Annuellement, la visite médicale nous est proposée (imposée) pour le travail. Or, la doctoresse que nous avions à rencontrer semblait intéressée, plus que ce que son métier et les habitudes que ce dernier procure ne le laisseraient supposer, par les anatomies de ses patients… C’était une femme sans âge, sur laquelle je ne me serais pas retourné dans la rue, les cheveux châtains, filasses, le corps sec, une paire de bésicles perchée sur le bout du nez. Nous nous amusions entre collègues à raconter ses manières de se comporter vis-à-vis de nous. Cela amusait la majorité… surtout les mâles…Pour les filles, seules celles qui avaient une grosse poitrine avaient des récriminations à faire. Ces dernières se trouvaient en effet dénudées la plus grande partie du temps de la visite, ce qui n’était pas le cas pour celles qui avaient de plus petits seins… Mais ce n’est pas des filles dont il sera question ici. Pour nous les mecs, nous sentions une perversité évidente chez elle, perversité qui se traduisait par des mains baladeuses et des regards sans équivoque…Parlons tout d’abord de la visite en elle-même. Nus, excepté le slip, nous passions une visite assez traditionnelle. Ce n’est qu’aux moments, notamment de la mesure du poids et de la taille, de l’auscultation, de la palpation du ventre, que nous ressentions un trouble dans son comportement, trouble qui nous amusait, c’est en tout cas ce que les collègues me disaient. Pour ma part, j’étais assez émoustillé…Ce sont nos fesses qui avaient l’honneur de ses caresses pendant la mesure et la pesée. En effet, elle nous guidait (plus que nécessaire ?), les mains bien posées sur l’une de nos fesses. Nous devions nous retourner. Ce sont ses mains qui assuraient la rotation en palpant allègrement nos globes fessiers… Pendant l’auscultation, elle posait sa main sur la cuisse nue, et distraitement sans doute, remontait cette main, jusqu’à la limite du slip. Ceux qui avaient la bonne idée de mettre un caleçon américain, voyaient même les doigts disparaître sous l’étoffe. Certains prétendaient même avoir senti ses doigts frôler, voire plus, le matériel dont ils étaient si fiers. Je ne mettais pas de caleçon américain. Par contre, je peux affirmer que le contact entre cette main et le tissu du slip visait une partie bien précise de mon anatomie…Ce qui me marquait le plus, moi, c’était la palpation du ventre. Elle insistait longuement, poussant profondément à la hauteur du bas-ventre, ce qui avait pour effet d’éloigner la peau du tissu du slip, et laissait la place pour que mon sexe se glisse par l’ouverture ainsi pratiquée… Ce qui n’a pas manqué de se produire… légèrement. Certains collègues, dans une soirée un peu arrosée, racontaient eux des apparitions moins furtives…Mais là n’était que le début. Notre doctoresse prétendait ensuite devoir prendre d’autres mensurations. Nous n’avions pas connaissance lors d’autres visites médicales de cette prise de mesures. Elle aurait affirmé à un collègue que ces mesures étaient destinées à des études statistiques à réaliser sur le long terme. Ce n’était pas impossible. En tout cas, pour des gens peu au fait de ce type d’études, cela restait plausible. Nous nous prêtions donc de bonne grâce, à ce travail de prise de nos mensurations.Pour ce faire, elle se posait un micro cravate, prononçait notre nom, puis commençait ses investigations. Les mesures des bras se passaient tout à fait banalement. À chaque mesure prise, elle énonçait le chiffre correspondant qui était donc enregistré au travers du micro. Elle passait ensuite à la mesure du dos. Elle repérait une vertèbre dans le cou, puis descendait jusqu’au coccyx pour prendre la mesure. Et c’est là que ça devenait intéressant. Le coccyx était bien entendu caché par le