Chapitre 1
moi Terry 48 ansma femme Marianne 42 ansmon fils Nikola 25 ansSeb 25 ans sa femme Mélissa 20 ansle père à Seb Claude 61 ans et sa femme Josephine 50 ansla sœur à Seb Martine 30 ansle frère à Claude Gérard 58 ans sa femme Marion 48 ans et leur fille Caroline 18 ansla sœur à Joséphine Clara 46 ans son marie Paul 60 ans et leurs fils Loïc 23 ans et Daniel 20 ansle père à Melissa Laurent 46 ans sa femme Claire 38 ansle frère à Claire Robert 28 ans
Nous sont invités chez le parent à seb pour le réveillon de la nouvelle année. Nous étions donc d’accord pour fêter le passage à la nouvelle année ensemble.
Nous arrivons chez les parents à Seb, nous sommes devant à une villa magnifique à trois étages, Seb et sa sœur Martine nous ouvrent la porte, et nous invités d’antre une fois la porte refermée derrière nous, nous embrasserons. Martine, blonde avec des cheveux coupés au carré et un corps super bien proportionné avec ce qu’il faut là où il faut. Joséphine la maîtresse de maison, et son mari qui arrivait derrière. Elle a un corps de déesse qui attire immédiatement mon regard ses cheveux longs tombaient sur ses épaules dénudées et le décolleté de sa poitrine. Elle portait une robe moulante noire qui descendait à mi-cuisse, fendue sur les côtés, des bas assortis et des escarpins à talons hauts. Ma femme portait une robe verte, très courte, largement décolletée, qui moulait magnifiquement sa silhouette et mettait en valeur ses seins et ses fesses bien rondes. Quant à lui, il a une allure sportive, avec des épaules larges. Pour son âge, il est un très bel homme, ma femme le regarde avec les yeux pétillants. Martine s’essuie une larme, quitte les bras de sa mère et se retourne vers son frère, je suis contente qu’on soit tous ensemble mon petit frère, embrasser son frère puis son père qui l’étreint fortement. Elle se serre à lui également et savoure son parfum de mâle, le nez collé à son poitrail velu. Elle ne résiste pas à l’envie de le caresser et de l’embrasser. Claude frémit en sentant les lèvres de sa fille se poser sur son cou, et sa main parcourir sa poitrine. Martine sentir sa queue à son père grossi contre son ventre, elle rougit et relâche son étreinte. Les présentations faites et nous conduit ensuite au salon pour prendre l’apéritif, et rencontrerons les convives de la soirée, nous sommes devant à un salon immense. Les femmes avaient mis leurs plus belles tenues, certaines n’avaient pas de soutien-gorge, je voyais leurs tétons pointer sous leur chemisier transparent. Josephine annonça que nous étions complets, et qu’il était temps de faire connaissance plus intimement entre nous.
– Ma famille bien-aimée, je vous présente ces trois personnes, Terry, Marianne et Nicolas, sont aujourd’hui membres de notre famille. Une soirée de folie nous attend ce soir, et en même temps les 18 ans de Caroline, la Tradition familiale, c’est à l’honneur pour Caroline !Nous ne connaissons pas la tradition familiale, elle a promis de nous expliquer le moment venu !
Le convive nous salue et à chacun se présente, les présentations sont faites.
Mesdames et Messieurs, dit Joséphine ! D’abord merci à vous d’avoir répondu à notre invitation. Je vous remercie de participer avec nous. C’est vraiment génial d’avoir une famille comme vous, dans le même délire et dans le même état d’esprit de nous ! Je dois vous dire aussi âpre au douzième coup de minuit nous aurons beaucoup de jeux érotiques à faire, il y aura quelques petites choses à respecter, pour que tout se passe bien, poursuivi joséphine : ma nièce caroline, c’est sa première fois qui participe à une partouze et je peux vous dire aussi, elle est vierge ! nous allons tirer au sort, de qui il va la prendre : pas de limite de temps, ça va durer une bonne partie de la nuit, donc pas de précipitation. Pas d’exclusivité vous êtes dix hommes, partageons ! Pas de violence physique, les mots crus sont autorisés, sodomie, double pénétration de rigueur et à un moment et si vous avez d’autres fantasmes si ça peut se faire, on verra si c’est faisable. Joséphine finie avec un sourire jusqu’aux oreilles d’une gourmandise sans bornes, vous jouirez sur nous, visage, et dans la bouche, dans le cul ou la chatte ! Je vous promets ce soir vous ne regretterez pas, nous avons pour chacun de vous, pour votre compte !
