Le psy
Souffrant depuis longtemps de dĂ©pression, j’ai retrouvĂ© le goĂ»t de vivre grâce Ă un nouveau psychiatre, sur qui je me suis mis Ă fantasmer, rĂŞvant qu’il me fasse l’amour. Lors de notre dernière consultation vidĂ©o, je lui ai avouĂ© mes envies de bites et lui ai racontĂ© ma dernière rencontre gay avec un inconnu…
Proposée le 16/07/2021 par guillemette30 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuellesPersonnages: HHLieu: InclassableType: Histoire vraie
Depuis le dĂ©but de l’annĂ©e je suis suivi par un nouveau psychiatre, le docteur A. , qui a su me redonner le goĂ»t de vivre et me sortir de ma dĂ©pression chronique en Ă -peine quelques sĂ©ances et un bon dosage de nouveaux mĂ©dicaments.Nous ne nous sommes pourtant encore jamais rencontrĂ©s, confinement Covid oblige. En plus, son cabinet est assez loin de chez moi. Les cinq ou six consultations ont eu lieu par visio, mais cela n’a pas Ă©tĂ© vraiment gĂŞnant.Hier, j’avais rendez-vous avec lui sur doctolib en dĂ©but d’après-midi.
Je m’installai devant mon Ă©cran et attendis qu’il se connecte. Comme souvent ces derniers temps j’Ă©tais Ă poils, ne portant qu’un T-shirt sans manche. J’Ă©tais assis Ă mon bureau et il ne pourrait pas se douter que je me caressais le sexe tout en lui parlant.Une petite musique retentit, je cliquai pour accepter la connexion.
Le docteur A. apparut sur l’Ă©cran. Comme d’habitude je le voyais en contre-plongĂ©e, ce qui rendait cet homme enrobĂ© encore plus impressionnant. Son visage rond Ă©tait celui d’un maghrĂ©bin mal rasĂ© de cinquante ans environ, comme moi, Ă la bouche large et Ă©paisse, dont j’avais du mal Ă dĂ©tacher le regard car je la trouvais très sensuelle. Il Ă©tait souriant et sympathique et cela s’Ă©tait bien passĂ© avec lui dès le dĂ©but. J’ai pu grâce Ă lui extirper beaucoup de choses cachĂ©es dans les profondeurs de mon subconscient et j’ai maintenant une grande confiance en lui.
Je dirais mĂŞme qu’au fil des sĂ©ances une relation de connivence s’est Ă©tablie entre nous -le fameux transfert.
Pour moi cela est allĂ© un peu plus loin, puisque je me suis mis Ă fantasmer sur lui. J’ai eu une envie de plus en plus irrĂ©pressible de sentir ses grosses mains parcourir ma peau, le poids de son corps massif sur le mien pendant qu’il me ferait l’amour et m’embrasserait Ă pleine bouche.Alors que je commençais Ă bander, le psy s’adressa Ă moi, me ramenant Ă la rĂ©alitĂ©.
« Bonjour monsieur L. , comment allez-vous ? me demanda-t-il tranquillement.
– Bonjour docteur. Ça va bien, de mieux en mieux mĂŞme, rĂ©pondis-je, enjouĂ©. Je n’ai plus d’idĂ©es noires, ni toutes ces pensĂ©es qui me parasitaient, qui tournaient dans ma tĂŞte sans arrĂŞt… Maintenant je ne ressens plus cette souffrance psychologique permanente, je gère les choses de la vie sans trop me poser de questions, sans stress disproportionnĂ©. J’ai l’impression de revivre et je crois que je n’ai pas Ă©tĂ© comme ça depuis mon enfance, sans exagĂ©rer… rĂ©pondis-je, fier de moi.
– Mais c’est très bien tout ça… C’est encourageant, je crois qu’on a trouvĂ© le bon dosage pour les anti-dĂ©presseurs et le rĂ©gulateur d’Ă©motions. »Un silence s’installa pendant qu’il regardait ses notes.
« Et l’appĂ©tit et le sommeil, comment ça se passe ? poursuivit-il.
– Je mange rĂ©gulièrement et avec plaisir, j’ai repris cinq kilos en deux mois et je dors aussi beaucoup mieux, sauf que je continue Ă beaucoup rĂŞver…
– Quel genre de rĂŞves ? me demanda-t-il en se redressant sur son fauteuil.
– Euh… en fait… je fais de plus en plus souvent des rĂŞves Ă©rotiques, voire carrĂ©ment pornos, rĂ©pondis-je en baissant les yeux, un peu honteux. Ce n’est pas facile pour moi d’en parler docteur…
– Je comprends, mais faites un effort s’il vous plaĂ®t.