slip. Et c’est sans hésiter et sans quémander l’autorisation qu’elle baissait ce dernier pour arriver au point de chute de son mètre ruban.Les conversations avec les collègues et mes trois expériences avant celle que je dois encore vous narrer, nous avaient appris que de toute façon, la moitié des fesses étaient systématiquement dénudées. Par contre, parfois, il n’y avait que l’arrière du slip qui était baissé, parfois, c’était dans sa totalité que l’étoffe descendait de quelques centimètres. J’ai moi-même connu ces deux expériences, me retrouvant les poils pubiens largement à l’air à deux reprises. Après cette mesure du dos, elle ne remontait jamais elle-même le vêtement. Je dois avouer que la première fois, je l’avais remonté machinalement moi-même, mais les deux fois suivantes, j’avais été attentif à le laisser tel qu’elle l’avait elle-même décidé…Elle s’asseyait ensuite sur un tabouret, prenant soin de nous guider en face d’elle en posant ses mains sur les petits culs dénudés, puis mesurait les jambes. C’était sans exception que nos sexes entraient en contact (toujours protégés par le tissu) avec la main de la doctoresse, qui ajustait longuement son ruban pour profiter au maximum du contact. Chaque jambe avait droit à son tour, ce qui laissait à chaque coucougnette et à notre zigouigoui le temps de profiter de la caresse (un peu rude, le plus souvent). Enfin, arrivait le temps du tour de taille. Elle nous installait face à elle, et donc pour ceux qui n’avaient pas remonté leur sous-vêtement, ses yeux rivés sur le buisson pubien et de toute façon sur la bosse du sexe. Nous avons tous senti que ses doigts s’insinuaient innocemment dans ces poils…C’en était terminé, il ne nous restait plus qu’à nous rhabiller et attendre la fois suivante… Mais cette fois suivante, je m’étais enfin décidé à la vivre autrement. Il n’y avait pas de raison qu’elle soit la seule à diriger notre perverse relation. Car il me plaisait ce délire, mais j’avais aussi envie d’y ajouter mes épices… J’avais donc organisé mon petit scénario. L’idée m’était venue face à un slip qui avait bien vécu, et dont l’élastique n’était plus très utile. Je m’étais d’abord dit que j’enfilerais ce caleçon lors de la prochaine visite médicale. Puis, pour faire plus vrai, je m’étais préparé un autre slip, duquel j’avais décousu le bord pour arracher l’élastique. J’avais ensuite recousu le tout, pour donner l’impression d’un réel accident.La visite était alors arrivée. J’avais rendez-vous à 14h. Cela tombait plutôt bien, un collègue fêtait son anniversaire sur le temps de midi, et je n’avais pas lésiné sur les bouteilles de porto qu’il avait amenées pour nous. J’étais donc légèrement euphorique en arrivant à l’avance à la visite. Cette euphorie ne pourrait que m’aider à sauter le pas et à réaliser mon scénario, parce qu’il fallait encore que j’ose…Une opulente blonde était déjà présente dans la salle d’attente. Le porto aidant, j’entrepris plus facilement la conversation. Nous devisions de tout et de rien, et le temps passait. L’heure de mon rendez-vous arriva sans que l’un de nous ne fût appelé. Les minutes continuaient à défiler, sans présence de la doctoresse. Je proposai alors à ma compagne d’attente, Elise était son prénom, de réaliser moi-même son examen médical, avant qu’elle ne fasse de même pour moi… Ma proposition la gêna un peu, mais la fit surtout rire… Ce qui était d’ailleurs ma seule intention. Elle me répondit qu’elle envisagerait certainement les propositions avec beaucoup d’intérêts. C’est à ce moment que je fus enfin appelé, et je la quittai avec un clin d’œil complice.Je fus guidé vers une cabine, et on me signala que je devais me déshabiller pour ne conserver que mon slip. Et c’est là que débuta mon scénario. Je