, mais vous n’avez sans doute relevĂ© qu’elle Ă©tait dĂ©cĂ©dĂ©e, dit-il en me souriant, comprenant que je venais, malgrĂ© moi, de le faire entrer dans le cĹ“ur de Mathilde.— Ça fait maintenant dix ans, mais il en reste toujours quelque chose.— Ça doit ĂŞtre dur de vivre seul non ? demande Mathilde.— Vous savez ? Je m’occupe, j’ai beaucoup d’activitĂ©s, j’aime rencontrer des gens nouveaux comme ce soir.Il profitait de la situation. Je lui avais racontĂ© notre petite expĂ©rience. Je sentais l’affaire m’échapper, j’étais saoul et j’ai voulu faire le malin.— Vous allez en club Ă©changiste ?— Oui ! Ça m’arrive de temps en temps. Quand je me sens seul.— Ah oui. Nous aussi nous y somme allĂ©s. Deux fois. N’est-ce pas, chĂ©rie ?Mathilde, une fois de plus me fusille des yeux. Cette fois, je crois que je me suis grillĂ© tout seul. Et pourtant, imbĂ©cile et alcoolisĂ© j’insiste.— Bah quoi ? Y a pas de honte. En plus t’as aimĂ© ça, il me semble, non ? Surtout la dernière fois.— Mais tu vas la fermer !— Allez quoi, raconte Ă Bernard, il sait ce que c’est !Je ricane.— Oui Mathilde. Racontez-moi.— SĂ»rement pas.— Allez quoi… fais pas ta mijaurĂ©e ! dis-je.— Fous-moi la paix.Mathilde est Ă©carlate, rouge vif, gĂŞnĂ©e, et pourtant j’en suis sĂ»r, excitĂ©e. Bernard vient Ă son secours.— Laissez tomber. Allez venez danser.Mathilde se lève et se love dans ses bras comme une pauvre petite chatte, me jetant au passage un regard assassin dont elle en a le secret. Moi, plein comme un âne, je lui fais un clin d’œil.Finalement. Je finis par m’éclipser dans la cuisine, je ramasse les assiettes qui traĂ®nent dans l’évier et les mets dans le lave-vaisselle. Pourquoi ? Je ne sais pas. Il fallait que je me change les idĂ©es. J’avais le cerveau embrumĂ© par l’alcool que j’ai bu trop vite. Puis, je me suis souvenu que Mathilde dansait avec Bernard. Je ne sais pas combien de temps s’est Ă©coulĂ©, mais je reprends un peu mes esprits en me disant que j’ai peut-ĂŞtre bien jetĂ© ma femme dans les bras de cet homme avec mes rĂ©flexions idiotes. Je dĂ©cide donc de les Ă©pier. La porte de la cuisine entrouverte, ils ne peuvent pas me voir. Je les vois tout aussi bien que je les entends. Je suis bien placĂ©.— Alors comme ça, Mathilde, vous avez aimĂ© vous rendre dans ce club ?— Oui, j’ai trouvĂ© ça Ă©trange et Ă la fois excitant, dit-elle timidement.VoilĂ qu’elle se confie. Je n’en crois pas mes oreilles. Je m’appuie doucement contre le mur afin d’observer la scène confortablement.— Vous avez aimĂ© ĂŞtre vue et touchĂ©e par d’autres ? Vous avez fait l’amour avec d’autres hommes ?— Non, dit-elle.— Qu’avez-vous fait ?— Je l’ai… je l’ai… juste une fellation.— Oh Mathilde que vous ĂŞtes belle comme ça, toute timide. On vous donnerait le Bon Dieu sans confession.Elle rit, et se serre un peu plus contre lui.Elle est rouge comme une pivoine, signe caractĂ©ristique qu’elle est bien attaquĂ©e niveau alcool. Je crains le pire et pourtant m’interdis d’intervenir. J’essaye de me rassurer. Ce n’est pas possible, tout va bien se passer.Et pourtant, la voilĂ dans ses bras. En train de se confier Ă un inconnu alors qu’elle ne me dit jamais rien. Je les vois danser, il passe sa main sur ses hanches, sur le haut de ses cuisses, remontant lĂ©gèrement la jupe puis la laissant redescendre. Et moi je mate. Sa main caresse une de ses fesses. Elle blottit sa tĂŞte dans son Ă©paule. Le voilĂ maintenant qui lui pelote les fesses doucement, il caresse son dos, lui fait des bisous dans le cou. Elle apprĂ©cie. Il passe derrière elle, la tient par les hanches. Ils se dandinent sur un zook, elle a ses fesses contre lui. Il lui parle dans le creux de l’oreille, tout en l’embrassant dans le cou. Elle adore ça. Elle frissonne. Par-dessus son Ă©paule il a une vue plongeante sur son dĂ©colletĂ©.