Le mâle dominant se tape sa cousine et ses parents adoptifs. 2
Claude se fait sucer à tour de rôle par son oncle et sa tante et par moi, sa cousine avant de passer aux choses sérieuses. Puis il se fait sa tante et je dois me battre pour avoir ma part.
Proposée le 7/06/2021 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FFHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Il commence à prendre l’engin dans sa bouche, à aller et venir autour de ce gland et de cette hampe que ma mère adoptive et moi connaissons si bien. Sa langue virevolte autour de la queue. Pierre tente de l’engloutir entièrement, ne laissant que quelques centimètres libres comme surpris de ne pas pouvoir y arriver mais en même temps flatté de ne pas pouvoir.
Il entreprend alors, comme fasciné par la bite chaude une fellation digne d’une prostituée jusqu’à ce que la lance de Claude durcisse et grossisse plus si c’était humainement possible tout en triturant inlassablement les couilles dures sans que sa bouche ne cesse son travail.
Claude abdique enfin et lance dans un râle :- Arrête Pierre ! Je n’y tiens plus ! Je vais partir….
¬- Laisse-toi faire! Vide-toi dans ma bouche ! Lui rétorque Pierre, abandonnant quelques secondes la teub. Je veux connaître le goût de ton suc, que tu te vides sur ma langue !Claude, comme dans un état second, met ses mains sur la nuque de Pierre et l’attire à lui, le visage collé sur son bas-ventre.
Mon beau-père ne peut qu’avaler précipitamment les geysers impétueux de son neveu, le sperme épais et gluant, jaillissant par saccades très rapprochées du méat entrouvert, lui frappant violemment la glotte en un flot abondant avant de s’écouler dans sa gorge à chaque déglutissement, respirant difficilement par le nez.
La source est tarie et le membre s’apaise en perdant un peu de sa rigidité avant que Claude ne relâche la pression sur le crâne de Pierre qui s’empresse de recracher la verge à peine dégonflée pour finir d’avaler les derniers reliquats de sperme qui lui obstruent encore les bronches :-Putain! C’était encore plus copieux que l’autre jour ! S’exclame-t-il… Faut être costaud pour tout avaler mais il était hors de question que je perde une seule goutte de ta liqueur !
Mon cousin tourne la tête vers « maman » et lui ordonne :- A ton tour Audrey ! Viens sucer ton neveu préféré !
Elle s’agenouille face à lui, prenant la place de son mari et frotte la bite contre sa bouche qu’elle ouvre le plus grand possible et gobe le gland légèrement fripé. Elle tète le cèpe flétrit, en lèche le pourtour, s’attardant sur le frein. Le miracle recommence et tel un champignon poussant à vue d’œil, le monstre de chair prend ses aises et s’avance lentement dans la cavité buccale qui se déforme devant l’intrus. Audrey suce difficilement le colossal engin de son neveu qui lui remplit entièrement la bouche, en déformant les joues.
Claude, stoïque, geint de bonheur, « maman » accélère son pompage, continuant à le téter encore un bon moment mais n’arrive pas à le faire jouir. Elle se redresse et l’embrasse à pleine bouche, mélangeant leurs salives. -Oh Audrey ! Je t’aime! Comme tu es belle !
Il l’enlace, les langues se cherchent, se nouent, elle fond entre les bras de Claude.
Il la repousse et embrasse ses seins, en lèche les bouts qui commencent à durcir puis les gobe à tour de rôle. Les mamelons de « maman » se dressent au maximum.
Il s’agenouille entre ses cuisses, pose sa bouche sur la chatte offerte et pénètre de la langue l’antre assombri. Ses doigts décalottent le bouton d’amour pour que ses lèvres l’aspirent, Audrey se cabre en grognant sous l’assaut. La langue râpeuse est terriblement efficace, le clito double de volume, elle halète, encourageant Claude qui multiplie les succions.-Ooouuuiii ! Je viens mon chéri ! Oh putain! Oh putain!
Elle jouit comme jamais, pousse un petit cri, noyant presque aussitôt de sa cyprine la bouche de Claude qui lape avec application les humeurs liquides, avalant la cyprine. Il retire enfin sa tête d’entre les cuisses rebondies et avoue :
-T’es bonne Audrey, aussi bonne que Léna !
Mais elle ne l’écoute pas ne pensant qu’à elle.
-Prends-moi mon amour ! Je veux ta grosse queue !
La bite de Claude lui fait mal tellement elle est tendue et gonflée mais il va pouvoir de nouveau la noyer dans la chatte de sa tante. Cette chatte qui ne lui est plus interdite, la plus belle des chattes pour lui. Une grotte profonde et luxuriante mais encore trop étroite pour son nœud surdimensionné.
« Maman » prend le pal entre ses mains pour le guider vers son vagin. La caresse de ses muqueuses est encore meilleure pour Claude que les doigts les plus habiles. Cette bouche avide aspire et malaxe la teub qui manœuvre en cadence dans son intimité, elle pousse même le vice à passer une jambe contre ses reins, poussant son pubis pour qu’il la prenne le plus loin possible.- Claude! Putain de merde ! Que t’es gros!
Audrey remue dans tous les sens et Claude a du mérite pour garder sa queue dans la chatte. Pierre est dans tous ses états et ne trouve rien de mieux que de me présenter son sexe. J’hésite un peu mais vu ce qui se passe sous mes yeux, je serais bien bête de faire la pimbêche.
Je remarque encore mieux la différence de taille entre Pierre et Claude et le contraste est saisissant. Pierre est assez grand et sa verge n’est pas en proportion, un peu molle, plus près de la merguez comparée à la véritable saucisse de Morteau du « cousin ». Mais je m’active avec le sens du devoir et avec mon expérience arrive à le faire râler de plaisir.
Claude n’a rien manqué de notre aparté, il délaisse sa tante qui le traite de tous les noms et vient prêter main-forte à Pierre, enfin… Vous voyez ce que je veux dire.
J’ai maintenant pour moi toute seule deux hampes qui se présentent à ma bouche essayant toutes les deux de rentrer en même temps. Je fais ce que je peux mais les deux glands me déforment les lèvres. Pierre n’y tient plus, il repousse Claude et envoie une bonne dose de sperme au fond de mon gosier.
Je le repousse, sa semence s’écoule dans ma gorge, je déglutis, le goût de sa liqueur est assez âcre mais je m’en délecte.
Claude est immobile, à coté de nous, sa bite est toujours dressée. Soudain un ordre fuse :- À quatre pattes les filles !À suivre…..© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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