Le nez cassé
Je devais suivre un séminaire, avec un copain. Je pouvais voir que la fille en fasse de moi, qui était vraiment belle, ne portais pas de culotte, elle avait un cul formidable. Mon pote me dit de poser ma main sur sa chaise, je pourrais sentir son cul. Malheureusement pas que…
Proposée le 15/10/2022 par soleil-levant Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Le nez casséUn nez Cassé
Il est quatorze heures, nous entrons pour suivre notre séminaire, une belle jeune fille devant moi, une jupe assez courte, me montrait son cul, elle ne portait pas de culotte. Je dois dire, elle avait un très joli cul, admirable, Aussi Barnabé mon pote, Me murmure.
– Lorsqu’elle s’assiéra, tu poses ta main sur sa chaise pour lui tâter le cul.
Eh bien moi, comme un con, c’est ce que j’ai fait. Cela ne me gênait pas, je venais justement de rejeter mon ex, on était même vraiment fiancé.
Je pose donc ma main, la paume en l’air sur sa chaise, au moment où elle s’assied.
Ses douces fesses chaudes se posent sur ma main, j’avais fermé les yeux, je peux les sentir frémirent (ses fesses), j’allais même bander si… Une douleur atroce ne m’avait pas saisi le nez, maintenant en sang. Elle m’avait aligné un adorable coup de poing au milieu de la figure, justement là, ou se trouvait mon nez.
Je rassemble en vitesse mes deux mains pour me protéger, malheureusement un peu tardif.
Elle se retourne, met sa main devant sa bouche, avec un air très attristé. Elle me retire lentement mes mains, elles les ouvrent sans rien dire, bourre dans mon nez deux morceaux de coton, pour stopper le sang, encore un bout de coton, elle me nettoie le museau gentiment.
Je pouvais voir sa poitrine, son corsage s’était entrouvert en me soignant. Cette belle poitrine, elle me faisait oublier ma douleur. Enfin presque. Je ne pouvais pas comprendre, elle me casse le nez, puis elle me soigne, d’une manière extrêmement douce.
– Excuse-moi, je ne le voulais pas, j’ai été trop vite, excuse-moi encore. Sans plus rien dire, se retourne sans plus faire attention à moi, du moins c’est ce que je pensais.
Mon nez me faisait affreusement mal, j’avais l’impression qu’elle me l’avait cassé. Pendant la pause, un autre bonhomme d’une autre classe je suppose, lui passe la main au cul.
Sautillant sur ses pieds, il reçut pour commencer, une doublette de coup de pieds dans les couilles, il se plie en deux pour recevoir le genou de la demoiselle dans le nez, ou sur le nez, juste au milieu de la figure, comme avec moi.
J’ai souffert pour le pauvre garçon, je savais que dans les couilles c’était très douloureux
– Je t’avais prévenu, regarder, oui, mais pas toucher, ce n’est pas pour toi. Lui dit-elle gentiment. Par contre, il n’a pas eu droit au coton dans le nez.
Elle se retourne, et sans faire plus attention, ni à lui et ni à quiconque, elle continue lentement sa promenade en lisant, continuant d’exposer ses belles fesses.
Putain, j’ai encore eu de la chance, pensé-je, elle a été gentille avec moi, elle m’a mis des cotons dans le nez, elle m’a nettoyé, elle s’est même excusée.
Elle se trouve à ma hauteur, sans relever le nez de son livre, elle me demande avec le sourire.
– Ça fait mal ?
Stupéfait je la regarde, elle me nargue ou quoi ?
– Tu ne veux pas me répondre ? Demande-t-elle.
– Tu te fous de ma gueule. Oui bien sûr, tu le sais très bien. Elle faisait donc attention à moi merde, en plus elle était pas mal.
– Je peux voir ? Sans attendre, elle enlève les cotons de mon nez, palpe un peu, cela te fait mal ici ?
Elle m’auscultait, bien entendu, son corsage de nouveau ouvert, elle me montrait sa belle poitrine
– Un peu, mais c’est supportable.
– Je me suis retenu, ton nez n’ait pas cassé.