— Vous avez une poitrine magnifique, Mathilde.Et joignant le geste Ă la parole, ses mains quittent les hanches de Mathilde, glissent sur son ventre et viennent se caler sous ses seins. Il les soupèse maintenant timidement. Un dans chaque main. Les presse doucement. Elle ferme les yeux pour mieux apprĂ©cier la caresse. Visiblement elle aime ça. Il dĂ©boutonne doucement son chemisier laissant apparaĂ®tre son soutien-gorge oĂą les tĂ©tons sont Ă nu. DĂ©licatement, il les frĂ´le qui durcissent instantanĂ©ment. Puis, d’un geste habile, il fait glisser les bonnets sous les seins lourds de Mathilde. Ça a pour effet de faire bien remonter sa poitrine tout en la laissant libre de retomber par dessus. Elle ne dit rien. Il commence alors Ă masser les seins de Mathilde tendrement. Il joue avec les tĂ©tons qui pointent comme jamais j’ai vu ça. Ils sont vraiment bien sortis. Elle est vraiment excitĂ©e. Moi je commence Ă bander. J’en reviens pas et pourtant je suis fascinĂ©, impossible de bouger.— Que faisait ton mari pendant que tu suçais cet inconnu ?Il la tutoie maintenant.— Il me prenait, dit-elle.— Tu as bien joui ? dit-il en soulevant la poitrine qui je le vois s’agite de plus en plus rapidement.Il dĂ©pose de petits baisers dans le cou de Mathilde qui semble apprĂ©cier en inclinant lĂ©gèrement la tĂŞte. Il presse les seins fermement attendant une rĂ©ponse qui tarde Ă venir.— Oouii, dit-elle dans un souffle court.Elle ferme les yeux au moment mĂŞme oĂą les mains de Bernard se referment sur ses seins.— Oui, tu as bien joui petite coquine. Tu as aimĂ© le sexe de cet autre homme dans ta bouche ? lui demande-t-il tout en pressant davantage ses gros seins.— Oouii…Sa voix se fait plus troublĂ©e, haletante.Il lui parle toujours dans le creux du cou. Je sais qu’elle adore ça. Ça la rend folle. Je suis comme dingue devant se spectacle, je bande comme un âne. DĂ©cidĂ©ment l’âne me caractĂ©rise Ă merveille ce soir :Ă‚ne bâtĂ©,BandĂ© comme un âne,Plein comme un âne.Un festival.D’un geste, il remonte sa jupe sur ses hanches dĂ©voilant sa peau nue au-dessus de ses bas et son mini string et pendant qu’une main continue de travailler un sein, l’autre s’insinue entre ses cuisses. D’une main experte, il pose la main Ă plat sur la chatte de Mathilde et fait une pression Ă l’endroit de son clitoris. Je la vois se tĂ©taniser. Elle pousse un soupir, il prend ça pour un encouragement et Ă©carte le string et enfile un doigt dans la chatte dĂ©jĂ humide.Ă€ ce moment-lĂ , je comprends qu’elle a cĂ©dĂ©. Elle a complètement oubliĂ© ma prĂ©sence. Elle s’offre Ă cet homme qu’elle ne connaissait pas il y a quelques heures. Il la branle doucement, un doigt sur son clito. Elle se dandine doucement frottant son cul contre son sexe et il lui pĂ©trit les seins sans mĂ©nagement, franchement, et elle apprĂ©cie.Mathilde respire fort. Ils ne dansent plus. Il lui malaxe un sein et tient un doigt dans sa chatte. Debout. Elle a Ă©cartĂ© lĂ©gèrement les cuisses pour lui laisser libre accès. Son string est maintenant au sol. Il lui masse la chatte sans vergogne. Insinuant tour Ă tour un puis deux doigts dedans.Il la dirige vers la table basse et la penche en avant. Mathilde par rĂ©flexe pose les mains sur la table trop basse, ses seins pendent dans le vide et son cul est bien cambrĂ©. Bernard derrière relève la jupe et commence Ă lui bouffer le cul. Je le vois laper la chatte jusqu’à l’anus. Elle soupire, gĂ©mit, souffle. Moi, j’ai sorti ma queue et me masturbe devant se spectacle dont je ne comprends pas les enjeux.