Paul, un Écossais âgé de 41 ans, était le meilleur ami de mon beau-père. Moi qui, à l’époque, avais à peine vingt ans, il m’attirait, me faisait peur… et m’excitait avec sa force et sa puissance de mâle. Je le traitais parfois de macho, ce qui le faisait rire. Un matin, il passa à la maison pour prendre de nos nouvelles. Il s’était installé confortablement sur le canapé et bavardait joyeusement avec mon beau-père lorsque, réveillée depuis peu, j’entrai dans le salon. Intimidée, je me contentai d’aller m’affaler sur un fauteuil pour regarder la télé, suivant avec difficulté la série du moment, tellement la voix chaude de Paul me charmait… Ma mère sortit de la cuisine et me demanda d’aller faire des courses pour elle, mais la plupart des ingrédients qu’elle me demandait de rapporter ne se trouvaient pas au supermarché du coin.— Je peux emmener ta fille à la grande épicerie anglaise, si tu veux, Denise ! Ça ne me pose pas de problème et je dois y faire des courses, moi aussi ! proposa spontanément Paul. Comme par hasard…! Je me demandai s’il ne cherchait pas une occasion de se retrouver seul avec moi. Il faut dire que je remarquais sa façon de me regarder quand il pensait que je ne le voyais pas. Un regard troublé et appuyé…— Merci, Paul, tu me rends un grand service ! Vivie, tu veux bien y aller, s’il te plaît ? J’en ai besoin pour demain et je n’ai pas le temps de tout faire.— Oui, maman, fis-je de mauvaise grâce… Je retournai dans ma chambre me changer, enfilant une jupe à motifs écossais vert foncé et rouge et un t-shirt moulant rouge avec des sandales assorties. Il faut dire que, pendant les vacances, j’enfilais ma tenue d’intérieur lorsque je ne sortais pas : grand t-shirt blanc informe et pantalon beige très large pour un maximum de confort (et un peu par paresse aussi, je dois bien l’avouer !) Ainsi prête et munie de l’argent des courses, je montai dans le gros 4×4 luxueux noir de Paul, enfin j’essayais car il était tellement haut que je n’arrivais pas à poser mon pied sur le marchepied à cause de l’étroitesse de la jupe.— Veux-tu un coup de main? fit Paul en rigolant.— Euh! oui ça ne serait pas de refus…— Attends, j’arrive. Il se mit derrière moi mais, contrairement à mes attentes, au lieu de me soulever par la taille, il posa une main sur mes hanches et l’autre sur une de mes fesses et me poussa vers le haut. M’agrippant à la poignée fixée au plafond côté passager, je m’installai, troublée, sur le siège. Je sentais encore la chaleur de ses mains comme si elles y étaient toujours… douce caresse innocente ?— Alors Vivie, ça va comment ta vie ? Qu’est-ce que tu deviens ? Tu ne nous racontes jamais rien, à ta famille et aux amis ! attaqua-t-il. Je le regardai en biais, silencieuse. Son profil se découpait sur le fond du paysage qui passait derrière lui. Brun et mat de peau, avec des yeux presque noirs, il ne ressemblait pas aux Écossais… une petite et fine cicatrice en forme d’étoile ornait sa tempe gauche, discrète. Il n’avait jamais dit l’origine de celle-ci. Les cheveux coupés court à la tondeuse faisaient ressortir ses traits masculins et dégageaient ses larges épaules. Étant un ancien commando, il était musclé et très grand. Doté une grande discipline et d’un caractère assez autoritaire, il savait être gentil et s’amuser. Même trop parfois. Étant en internat l’année scolaire, je ne vivais pas avec ma famille à plein temps, je menais ma vie en parallèle et préservais mon jardin secret…Ce qui intriguait Paul, c’était ma vie sentimentale, ce n’était pas la première fois qu’il me posait ces questions, il devait penser que j’étais vierge, ce qui n’est pas faux… Je me contentais d’innocents baisers et de flirts poussés avec mes petits amis. Tout en conduisant, Paul jetait des coups d’œil dans ma direction. Patient, il attendait ma réponse sans me forcer.— Je viens de rompre avec mon petit ami, sinon l’école ça va, fis-je laconiquement. Surpris, il se gara sur une petite route à l’écart, près d’une forêt, pour ne pas gêner la circulation sur la route nationale.Il se tourna vers moi et se mit à me parler doucement.