– Eh si tu me l’avais cassé ?
– Ça aurait été la faute à pas de chance. Lorsque tu fais une connerie, il faut en supporter les conséquences. Mais je ne le voulais vraiment pas.
– Pourquoi tu as fait attention avec moi ?
– Par ce que tu me plais, connard, seulement je t’ai vu trop tard, mon point était déjà partit, je m’appelle Élisabeth et toi ?
– Moi c’est Anton.
– Anton ?
– Oui, c’est un prénom allemand. Dis-moi, ce n’est pas gentil, tu montres ton cul, tu provoques et tu tapes si quelqu’un te touche. Elle refermait son corsage, elle sortait ses seins les uns après les autres pour les ranger convenablement dans son corsage, les faisans se balancer devant mon nez. Je les mangeais des yeux
– Si tu vois un gâteau dans la vitrine, tu ne le prends pas, tu demandes. Elle rajoute doucement.
– Si tu m’avais demandé, je t’aurais dit oui, même avec un baiser par-dessus.
Nous retournons dans la salle de séminaire, elle me tenait par le bras. Elle demande à son voisin de changer de place avec moi, elle me voulait à côté d’elle.
Dans le bar
Pendant le séminaire, elle promenait sa main, ses doigts sur ma cuisse, sur mon ventre, putain, elle me faisait bander, je suis même sûr qu’elle le savait.
Sa jupe remontée sur le nombril, je ne pouvais pas la regarder sans être attiré par sa touffe bien garnie.
Elle se tournait très souvent de mon côté, en me souriant et me donnant de gentilles caresses.
À la fin de ce séminaire, elle m’invita pour boire un Cognac, elle voulait arranger mon nez. Par contre, une auréole noire bleutée, se dessinait autour de mes yeux qui enflaient.
Elle m’avait pris par le bras et m’entraînait dans un bar qui était plein à craquer. C’était presque un cabaret ou quelque chose dans ce sens, une fille nue sur le teck dansait à la barre. Comme il faisait assez sombre là-dedans, personne ne pouvait voir mon état et personne ne faisait attention à nous.
Elle me poussa, dans un coin du bar et entrepris de me soigner, comme elle disait. Pour pouvoir regarder mon nez, elle était obligée de rapprocher son visage très près du mien. Je ne peux m’empêcher de lui rouler une pelle, qu’elle accepta, bien entendu, même avec délice. Là, c’était le comble, sa langue dans ma bouche, se tournait dans toutes les directions, notre salive se mélangeait, ses lèvres mouillaient les miennes. Un vrai délice, j’aimais. Elle me palpa un peu autour des yeux, puis elle commandât trois cognacs.
– Tu veux boire deux cognacs ? Lui demandé-je
– non, un pour toi, un pour moi et un pour ton nez
– Pour mon nez ?
– Tu vas voir.
Elle prend un coton, l’imbibe de cognac, et cure dans mon nez. Putain la douleur, je n’arrivais pas à me dégager d’elle, elle m’avait bien coincé, mais la douleur était immense.
– Merde, que fais-tu, cela fait mal.
– Pas longtemps, le cognac, c’est bien mieux que l’alcool à quatre-vingt-dix degrés. Elle avait à nouveau déjà plaqué sa bouche contre la mienne
Sa main glissait sur mon ventre, sur mon bas ventre, elle avait ouvert ma chemise, je venais de m’apercevoir, que mon pantalon, comme mon slip était descendu sur mes genoux, que ma bite avait grandi, grossi, s’était raidi, que mon gland c’était gonflé de sang. Sa touffe, bien fournie, me chatouillait la bite et mes testicules. Elle m’excitait d’une manière incroyable.
La douleur me pinçait le nez, sa bouche écraser contre la mienne
Je venais de m’apercevoir que sa jupe était remontée, qu’elle dirigeait ma bite dans son antre, entre ses petites lèvres roses, mouiller, transformé en fontaine, putain que c’était bon.
Mon bas ventre nu, se frottait au sien, contre sa touffe, je sentais ses poils doux me chatouiller les testicules, ne faisait que de m’exciter de plus belle.