me dévêtis complètement, enfilai le slip déchiré et remis mon pantalon. J’avais à peine fini ce manège que la voix de la doctoresse retentit dans le couloir, énonçant mon nom. Je sortis donc torse nu, traversai l’étroit couloir pour me diriger vers le cabinet médical dont la porte était ouverte. La doctoresse était à son bureau, et répondit à mon « bonjour » sans lever les yeux. Quand elle les leva, elle fronça les sourcils et me rappela que la visite se passait en slip.J’osai alors lui expliquer qu’un stupide accident venait d’arriver, que l’élastique de mon caleçon avait explosé et que ma tenue sans le pantalon serait trop impudique, et que j’aurais l’air ridicule. Elle répliqua sèchement que c’était pour elle la seule façon d’assurer la visite et que j’étais prié de quitter ce pantalon (c’est l’expression qu’elle avait employée). Faussement penaud, je m’exécutai, me retournant pudiquement pour retirer ce futal, profitant néanmoins de l’occasion pour descendre le slip et dévoiler mes fesses. Je me retournai en le remontant et en expliquant d’une mimique penaude l’état désastreux de ce slip.Elle ne pipa mot, mais je vis dans ses yeux la lueur qui disait combien elle appréciait la situation. Elle me demanda de m’asseoir sur une chaise pour les tests auditifs. Mon slip baillait légèrement mais ne laissait rien entrevoir. Elle me proposa ensuite de me relever, et c’est alors que je réagis en disant combien il était impossible pour moi d’avoir l’air aussi ridicule et que je décidais de remettre mon pantalon. Alors que je l’empoignais, elle répliqua :— Il n’en est pas question. Un examen médical ne peut se passer ainsi. Les vêtements ne permettent pas une visite sérieuse.Je ne l’écoutai pas et enfilai mon vêtement. Elle réagit :— En ce cas, je vous convoque pour un nouveau rendez-vous avec un nouveau slip, et vous n’aurez qu’à vous arranger avec votre patron pour cette fois.Cette remarque eu le don d’arrêter mon mouvement. Enfin, c’est ce que je fis croire car telle était bien mon intention. Je commençai alors à discuter, mais elle restait inflexible. Je terminai la conversation en affirmant :— Je préfère encore faire la visite à poils qu’avec ce slip ridicule…Et je fis mine de partir. C’est alors que je l’entendis me dire :— Mais, sans slip, ça ne pose pas de problème…Je me retournai…— Vous voulez que je me foute à poils, c’est ça ?— Non, répondit-elle. Vous pouvez faire la visite sans slip, c’est juste ça que je veux dire…La brillance de ses yeux démontrait combien elle espérait cette conclusion… Et j’exhaussai bien sûr son vœu. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’étais nu. Complètement nu. Bon d’accord, elle en avait vu d’autres, mais ce sentiment qu’elle avait réussi à me foutre à poils transparaissait sur son visage.— C’est mieux comme ça, sourit-elle. On va donc pouvoir continuer.Elle ne détachait pas son regard de moi. Malgré son métier, ce n’était sans doute pas tous les jours qu’elle faisait se promener nu un mec dans son cabinet. Moi, je jubilais. Ma seule crainte était l’érection. Bien sûr, j’accepterais que ma bite gonfle légèrement pour lui donner l’amplitude idéale, mais une érection au garde à vous, m’aurait gêné. Mais bon, il fallait maintenant que j’en assume le risque.L’examen continua. C’était comique de faire ce qu’elle me demandait les fesses et le reste à l’air. L’examen de la vue, debout au fond de la pièce, un œil caché et puis l’autre, l’examen de l’équilibre, les bras en avant, sur un pied, sur l’autre, les flexions des genoux, tous ces exercices prenaient une saveur particulière en étant dans le plus simple appareil, face à une nana qui manifestement y prenait de l’intérêt. Comme l’érection n’arrivait pas, je m’enhardissais à exercer des