— Comment ça se fait que tu aies rompu ? J’ignorais que tu avais un petit ami… Veux-tu en parler ? Surprise de le voir aussi gentil et à l’écoute, alors que d’habitude il se comportait en macho sans cœur, je le regardai puis finis par fondre en larmes… En vérité ma rupture m’avait fait souffrir ; étant un coureur de jupons, Gabriel m’avait plaquée aussitôt qu’il s’était rendu compte qu’il n’obtiendrait rien de moi. Je racontai tout cela, les joues baignées de larmes, à Paul. M’ayant prise dans ses bras, il me berçait tendrement, sans un mot… Puis il commença à caresser légèrement mes longs cheveux châtain clair, dont le soleil faisait briller les reflets dorés de ses rayons doux et chaleureux.— Oh ! Ma pauvre chérie, pourquoi ne pas en avoir parlé plus tôt, ça t’aurait fait du bien.Continuant à pleurer, je me serrai plus fort contre lui puis, me calmant peu à peu, je finis par pouvoir parler, la voix chevrotante.— Je ne pouvais pas, c’est trop personnel, ça fait trop mal d’en parler. Qu’est-ce que j’ai fait de mal ? Je n’ai pas fait ce qu’il fallait pour qu’il reste avec moi ?— Non, non, c’est un abruti ! protesta-t-il. Il ne te méritait pas. Tout en me caressant les cheveux pour me consoler, il me serrait contre lui. Puis je sentis sa main glisser sur ma nuque puis s’évader sur mon dos. Ma respiration se calmait sous la caresse. Sa main se promenait lentement, traçant des sillons au creux de ma colonne vertébrale… je frissonnai d’aise.Les joues baignées de larmes je relevai la tête pour le regarder. Il planta ses yeux d’ébène dans mes yeux et fredonna une chanson d’une voix douce… mon cœur battait tellement fort dans ma tête que je ne saisissais pas les paroles, seule sa voix m’apaisait. Je commençai à me frotter doucement contre lui, j’étais tellement bien dans ses bras… Sans prévenir, j’ignore qui de nous deux a fait le premier pas, nos lèvres s’effleurèrent. J’entrouvris lentement les miennes, il en profita pour y glisser sa langue, il caressa la mienne avec une telle sensualité que je glissai ma main dans ses cheveux noirs, assez courts mais doux, pour qu’il continue à m’embrasser…Je me sentais comme une chatte alanguie. Il frottait sa joue contre la mienne, passait ses mains dans mes longs cheveux châtains, puis il osa caresser mon cou et la naissance de mes seins. Je gémissais de désir, sentant sa main se poser en coupe sur mon sein ; mes mamelons se durcirent sous la caresse, il s’amusa à les titiller en les pinçant légèrement.Je sentais une humidité naître dans mon entrejambe. Il faisait courir ses lèvres sur ma peau, dans mon cou… il me mordillait légèrement.Tel un vampire assoiffé de douceur, il me faisait de longs et lents suçons qui marquèrent ma peau délicate, légèrement hâlée et sucrée.Sa verge durcissait contre ma cuisse, je commençais à avoir une envie impérieuse d’être pénétrée, possédée. Je voulais lui offrir ce que j’avais refusé à tant d’autres….— Caresse-moi, aime-moi, je t’en prie ! Viens… fis-je avec force.— Oh ma chérie! Tu me rends fou, je ne veux pas te faire de mal ! fit-il d’une voix enrouée par le désir.Il se redressait péniblement, ayant du mal à se détacher de moi, effrayé par la force du désir qui nous submergeait.— Tu ne l’as jamais dit, mais je me doute que tu es encore vierge, je ne veux pas te prendre comme un soudard dans une voiture au bord d’une route ! Tu mérites mieux que ça pour ta première fois, continua-t-il en me caressant le visage d’une main légère.— Promets-moi que ce sera toi mon premier amant, je veux que ce soit toi qui prennes ma virginité, lui répondis-je avec ardeur. Promets-moi…Ému, il me caressait tendrement la joue puis déposa un doux baiser sur mes lèvres gonflées et rosies.— Promis, de toute façon ce sera un honneur d’être ton premier amant. Tu es une jeune femme superbe et tu me plais terriblement. Je te promets que ce sera magnifique…Puis, se ressaisissant, il s’exclama :— Mais bon, ce n’est pas tout ça, il faudrait y aller, les courses ne vont pas se faire toutes seules !Il se redressait et s’apprêtait à remettre le contact lorsque je le stoppai, la main posée sur son bras.