– Que veux-tu faire, demandé-je ?
– Devine.
Mais ma bite se trouvait déjà au chaud, dans sa fourrure, elle m’invitait à aller plus en profondeur. Je m’appuyais au mur pour remonter ma queue, pendant qu’elle se baissait un peu. Je n’avais pas fait attention, je crois, elle était plus grande que moi.
Ses mains appuyant sur mes fesses, un vrai régale, l’excitation était au comble, dans ce bar plein à craquer, ma bite dans son fourreau au plus profond, personne ne faisait attention à nous, le public regardait la danseuse nue sur le comptoir, nous jouissions déjà.
Elle transpirait de grosses gouttes, coulaient sur son visage, je la sentais hoqueter dans mes bras, se convulser, trembler. Je n’allais apparemment pas assez vite, c’est elle qui montait et descendait de sur ma bite, à une vitesse effroyable.
Elle se mordait les lèvres, appuyait sur mes fesses contre elle sa poitrine contre la mienne. Ma langue qui ne laissait pas ses mamelons qui pointaient, au repos, ou mes mains qui malaxaient ces jolis seins, ou lui caressaient ses belles fesses.
Elle était très silencieuse, je n’entendais que sa respiration quelques fois un petit râle presque inaudible et le bruit des baisers qu’elle me donnait, dans le cou, sur ma poitrine sur les joues bien entendu sur la bouche.
– Anton, Anton, je jouis, je jouis, me dit-elle dans l’oreille.
– Elizabeth, ce serait bien malheureux, je travaille dans se sans.
– Tu travailles dans quel sans ?
– Merde, pour te faire jouir pardi. Comme je voie, j’ai réussi. Maintenant, tais-toi, embrasse-moi.
Ses mouvements devenaient incohérents, elle tremblait très fort, elle me mordait, la joue, le menton, j’ai peu esquivé sa morsure sur mon nez blessé, de justesse, elle mordait tout ce qu’elle trouvait. Anton, Anton, me disait-elle dans l’oreille, moi j’aimais de plus en plus, elle me plaisait de plus en plus.
C’est à ce moment que je lui remplis au moins un litre de sperme en grognant, j’enlevais même mes doigts pour laisser plus de place, elle éjacula à son tour, me mordant l’oreille, plus d’un litre de cyprine, peut être même trois, je vous jure, sans exagération.
Elle flageolait sur ses jambes trempées, elle poussait toujours mes fesses contre elle avec force me serrant de plus en plus contre elle.
Elle m’embrassait, j’ai l’impression qu’elle aimait m’embrasser, ses hoquets sporadiques, me faisait sursauter avec elle, j’adorais la sentir, comme cela dans mes bras. Elle se calme visiblement, mais lentement.
– Tu n’as… pas bu… ton cognac, me dit-elle, essoufflée, ses lèvres mouillées sur ma bouche. Elle me donnait encore de grands coups de langue
– Toi non plus.
Nous buvons donc notre cognac
– Anton… c’est la première fois, que je fais ça.
– Baiser ?
– Non… t’es con, bien sûre que non, mais dans un bar, j’avais tellement envie, de faire l’amour avec toi.
Lentement elle relève mon pantalon, mais elle fait bien attention que ma bite reste bien profonde dans sa chatte, elle laisse son corps, appuyé contre le mien. Elle se tourne lentement.
Elle se retrouve maintenant, le dos au mur, mais ma bite toujours dans son fourreau et toujours bien droite.
Ma chemise me cachait les fesses, je continuais à la limer, elle glissait le long du mur et avec mes coups de rein, je la faisais remonter.
Elle glissait lentement et pan, un coup de bite, elle était remontée, mais glissait à nouveau, et pan, encore un coup de bite, le jeu recommençait. Pour chaque coup de bite, elle sursautait.
Elle me serrait le cou, m’embrassait, elle trépignait sursautait, tremblait de nouveau, elle se tordit de droite à gauche et vis-versa, elle serrait les dents, appuyait une de ses mains sur mon fessier. Je pouvais sentir son ventre trembler, se convulser, ses seins sautillant. Me frappait ma poitrine. Je jouissais.