– Bon… Je vous ai dit il y a quelques mois que je n’avais plus de libido tellement j’Ă©tais mal… et comme en plus nous n’avons plus de relations sexuelles avec ma compagne depuis plusieurs annĂ©es, ce n’est vraiment pas la joie de ce cĂ´tĂ©-lĂ . Je m’y suis habituĂ© et mĂŞme rĂ©signĂ©, de toutes façons je n’ai plus envie d’elle et notre relation se termine. Tout ça pour dire que ma libido se rĂ©veille depuis quelques semaines, et pas qu’un peu… En fait, je pense au sexe tout le temps.
– Vous pouvez me dire quel genre de rĂŞve Ă©rotique vous faites ? »Je l’observai quelques secondes avant de rĂ©pondre. Visiblement ce sujet l’intĂ©ressait car je vis s’allumer dans ses yeux une lueur d’envie qui me troubla et relança mon Ă©rection. Il glissa une main sous son bureau et se mit Ă l’aise dans son fauteuil.Je dĂ©cidai de me lancer. « VoilĂ , je rĂŞve souvent que plusieurs hommes âgĂ©s me sodomisent Ă tour de rĂ´le, que je suis leur objet sexuel, dis-je d’une voix un peu fluette.
– D’accord, d’accord, je vois, je vois, chuchota-t-il, m’adressant un regard que j’eus du mal Ă interprĂ©ter… Vous ĂŞtes attirĂ©s par les hommes en temps normal ?
– Non, je suis hĂ©tĂ©ro, je ne suis pas attirĂ© par les hommes du tout dans la vie de tous les jours. Je ne me sens pas homosexuel, vraiment. Par exemple, si je me balade en ville, je vais me retourner en voyant une belle femme, ce que je ne ferais pas pour un homme. Ils ne m’intĂ©ressent pas, ils ne me font aucun effet, en fait. Par contre, si je commence Ă avoir des pensĂ©es Ă©rotiques et que je me laisse aller, c’est d’un gros sexe masculin dont j’ai envie, pas d’un vagin… C’est comme si…
– Vous avez dĂ©jĂ eu des relations sexuelles avec un homme ? » me coupa-t-il.Je le regardai de nouveau dans les yeux, ne sachant pas trop si je devais aller plus loin dans mes rĂ©vĂ©lations. C’est ma queue qui dĂ©cida pour moi, car j’avais de plus en plus envie de lui et la situation m’excitait beaucoup. Je regardai sa grosse bouche un peu baveuse et j’imaginai que je baladais ma langue humide sur ses lèvres.
« Oui docteur, lâchai-je enfin. J’ai dĂ©jĂ Ă©tĂ© avec des hommes.
– Souvent ? RĂ©pondez, s’il vous plaĂ®t, tout cela me semble important, vous ne pensez pas ?
– Si, si, sĂ»rement, docteur… En fait, j’ai dĂ» le faire quatre ou cinq fois sur une quinzaine d’annĂ©es…
-Et la dernière fois, c’Ă©tait quand ?
– Et bien… c’Ă©tait il y a une semaine environ », rĂ©pondis-je en redressant la tĂŞte et en plantant mon regard dans le sien.La tension Ă©rotique monta d’un cran.
Je pense qu’Ă ce moment-lĂ il se caressait sous le bureau mais je n’en suis pas sĂ»r. Il poursuivit ses questions, toujours posĂ©es de manière assez tranchante.
« Pouvez-vous me raconter ce que vous avez fait exactement et ce vous avez ressenti ?
– C’est un peu dĂ©licat quand mĂŞme…
-Vous savez que tout ce que vous direz ne sortira pas d’ici, que c’est entre nous et que je ne vous juge pas. Je pense seulement qu’il peut ĂŞtre intĂ©ressant d’explorer votre sexualitĂ©, maintenant que vous ĂŞtes plus lucide et plus confiant. Alors, pouvez-vous me dĂ©crire cette aventure plus en dĂ©tail ? insista-t-il.
– Bon, d’accord… Il y a une semaine donc, je suis allĂ© au bord de la rivière, dans les gorges situĂ©es entre les villages de V. et G. , pas loin de chez moi. Il y a un endroit superbe et discret oĂą on peut faire du naturisme, se baigner mais aussi croiser des hommes seuls qui cherchent une relation sexuelle ou qui jouent les voyeurs.
