Je ne pensais pas qu’à mon âge, j’allais rencontrer un homme qui aurait envie de me faire l’amour. À cinquante-sept ans, je ne suis plus une beauté fatale et je ne suis pas de celles qui passent des journées à entretenir leur corps ou même à essayer de tricher avec l’âge. Veuve depuis cinq ans, à l’abri du besoin, j’ai pris ma retraite dans un petit village où je passe mon temps entre mon jardin, la lecture, la mer, les amis et les promenades. C’est justement au cours de l’une d’entre elles, qu’il m’est arrivé une petite aventure qui a la particularité… de durer ! En cet après-midi de mars ensoleillé, je me baladais le long du ruisseau qui mène vers le lac. C’est là que je rencontrai Marc, le facteur du village, en train de pêcher la truite. C’était un garçon d’une trentaine d’années, célibataire, toujours gentil et amoureux de la nature. Il était chasseur, pêcheur, un peu braconnier, chercheur de champignons. Il avait dans le coin une clientèle particulière, dont je faisais partie. Après son travail, il était toujours dehors, quel que soit le temps.— Bonjour, Max !— Oh, bonjour Madame Julie !— Alors, ça mord ce matin ? J’aurais bien mangé une truite, ce soir !— Je n’ai encore rien pris, mais si j’en attrape, je vous en porte !— Chiche ! Je repris mon chemin et finis ma sortie. Vers dix-neuf heures, alors que je regardais la télé dans le salon, le carillon de l’entrée résonna. Je trouvai Marc avec une poche plastique.— Je vous ai apporté quelques truites ! Vous les voulez ?— Je n’y pensais même plus, c’est gentil ! Entre donc, je vais te régler ! Combien te dois-je ?— Vingt euros, Madame.— Tu boiras bien l’apéro ? Allez, tu vas t’asseoir au salon ? Enlève donc ton blouson, tu as bien une minute ! J’arrive ! Je partis chercher son argent et l’apéritif. Je le rejoignis au salon, lui payai ses trois truites, lui servis son verre de Porto (je connaissais ses habitudes) et m’assis en face de lui sur un des deux canapés qui se faisaient face. Nous nous mîmes à parler de choses et d’autres, il était au courant de tout ce qui se passait au village et aimait les cancans. Je me rendis compte, soudain, que son regard était fixé au niveau de mes genoux. Je n’avais pas fait attention et ma jupe était un peu remontée sur mes cuisses, mais bon, pas quand même suffisamment pour émouvoir ce jeune homme ? Pourtant, il jetait souvent des coups d’œil dans cette direction. Je ne sais pas à cause de quelle pulsion, que je n’avais encore jamais ressentie — et que je ne pouvais contrôler —, je me dis que ce serait marrant de se prendre au jeu. Aussitôt, je croisai les jambes avec un air innocent, laissant la jupe remonter largement, jusqu’à ce qu’il puisse entrevoir la partie la plus sombre de mes collants gris. Le piège fonctionnait à merveille, il poursuivait la conversation, mais je le vis rougir et il lançait des regards de plus en plus fréquents vers le spectacle ma foi pas encore trop excitant que je lui offrais. Comprenant qu’il ne lui en fallait pas beaucoup pour être complètement déstabilisé, je décidai de décroiser mes jambes, mais cette fois, je les gardai écartées. Là , il devint carrément cramoisi, il se tortillait sur son siège, il devait voir le noir de ma culotte au travers du collant ! Il avait du mal à finir son verre, il fallait que je cesse mon petit jeu. Et je pris donc une pose beaucoup plus respectable pour une dame de mon âge. Je le vis déçu, il me regarda avec un drôle d’air et il arrêta même de parler. Il finit son verre et se leva.— Que se passe-t-il ? Tu t’en vas ? Qu’est-ce qui ne t’a pas plu ?— Rien, je dois partir !— C’est de ma faute ? Je te sens fâché ?— Ben… C’est que…— Quoi ? Explique !