Elle ferma les yeux les ouvrit en grand de nouveau, elle ouvre sa bouche referme le tout, elle se crispe, un bras autour de mon cou, elle m’étrangle, son autre main, toujours sur mon cul, qu’elle pousse contre elle avec une force formidable, tout en me les caressant. Je l’entends enfin grogner dans ma bouche. Se relâchant, mais me serrant de plus belle. Elle réussie à dire, entre deux souffles, sa chevelure en l’aire.
– Putain… Anton… commendes… encore deux cognacs, elle plaquait toujours sa bouche sur la mienne.
Commende, deux cognacs, facile à dire, mais qui était difficile à réaliser, si elle ne me lâchait pas, mais, elle ne me lâchait pas.
Elle ne voulait pas me lâcher, son corps nu, ou presque, contre le mien, elle préférait me lécher le museau. J’étais carrément enfoui entre ses deux seins. En plus j’aimais ça, j’oubliais la douleur de mon nez.
Elle se détendait doucement, me remonta mon pantalon, en me caressant les fesses. Elle se collait à moi, pour déguster son cognac.
– Anton, on recommence ?
– Tu es complètement tarée, d’abord tu me casses le nez et en suite tu veux me tuer en baisant jusqu’à ma mort ?
– Je disais ça comme ça, ho là, là, si tu ne veux pas, ben non quoi… Mais que tu le veuilles ou non, j’ai quand-même encore envi, avec toi, pas avec un autre hein. Me dit-elle me mordant dans le cou. Une vraie carnivore.
Sa main tenait toujours ma bite bien enfoncée dans sa chatte.
– Que fait-on, on continue ?
– Je ne suis pas en mesure de recommencer maintenant.
– Pourtant, ta bite dans mon fourreau, elle me dit tout autre chose, elle est encore bien raide, elle peut tenir le coup, j’en suis sûr, mais si tu le veux, on va chez moi, me dit-elle. Ses deux mains appuyant toujours sur mes fesses, comme j’adorais. Tu sais Anton, me chuchote-t-elle, j’ai beaucoup aimé faire l’amour ici avec toi. C’est certainement par ce que tu me plais.
– Je vais te dire, Eh bien tu me plais également et plus que cela encore.
– Alors on continue.
– Ma belle, on ne continue pas. Je ne sais pas si j’ai assez de sperme pour le reste de la journée.
– Bon je t’emmène chez moi, je te fais un bon steak et on recommence.
Dans l’appartement
– Tu es le premier bonhomme qui pénètre dans mon appartement, j’espère que tu apprécieras. Maintenant, comme promit, je te fais un bon steak, tu peux te déshabiller pendant ce temps, je veux te voir à poil.
Je ne me le fis pas dire deux fois, son appartement, très vaste, du moins sa salle de séjour. La cuisine sur le côté ouvert sur la salle de séjour, je pouvais la regarder de ma place, je la trouvais de plus en plus belle, elle me plaisait de plus en plus.
Elle avait déjà fait tomber son corsage, je pouvais enfin admirer sa belle, opulente poitrine. Lorsqu’elle se trouva nue, j’admirais cette beauté, je bandais de nouveau.
Elle prépara le repas, copieux, elle s’assied sur mes genoux pour manger.
– Tu vois me dit-elle en tapotant sur ma bite, tu es déjà prêt. Ce que, vu la hauteur, la grosseur, la grandeur de ma bite, je ne pouvais pas nier. Encore une tasse de café qu’elle dégusta, ma bite maintenant bien enfoncer dans son fourreau, face à moi.
– Elizabeth, Je te trouve très belle, très séduisante.
– Eh moi, je te trouve très beau, tu sais, tu es le premier qui me fait jouir de la sorte. J’aimerais bien que notre rencontre ne soit pas volatile, j’aimerais bien te garder un peu plus qu’une journée. Je te le redis, tu me plais vachement.
– Pour que tu me casses encore le nez.