— T’aimes ça qu’on te bouffe le cul ! Hein ma belle ?— Oouii, dit-elle dans un soupir.— Tu vas voir je vais bien te faire grimper aux rideaux, lui dit-il en lui fourrant deux doigts dans la chatte.— Ahhh— Humm oui, tu dĂ©goulines bien. Coquine.Sortant ses doigts pleins de mouille il les remet et commence Ă les tourner dans la chatte en faisant des va-et-vient.— Ahhh, ahhh, ahhh, fait-elle timidement.— Mais quel cul t’as ! Un bon gros cul. J’adore ça ! dit-il en collant sa langue dans l’anus.— Ohhh !Mathilde remue son cul pour mieux sentir les caresses, les seins ballottent au rythme de la pĂ©nĂ©tration.— Tu vas voir, je vais bien te dilater tes trous avec ma grosse queue. Je vais faire de toi une accro de la bite. Espèce de petite pute. Tu crois que tu vas me la faire Ă moi ? Je les connais les petites bourgeoises comme toi. Elles font leur sainte-nitouche et une fois qu’elles ont une grosse bite dans le cul, elles en redemandent. Ton mari, c’est un pauvre type, il n’y connaĂ®t rien. Tu vas voir.Je suis abasourdi, effondrĂ©, je ne comprends plus rien Ă ce qui se passe. Quel changement d’attitude et Mathilde qui ne rĂ©agit pas. Si je lui en avais dit le quart, je serais passĂ© par les armes et lĂ , lui, l’excite. Et pourtant, je suis incapable d’intervenir. J’aurais l’air malin la queue Ă la main. Que dois-je faire ? Si j’interviens, que va-t-il se passer ? Comment va-t-elle rĂ©agir ? Et si je laisse faire ? Ils ne savent pas que je sais.Puis d’un geste, il sort sa queue de son pantalon. Il bande ferme. Je suis impressionnĂ© par le diamètre. Un gourdin. La photo n’était pas aussi impressionnante. L’excitation y est sans doute pour quelque chose. Il va la dĂ©foncer. Enfin, il se penche sur elle collant sa queue entre ses cuisses, la prend par les cheveux, tirant vers lui pour qu’elle se redresse.— Alors ma belle, tu sens ma grosse queue entre tes cuisses ? Je vais bien te la foutre. Et après je te casserai le cul.— Oui, prends-moi, dit-elle.— Oui salope, je vais te baiser. Dis-le— Oui baise-moi, oui, viens, baise-moi fort.— C’est bien tu commences Ă comprendre, espèce de petite traĂ®nĂ©e. Tu sais les vielles putains comme toi, normalement, on les encule d’abord. Mais je vais faire une exception. Mais pour bien te mettre Ă la page et pour que tu comprennes qu’une chienne comme toi c’est juste bon qu’à prendre de la bite, je vais pas mettre de capote, je suis sur que tu dĂ©testes ça !Comment savait-il qu’elle avait horreur de ça ? Mathilde n’avait jamais voulu qu’on en mette quand on s’est rencontrĂ©s. Elle m’a mĂŞme avouĂ© ne jamais avoir fait l’amour avec.Puis d’une main il dirige son gland Ă l’entrĂ©e de sa chatte et commence Ă la pĂ©nĂ©trer doucement la tenant par les hanches. Il force doucement puis, petit Ă petit il la pĂ©nètre. Mathilde a la bouche ouverte. Aucun mot ne sort. On pense presque qu’il va lui ressortir par la bouche, empalĂ©e. Moi je me branle frĂ©nĂ©tiquement absorbĂ© par ce magnifique spectacle.Le voilĂ au fond. Jusqu’aux couilles ! Il commence ses va-et-vient. Il se penche pour tirer, malaxer, pĂ©trir les gros seins de Mathilde qui pendent sous elle d’une façon obscène.— Ohhh putain, quelle bonne chatte tu as ! Tu me serres la queue c’est trop bon.— Ouiii, ouii, plus fort.