Ma femme et moi, la trentaine tous les deux, sommes mariés depuis maintenant plus de trois ans et notre vie de couple se passe à merveille. Sexuellement, nous sommes très conventionnels et ne faisons aucune excentricité. Étant prude, ma femme ne fait aucun écart vestimentaire qui pourrait s’apparenter à de l’exhibitionnisme. Cela me frustre énormément car je suis sexuellement plus épanoui, préférant vivre toutes les occasions et toutes les expériences.
Ainsi continuait notre vie tranquille jusqu’à ce matin d’août dernier. Nous étions tous deux en congé mais n’étions pas partis en vacances, désireux de finir les travaux dans notre appartement.
Donc ce matin-là, vers 10 h 30, la sonnette de la porte retentit. Je m’apprêtais à sortir pour porter des cartons et des planches à la déchetterie et mon épouse finissait de prendre sa douche. J’ouvre la porte et découvre un homme, la quarantaine, deux grosses mallettes posées à côté de lui. Il se présente, Lionel D., représentant de commerce en lingerie fine.
Un sourire sur le visage, je lui indique que je ne suis pas intéressé personnellement mais peut-être que mon épouse le sera s’il désire patienter quelques minutes. Je l’installe dans le salon et vais prévenir ma femme, toujours sous la douche. Elle m’annonce qu’elle va regarder, « on ne sait jamais » et qu’elle arrive dans un instant. Je transmets l’information à Lionel qui commence à ouvrir ses mallettes et à déposer sur la table basse quelques échantillons de culottes et soutien-gorge.
Mon épouse arrive dans le salon, vêtue d’un peignoir et une serviette roulée sur la tête. Les présentations faites, je les laisse pour porter quelques cartons à la voiture et récupérer ceux qui se trouvent à la cave.
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Stéphane est descendu porter des cartons à la voiture et je me retrouve seule avec ce représentant dans le salon avec pour tout vêtement une culotte et un peignoir.
Le représentant, Lionel, ne traîne pas et me présente rapidement les diverses marques qu’il propose par des ensembles simples, culotte et soutien-gorge. J’en retiens un et passe à la chambre pour l’essayer. Je retire ma culotte et le peignoir et enfile l’ensemble. C’est juste une taille trop petit et l’annonce au représentant par le couloir. Ce dernier ne manque pas de culot et entre dans la chambre quelques secondes plus tard alors que je retirais le soutien-gorge. Je cache mes seins même si cela ne sert plus à rien vu qu’il a tout vu.
Il s’excuse pensant que je souhaitais qu’il m’apporte la taille au-dessus, ce qu’il fait immédiatement avant de retourner au salon. La culotte me va mieux et me boudine moins les hanches mais le soutien-gorge flotte un peu. Je passe le peignoir pour être décente et retourne faire mes observations à Lionel.
Ouvrant le haut du peignoir je lui montre le problème au niveau de ma poitrine. Il me demande comment c’était avec le modèle précédent. C’était beaucoup mieux en effet et pour lui montrer, je passe rapidement dans le couloir renfiler le soutien-gorge. Je repasse au salon et me dénude le torse à nouveau pour montrer que cet article me sied mieux. Il en convient alors que je me rends compte de l’incongruité de ma posture, seins en avant en sous-vêtement devant un parfait inconnu. Pour tout combler, je sens dans mon sexe une douce chaleur m’envahir. Mais qu’est-ce que je fais.
Lionel me dit que je devrais garder cet ensemble et m’en propose un autre, une culotte avec un soutien-gorge pigeonnant. Je les prends et commence à me diriger vers la chambre avant de réaliser qu’à ce jeu-là, on y sera encore demain.
— Je vais me changer ici en me tournant, ça ne vous dérange pas ? dis-je à Lionel.