– Mais non…
– Bien sûr que non, il est déjà cassé,
– C’est déjà ta sécurité, je ne pourrais plus te le casser, mais la prochaine fois, je te casserais les couilles, je pourrais plus facilement te les réparer, en plus j’aime mieux tripoter tes couilles que ton nez. Je vais te donner une paire de lunettes de soleil, tu serras plus présentable.
Lentement, les caresses avaient repris, je pouvais me rendre compte de la fermeté de ses seins, de sa douceur, l’apparition de ses mamelons pointus qui me provoquai et mes cuisses qui étaient trempés de sa cyprine.
Elle me montrait bien, que je lui plaisais, en sautant sur ma bite, mais surtout ses baisés don elle recouvrait mon corps. Pour la première fois, je pouvais voir ce que je touchais, je peux dire que cela était très beau, elle était très belle. J’avais plus de plaisir que dans le bar, c’est une certitude.
Dans le bar, je tâtais sans voir, je la baisais. Ici, je regardais son corps, je le caressais, je l’embrassais, je ne l’embrassais pas au hasard je l’aimais sur le moment, je voyais son visage me sourire, je voyais ses yeux, je voyais sa bouche qui m’embrassait, je pouvais voir la jouissance de son corps, ses tremblements, ses convulsions de bon heur.
– Elizabeth, j’aime mieux ici que dans le bar. Je peux te voir, te caresser. D’une voie entrecoupée elle me répond
– À… vrais… dire… moi… aussi. J’ai eu des sensations inouïes. Maintenant… tais-toi… fais-moi l’amour… embrasse-moi. Puis nous roulons d’abord sur son divan, ensuite nous tombons sur le sol.
Putain que j’aimais ça, jamais je n’avais eu cette sensation, je jouissais avec elle en permanence. Je devais me retenir pour ne pas juter trop vite, trop tôt.
J’étais recouvert de sa cyprine, de mon sperme, de la tête aux pieds. j’ai éjaculé, sur elle, en elle, encore et encore, je ne sais plus, combien de fois. Elle m’inondait de sa cyprine.
Nous nous sommes endormi sur le tapis enrouler l’un dans l’autre, ma bite toujours enfoncée bien au chaud dans sa jolie fourrure. Dans la nuit elle s’est réveillée, elle a réussi à attraper une couverture pour nous couvrir, sans que ma bite la quitte.
– Tu vois, ta bite à tenu le coup.
– Ma bite oui, mais pas moi.
À six heures, elle nous avait préparé le café, mais gluant, dégouttant, puant, nous nous sommes retrouvés d’abord sous la douche, couvert de ses baisés, de ses caresses, je bandais à nouveau. Cette femme m’attirait vraiment, comme un aimant.
Elle me lava de ses mains nues, un vrai délice, me fit encore éjaculer dans sa bouche avant de me tirer pour me sécher.
– Anton, nous avons encore notre séminaire aujourd’hui, me dit-elle en m’embrassant
– Je serais bien resté au lit, lui dis-je, tu me tues.
– Ce n’est pas de ma faute si tu me provoques, en plus, je me laisse bien provoqué par toi, j’adore. Rien que de te regarder, je mouille. Je suis même obligé de porter une culotte.
Dans le séminaire, beaucoup se posaient des questions, d’abord Elizabeth me casse le nez et ensuite, nous sommes inséparables. Même mon pote, me pause la question.
– Que lui as-tu fait ? me demande-t-il.
– Ce que je lui ai fait ne te regarde pas, elle s’est excusé pour mon nez et nous avons sympathisé.
– J’ai l’impression, un peu plus que sympathisé ?
– Oui, elle me plaît cette fille, elle me plaît vraiment.
– Eh tu vas te marier ?
– Eh… doucement, cela fait deux jours que l’on se connaît. Je ne sais pas, pour l’instant elle me plaît, nous nous plaisons. J’avais un peu élevé la voie, elle me demande.
– Il t’emmerde ? Je peux lui casser le nez si tu veux
– Mais non, il me demandait si j’allais me marier.
– Tien, c’est une idée, on devrait en discuter.
– Ouai, tu devrais en discuter toute seule.
– Tu ne veux pas te marier avec moi ?