mouvements qui faisaient balancer mon zigouigoui. Je la sentais bien émoustillée, et l’ambiance changeait petit à petit. Elle se faisait plus sympathique, se permettant des commentaires qui respectaient cependant tout à fait les limites de la bienséance. L’examen continua. Elle me fit me coucher sur la couchette d’auscultation.La prise de tension se passa naturellement. De même pour l’auscultation. Puis, elle me palpa le ventre, le regard clairement dirigé vers ma bitounette, posée sur ma cuisse. Sans qu’elle ne soit en érection, celle-ci était cependant suffisamment gonflée pour régir à mes ordres. J’en profitai donc pour la faire bondir jusqu’à mon ventre.— Houlà, réagit ma doctoresse. Ça attaque ces bêtes-là !Avant de me décocher un grand sourire, fière de sa petite intervention. Je lui répondis par un autre sourire plus timide et un haussement d’épaules contrit, mais je jubilais intérieurement ! D’autant plus que popol n’avait pas décidé la poursuite de son gonflement, ce qui l’aurait rendu imprésentable dans ces circonstances.Elle m’invita alors à me relever, et ce fut le moment des prises de mensurations. Elle me guida, la main posée sur le haut des fesses vers la toise, puis de même vers la balance. Elle attacha ensuite son petit micro traditionnel, et entreprit de me mesurer les bras. Il me semblait la sentir plus fébrile que d’habitude… Mais les bras ne posaient, bien entendu, pas de problèmes… La colonne vertébrale ne lui posa pas de problèmes, n’ayant juste pas à baisser le slip comme elle en avait l’habitude… Par contre, la mesure des jambes suscita chez chacun de nous un émoi que nous eûmes du mal à dissimuler. Elle s’était assise pour cela, et m’invita à me mettre devant elle, mais de dos… La mesure prit plus de temps encore que d’habitude, et je sentis ses doigts frôler – plus délicatement que d’habitude – le dessous de mes coucougnettes… Et là, je perdis le contrôle de popol, qui se redressa fièrement…Ayant enfin terminé ces mesures, elle me demanda de me retourner afin de mesurer mon tour de hanches. Mais d’avoir eu son visage aussi près de mes fesses et d’avoir visiblement intentionnellement caressé la peau de mes noisettes, cela l’avait passablement énervée et son visage avait rougi… D’apercevoir ainsi mon sexe aussi dressé n’arrangea pas les choses. Son visage s’empourpra d’avantage. Surtout qu’elle devait encore passer son mètre ruban juste au-dessus de l’objet de nos troubles respectifs… Car je dois dire que même si la situation me plaisait intérieurement, j’étais en même temps gêné de la situation. Je ne sais pas ce qui me prit à ce moment-là, sans doute pour tenter de détendre l’atmosphère, mais je m’entendis dire :— Il y a sans doute des mesures supplémentaires qui sont possibles aujourd’hui !Elle me regarda un peu hébétée, et je crois que c’est aussi sans y penser qu’elle me répondit :— Mais j’ai trop peu d’exemplaires à ma disposition pour faire des statistiques valables.Puis, elle pouffa de rire, agita sa main devant son visage rouge comme pour s’éventer et se rafraîchir, et ajouta :— Eh bé, des visites comme ça, c’est pas tous les jours…— Moi, je m’amuse bien, répondis-je du tac au tac.— Ce que je vois, c’est que de toute façon, ça ne vous laisse pas indifférent, me répondit-elle en louchant clairement sur le bâton qui sortait de mon ventre… Et bien on va terminer…Elle se rassit à son bureau, me posa les dernières questions de manière très professionnelle, ce qui eu le don de calmer ma vigueur… Et c’est le sexe lourd, mais dans une position plus passive que je pris congé… Je récupérai mon pantalon, le déposai sur mon épaule – il n’était pas question que je me rhabille plus tôt que nécessaire – et lui tendis la main. Elle me la prit en me disant simplement :— À l’année prochaine.