Non, mais quelle cruche, je te jure. En plus, j’ai le rouge aux joues en disant ça. Bien sûr que ça ne va pas le déranger, c’est un homme. Trop tard, je me tourne, retire le soutien-gorge et la culotte en restant cachée par le peignoir, et j’enfile la nouvelle parure.
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Cela me prend une bonne dizaine de minutes et, une fois la voiture chargée, je remonte à l’appartement. En entrant, je retrouve le représentant et Carole dans le salon, celle-ci en train d’enfiler une culotte, « cachée » par son peignoir qui ne masque pas grand-chose. Elle enfile le soutien-gorge pigeonnant assorti et me montre l’ensemble en faisant une pirouette sur elle-même.
C’était bizarre de voir ma femme s’exposer ainsi aux regards de cet homme dans cette petite tenue. En plus, on ne peut pas dire qu’elle se soit vraiment cachée, offrant clairement ses seins, voire plus, à la vue de cet homme.
Sur un « Je le prends aussi », elle ôte le soutien-gorge, retire la culotte en tournant le dos à Lionel et referme le peignoir devant elle. Puis, elle retourne s’asseoir sur le canapé à ses côtés avec ses marchandises.
Je prends les planches restantes, annonce que je vais à la déchetterie jeter l’ensemble, et en lui indiquant de ne pas trop dépenser, je sors de l’appartement. La voiture chargée, je démarre en direction de la déchetterie mais quelque chose me tracasse : la désinvolture de mon épouse. Même si j’ai une grande confiance en elle, je n’arrive pas à mettre son engouement sur le seul fait de son amour de la lingerie fine (qui par ailleurs fait aussi mon bonheur). Je fais demi-tour et retourne immédiatement à l’appartement.
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Après le second départ de Stéphane, Lionel m’a présenté un autre ensemble culotte/soutien-gorge, puis un string seul. Les différents essayages et la frivolité des vêtements, à moins que ce ne soit la douce chaleur au creux de mon bas-ventre, m’ont rapidement convaincue que le peignoir n’était pas pratique ni vraiment utile. Ainsi, lorsque Lionel m’a présenté une guêpière et un mini-string transparent, j’ai définitivement mis toute pudeur de côté et je me suis directement changée devant lui, complètement nue après avoir ôté le string précédent, lui présentant sans me cacher mon pubis à la toison brune taillée en un petit V.
Je dois dire que ça m’a aussi très excitée et du coin de l’œil, je ne perdais pas une miette de l’attitude, très professionnelle de Lionel, même si le devant de son pantalon a subitement grossi. Lionel m’a aidée à passer la guêpière en me l’accrochant dans le dos. C’était son premier contact avec moi depuis notre poignée de main et je dois dire que ses doigts dans mon dos étaient légèrement électriques.
La guêpière et le string enfilés, je me suis assise sur le canapé pour enfiler la paire de bas que Lionel me tendait. Il ne me les a pas donnés mais me les a enfilés, doucement, me caressant un peu trop les jambes au passage. Ce moment lui a permis de découvrir entièrement mon intimité à coup sûr, le string étant vraiment trop petit et transparent.
Lionel s’est ensuite attelé à l’attache des jarretelles accompagnant ce geste de caresses légères sur les cuisses. Après m’avoir relevée, il a fignolé la disposition du string tant au regard de la guêpière sur les hanches que de la position de ce petit bout de tissu dans mon dos entre mes fesses et, plus surprenant, dans mon entrejambe. Sentir sa main entre mes jambes et ses doigts glisser à quelques centimètres de ma vulve a fini de m’exciter.
J’avais subitement envie de faire l’amour mais en femme responsable, je me suis rappelée que ce n’était pas possible. Et pourtant, j’ai rarement éprouvé une telle excitation.
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En entrant dans l’appartement, je les retrouve tous les deux dans le salon où je les avais laissés, l’homme assis sur le canapé et mon épouse s’observant devant une glace. Elle porte alors une guêpière en partie transparente avec jarretelles, des bas noirs et un mini string transparent. Sa tenue ne cache absolument rien de son anatomie et Lionel doit bien se rincer l’œil, comme en atteste une certaine bosse sur son pantalon.