— Oui, je vais t’en donner, pĂ©tasse.Tout en commençant Ă la limer, il lui titille le trou du cul avec le pouce. Insinuant un doigt puis deux. Il lui prĂ©pare l’anus d’une façon experte. Mathilde n’en peut plus, elle jouit. Prise de spasmes.— Ouiiiii, c’est bon, ouiii bien Ă fond, baise-moi, ouiii.— Tiens, chiennasse. Prends ça.Il la dĂ©fonce de plus belle.Puis elle s’effondre sur la table. Rapidement il prend quelques coussins et les jette Ă terre. Puis l’aide Ă se mettre Ă quatre pattes la tĂŞte dans les coussins, le cul bien en l’air, large, luisant de mouille. Mathilde se laisse faire et dĂ©jĂ il lui bouffe le cul en la doigtant sauvagement. Il lui met trois doigts dans la chatte et la branle. Elle ne met pas cinq minutes avant de redĂ©marrer. Il crache dans son cul ouvert par deux doigts, pendant qu’il la branle avec les autres.Puis il se relève, crache dans sa main, enduit son gland de salive et de mouille. Puis crache dans son petit Ĺ“illet, pose son gros gland contre l’anus de Mathilde. Il commence sa progression doucement, mais sĂ»rement, il est bien droit au-dessus d’elle.— Écarte ton cul, sinon tu vas dĂ©rouiller.Mathilde la tĂŞte Ă©crasĂ©e dans le coussin Ă©carte ses fesses de ses deux mains en tirant bien dessus.— VoilĂ , ouvre bien. Pousse. Voilà ça rentre. Ahhh la vache t’es serrĂ©e.Mathilde grimace, geint, souffle, et pourtant halète comme jamais. Bernard est maintenant Ă fond dans son cul. Il attend un peu puis commence Ă ressortir. Crache dans le trou puis re-rentre comme ça trois ou quatre fois. Je vois le trou du cul de Mathilde bien ouvert qui palpite. Il est magnifique.— VoilĂ , tu l’as bien dans le cul maintenant.— Hummm, oui— Tu la sens bien ?— OUIII.— Et maintenant je vais te ramoner ton gros trou du cul comme jamais on te l’a ramonĂ©. Je vais te le refaire Ă neuf.Et il commence de tout son poids Ă percuter le cul de Mathilde.— AHHHHHHHHHHHH ! crie-t-elle— Ahhh, tu vois ? C’est bon de se faire dĂ©foncer le fion.— OUIIIII, plus fort, ouiiiiii.— Tu vois que tu aimes ça ?— OUIIIIII.— Dis-le que t’aimes ça.— Ouiii j’aime ça, vas-y.— Maintenant tu peux te vanter d’être une belle enculĂ©e.— Ouiiiii !— Tiennns, ohh putain je vais jouir.Il redouble de violence Ă la dĂ©foncer. Mathilde hurle de plaisir, griffant, mordant les coussins. Moi j’éjacule dans mes mains, alors que Bernard jouit dans le cul de Mathilde. Je m’éclipse doucement jusqu’à la chambre, me dĂ©barrassant de ma semence dans un kleenex.J’écoute les derniers bruits dans la salle Ă manger. Sans savoir ce qui se passe rĂ©ellement. Mathilde vient me rejoindre une heure plus tard. Je fais semblant de dormir.Il est 7 h du matin. Je ne dors toujours pas. Je me lève. Mathilde dort profondĂ©ment. Je retourne au salon, ça sent le cul Ă plein nez. Bernard est apparemment parti. Je m’assieds dans le canapĂ© face Ă la scène des exploits de mon amour, je me sens vidĂ©, dĂ©goĂ»tĂ©, anĂ©anti. Je me repasse le film encore et encore, n’oubliant aucun dĂ©tail, je bande et pourtant, j’ai envie de chialer. D’ailleurs ça y est.P.-S. Entre le dĂ©but de cette histoire et ce moment, il s’est passĂ© environ quatre mois. En quatre mois j’ai rĂ©ussi Ă foutre vingt ans de mariage en l’air. Enfin, je crois. Mais si seulement ça s’était arrĂŞtĂ© lĂ Â ! Rappelez-vous ce qu’elle me disait :— MĂ©fie-toi ! Qui sait ? Une fois lĂ -bas, tu me connais, si ça me plaĂ®t, je vais ĂŞtre intenable et je voudrai y retourner mĂŞme si ça te plaĂ®t pas.— Tu m’as traitĂ©e de tous les noms et je dĂ©teste ça.(Ă€ suivre…)