Dans le dernier récit, Marco, 39 ans, toujours coincée dans le corps de Manon, a continué d’apprendre à vivre avec son corps de femme. Elle a eu ses premières règles ainsi que ses premiers attouchements avec Pierre son mari. Elle a fait pour la première fois de sa vie une masturbation à Pierre. Et elle a aussi reçu son premier orgasme venant de Pierre. Rouge de honte, elle lui a dit que plus jamais elle ne recommencerait. Pierre ironiquement lui a finalement dit : « Nous verrons à ton ovulation ».Cinq jours se sont passés. Comme la dernière fois, je me sens sensible. Mes seins me semblent lourds et les mamelles sont hyper sensibles au toucher. La libido comme la dernière fois augmente et je me demande comment je vais faire pour résister.Je regarde des films d’amour à la télévision, et je capote de pleurer sur des scènes d’amour. Je me dis que je vais regarder quelques films pornos sur internet. Après deux ou trois films hétéros, je constate que je ne regarde presque pas la femme et que je regarde surtout le sexe de l’homme. Dans le film, il y a un beau black avec un sexe énorme d’au moins huit pouces avec un gland épais. Me sentant coupable, je ferme l’ordinateur aussitôt.Alors je pars faire du shopping, et je me dis que je vais m’acheter des vêtements d’homme car je vais sûrement retrouver mon corps à un moment donné.J’entre dans un magasin d’hommes et l’employé me demande si c’est pour mon mari. J’hésite et avoue que oui. Je regarde les pantalons, les chemises, les chandails et me dis : « Mon Dieu que c’est laid ! »Je regarde en face, et vois une boutique de lingerie fine, et je me dis « Non, je ne vais pas entrer là  ». Mais une force en moi me pousse à marcher dans cette direction et à entrer dans ce magasin. J’ouvre la porte, et un homme de quarante ans me fait un beau sourire et me dit : « Bienvenue chez lingerie Sam ».Je suis allée directement dans la lingerie en satin. J’ai mis dans mon panier un bel ensemble noir, culotte et camisole en satin. Une longue robe de nuit rose bonbon aussi en satin avec de la dentelle blanche. J’ai pris trois paires de petites culottes blanches transparentes. Des bas filets blancs, noirs et couleur pêche. Toute cette lingerie a coûté cher, mais c’était plus fort que moi.Un peu plus loin, il y avait une belle boutique de robes, et je suis entrée et j’ai acheté une belle robe moulante en velours bleu avec des petites bretelles aux épaules. Cette robe me donnait un air si féminin ! Mais la vendeuse me dit que cela serait si beau avec de jolies bottes moulantes.Alors, prochaine visite dans un magasin de chaussures pour femmes, j’ai essayé de jolis talons hauts noirs très brillants et je les ai mis dans mon panier, et j’ai vu ensuite de superbes bottes noires moulantes qui montent un peu plus bas que les genoux. Je les trouvais superbes et je les ai achetées aussi.Lorsque je fis le calcul de ce que j’avais acheté, je me suis dit que Pierre allait me tuer. Je me disais que ça n’avait pas de sens. Et en réfléchissant, j’ai vu une boutique de gadgets érotiques. Je suis entrée par curiosité, et j’ai vu un dildo qui était une imitation parfaite du pénis du black que j’avais vu sur l’internet. Le vendeur m’a dit que cela était un bon choix et que les femmes l’adoraient vu sa longueur et sa largeur. Et je suis ressortie de ce magasin avec un dildo de cent dollars dans mon sac.Rendue à la maison, j’ai bien caché le dildo et j’ai essayé ma lingerie, la robe ainsi que les talons hauts et les bottes. La lingerie en satin me donnait de belles sensations sur les seins et je trouvais cela si agréable. Mais je me suis calmée, car ma femme