Je prétexte que j’ai oublié de prendre une facture de téléphone comme justificatif de ma présence au domicile pour la déchetterie et ressort immédiatement, ne laissant pas transparaître ma jalousie et mon étonnement.
Tout de même, elle est quasiment nue devant cet homme complètement excité. Je décide d’attendre encore dix bonnes minutes et retourne devant la porte de l’appartement. Là, je colle mon oreille sur la porte et écoute. Aucun bruit. Mais ce n’est pas anormal car il n’est pas certain que je puisse entendre une conversation dans le salon. Sans faire de bruit, j’ouvre la porte et rentre dans l’appartement.
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Stéphane vient de passer en coup de vent pour prendre une facture et est déjà reparti. Comme j’aurais aimé qu’il me fasse l’amour tout de suite, dans la chambre, la cuisine ou le salon, peu importe que Lionel soit encore là. J’ai le feu au cul et je mouille terriblement. D’ailleurs le string doit être trempé.
Lionel me propose de découvrir d’autres articles. Pendant qu’il les sélectionne dans ses mallettes, j’enlève la guêpière et le string, conservant les bas. Lionel a certainement remarqué que le string est trempé lorsque je le lui remets en main propre, un sourire au coin de la bouche, les tétons dardant insolemment vers lui.
Bon sang je suis complètement nue devant un inconnu avec une furieuse envie de lui sauter dessus pour lui faire l’amour.
Lionel me propose alors d’enfiler un porte-jarretelles pour maintenir les bas tout en m’annonçant qu’il présente aussi d’autres articles, plus libertins, et présume que je pourrais être intéressée en espérant que je ne me sentirai pas offusquée. Je ne vois pas d’objection à jeter un œil et Lionel sort alors de sa mallette une culotte fendue que j’enfile pour voir.
Comme pour le string précédemment, Lionel m’assiste pour positionner correctement cette étole, m’effleurant sans équivoque le sexe des mains par-dessus le tissu. Je crois que je ne vais pas tenir et que je vais finir par faire une bêtise. Mon sexe coule de désir. Lionel, à genoux devant moi, m’explique, toujours professionnel, que la culotte est fendue dans le sens de la longueur et fermée par trois petits boutons pression. Il se propose alors d’ouvrir la culotte pour me montrer le principe et, ce faisant, glisse la main entre la culotte et mon sexe pour détacher les trois boutons pression. Cette caresse appuyée est beaucoup plus insistante que nécessaire et me fait malencontreusement lâcher un petit gémissement. Mes seins dardent de désir et je suis maintenant incapable de cacher mon excitation.
Lionel retire sa main légèrement humide sur le dessus. Il se propose de me montrer le résultat concernant la culotte en écartant des deux mains le tissu sur les côtés, m’ouvrant ainsi la vulve révélant toute ma moiteur contenue et libérant mon clitoris. Je pose une jambe sur le canapé pour mieux le laisser agir. J’ai l’impression de me comporter comme une traînée avec le sexe à l’air, trempé et ouvert aux yeux d’un inconnu dont le visage n’est qu’à quelques centimètres de me lécher et de me faire jouir de sa bouche. Mais surtout, je le souhaite et pourtant non, il ne faut pas. Mais je suis sur le point de jouir.
Je demande à Lionel de me montrer comment refermer la culotte et le manège recommence. Lionel ferme les trois pressions en glissant la main dans mon entrejambe. Il en profite pour laisser glisser un doigt le long de mon sexe ce qui m’arrache cette fois encore un gémissement que je ne retiens pas. Je ne me cache plus, Lionel sait qu’il peut faire de moi ce qu’il veut. Mes seins me font mal et ma chatte ruisselle maintenant de mouille. J’ai même le cul en feu. Son doigt glisse sur ma fente et je le sens s’introduire de quelques millimètres dans ma vulve alors qu’il referme les boutons de la culotte. Je jouis. Sans bruit. Saisie de tremblement, je jouis alors qu’il me touche à peine. Je n’ai jamais vécu ça auparavant. Est-ce cela le plaisir de l’interdit ?