– Ouai, peut-être, mais je crois que nous avons le temps, et nous en discuterons, tous les deux ma chérie, sans témoin. Là-dessus, je reçois un baiser.
– Tu m’as dit, « ma chérie, merci ».
– Cet après-midi, je dois rentrer chez moi.
– Je t’emmène avec ma sauteuse, tu veux bien ?
– Ta sauteuse ?
– Oui, ma voiture, ma deux chevaux.
Chez Anton
Comme promis, Elizabeth, non sans m’avoir embrassé à plusieurs reprises, m’accompagne chez moi. Sa main, continuellement sur ma cuisse ou sur ma bite, qui ne débandait plus.
– Tu as un bel appartement, me dit-elle.
– Si tu le désires, on peut habiter chez moi ? rester ici ?
– On pourra changer, si cela ne nous plaît plus. Pourquoi pas ?
– Je veux prendre un bain, tu veux également ? Je le prépare, prépare-toi, tien un peignoir.
Je disparais dans ma salle de bain, maintenant nu comme un verre. On sonne à ma porte. Je demande à Elizabeth d’ouvrir.
– Bonjour mademoiselle, qui estes vous (je pouvais tout entendre, je reconnais mon ex que j’avais viré quelques jours au paravent). Elizabeth qui se doutait de quelque chose, provoque.
– Je suis Elizabeth, la maîtresse d’Anton, et vous ?
– Je suis la fiancée d’Anton, Joséphine.
– La deuxième fiancée. (de la salle de bain j’entendais tout j’attendais la suite.)
– mademoiselle, vous portez son peignoir, vous êtes toute nue avec lui ?
– Vous voyez bien qu’il n’est pas ici, déshabille-toi pour l’attendre, Joséphine. Sans plus attendre, Elizabeth entreprend de la déshabiller.
– Que faites-vous ?
– Tu le vois-bien, je t’enlève ta veste, et ton corsage. Oh… tu ne portes pas de soutient-gorge, ça, c’est bien, ta poitrine est vraiment ravissante, on en mangerait.
Elle lui prend sans hésiter son mamelon avec sa bouche, Joséphine essaye bien de se défendre, mais uniquement pour la forme et sans conviction, mais elle se laisse faire quand-même, elle a l’air d’aimer ça.
Le peignoir d’Elizabeth à disparu, elle se frotte contre Joséphine qui l’embrasse maintenant à pleine bouche.
Elle embrasse ses mamelons, sa touffe, Joséphine se baisse pour atteindre la chatte d’Elizabeth, Elizabeth lui maintien la tête contre son pubis c’est à ce moment que j’arrive, elle ne m’a pas vu, elle me tourne le dos.
Je mouille ma bite entre ses jambes, elle veut se relever, maintenant, mais Elizabeth, l’empêche de s’esquiver. Elle sait que je suis là, mais Elizabeth, se doutant de ce que je voulais faire lui maintient la tête contre sa chatte avec force.
Joséphine ne veut pas dans le cul, elle proteste.
– Non, Anton, tu sais que je n’aime pas ça.
– Je t’avais dit de ne plus revenir, je t’avais dit de disparaître.
Ma bite se trouve à l’entrée, je passe d’abord mes doigts pour la mouiller, pour élargir encore l’entrée. Ma bite est droite et dur, idéal pour cela. Mon gland entre, ne va pas plus loin.
– Anton, je ne veux pas. Je pousse encore un peu
– Anton cela me fait mal.
Je me retire, Elizabeth continue, de la presser contre sa chatte, ma bite revient de nouveau en force et entre de nouveau, trois centimètres, son rentré, j’appuie encore, elle ne se débat plus, elle pleure, ma bite entre doucement, c’est merveilleux.
Elle est à genoux sur le sol maintenant, la joue sur le tapis, le cul en l’aire, elle respire fortement, je sens les muscles de son cul qui se contracte, puis se décontracte, putain si elle continue, elle va me faire éjaculer.