Je me suis Ă©tendu nu sur les rochers après m’ĂŞtre baignĂ©, il n’y avait personne Ă ce moment-lĂ . Au bout d’une demi-heure environ j’Ă©tais presque endormi, transpirant au soleil. J’ai entendu un lĂ©ger bruit derrière moi, une respiration venant des buissons qui longent la gorge. A environ cinq mètres de moi un homme d’une soixantaine d’annĂ©es me regardait, sans bouger. Son short de bain Ă©tait baissĂ© et il se masturbait sans chercher Ă se cacher et sans me quitter des yeux. »Je m’arrĂŞtai et attendis un instant la rĂ©action du docteur A. J’avais chaud, le sang cognait dans mes tempes et j’Ă©tais de plus en plus excitĂ© par la situation. Ma bite Ă©tait plus dure que jamais.
Quant Ă lui, il semblait passionnĂ© par mon rĂ©cit et m’exhorta Ă continuer.
« Alors je l’ai regardĂ© dans les yeux moi aussi et j’ai commencĂ© Ă prendre des poses suggestives, Ă me caresser le sexe et les bourses en ouvrant les jambes, Ă me tourner pour qu’il puisse me voir sur toutes les coutures. Je ne pouvais pas m’en empĂŞcher, c’Ă©tait plus fort que moi.
– Et qu’avez-vous ressenti Ă ce moment-lĂ Â ?
– Je culpabilisais au dĂ©but mais j’ai dĂ» me rendre Ă l’Ă©vidence : j’avais envie de continuer Ă m’exhiber devant cet inconnu, ça me plaisait beaucoup qu’il me regarde comme ça et qu’il se masturbe devant moi. En fait je voulais que ça aille plus loin, alors… je lui ai fait un signe de tĂŞte.
– Poursuivez, poursuivez… m’intima le docteur A. dans un souffle.
– L’homme est descendu prudemment vers moi, il m’a saluĂ© d’un petit signe de tĂŞte sans arrĂŞter de se masturber et s’est plantĂ© droit devant moi, son sexe Ă quelques centimètres de mon visage. Son membre Ă©tait très gros. J’ai approchĂ© ma bouche et je lui ai fait une fellation pendant plusieurs minutes. Il s’est penchĂ© sur moi, a glissĂ© un doigt dans ma raie des fesses et il l’a introduit entièrement dans mon anus…
– Et c’Ă©tait bon ? Je veux dire : vous avez aimé ?
– Oui docteur, c’Ă©tait très bon, je dois bien le dire… J’Ă©tais dans un Ă©tat second, complètement dĂ©sinhibĂ©, j’avais envie qu’il mette son sexe, qu’il me sodomise, je l’avoue, rĂ©pondis-je…
L’homme a introduit un autre doigt puis m’a demandĂ© de m’installer Ă quatre pattes. Je me suis exĂ©cutĂ© sans me faire prier. L’inconnu s’est installĂ© derrière moi et m’a saisi par les fesses, qu’il a Ă©cartĂ©es pour dĂ©gager l’accès Ă mon anus. J’ai poussĂ© les hanches vers l’arrière et son gland est entrĂ© en moi doucement, lentement. Mon sphincter s’est ouvert comme une fleur. Il m’a pĂ©nĂ©trĂ© de tout son sexe sans difficultĂ© et a commencĂ© ses va-et-vient. Cela a durĂ© au moins une demi-heure et nous avons joui tous les deux au mĂŞme moment. Ensuite il s’est rhabillĂ©, m’a remerciĂ© et il est parti… VoilĂ toute l’histoire, docteur. »Le docteur A. me fixait, les yeux brillants et la bouche entrouverte. Je voyais bien qu’il bougeait sa main en cadence sous le bureau.
Après un long silence, il dĂ©clara, d’un ton de professeur : « Monsieur L. , c’est terminĂ© pour aujourd’hui, mais je pense que nous devons continuer cette conversation le plus vite possible, je sens que nous tenons quelque chose de gros, si j’ose dire. Mais cette fois-ci je vous propose qu’on se rencontre, nos Ă©changes seront plus… profonds… Si ça vous convient je peux mĂŞme passer chez vous ce soir, quand j’aurai fini mes autres rendez-vous. Vers 19 heures, ça irait ?
– Oui, oui, c’est parfait docteur. Je vous attends avec impatience pour continuer cette discussion. Vous avez mon adresse, je crois? Alors Ă toute-Ă -l’heure… »Je coupai la conversation, ma bite me faisait mal.A suivre…..© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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