Les mains appuyées sur les épaules de Lionel, je retrouve mes esprits. Il a retiré sa main depuis un moment et me regarde avec délectation. Je le remercie. Je m’excuse aussi. Je retire la culotte trempée, mes cuisses aussi et lui demande s’il a d’autres articles. Lionel, excité comme un fou, me présente alors toute une gamme de culottes fendues, strings ou non. Je lui fais remarquer qu’il m’a proposé de voir des articles assez libertins et que je me sens prête à beaucoup de choses. Cet orgasme a été terrible mais ne m’a pas satisfaite pour autant tant mon excitation est grande. J’ai toujours les seins qui me font mal et j’ai envie que l’on me prenne. Si Stéphane ne rentre pas tout de suite, Lionel fera l’affaire.
Lionel sort du fond d’une de ses mallettes une petite pochette qu’il ouvre devant moi en m’indiquant que ces articles sont dans un autre registre mais qu’il les vend aussi : toute une série de godes et de vibromasseurs de tailles variables. C’est la première fois que j’en vois en vrai. Je ne suis pas nunuche non plus et j’ai déjà joué avec divers objets comme des bougies, mais le réalisme de ces sextoys est tel que dans mon état j’en veux un tout de suite.
Je me mets à genoux par terre et prends la sacoche des mains de Lionel, toujours assis sur le canapé. J’en sors un gode, le regarde et le repose. J’en choisis un autre que je laisse glisser doucement et langoureusement entre les seins en regardant Lionel avant de le reposer par terre. Renversant la sacoche, j’éparpille ces objets et porte mon choix sur l’un d’entre eux particulièrement réaliste en termes de taille et de forme. Je le porte à ma bouche tout en me redressant sur les genoux et mime un ersatz de fellation avant de le laisser glisser sur mon corps, titillant un téton, et le portant à l’entrée de ma vulve. Lionel est immobile de contemplation. J’écarte légèrement les jambes et lance à Lionel un regard de défi et de désir. Il ne perd pas une miette du spectacle et regarde le godemiché disparaître lentement, avalé par ma chatte.
Bon sang que c’est bon ! Ça y est ! Je me sens enfin prise ! Je ne vais pas tarder à jouir à nouveau et pourtant je sais que ça ne sera pas encore suffisant. Mais quelle matinée je vis là. Je fais glisser doucement le gode de haut en bas dans mon sexe me procurant un plaisir intense. Lionel ouvre la braguette de son pantalon, sort son sexe tendu et gonflé au maximum et commence à se branler. Oui, il a raison. Il ne doit plus tenir lui non plus. Je m’imagine sans problème que ce sexe est en fait au plus profond de moi.
Nous restons ainsi quelques instants tous les deux à nous observer mutuellement tout en nous masturbant, augmentant notre désir pour l’autre. Je ne vais pas tenir longtemps et je sens déjà mes jambes qui vacillent. Je me relève et m’allonge sur le canapé, le gode toujours dans la chatte. Je continue les va-et-vient d’une main, et de l’autre, je m’empare du sexe de Lionel que je guide dans ma bouche pour lui administrer une fellation libératrice après cette demi-heure d’excitation. Je vais bientôt jouir et lui aussi le mérite.
Après quelques secondes, j’explose enfin de plaisir, suivie rapidement par Lionel. Je reçois alors de longues giclées de sperme au fond de la bouche que j’avale avec délice.