— Un slip l’année prochaine, je suppose que ce ne sera pas nécessaire non plus ? répondis-je.— Je pense en effet, qu’il ne sera pas vraiment utile…, me répondit-elle me fixant dans les yeux.Et je quittai nu le cabinet médical. Je retrouvai la cabine pour me changer, et m’assis sur le banc, un peu éberlué, par le fait que tout se soit passé quasi comme je le rêvais. Mais aussi un peu dépité que toute cette séance si amusante soit déjà terminée. J’en étais là de mes réflexions quand la doctoresse appela la personne suivante… qui était Elise, la blonde à la chouette poitrine avec laquelle j’avais eu le plaisir de discuter dans la salle d’attente. J’eus envie de sortir à poils les saluer, mais je réfrénai mon enthousiasme, pensant que j’allais dépasser les bornes, sans avoir une bonne excuse… C’est à regret que je les entendis s’enfermer dans le cabinet médical. Mais soudain, une nouvelle idée folle me vint.J’avais laissé mon slip complètement délabré là-bas. Je ne pouvais évidemment plus rien en faire, mais peut-être me donnait-il l’occasion de malgré tout tenter cette incursion. Quelques secondes de réflexion me décidèrent à poursuivre ce petit délire exhibitionniste… Je me dirigeai donc vers le cabinet toujours complètement nu, et je frappai à la porte. Sans attendre la réponse, je pénétrai dans le cabinet. Deux visages féminins se tournant vers moi manifestant d’abord la stupéfaction, avant dans un bel élan, de pouffer à la vue de ma nudité. L’affaire s’engageait à nouveau bien. Mais la doctoresse, responsable du service, de son bon fonctionnement, et donc du respect des règlements, et donc des bonnes mœurs et de la pudeur de ceux et celles qui fréquentaient le service, se devait cependant de réagir, afin de protéger sa patiente du moment. Elle me fit remarquer que ma tenue, en présence de madame n’était pas convenable. Mais le visage d’Elise était rassurant, elle ne trouvait pas la situation gênante, bien au contraire, puisqu’un fou rire secouait maintenant ses gros nichons coincés dans son soutien-gorge.J’expliquai alors la raison de mon arrivée impromptue, le slip… que je retrouvai à-côté du radiateur où je l’avais jeté tout à l’heure. Je tentai de l’enfiler sous le regard toujours un peu ébahi, mais aussi bien hilare, de mes comparses malgré elles (quoique…). Mais il était vraiment trop en mauvais état, et je préférai bien entendu le retirer. Je crus bon d’ajouter qu’Elise et moi on s’entendait suffisamment pour qu’elle puisse m’accepter dans cette tenue, puisque nous avions même imaginé nous assurer mutuellement notre visite médicale… Ce à quoi Elise ne put qu’acquiescer en gloussant à nouveau.Je m’inquiétai alors de savoir si je ne les avais pas dérangées, ce qui enclencha deux nouveaux rires, et pas de réponse à ma question… Mais manifestement, dérangement malsain, il n’y avait pas eu, puisqu’il était possible de dire qu’au final, nous étions tous trois complices. Je les saluai d’un petit signe des doigts, et retournai dans ma cabine, inscrivant le mot fin, au bas de cette histoire un rien irréelle, mais cependant vécue…Ce qui me fait dire en référence à de nombreux commentaires sur les professionnels habitués à la nudité, que cette dernière ne leur est pas nécessairement indifférente. Que bien entendu, comme ils vivent avec, chaque rencontre de la nudité n’est pas nécessairement une expérience épicée, mais qu’il en est certaines où l’indifférence ne sera pas de mise, où le côté coquin de la vision d’un homme nu ou d’une femme nue aura toute sa place. Les professionnels ne sont pas des obsédés, mais ils ne sont pas de marbre et peuvent vivre des expériences où, même malgré eux, ils seront voyeurs et n’en éprouveront pas de gêne, parfois bien au contraire…