Ce scénario écrit à plusieurs mains est une initiative d’un lecteur comme vous. Chaque changement de personnage correspond à un échange par mail et chaque réponse est une occasion d’entraîner l’autre dans son univers, d’exprimer avec ses mots son regard sur la scène. Les échanges ont ensuite été retravaillés pour redistribuer les rôles et partager avec vous l’érotisme de cette histoire imaginaire.LUI :Ce Paris-Bordeaux n’a plus de secret pour moi. Comme d’habitude j’ai évité les heures de pointe et ce soir j’ai la chance de trouver un compartiment vide. Je m’installe près de la fenêtre, dans le sens de la marche, et commence à faire ce que j’aime le plus en ces occasions : écrire.Lorsque j’entends la porte coulisser je peste intérieurement. Je tourne la tête pour voir qui vient me déranger et me ravise. Elle entre …ELLE :Ce voyage m’ennuie. J’angoisse à l’idée d’un trajet dans un compartiment à l’ambiance étouffante, avec des discussions stériles et navrantes, des gamins bruyants, des hommes d’affaires moroses qui pianotent sur leurs portables.J’attends que tout le monde s’installe et parcours ensuite les wagons pour ne m’arrêter qu’au cinquième d’entre eux, devant un compartiment occupé par une seule personne. Je le regarde. Il est mignon et non dénué de charme, ma quête est terminée.Le bruit de la porte coulissante attire son attention et j’aime la manière dont il pose ses yeux sur moi. Son regard me transperce et j’ai envie de lui plaire. J’entre en prenant soin de me mettre en valeur et m’installe près de la fenêtre, face à lui.LUI :Quelle délicieuse sensation. J’observe discrètement cette femme qui me trouble et me laisse aller à des rêves grivois. La nuit tombe. Son regard tourné vers l’extérieur je l’imagine attentive à mon reflet sur la vitre et me laisse envahir par cette ambiance sensuelle qui s’installe peu à peu dans le compartiment.Elle est élégante, féminine, probablement un peu sauvage. Je devine la lisière de ses bas, tenus par de voluptueuses jarretelles. Cette femme m’excite. Je ferme les yeux et laisse libre cours à mon imagination : « j’ose lui donner le texte érotique que je viens d’écrire pour elle. À sa lecture, ses lèvres esquissent tour à tour surprise et satisfaction. Elle pose la feuille, me lance un magnifique sourire entendu, et se lève pour verrouiller notre compartiment. Mon cœur s’emballe. D’une démarche envoûtante elle s’approche et s’arrête devant moi, jambes légèrement écartées. Mes mains se posent sur ses cuisses, remontent sous sa jupe. Je la regarde et ouvre la bouche mais elle y pose un doigt, m’intime le silence. Les mots ont été écrits … ».Un mouvement m’extrait de ma rêverie, elle se lève. J’en profite pour admirer son superbe décolleté qui laisse deviner une poitrine ferme et généreuse, pour contempler à loisir ses fesses lorsqu’elle se retourne pour déposer son bagage. Je suis attentif à chacun de ses gestes et réagit immédiatement lorsqu’une légère secousse la déstabilise.Pourquoi sur ses si belles fesses ? Pourquoi mon geste réflexe m’a amené à y poser bien à plat une de mes mains? Surprise elle tourne légèrement la tête vers moi et je prie pour qu’elle ne remarque pas la bosse qui trahit mon désir. Je sens chez cette femme un magnétisme sexuel qui est en train de me rendre fou. Elle m’excite et elle le sait. Animé d’une ardeur et d’une audace inhabituelle, je pose fermement ma deuxième main sur ses jolies fesses et l’entraîne contre la fenêtre.ELLE :Inconsciemment je suis entrée dans le registre de la séduction. Je ne parle pas de drague ouverte mais d’un simple changement de comportement. Je suis devenue plus féminine, j’ai pris soin de garder le buste bien droit pour m’asseoir, de croiser les jambes suffisamment haut pour