— Voyons, je ne vais pas te laisser dans cet état ! lui murmurai-je à l’oreille.Il rougit comme un collégien !Lui, un homme mûr face à une jeune femme vierge, il pouvait encore rougir ! Ce qui me plaisait, c’est que je pouvais le surprendre. Car, malgré mon statut de pucelle, j’avais quelques atouts dans la manche…Je lui caressai les bras, ascension d’une colline douce, puis descente au creux de ses bras, suivant le dessin des veines saillantes… Puis le torse, mes doigts parcouraient les reliefs formés par ses muscles.Des creux et des vallons.Lentement, ma main descendit vers le bas puis finit par s’arrêter sur une belle bosse qui gonflait son jean. Je la massai doucement, le regardant dans les yeux, me passant la langue sur les lèvres pour les humidifier. Il gémissait sous la sensation de ma petite main qui caressait son sexe tendu.— Ouh là ! mon chéri, elle est pleine à craquer, tu n’as pas mal ? Tu auras bien besoin d’un petit soulagement…Secouant la tête, me regardant d’un air incrédule, n’y croyant pas :— Tu es une diablesse ! Un démon déguisé en ange ! Et quel ange ! Décidément tu me surprends… Ta mère sait que tu es comme ça ?— Je ne crois pas, mais je dois un peu tenir d’elle…Je l’ai surprise plusieurs fois avec Damien, et ils avaient l’air de bien s’amuser…— Petite coquine, en plus de ça tu es une voyeuse ? Ai-je quelque chose à t’apprendre, à part te prendre ta virginité ?— Oh! je ne sais pas tout, fis-je, tout en continuant à malaxer son sexe qui avait encore pris du volume pendant notre conversation. Tu veux vraiment que je continue à te parler, ou on passe aux choses sérieuses ? lui demandai-je tout en me passant la langue sur les lèvres une nouvelle fois.Il ne répondit pas, se contentant de s’enfoncer tranquillement dans son siège.J’écartai sa chemise noire pour découvrir un torse musclé et bronzé, ombré par une légère toison noire et bouclée.Je me penchai pour lécher ses tétons. J’en pris un entre les doigts et le pinçai, et de ma bouche suçai l’autre ; je le tétai et ses gémissements me démontrèrent à quel point il appréciait cela. Ça avait un effet direct sur sa queue qui tressautait dans sa prison de coton gris clair.J’ouvris son jean et le baissai un peu, sa belle bite formait une masse assez impressionnante et le gland dépassait de l’élastique. Alors je me penchai et la libérai de son boxer, en marquant une pause pour l’admirer. Elle était belle, assez grosse, longue et veinée, avec un gros gland rouge à l’extrémité, à vrai dire à l’image de son propriétaire, qui était baraqué.Et champion en art martial avec ça, je ne saurais dire lequel, mais un inconnu l’avait surnommé Jean-Claude Van Damme, suite à une rixe dans un bar dont il n’avait pas le souvenir tellement il était ivre ce soir-là. Il faut dire qu’étant un ancien commando, ce n’était pas le genre d’homme auquel il fallait se frotter.Mais il était doux avec moi, il me caressait les cheveux pendant que je goûtais à son épieu. Je fis courir ma langue sur toute sa longueur, à la fois pour l’humidifier et pour le déguster, l’explorer, le découvrir sous toute sa splendeur de mâle…Guidée par ses soupirs de plaisir, je parcourus les veines en relief sur la hampe, je montai jusqu’au gland auquel je donnai des petits coups de langue. Je promenai la pointe de ma langue sur le frein puis la fis glisser sur la couronne.À un moment je vis du pré-sperme suinter du méat, je salivai à l’idée de le goûter et m’empressai de le cueillir du bout de la langue. C’était doux et un peu salé, légèrement gluant. En éloignant ma langue du gland, un mince filet se forma entre eux.J’entendis Paul gémir sous la caresse buccale.Puis je commençai à suçoter un peu le gland et l’avalai lentement. Paul posa sa main sur ma tête et d’une légère pression me demanda d’en avaler plus. Je continuai donc et, lorsque le gland buta contre ma glotte, je stoppai, les lèvres distendues par la verge qui occupait ma bouche.Enfin je commençai un mouvement de succion et glissai ma main pour caresser ses couilles dans son jean. Il poussa un soupir de plaisir et sa main se crispa sur mes cheveux. J’accélérais le mouvement, ralentissais parfois pour calmer le jeu ; enfin je sortis sa queue de ma bouche et dardai ma langue pour y glisser la pointe dans son méat baveux de pré-sperme.Paul avait glissé sa main sous ma jupe et caressait mon clitoris tout gonflé ; je n’avais pas mis de string (ni rien d’autre, d’ailleurs !) ce qui l’avait un peu surpris. Il me traita de coquine lorsqu’il en constata l’absence. Tout en gémissant sous ses habiles caresses, je le