m’avait donné un rendez-vous pour jaser et il ne me restait que peu de temps pour me préparer.Je sautai dans la douche et me lavai comme il se doit, cette ovulation faisait que mon vagin sentait si fort, et je travaillais fort avec le savon pour que je sente bon.Comme nous étions en été, j’avais chaud et j’ai mis une petite culotte transparente blanche que j’avais achetée ainsi qu’un soutien-gorge léger. Et une belle petite robe d’été. Ainsi que de petites sandales où on voyait bien mes ongles vernis.Je sonnai à la porte, et ma femme me répondit. Cela faisait pratiquement deux mois que nous ne nous étions pas vues et elle m’a pris dans ses bras et m’a fait un gros câlin. Elle m’a dit que je me débrouillais bien, que j’étais très féminine. Je la remerciai. Je lui demandai où était Manon, ou plutôt Marco. Elle me dit qu’il était parti pour la journée.En jasant, elle me demanda si j’avais fait l’amour avec Pierre. Je lui ai répondu que non. Je lui posai la même question, et elle m’avoua qu’elle avait couché avec Marco plusieurs fois, que pour elle cela n’était pas de l’infidélité. Furieuse, je me suis mise à pleurer. Elle m’a pris dans ses bras et m’a consolée. Dans ses bras je retrouvais cette paix. Elle m’a dit « Ne pleure plus mon amour ». Et elle m’a donné un baiser. Et un deuxième, un troisième. Nos mains se sont mises à se balader partout. Je retrouvais le plaisir de caresser ma femme. Et elle se mit à me caresser mes attributs féminins. Les seins, les cuisses, les fesses. Je lui ai dit : « Que fais-tu ma chérie ? ». Et elle m’a dit : « Ne parle pas ».Je fermai les yeux et elle enleva ma robe, j’étais presque nue devant elle. Ses baisers étaient chauds, sensuels. Elle défit mon soutien-gorge, et inonda mes gros seins de baisers chauds. Elle caressa ma vulve par-dessus ma culotte et ensuite plongea sa main dans mon slip. Elle continua d’embrasser mon corps partout et elle s’approcha de ma vulve et me dit : « Tu es sûrement en ovulation, toi, ça sent la chatte à plein nez, ici ! ». J’étais terriblement gênée, mais elle me fit un super cunnilingus. Pendant qu’elle dévorait mon vagin, je caressai mes seins. Quel plaisir elle m’a donné ! Après mon orgasme, je l’ai mise à nu elle aussi. Je me devais de constater que ce corps de femme m’excitait beaucoup moins qu’auparavant. Mais comme c’était ma femme, je voulais la faire jouir au maximum et j’ai sauté aussi sur ses seins en les dévorant. Et moi aussi je lui ai fait un cunnilingus du tonnerre mais en la pénétrant avec un, deux et trois doigts. Lorsque j’ai introduit le troisième doigt, elle a joui comme une folle. Et dans sa folie, elle m’a dit : « Pénètre-moi, Marco ». Furieuse, je suis partie chez moi.oOoLors du retour à la maison, Pierre a constaté que j’étais triste, et nous avons passé la soirée à écouter un film d’amour. Tout au long du film, j’étais dans ses bras et j’éprouvais réellement du confort dans ses bras costauds. Je me suis ainsi endormie dans ses bras.Le lendemain matin, Pierre était parti jouer au golf avec ses amis. J’étais au TOP de l’ovulation. Mes hormones féminines me rendaient plus femme que jamais. J’ai pris un bain chaud et j’en ai profité pour raser encore une fois tous les poils rebelles. En plus des jambes, aisselles, je me suis fait une belle coupe bikini ne laissant qu’une belle lisière au niveau de la vulve. Ayant du temps devant moi, je me suis verni les ongles d’orteils et de doigts avec un vernis rouge vif. Je suis retournée dans ma chambre et j’ai essayé ma longue robe de nuit rose en satin ainsi qu’une culotte blanche transparente. J’ai ensuite mis les bas de nylon