— Eh bien, vous m’avez montré vos jambes et même plus et à présent, j’ai un peu de mal à … Je n’avais plus l’habitude ! Effectivement, maintenant qu’il était debout, je voyais bien la bosse qui ornait le devant de son pantalon ! À présent, c’était moi qui avais du mal à quitter les yeux de son anatomie flatteuse. Du coup, j’étais troublée, cette chose là ne m’était plus arrivée depuis longtemps et je me sentais prise à mon propre piège ! Que faire ? Il restait là , planté au milieu de la pièce ! Et moi qui ne bougeais pas de mon canapé, muette ! Seule la table de salon nous séparait. Je me levai tout de même. Il était tout confus.— Pardon, je ne sais pas…— Ce n’est rien, c’est moi qui aurais dû faire attention ! Mais je suis vieille, je ne pensais pas…— Vous êtes attirante, ce que j’ai vu m’a charmé ! Au point où j’en étais, je ne savais plus ce que je faisais. J’ai fait le tour de la petite table, je l’ai pris par les épaules et j’ai posé mes lèvres sur les siennes. Je n’ai pas eu à appuyer beaucoup, pour qu’elles s’ouvrent et laissent passer ma langue, qui s’est aussitôt enroulée à la sienne pour un baiser qui me donnait des frissons dans tout le corps. Je devenais folle. J’avais soudain envie d’un homme et il était là , je ne pouvais pas rater cette occasion ! Avant, j’aimais l’amour, je n’avais pas oublié combien c’était bon de se faire prendre par une belle queue tendue. Là , j’en avais une sous la main et tant pis pour tout le reste, je n’allais quand même pas m’en priver. Surtout que le garçon semblait bien viril, à en juger par le gros bâton tout dur qui frottait contre mon ventre. Notre baiser dura longtemps, il m’avait tendrement enlacée et je me sentais bien. Nous nous sommes assis sur le canapé. Il me regardait, incrédule, de la tête aux pieds. Il osa enfin poser sa main sur ma cuisse. Ses doigts jouaient sur mon genou, puis remontèrent doucement le long du collant dont il semblait aimer la texture. Il malaxa mes cuisses un peu molles, je lui tendis à nouveau mes lèvres, il investit ma bouche. Sa main était maintenant sous ma jupe, entre mes jambes que je ne refusais pas d’écarter largement. Je sentais des bouffées de chaleur au fur et à mesure de sa progression qu’il n’arrêta qu’au moment où il atteignit l’entrejambe. Il prit alors mon sexe à pleine main, plaquant sa paume sur la double épaisseur du collant et du fond de ma culotte. Il m’enveloppait bien, je sentais seulement ses doigts bouger doucement sur ma chatte que je sentais se gonfler pour la première fois depuis bien longtemps. J’étais complètement abandonnée, je le laissai faire et il profita de son avantage. Il prit ma main et la porta vers son sexe. Je sentis bien vite son excitation. Du bout des doigts, je caressai ce pieu de chair à travers la toile de son jean, je le sentis vibrer. Il avait une belle érection, j’avais envie de la voir.— Et si on allait plutôt dans ma chambre, je préfèrerais être à l’aise ?— Si vous voulez !— Allez, viens et appelle-moi Julie, je crois qu’on ne va pas tarder à être intimes ! Il me suivit, là où aucun homme n’avait encore pénétré. Après nous être regardés cinq secondes, nous avons commencé à nous déshabiller. Il enleva ses vêtements bien plus rapidement que moi et il fut nu alors que j’étais encore en collants et soutien-gorge. Il vint vers moi et me serra dans ses bras en murmurant qu’il avait envie de moi. Oh, je le sentais bien ! Sa queue était dressée sur son ventre, son gland cramoisi était à moitié décalotté, une petite goutte translucide perlait de la petite fente de son méat. Il s’écarta un peu de moi, regarda un instant ma poitrine cachée par un soutien-gorge noir à armatures. Il se mit à caresser les bonnets de dentelle, épousant la forme de mes seins, cherchant à agacer à travers le tissu mes tétons durcis, me donnant d’agréables petits frissons. Je passai mes mains derrière le dos et dégrafai le soutien-gorge, libérant mes deux globes laiteux qui n’avaient plus la même tenue qu’autrefois, mais qui ma foi