suçais du mieux que je le pouvais.Il glissa deux doigts dans ma chatte toute baveuse d’excitation et titilla mon clitoris de son pouce. Je me tordis légèrement et émis des bruits de gorge sous la sensation procurée. Il gémit lui aussi de plaisir sous l’agréable sensation que les vibrations de ma gorge provoquaient dans sa verge gonflée au maximum.Au bout d’un moment, je finis par jouir et mon jus coula sur ses doigts. Il les porta à sa bouche et se délecta de la saveur de mon sexe.Je m’appliquai à lui faire une gorge profonde, je faisais glisser sa verge sur ma langue et, passé le réflexe du rejet, réussissais à l’avaler en entier… Il n’en revenait pas et ne pouvait se retenir d’exprimer son plaisir, ses cuisses tremblaient et il avait la tête penchée en arrière, tout à la sensation qui émanait de son bas-ventre.— Oh ! bon sang… jamais… oh ! comment… tu es trop ! délirait Paul.Je restai quelques secondes ainsi, la queue enfoncée en entier dans ma bouche, puis la ressortis, maculée de salive. Je caressai assez fermement sa queue dans ma petite pogne, lui offrant mon plus beau sourire tout en lui donnant du plaisir. Je sentis ses couilles durcir et remonter, l’imminence de l’éjaculation m’excitait et je tirai la langue pour recevoir le sperme dans ma bouche.Se sentant venir, Paul poussa ma tête pour que j’engloutisse sa verge et, finalement, il se lâcha en moi, déversant de longs jets crémeux que je m’appliquai à avaler ; ce n’était pas évident, j’en laissai quelques coulées déborder de ma bouche et couler sur mon menton. Mais j’avais avalé une grande partie de sa semence et le lui montrai.Attendri, il se pencha pour lécher le reste de son sperme sur mon visage et m’embrassa passionnément.On a repris la route sans un mot, à la différence que maintenant, il me caressait tendrement les cuisses pendant qu’il conduisait. La route était encore longue car c’était le seul magasin d’alimentation anglais dans la région. On avait perdu une heure sur le trajet et il restait encore une heure de route. Encore excitée par la petite séance sexuelle, ma chatte était baveuse d’excitation. J’écartai doucement les cuisses et relevai doucement la jupe, en regardant Paul d’un air mutin.Lorsqu’il se rendit compte de mon petit manège, il se fit plus attentif, il comprenait que je voulais lui offrir un petit spectacle sans qu’il n’intervienne. Je glissai lentement un doigt le long de ma fente humide, écartai les lèvres et dévoilai à ses yeux mes petites nymphes roses et brunes. Le clitoris était gonflé et pointait un peu en dehors du capuchon. Je glissai mon majeur dans ma fente et le lubrifiai pour le faire tourner sur mon bourgeon… J’écartai de plus en plus les cuisses et me caressai voluptueusement.Le paysage passait à toute allure sous mes yeux mais je n’y prêtais aucune attention. Toute ma personne était focalisée sur cet endroit intime, et ma peau brûlait sous le regard plein de désir de mon compagnon de route. Je glissai deux doigts dans mon vagin et me branlai assez fort pour stimuler une zone sensible de mon vagin, située sur le haut, à quelques centimètres de l’entrée.— Mets-en trois, même quatre, si tu peux, ma chérie !Je lui jetai un regard torride et m’enfonçai trois… quatre… et cinq doigts ! Je me pistonnai la chatte avec ces doigts, ce qui faisait un bruit de succion érotique. Je gémissais, et une fine pellicule de sueur se formait sur ma peau. Malheureusement, j’étais incapable de m’enfoncer la main à l’intérieur, c’était trop étroit… Plus tard, peut-être qu’après un bébé cela me sera possible… qui sait?Je ressortis mes doigts et recommençai à titiller mon clitoris avec deux doigts, je ne tardai pas à jouir. La cyprine se déversait sur ma main pendant que je râlais de plaisir… puis, perverse, je me léchai la main en regardant Paul droit dans les yeux.Laissant mon majeur et mon index maculés de mon jus, je me penchai et lui fis sucer ces deux doigts. Il me les lécha avec plaisir, très gourmand. Avec un mouchoir en papier, je nettoyai le reste de mon jus qui maculait le siège et m’essuyai aussi l’entrejambe.Paul me prit tendrement la main, je jetai un coup d’œil sur son jean et vis qu’il était à nouveau gonflé.Je souris.Il y allait avoir un nouvel arrêt en route.La journée allait être longue…