Nous avons commencé la soirée de bonne heure et les apéros furent plus nombreux. Nos discussions quoique sympathiques restaient très ordinaires et c’était surtout Joséphine et Claude qui les animaient !À 20 h 30 nous sont avides de passe à la salle manger. L’ambiance était décontractée et chaleureuse. Les coupes de vin se remplissaient aussi vite qu’elles se vidaient, et le repas était divin. De fil en aiguille, les blagues salaces firent leur entrée dans les conversations. Nous avons fini mage à 23 h Claude pris la parole.
– Mesdames et Messieurs je vous invite à me suivre je une surprise ! suivez-moi !
Nous sortons du salon et suivons Claude, nous descendons de marche, qui nous amène devant la cave, il ouvre la porte nous trouvons dans une salle immense, que Claude a aménagée pour ces occasions ! La lumière discrète permettait de découvrir, qui a installé un petit théâtre, scène à deux marches pour monter, un bar, en coin, des canapés ronds, et au milieu, une petite piste de danse et un souper sono, en face d’un grand écran. Nous ne savions pas où tourner nos yeux, de ce que j’ai vu, je me suis rendu compte qu’ils ne connaissaient pas cette pièce. Claude a mis de la musique.
– Allez les danseurs en piste ! danser pour attendre minuit.
Nous applaudissons et une partie se mit à danser, la musique était bonne et Claude invité ma femme pour une samba torride tandis que martine dansait avec Nikola. Zouks, sambas, rumbas se succédaient, Loïc avec sa mère, pajama avec Marion, Gérard avec sa fille, claire avec son frère, changement de partenaire à tour de rôle !
C’est là, en dansant bien collé serré que j’ai compris que l’ambiance prenait une tournure beaucoup plus chaude que je ne le croyais. Ma femme, blottie contre Claude et ils ondulaient harmonieusement. Claude avait ses mains sur les fesses de ma femme et leurs jambes s’entremêlent. Robert tripote sa sœur, Loïc aussi avec sa mère, Gérard à glisser sa main sur le chemisier de sa fille et caressant ses seins, pajama aussi avec Marion. La bonne humeur s’installe, la famille à seb est vraiment extra ! seb apporté du champagne, et a servi à tout le monde. Melissa et joséphine ils se sont assis à côté de moi au canapé, seb à côté de sa mère, qu’il taquine le bout de seins de sa mère !Melissa sa tête sur mon épaule et sa main caressant mes seins, et joséphine glissa sa main dans mon caleçon ! et je me mis à bander grave !
Au douzième coup de minuit,
enfin il est minuit !!! Les 18 invités viennent de s’embrasser, sur la bouche tradition oblige, pour se souhaiter une joyeuse et heureuse année. Tout le monde riait de bon cœur les bouchons de champagne sautèrent, et nos coupes à peine vides se remplissaient, échauffant les esprits !