Elle mouille considérablement, j’ai l’impression qu’elle aime, elle se crispe au bras d’Elizabeth, elle l’embrasse pendant que je pousse ma bite en va et vient dans son cul. Ma bite est enfoncée jusqu’à mes testicules, je ne peux pas aller plus loin,
Je ne peux plus me retenir, Elizabeth s’en rend compte. Elle retire ma bite pour me faire éjaculer dans sa bouche.
Joséphine s’allonge lentement sur le sol, sa cyprine inondait toujours mon tapis, elle avait les yeux fermés.
Elizabeth, enfonça ma bite dans son fourreau, tout en faisant disparaître mon sperme de sa bouche, se serrait contre moi, roulant ses belles cuisses autour des miennes, me caressait, m’embrassait.
– Anton, c’est vraiment ta fiancée ?
– Non, elle l’était, mais je l’ai surprise chez elle avec un mec. Aussi je lui ai dit de rester avec lui, pour moi c’est tout ou rien, je suis exclusif, je te veux à moi seul, pas un petit bout je sais, que ce n’est pas la première fois.
– Anton, pardonne-moi,
– bien sûr, je t’ai pardonné, mais ne revient plus, je ne veux plus te voir.
– Mais…
– Mais, rien du tout, j’ai trouvé Elizabeth, et je ne changerais pas de sitôt. Prends tes fringues et va-t’en. Allez, disparais, nous avons encore à faire. Je lui mis ses vêtements dans les bras et je la mis dehors, encore nue. Allez, ne revient plus.
Dans la salle de bain
Elizabeth ne voulait plus me lâcher, nous nous trouvons debout dans la salle de bain, elle se débrouillait pour enfoncer et garder ma bite dans sa fourrure, je bandais de plus belle, Joséphine m’avait excité, j’avais envie d’Elizabeth maintenant.
Elle s’en apercevait bien entendu pour sa plus grande Joie, je lui caressais ses jolis seins, ses fesses, elle ronronnait entre mes bras, contractait les muscles de son fourreau contre ma bite pour me faire bander encore d’avantage, me caressant, m’embrassant
– Anton, je crois que je t’aime
– Voilà la salade, tu me plais beaucoup, énormément, mais attend au moins quelque temps avant de me piquer mon célibat. Seulement je ressentais plus que de l’amitié, elle me plaisait en grand, je me surprends même ne pas en vouloir d’autre.
– Dis-moi mon chou, tu ne veux vraiment pas te marier avec moi ?
– Je n’ai pas dit ça, je pense qu’il est beaucoup trop tôt pour en parler, et pour le moment, j’ai autre chose à faire, continue de m’appeler ton chou, et moi je vais continuer de malaxer tes seins et t’embrasser.
– Tu es en colère ?
– Bien sur… que non, ce qui m’énerve, j’ai l’impression que je tombe amoureux, c’est mon problème.
– Bravo, j’ai gagné. Elle laisse ma bite se remuer dans sa chatte, mon envie devient de plus en plus forte.
– C’est sur, après m’avoir cassé le nez, tu fais de moi ce que tu veux et tu t’en réjouis, moi aussi d’ailleurs, aller, vient on fait l’amour.
C’est moi maintenant, qui remuait ma queue dans ses entrailles pour la faire se tordre de plaisir, elle n’arrêtait pas de me mordre, de m’embrasser, même mon nez en prenait un coup, mais elle m’apportait tant de plaisir.
Nous roulions sur le sol, elle prenait ma bite en bouche avant de se l’enfoncer avec des plaintes de jouissance, elle ne criait normalement pas, mais cette fois, cela était trop, en jouissant, elle poussa un cri de fauve qui me surprit, qui la surpris également.
Elle tremblait de plaisir me serrant dans ses bras avec une force incroyable, elle m’étouffait, elle avait collé sa bouche contre la mienne, appuyait dessus, ne me lâchait plus.
Elle m’empêchait de faire un mouvement. J’étais vachement content avec elle. Quelques jours seulement, m’avais suffi, elle serrât ma partenaire, j’en suis sûr. Je pense pour un bon moment.
– Elizabeth, amène tes nichons, j’aimerais que tu me masses ma bite avec !
– Cela tombe bien, je désire que tu m’embrasses. Dépêches-toi© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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