légèrement faire tomber un pan de ma jupe portefeuille.J’ai envie de le regarder sans en avoir le courage et pour ne pas me trahir je donne l’impression d’être absorbée par le paysage qui défile, l’observe dans le reflet. Quel délice lorsque je surprends son regard sur mes jambes. La perception de son désir me donne immédiatement envie d’aller plus loin. « Pourquoi me fait-il autant d’effet ? ».Progressivement je m’arrange pour en dévoiler un peu plus, très naturellement et sans donner l’air d’y prêter attention. J’aime la connexion sensuelle qui s’installe progressivement entre nous. Je me lève pour attirer son attention, me cambre pour lui offrir une vue imprenable sur mes seins, me retourne pour déposer mon sac.Alors que j’imagine son regard sur mes fesses une secousse me fait légèrement perdre l’équilibre. Soudain tout s’accélère. Le temps de réaliser je me retrouve contre la fenêtre avec deux mains insolentes copieusement ouvertes sur mon derrière. Comment a-t-il fait pour se lever et se coller derrière moi avec une telle dextérité ? J’ai le sentiment que le temps s’est arrêté, d’être figée ainsi depuis une éternité sans que la situation évolue. Ses mains me brûlent et je me sens envahir par une excitation que je ne contrôle pas.Je reste à regarder les voitures de l’autoroute que nous longeons. Le corail ralentit à l’approche de la petite gare de Bonneval, il est minuit passé. Doucement je pose mes mains paumes ouvertes contre la vitre. Va-t-il comprendre mon désir, mon invitation ?LUI :Aurai-je pu imaginer une si troublante situation ? Cette femme d’une beauté indicible semble s’offrir à moi avec indécence, en équilibre précaire entre mon corps et la vitre. Des envies folles, douces, tendres et sauvages m’envahissent. Envie d’elle, intensément. Envie de sentir le désir monter jusqu’à forcer l’impudeur et l’abandon le plus total. Je veux qu’elle n’obéisse qu’à son plaisir, qu’elle se laisse aller. J’ai la délicieuse sensation que tout est soudain permis et j’entreprends, petit à petit, de l’entraîner dans mes fantasmes.ELLE :Ses mains sont encore hésitantes, va-t-il oser se montrer plus entreprenant ou se rasseoir et s’excuser ? Sans rompre le contact elles remontent le long de mon corps et s’arrêtent autour de ma taille, comme pour retrouver un peu de décence. Elles me brûlent pourtant tout autant et je sens la chaleur du désir m’envahir un peu plus à chaque seconde. Pourquoi ses mains se sont arrêtées en si bon chemin alors que ma poitrine n’attendait qu’elles un peu plus haut ? Son excitation ne peut pourtant pas être mise en doute, mes fesses en apprécient toute la qualité.Le train ralenti, il va entrer en gare. Nous sommes en wagon de queue et nous seront en bout du quai mais je redoute son retour à la raison ou l’intervention impromptue d’un inconnu. «Fermez les rideaux de la porte, je ne bougerais pas ».J’ai tout juste chuchoté mais Il a entendu. Alors qu’il s’éloigne je regarde le reflet de mon visage. Ce que je peux lire dans mes yeux est particulièrement vicieux, indécent, et lorsque je les ferme je sais qu’ils ne m’apprendront plus rien, je m’offre à lui. Sereine, les lueurs des habitations de plus en plus nombreuses caressent mes paupières tandis que je m’installe plus stablement contre la vitre, les jambes légèrement écartées.LUI :Je n’ai pas rêvé, ce murmure était bien réel. Je m’exécute et verrouille la porte, fébrile. M’imprègne de l’atmosphère torride et empreinte de vice qui règne maintenant dans le compartiment.Je l’observe de dos, appuyée contre la vitre. Elle s’offre à moi, m’attend. Je reviens poser mes mains sur ses épaules, la caresse en partant de sa nuque pour descendre jusqu’à son beau petit cul cambré que je redessine avec précision.ELLE :Je