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Cela faisait quant à moi quelques minutes que j’observais la scène depuis l’entrée du salon. Jusque-là, elle ne faisait que se masturber devant lui, exhibitionniste dans son plaisir. Elle était belle quand elle a joui sous ses doigts. Elle était magnifique de désir quand elle a joué avec ces godes avant de s’empaler sur l’un d’eux. J’en ai la bite plus raide encore que Lionel.
Il a sorti son engin et se masturbe lui aussi. Est-ce qu’elle ira plus loin avec lui ? Est-ce qu’il va la baiser ?
Carole s’allonge sur le canapé et prend la verge de Lionel en bouche. Elle est terriblement cochonne et bandante comme ça, en porte-jarretelles et bas, les seins dardés, un gode coulissant dans sa chatte, les jambes largement écartées et surtout avec le sexe de Lionel en bouche. Bon sang ce qu’elle est belle quand elle suce. Je me branle encore plus fort.
Carole jouit et inonde son entrejambe. Je n’ai jamais encore assisté à une telle jouissance chez elle. Lionel jouit à son tour et Carole ne perd pas une goutte de sa semence. Elle est tellement excitée que je crois qu’aujourd’hui elle pourrait tout accepter d’un homme. Je vais bientôt jouir aussi, même si je me demande vers quoi tout cela nous mène.
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Je suis affalée sur le canapé, les jambes écartées et le gode toujours en moi. Je n’ai plus de force et une grande sensation de vide me saisit. J’ai joui comme jamais, trempant le canapé sous moi. Incroyable ! Jamais je n’aurais cru cela possible.
Lionel s’est relevé. Il semble avoir apprécié mon attention pour lui. Je le regarde se déshabiller entièrement. Il est pas trop mal. Je dois ressembler à une putain dans cette position. Lionel se penche sur moi et m’embrasse doucement, sa main caresse mon épaule et glisse lentement vers ma poitrine. Je reste amorphe jusque son contact avec mon téton qui réveille toute l’excitation contenue. Mon sexe se contracte immédiatement sur le gode et je jouis à nouveau de cette simple caresse. C’est terriblement bon ! Lionel approche sa main de mon sexe qui dégouline complètement. Tant pis pour le canapé. Il caresse ma toison, contourne mon clitoris gonflé et attrape le godemiché qu’il fait doucement aller et venir en moi, m’arrachant des petits gémissements, tout en me le retirant doucement. Mon vagin se contracte complètement au passage de cet objet tellement j’ai les sens à vif.
Lionel couvre mon corps de baisers, mes seins, mon ventre, mes jambes et remonte sur mes cuisses. Il darde sa langue sur mon clitoris ce qui réveille toutes les envies de mon corps, de ma bouche à mon cul. Il me lèche maintenant avec dextérité réveillant mon désir mais ne me laissant pas jouir à nouveau. Il sait y faire. De mon côté, avec mon bras pendant hors du canapé, j’ai attrapé ses testicules que je malaxe et prends ensuite sa verge pour la branler doucement.
Mon plaisir ne va pas tarder et je branle de plus en plus fort Lionel. Il est à nouveau bien dur lorsque je l’arrête et lui demande de venir s’allonger sur moi. J’ai complètement relevé les jambes et attrapé ses hanches pour mieux le laisser me pénétrer. Je veux enfin un vrai sexe en moi, le sentir bouger et palpiter, le sentir jouir et m’inonder. Tant pis pour Stéphane, il n’avait qu’à être là. Lionel présente son gland à l’entrée de ma vulve. Il le glisse sur ma vulve, jouant avec mon clitoris. Je gémis. Je le veux en moi tout de suite.
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De ma place, je ne perds rien de la situation et je vois parfaitement le sexe de Lionel s’approcher de la vulve de Carole. Elle l’a guidé jusque là. Elle veut le sentir en elle et faire l’amour avec lui. Ça me fait mal mais en même temps c’est excitant. J’ai envie de rentrer pour tout interrompre mais je n’arrive pas à trouver la force de priver Carole de ce plaisir tant attendu.