Josephine tourne vers les filles, suivez-moi, les filles, nous allons enfiler une tenue plus de circonstance et nous reviendrons ! Joséphine dit…
Dix minutes plus tard, surprise les filles ils font une entrée impressionnante à la scène, les filles revinrent habillées en écolières. Mini-jupes à carreaux, talons hauts et chemisiers blancs largement ouverts sur leurs seins et de strings minuscules, nous les applaudirent bruyamment. Elles commencent par s’embrasser avec une sensualité sans pareille, c’était un festival de langues, de caresses sur les parties intimes. Elles nous jetaient des regards incendiaires et coquins de temps en temps, ça devenait chaud. Cela dura quinze bonnes minutes. Je sentais mon pantalon se tendre tellement mon excitation se faisait de plus en plus grande et à voir la tête des autres ça ne devait pas être différent dans leur cas ?Tandis qu’elles descendaient les deux marches en se bousculant et en pouffant de rire toujours dans le plus simple appareil. Effectivement elles étaient un peu grises, le champagne, de Claude avait fait des ravages. Elles se jetèrent à notre cou pour nous embrasser chacun notre tour. À sentir ces petits corps chauds, doux et parfumés se trémousser sur nous nous avait complètement débridés.
– Mesdames et Messieurs, nous allons pouvoir commencer. Je une proposition à vous faire ! nous allons nous mettre tous nues. Me pour le rendre ça plus intéressante ce sera préférable le tiré au sort, de qui à qui il va déshabille ! dans les deux chapeaux il y a 10 cartes d’un à dix, chaque homme aura son numéro dans la seconde chapeaux le numéro de chaque femme, il y a un problème, vous êtes dix hommes, et nous huit femmes. La solution est, que les deux dernières femmes, auront deux hommes à déshabiller ! le 7 et 8 a le droit à deux hommes ! Je demande maintenant à chaque homme de tirer un numéro, une fois que tout le monde a tiré son numéro, nous pouvons maintenant continuer à nous déshabiller ! Josephine tire un numéro, sur le côté de femmes, c’est numéro deux le numéro deux c’est de clairecôté hommes c’est numéro cinq l’heureuse élue c’est Robert, il monte sur la scène, sous les applaudissements de tous, musique adaptée pour l’effeuillage ! Robert se place derrière à sa sœur, dans ce mouvement elle s’appuyait sur lui, penchée en arrière, plaquant son corps contre le sien. Son visage était en partie baigné par ses cheveux, légèrement au-dessus de sa nuque et lui respirait tout son parfum. Sa joue touchait son oreille, et pour éviter de tomber en arrière avait mis sa main gauche juste posée au niveau de son estomac. Elle prit progressivement sa main gauche avec la sienne, pour la faire remonter lentement sur sa poitrine et glisser doucement sur son décolleté. Elle lui dit dans un murmure sensuel. Tes mains sont douces, caresse-moi doucement.Devant un tel appel lui ne pût résister, et avec une main il lui caressait doucement les seins, et l’autre main déboutonner son chemisier, et lui donnait un baiser dans le cou et derrière l’oreille, ce qui lui arracha un petit cri de plaisir.Lui caressa les seins au travers du chemisier ample qu’elle portait et qui masquait bien leur forme généreuse.Un à un, il déboutonna le chemisier et en écarta les pans, faisant apparaître le soutien-gorge de sa sœur le chemisier glisse le long des bras de claire lentement et le fait tomber parterre, l’effeuillage commence, les sifflets et les applaudissements fusent à chaque fois qu’un vêtement tombe. Claire se retourne et lui retirer sa chemise et son frère fit descendre une après l’autre les bretelles de son soutien gorge.et lui retira son soutien-gorge, et on fait face de deux magnifiques seinsClaire sent sa queue contre ses fesses, et se cambre pour le sentir, puis bouge son corps pour que sa queue soit dans la fente… hummm quel plaisir, Robert déboutonna le bouton de sa jupe, fit descendre la fermeture éclair et l’abaisse sa jupe lentement, à ses pieds ! et là nous faisant face un minuscule string. Clair posa ses mains sur la boucle de ceinture de