blancs. Et je me trouvais réellement belle et désirable.Je me suis couchée avec mon dildo que j’avais acheté. Je n’osais pas le sortir de sa boîte. Mais cela a été plus fort que moi et j’avais le dildo dans mes mains. La texture en latex m’excitait. Mais surtout la forme parfaite de pénis. Je regardais ce pénis en latex et je commençais à le passer sur mes seins. Je l’approchai de mon visage et le passai sur mes lèvres. Je pris un miroir car je voulais me voir faire. Me regardant dans le miroir, je commençais à sucer ce dildo. J’adorais la forme du gland dans ma bouche et cela m’excitait encore plus et je sentais bien entre mes jambes que mon vagin était inondé. Après avoir sucé le dildo, je continuai d’être curieuse et j’approchai le dildo près de mon vagin. Je passai le dildo sur ma culotte et je gémis de plaisir. Terriblement excitée, j’enlevai ma culotte et caressai le dildo directement sur mon vagin. Mon corps avait terriblement du plaisir, et la folie s’empara de moi. Alors que l’orgasme approchait j’ai senti le dildo entrer en moi. Ce gros gland passa, et mon plaisir doubla. J’approchai le miroir près de ma vulve et je regardai le dildo se perdre dans mon vagin. Je commençai à bien faire entrer et sortir le dildo de mon vagin tout en me caressant le clitoris, je me suis mise ensuite en levrette et je me suis bien baisée avec le dildo et j’ai joui ainsi terriblement fort. Jamais un orgasme d’homme ne m’avait donné tant de plaisir.Pierre est ensuite revenu du golf et me trouva différente. Il me dit :— Prépare-toi une petite valise, ce soir on prend de petites vacances.Dans ma valise, j’ai mis l’ensemble noir culotte et camisole en satin, les jolies bottes noires moulantes ainsi que les bas de nylon noir en filets. Je me suis ensuite préparée, j’étais devenue experte pour me maquiller et me coiffer. J’ai mis la robe en velours bleu qui faisait ressortir mes rondeurs, mais je savais que Pierre adorait mes rondeurs, alors ça ne me gênait pas. En sortant de la chambre, Pierre me dit :— Tu es devenue cent fois plus féminine que ma femme.Nous sommes partis en voiture, et Pierre me faisait terriblement rire. Pendant ce trajet sa main caressait souvent ma cuisse. Mais cela me paraissait de plus en plus normal. Nous sommes arrivés au resto, et Pierre a tiré ma chaise pour que je m’assoie, il m’a laissé commander la première et était terriblement galant. Une personne qui vendait des roses passait et Pierre m’a acheté une jolie rose et cela m’a beaucoup fait plaisir. Je le remerciai et le regardai et dans ma tête je le désirai très fort en ce moment précis.Après ce souper très romantique, Pierre et moi sommes remontés dans la voiture et avons roulé plus d’une heure avant d’arriver à un merveilleux chalet que Pierre avait loué. Il sortit les bagages et moi je n’avais qu’à entrer et visiter le chalet. De l’entrée jusqu’à la chambre des maîtres, il y avait des pétales de rose partout sur le sol. Je trouvai ce chalet très beau et très romantique.Pierre et moi avons ensuite bu un verre de vin et nous avons jasé. Il me dit que sa femme ne lui manquait pas vraiment et qu’il adorait mon caractère ainsi que ma féminité nettement supérieure. Nous avons pris un deuxième verre de vin, et cela annulait complètement mon inhibition. Je lui ai dit ensuite que j’avais fait des folies et acheté beaucoup de lingerie et de choses coquines. Je croyais qu’il serait fâché, mais il m’a plutôt dit qu’il avait hâte de voir ça. Je lui ai alors dit : « Attends, s.t.p. ».Je suis allée à la chambre et j’ai barré la porte. Je me suis mise complètement nue. Et j’ai commencé à mettre les bas