lui firent de l’effet. Il se jeta sur moi, me coucha sur le lit et se mit à soupeser mes lourdes mamelles. Puis il se pencha sur mes aréoles granuleuses et emboucha mes tétons turgescents l’un après l’autre, m’arrachant des petits cris de bonheur. Je réussis à me dégager un peu et tandis qu’il ne cessait de me peloter, j’entrepris de finir de me déshabiller, faisant descendre à la fois mes collants et ma culotte, dévoilant ma toison un peu grisonnante. Il s’allongea et je me mis à genoux près de lui. Un gros baiser bien appuyé sur son nombril, et je descendis vers l’objet de tous mes désirs, cette queue tendue, ses couilles bien remplies. Je pris sa hampe de mes deux mains et approchai ma bouche. Un coup de langue pour récupérer la gouttelette qui perlait encore, et hop, j’embouchai le gland violacé. Le contact de mon palais chaud le fit sursauter et il s’agrippa à mes fesses rondes. Je descendis lentement le long du membre, faisant tournoyer ma langue tout autour, caressant tendrement les couilles. Il avait très bon goût et je me régalai de monter et descendre sur ce pieu de chair. Il réussit à m’entraîner au-dessus de lui en soixante-neuf. Je lui offris sans restriction mon abricot que je sentais inondé. Il écarta les grandes lèvres, le jus coula, je le sentais. Tout de suite, sa langue dure pénétra dans l’antre du plaisir, puis lapa les sucs, qui s’en écoulaient, comme un petit chien. Il semblait se régaler tout autant que moi. Lorsqu’il s’occupa de mon petit bouton sensible, j’émis quelques sons incompréhensibles, puisque j’avais la bouche pleine de son vit. Mais il savait y faire ! Il titillait, léchait, aspirait, mâchouillait mon clitoris enflammé, je me tortillais comme une anguille pour échapper au supplice. Lui aussi semblait avoir des problèmes pour se contrôler. Il me demanda d’arrêter, il allait jouir ! Je fis simplement demi-tour et me couchai sur lui pour l’embrasser. J’écrasai mes seins sur son torse, puis, me redressant, je le caressai avec les tétons. D’abord son visage, puis son torse, d’où je descendis sur son ventre, pour enfin atteindre son sexe que je couvris, couilles comprises, de mes deux mamelles tendres. Il prit ma tête et passa ses doigts sur mes joues, sur mes lèvres.— Je n’en peux plus ! Je veux jouir !— Attends, ma puce, je vais te faire jouir ! Je me mis à califourchon sur lui, je saisis sa puissante queue et la guidai à l’entrée de mon puits d’amour. Tellement j’étais mouillée, je n’eus aucun mal à m’empaler sur son pieu viril jusqu’à la racine. J’étais littéralement remplie ! Je ne bougeai plus, savourant l’instant. Il en profita pour saisir mes seins, les soulever pour en caresser le dessous, là où ils sont si doux. Surveillant son visage pour ne pas le faire jouir trop tôt, je commençai un lent va-et-vient le long de sa bite. Je m’offrais totalement ; mes mains sur son torse, j’accélérai le mouvement et je sentis venir ma jouissance. Parcourue de frissons, le plaisir prit naissance au fond de mon ventre, une boule de feu qui me fit me contracter, puis, d’un coup, l’orgasme éclata ! C’est là que je sentis dans mon vagin en feu une giclée brûlante me fouetter l’utérus, suivie d’une autre moins violente. Je ne l’avais pas vu, mais il avait joui lui aussi au plus profond de mon sexe en fusion. Je tombai sur lui, il m’enlaça gentiment. Nous restâmes ainsi de longues minutes, son sexe mollit et sortit seul de ma grotte inondée. Je me relevai. Je sentis alors une coulée de jus odorant couler de mon sexe et je vis quelques gouttes tomber sur son ventre. Je me penchai et tendrement, du bout de la langue, j’allai récupérer un peu de nos jus mêlés que je vins lui faire partager dans un baiser plein de douceur.— Bien, maintenant la douche ! Je te fais cuire une truite ?— Et si je restais là cette nuit ?À votre avis, quelle fut la réponse ?