ne bouge pas, ou si peu, mes seins appuient peut-être un peu plus contre la fenêtre. J’entends le son sourd du verrou et un frisson traverse tout mon corps. Les yeux fermés je me projette la scène et son impudeur. Je me sens prête à céder à toutes ses demandes, sans restriction, prête à vivre ce type expérience, rien qu’une fois.Le train est maintenant en gare, comme prévu nous sommes au bout du quai et encore loin du bâtiment. Je prends doucement les mains de mon inconnu et les pose sur ma peau, au-dessus du premier bouton de mon décolleté, replace les miennes contre la fenêtre.LUI :Ses mains délicates ont guidé les miennes à la naissance de ses seins et de son décolleté. Mon excitation monte un peu plus, mes pensées sont désormais confuses. Je regarde ses mains à nouveau contre la vitre, ses bras fins et écartés, la cambrure envoûtante de son dos.Doucement je colle mon sexe en érection contre ses fesses et d’un souffle léger je parcours son cou pendant que mes mains défont son chemisier. J’ouvre délicatement un à un tous les boutons, l’embrasse de mes lèvres humides. Je la respire, recueille son parfum, son odeur. Son chemisier libéré et entrouvert je sens qu’elle se cambre un peu plus. Peut-être ne veut-elle pas que ses seins soient en contact avec la vitre froide? Peut-être souhaite-t-elle renforcer le contact de mon sexe entre ses fesses ? Un rapide coup d’œil sur le quai m’indique qu’il n’y a personne. Les voyageurs semblent être montés à l’avant du train, tant mieux.Je glisse mes doigts sous le liserai de son chemisier et remonte mes mains pour écarter imperceptiblement les deux pans de son étoffe ouverte. Mes doigts approchent de sa poitrine, l’effleure mais ne la touche pas. Je regarde son reflet dans la vitre et découvre ses seins qui sortent effrontément de son chemisier ouvert, comprends qu’elle n’ait pas besoin de soutien-gorge.Pour la première fois mes mains glissent sous ses seins. Sa peau est chaude. Je perçois un léger soupir et entreprends la découverte de sa poitrine tendue et généreuse, glisse mes mains pour en faire le contour, pour en prendre possession. Apprécie-t-elle mes caresses ? Je me laisse guider par ses soupirs et fais rouler sous mes doigts la pointe de ses seins.Sa respiration est plus profonde, elle se cambre et ondule imperceptiblement du bassin tandis que mes baisers se font plus pressant et mes caresses plus amples. Vient-elle d’émettre un léger gémissement ? Je m’emballe. J’appuie un peu plus fort mon sexe entre ses fesses et la vois se redresser contre la vitre. Que ressent-elle ?Le train repart et le quai commence à défiler, lentement. Et si quelqu’un nous surprenait ? Quelle vision aurait-il ? Est-ce raisonnable ? Je ne sais plus, je ne me reconnais plus. Pendant que je scrute le quai mes mains remontent sous sa jupe. Bientôt la gare, j’ai finalement l’impression que cette situation ajoute à mon excitation.ELLE :Les gestes de mon inconnu sont maintenant francs, ses mains sont descendues sur mes seins sans aucune hésitation pour les caresser amplement. Je n’ai pas perçu une seule inquiétude quant à mon comportement lorsqu’il a glissé ses doigts dans l’ouverture de mon décolleté et qu’il a commencé à dégrafer mon chemisier. En quelques mouvements précis il l’a entièrement ouvert et je suis maintenant seins nus, collée contre la vitre.Les derniers voyageurs sont montés, le train ne va pas tarder à repartir. Les yeux fermés j’apprécie les caresses habiles de mon amant. Je ne veux pas rompre le charme et me contente pour l’instant de garder les mains écartées pour montrer que je m’offre entièrement à lui. Je sens son sexe en érection, me cambre pour aller à sa rencontre, le provoque, me redresse contre la fenêtre.Une secousse annonce le