Carole crie soudainement « Prends-moi à fond » en saisissant les fesses de Lionel de ses deux mains et en le tirant vers elle d’un coup. La pénétration est superbe et totale. Carole hurle un râle de plaisir, lâche les fesses de l’homme et s’abandonne complètement en arrière. Lionel se lâche complètement et la bourre sauvagement, faisant claquer leur pubis, écartelant ses jambes. Elle n’en a cure et l’attire toujours plus loin en elle si c’est possible. Et elle jouit, elle jouit sans arrêt.
Je jouis à mon tour répandant ma semence sur le parquet et contre la porte du salon. Cette libération ne me libère pas pour autant et j’ai toujours le sexe aussi raide. Je me branle à nouveau.
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Je jouis sans discontinuer ! C’est diablement bon. Je suis épuisée et ne suis plus capable du moindre mouvement. Lionel va-et-vient en moi sans arrêt toujours aussi fort et toujours aussi bon. J’ai la chatte en feu, le clitoris presque irrité par le désir et les frottements quand Lionel se déverse enfin en moi. Je sens sa jouissance qui fait tressaillir sa verge. Je sens sa semence gicler dans ma matrice. Tout mon corps se contracte et j’enserre Lionel entre mes jambes au plus profond de moi, les tétons dardés de douleur entre nos corps. Nous restons ainsi sans bouger un bon moment, échangeant juste un baiser.
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J’ai regardé jusqu’au bout cette vue ô combien inimaginable quelques heures auparavant, de cette bite entrant et sortant sans faillir du vagin de ma femme. J’ai vu Carole jouir une dernière fois lorsqu’il a déversé son sperme en elle. C’en était trop et j’ai joui à nouveau sur la porte et le parquet.
Reprenant mes esprits, je me rhabille vite fait et quitte l’appartement sans faire de bruit. Je me place devant l’immeuble et attends le départ de Lionel. Quinze minutes plus tard, je le vois dans l’entrée et fais mine de rentrer de la déchéterie. En le croisant, je lui demande si tout s’est bien passé et si ma femme n’a pas été trop dépensière car elle ne sait pas se retenir parfois. Lionel a masqué son trouble avant de me répondre dans un grand sourire que j’allais aimer ses achats et qu’il reviendrait lui en proposer de nouveau.
Je lui demande sa carte de visite, qu’il hésite à me donner avant de s’exécuter, et file rapidement avec ses mallettes sous le bras.
Je rejoins l’appartement me demandant, en riant intérieurement, comment Carole allait pouvoir expliquer la tâche sur le canapé.
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Après cinq bonnes minutes sans bouger, je libère Lionel qui se retire de moi. Son sexe est redevenu flasque et est gluant de sperme et de sécrétions. Ma chatte est à nouveau toute contractée, rouge d’irritation, les lèvres gonflées de désir. Et elle coule. Un liquide où se mélangent ma cyprine et le sperme de Lionel.
Nous filons à la douche que nous prenons séparément. Il faut se dépêcher car Stéphane va rentrer dans une bonne dizaine de minutes. Une fois rhabillé, Lionel range tout son matériel et je lui achète deux ensembles culotte/soutien-gorge et une culotte fendue. Il me fait cadeau des bas qui sont dans la salle de bain et du porte-jarretelles. Au dernier moment, je lui achète aussi le gode mais il refuse, prétextant que si je le veux, il faudra le laisser revenir pour me l’offrir. Je lui dis que je ne cherche pas d’amant et je ne sais pas si une prochaine rencontre serait aussi forte. Il souhaite tout de même avoir une chance de revenir et me prend mon numéro de portable tout en me laissant sa carte.