filets noirs un à un. La sensation des bas qui se déroulaient sur mes jambes était un plaisir en soi. Je trouvais mes jambes un peu trop rondes. Par contre, je savais que Pierre adorait que je sois grassette.J’ai ensuite mis la culotte en satin, qui moulait parfaitement mes belles grosses fesses. Ensuite la camisole. Lorsque je la mis, je sentis la douceur du satin sur mes mamelles, ce qui les fit durcir immédiatement. Et conclusion, je mis les bottes noires. Je me regardai dans le miroir, et je me dis que j’étais si belle.Pierre était dans le salon, et attendait impatiemment que j’arrive. Soudain, il entendit le bruit de talons qui marchent sur le plancher de bois. Tac, tac, tac.Il me regarda, estomaqué. J’étais devant lui. Et il me dit :— Oh, chérie ! Que tu es belle !Il me dit ensuite :— Si tu veux, nous ferons comme l’autre fois, juste un peu de câlins et je serai content.Sur ces paroles, je me suis agenouillée entre ses jambes. Il me dit : « Que fais-tu, Manon ? » Je ne parlais plus, j’ai enlevé ses pantalons, ainsi que son boxer. Son sexe était dur, bien droit mais un peu plus petit que mon dildo. Je pris ce sexe dans ma main, regardai mon époux, approchai mon visage de ce pénis en chair, sortit la langue et commençai à lécher ce gland déjà plein de précum. Pierre gémit de plaisir, je commençai à le sucer lentement, et je sentis comme le dildo la forme du gland dans ma bouche, par contre, il y avait la chaleur et le goût de la chair en plus. En faisant des mouvements circulaires avec ma main je branlai mon homme en le suçant avec tendresse et passion. Je le suçai pendant un bon bout de temps. Et chaque fois que je sentais mon époux tomber dans le précipice de l’orgasme, j’arrêtais. Après quinze minutes intenses de fellation, je me suis levée et lui aussi. Je pris son sexe, et j’emmenai mon époux dans la chambre.Je me suis couchée sur le dos, et j’ai commencé à caresser mon vagin par-dessus ma culotte. Il s’est mis complètement nu par-dessus moi et a sorti un condom de sa valise, il l’a déroulé trop rapidement et le condom s’est complètement déchiré. Il m’a dit :— Je vais faire attention, Manon.Et je lui ai répondu :— Non, pas question, c’est trop dangereux. Je pourrais tomber enceinte.Et il m’a alors demandé s’il pouvait au moins caresser son sexe sur les lèvres de mon vagin et j’ai accepté.Les caresses du pénis de Pierre sur ma vulve commençaient à m’emmener dans le même état de folie que le dildo. Et lui aussi je le sentais devenir fou. Pendant les caresses du gland de Pierre sur mon vagin, Pierre m’embrassa tendrement dans le cou, sur les lèvres, les épaules, et j’adorais cela. Je sentais un orgasme monter en moi, et je gémissais terriblement fort et c’est suite à ce gémissement que je sentis le pénis de Pierre entrer en moi d’un seul coup.Mais il n’écoutait plus, il donnait de grands coups et moi non plus je n’arrivais plus à garder le contrôle. À chaque coup, Pierre écrasait mon clitoris avec son pubis et cela m’amenait dangereusement au bord de l’orgasme. Lui aussi était sur le bord.Il donna de grands coups, nos baisers étaient puissants, magiques et j’ai entendu alors un grognement puissant de mâle, et senti une crème chaude inonder ma vulve. Au même moment j’ai joui. Je le croyais épuisé mais il continua et jouit ainsi deux autres fois dans mon vagin, sans pause.Lorsqu’il tomba épuisé, je suis allée à la toilette et lors de mon pipi, je sentis la crème chaude qui ressortait de mon vagin. Il y en avait tant ! Je me suis regardée dans le miroir et je me suis dit : « Je suis vraiment femme, là , j’espère juste de ne pas être enceinte ».À suivre…