départ du train. J’ouvre les yeux pour regarder le mouvement latéral du quai et savoir ce qu’il va nous dévoiler, oscille du bassin pour sentir son sexe contre mes fesses, l’inciter à prendre ses aises.LUI :Mes caresses se font plus aventureuses, plus précises. Je remonte mes mains sous sa jupe et découvre le porte-jarretelles entrevu plus tôt, visite pleinement et longuement ses fesses, en apprécie la fermeté. Mes doigts glissent le long de ses cuisses pour frôler son sexe mais l’évite habilement. C’est trop tôt, le plaisir de la découverte est trop intense et unique pour me précipiter.Fébrilement je détache sa jupe pour la laisser glisser le long de ses jambes. Elle me laisse faire, se défait de son carcan qui entrave ses pieds d’un geste franc et sensuel, une jambe après l’autre. Son assurance m’ôte toute hésitation. Je la redresse pour lui retirer son chemisier et le jeter à l’autre bout du compartiment, l’observe ainsi offerte.Guidé par un désir indescriptible mes doigts effleurent pour la première fois son entre cuisse. Je la sens bouger contre moi, à la recherche de ma main. Comment refuser un tel appel ? Mes doigts passent sous la dentelle de son string et mon majeur glisse entre ses lèvres humides, découvre lentement son intimité, s’active. Son souffle se transforme en léger gémissement. Imagine-t-elle à quel point elle m’excite ? A quel point mon sexe étouffe dans un pantalon devenu trop étroit ?Je continue mes caresses, me laisse guider par ses gémissements et descends son string le long de ses cuisses pour avoir plus de la latitude dans mes mouvements. Elle ne s’écarte pas de la fenêtre, resserre les jambes pour m’aider dans mon entreprise alors que mon regard est attiré par deux hommes. Ils viennent d’entrer dans notre champ de vision, sur le quai. Ils nous verront forcément. Est-ce qu’elle les a vue ? Veut-elle se montrer à ces hommes avec une telle indécence, ses seins contre la vitre, obscénement cambrée pendant que je caresse ses fesses, son sexe ?ELLE :D’un geste net il fait tomber mon dernier rempart et m’exhibe les cuisses entravées par mon string. Ses mains agissent en conquérantes, elles n’oublient aucune parcelle de mon intimité et mes ondulations doivent laisser peu de place à l’ambiguïté, j’aime ça.A l’approche de la gare je remarque deux jeunes hommes. Ils sont tournés vers l’avant du train mais ils ne tarderont pas à nous voir. Toujours collée contre la vitre j’attends l’inévitable. J’ai une délicieuse envie de m’afficher avec vice, de sentir en moi les doigts de mon amant pendant que je croiserais le regard de ces deux inconnus.Je me penche en avant et me cambre pour tendre mes fesses, lascive. Il me reste quelques secondes pour faire en sorte que mon amant soit plus actif. Je tourne la tête vers lui et libère une de mes mains pour sucer avidement mon majeur sous ses yeux, simule une fellation avec un regard explicite. Je le provoque avant de revenir à ma principale source d’excitation du moment: les deux inconnus.LUI :Je la vois regarder avec insistance ces jeunes hommes, elle aussi les a vu et elle semble vouloir leur laisser d’impérissables souvenirs. Je suis un instant gêné, puis je me résonne. Après tout nous ne serons qu’un spectacle d’une poignée de secondes dont ils reparleront longtemps à leurs amis. Peut être même se caresseront-ils plus tard en pensant à elle. Elle alimentera leurs fantasmes.Je la vois se cambrer et m’offrir ses fesses. Sans me faire prier d’avantage je glisse ma main sous son petit cul et la pénètre en douceur. Son sexe est divinement chaud et humide, je la masturbe et m’écarte un peu pour offrir un meilleur angle de vue à nos futurs témoins. Il ne veut pas qu’il y ait d’ambiguïté, il faut qu’ils soient sûrs que je