Lionel est parti il y a quelques secondes et je me tourne vers le canapé. Bon sang, il n’y a rien à faire, il est complètement taché sur un carré de près de 30 centimètres de côté. Impossible de retourner le coussin. Je prends deux verres et verse de l’eau dedans avant de jeter le contenu de l’un d’eux sur le canapé. Tant pis, on fera avec.
Je reste en peignoir et passe ma culotte du matin et attends l’arrivée de Stéphane, mes achats rangés dans un sac. Il arrive deux minutes plus tard et me demande comment tout s’est passé, regarde mes achats en me disant d’un air coquin que l’on devrait faire une séance d’essayage.
— Ce soir, on verra si tu es sage, lui dis-je. Là, je dois tout ranger et toi finir les travaux.
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Arrivé à l’appart, je la taquine exprès pour voir si elle va me dire la vérité ou si elle va taire cette aventure. À première vue, Carole joue la femme infidèle. A-t-elle honte ? Est-elle gênée ? J’essaye de la chauffer un peu mais elle se dérobe. Mes effleurements sur ses seins la dérangent et elle me prétexte qu’ils lui font mal étant extrêmement sensibles en ce moment. Je t’en fous, oui ! Passons au plan B !
— C’est quoi la grosse tâche sur le canapé ?— Rien, juste un verre d’eau renversé. On avait soif alors je lui ai offert un verre et j’ai malheureusement renversé le mien. Pas de quoi fouetter un chat. D’ailleurs, je vais aller chercher une serviette pour tout éponger.
Je me propose d’y aller, car même après cette déconfiture, il me reste encore une carte à jouer. Arrivé à la salle de bain, je prends une serviette derrière la porte et remarque le porte-jarretelles et les bas toujours accrochés par terre. Je les prends aussi et arrivé au salon, je demande à Carole si elle a repris une douche après la visite de Lionel en lui disant ce que j’avais trouvé dans la salle de bains. En plus, elle ne m’avait pas dit qu’elle les avait achetés.
— Oui avec l’essayage et le verre d’eau, j’étais un peu en sueur alors je suis retournée me laver. Deux secondes, rien de plus et j’ai oublié ça dans la salle de bain.— Mais tu les avais encore sur toi quand il est parti alors. Et il n’a rien dit ? Il ne te les a pas fait payer ?
Carole est rouge cramoisi et prend son temps pour répondre.
— En fait, je suis allée prendre ma douche pendant qu’il calculait le montant de mes achats. Alors oui, il était encore là et on a oublié le porte-jarretelles. Cool, ça me fait un cadeau aujourd’hui.— Ah oui, ça c’est cool.
Carole nettoie le canapé avec la serviette pendant que je m’installe sur une chaise près de la table avant de lancer.
— Tiens quand tu auras fini le canapé, il faudrait aussi nettoyer près de la porte. On a dû renverser quelque chose par terre parce que j’ai vu que c’était mouillé en passant.
Je joue ma dernière carte pour voir si Carole va m’avouer son infidélité. Elle termine avec le canapé, apparemment soulagée que celui-ci ne soit plus une preuve contre elle, avant de rejoindre la porte. Elle la referme et s’attache au nettoyage. Après une courte minute, elle revient dans le salon et me regarde droit dans les yeux :
— Tu étais là ?— Quand ? Lorsque Lionel te pistonnait la chatte et jouissait en toi ou lorsque tu te branlais et avalais toute sa semence ?— Je suis désolée. Je ne sais pas ce qui m’a pris.
Carole semble effondrée et ne sait comment se confondre en excuses. Je ne dis rien de spécial pendant une minute, puis je l’invite à me rejoindre en lui disant que ce n’est pas grave et que je n’avais jamais été aussi excité moi-même. Sur ce, je l’ai invitée à me sucer à mon tour et je l’ai ensuite sodomisée car sa chatte ne pouvait malheureusement plus supporter le moindre assaut. Quant à Lionel, il est déjà revenu plusieurs fois sans savoir pour l’instant que je suis au courant.