Robert, dégrafent son pantalon, et lui descend son pantalon au sol, et il se trouve en boxer derrière lequel semblait se cacher un sexe de belles tailles. Robert se colle aux fesses de sa sœur, sa queue frotter à ses fesses, et lui caresse le corps sensuellement. Le bassin de claire ondulait de plus en plus sur la queue de son frère. Ensuite claire se baisse devant à son frère et saisit son boxer de chaque côté et tire dessus lentement, mais à un moment il bloque, elle tire plus fort, son boxer descend ce qui fit jaillir son sexe d’un coup devant sa bouche, à quelques centimètres de sa bouche. Robert ensuite placé derrière elle s’agenouille, et passe ses mains sous l’élastique de son mini string, et lui descend jusqu’aux pieds, elle lève à tour de rôle les jambes pour qu’il puisse la retirer entièrement, enfin ils sont tous deux nus, les sifflets et les applaudissements pour leur spectacle ! Robert se mit debout derrière de sa sœur et se colle aux fesses, elle sent sa queue contre ses fesses, puis bouge son corps pour sa queue, soit dans la fente ! et se tortille son cul, sur sa tige dressée. Joséphine demande à Claire et Robert de descente de la scène, pour tirer au sort le deuxième couple. Tous s’écroulent un applaudissement général ! nous continuons jusqu’à ce que nous sommes tous nus. En suite est Nikola avec Martine, moi avec Joséphine, Caroline-Paul — Loïc, Marion avec Laurent, Melissa Daniel, Seb — Gerard Clara, Laurent — Marion, Claude — Marianne. Le spectacle est à présent avec Claude et ma femme, je dois à vous le raconter comment ça s’est passé l’effeuillage de ma femme avec Claude. Nous son au moment où Marianne descend son caleçon ! Elle reçoit un choc et manque défaillir en découvrant, la grosse verge de Claude. Ma femme ne peut détacher son regard du pieu gigantesque qui est dressé entre les cuisses de Claude. Il se retourne brusquement vers moi aussi surpris que moi.Nous restons un instant face à face à nous regarder sans rien dire.J’entrevois un bélier qui me laisse béate ! Je ne peux m’empêcher d’examiner l’épaisseur effarante du pénis un grand bout dépasse de sa main serrée à la base.Ma femme considère moi mon fils et Seb comme bien montés, mais ce qu’elle voir est irréelle ! Maintenant je comprends, pourquoi Melissa il ne voulait pas la sodomie me grâce à moi, elle a eu le goût. Et j’espère que ma femme a apprécié cette grosse bite. Son gourdin est d’une longueur déjà inhabituelle, sa grosseur la sidère littéralement, et elle ne peut retenir un mouvement de recul, écarquillant les yeux et retenant son souffle devant ce boutefeu qui apparaît d’une lourdeur écrasante. Me son mérite à vous le raconter ! Ma femme a un regard sur ce sexe inhabituel vraiment hors norme. Marianne reçois un choc et manque défaillir en découvrant la grosse verge a Claude.
– Alors Marianne comment tu la trouves ? s’exclame Claude.
Ma femme écarquille les yeux ?
– Mon Dieu, qu’elle est grosse, ce n’est pas possible d’avoir une si grosse bite ! putain, mais quel bite, tu l’as à une épaisseur effarante et J’ai hâte de la voir à mon cul, lui dit !!
– Marianne ne t’inquiète pas pour ça, ce sera un grand plaisir pour ma bite, elle soupèse sa queue.
L’effeuillage finit et nous sommes tous nus !! Tous s’écroulent un applaudissement général ! Marianne il parle à l’oreille de Joséphine, qui lui fait un signe de la tête qui veut dire oui : Elle a ensuite souri de quoi parlent Marianne et Joséphine ? Marianne qu’elle eût dit à Joséphine ? Mystère… On se demande tous ce qu’il a dit Marianne à Joséphine ? Nous sommes sûrs que nous apprendrons bientôt !!!!Maintenant nous sommes tous à poils, dans la position debout et en cercle
— Décidément aujourd’hui c’est la réunion des grosses queues ! s’exclama Joséphine.
Les femmes hurlent de joie…. et font des commentaires sur le calibre des nos bites.
Joséphine a pris la parole.
– Mesdames et messieurs ! du silence je vous prie, se clame joséphine, les femmes se calment, tout en continuant à se regarder. Le silence finit par revenir.
Terry
molosses 236