la pénètre de mes doigts.Mon autre main dégage ses cheveux pour qu’ils ne ratent rien de son visage, qu’il soit gravé à jamais dans leurs mémoires. Je me mets à la place de ces hommes et j’imagine la vision extraordinairement érotique qu’ils vont avoir. J’aimerai être à leur place si je n’étais pas à la mienne.ELLE :Nous arrivons à leur hauteur. Le premier à me voir interpelle son ami et nos regards se croisent pendant que mon amant glisse deux doigts en moi. Il ne fait aucun doute que le plaisir qu’il me procure peut se lire sur mon visage. Bouche bée mes inconnus regardent mon majeur glisser dans ma bouche et mon corps entièrement dévoilé.Le quai défile. Je m’aperçois à regret que je vais manquer de temps pour me montrer aussi vicieuse que je le souhaiterai. Je me tourne pour exhiber les doigts qui s’activent en moi, jette un dernier regard provocateur, et me surprends même à aller jusqu’à poser un doigt contre mon anus. Ils n’en verront pas plus. Ils disparaissent au profit d’un quai vide et d’une gare tout aussi déserte. Seul le chef de gare nous remarque au dernier moment. Il a juste le temps de comprendre ce qu’il vient de voir … ou de rater.La gare passée nous longeons de nouveau quelques habitations et je sens qu’il est temps de penser plus activement à mon amant. Je me redresse pour me coller contre son torse et glisse mes mains derrière mon dos pour aller à la rencontre de son sexe. Il reste un peu de temps avant l’arrivée, quelques instants de plaisir à donner et à recevoir.LUI :Ils nous ont vu. Je décèle dans leur regard ce mélange de surprise, de curiosité,… d’excitation. Un instant un sentiment de gêne pudique m’envahit, puis je la regarde. Cette situation l’excite. Pendant que mes doigts continuent de pénétrer son sexe, elle joue avec leurs fantasmes, suce son majeur avec sa langue coquine, leur présente ses fesses et son sexe que je doigte avec malice. Quelle impudeur ! Quelle obscénité ! Quelle Vicieuse !!!Nos deux jeunes mâles ne sont déjà plus là . Sûrement satisfaite de son effet elle se redresse et je prends possession de ses seins. Je les caresse avec gourmandise et envie, l’embrasse dans le creux de sa nuque. Ses seins fermes et imposants m’obsèdent. Je me délecte à les détailler avec mes doigts, les imagine dans ma bouche tandis que sa main droite caresse ma queue dans ses moindres détails.Mes sens et mon esprit ne sont plus guidés que par mon désir de la posséder. J’essai de rester lucide, de laisser monter doucement l’excitation jusqu’à son déraisonnable paroxysme, me contrôle pour ne pas me jeter sur elle et la prendre aussitôt. J’ai envie de sentir sa bouche, de redécouvrir ses yeux. Je la retourne pour plonger dans son regard profond et intense. Il me fait fondre, m’intimide. J’y découvre le désir, l’offrande, le vice et cette si excitante gourmandise.Est-elle dans le même état d’excitation que moi ? Qu’aimerait-elle ? Elle me rend fou et je veux qu’elle se libère totalement. Je m’interroge et essaye de découvrir ses désirs les plus érotiques, ses pensées les plus torrides. Je veux qu’elle soit submergée par son plaisir et ses orgasmes.ELLE :Je sens son sexe frémir sous mes doigts, l’imagine en moi. J’ai envie de lui faire face pour dégrafer son pantalon et le déshabiller entièrement. Je veux sentir sa peau contre la mienne et son sexe chaud contre mon ventre. Lorsqu’il me prend par les hanches pour me retourner je le dévore des yeux, bouche entrouverte et offerte. Je mouille mes lèvres avec un regard vicieux et soulève sa chemise pour sentir enfin sa peau sous mes mains.Mes mains le caresse, descendent sur ses abdominaux et ne résistent pas à l’envie de défaire son pantalon, d’extraire son sexe. Je me recule un peu pour ouvrir plus facilement sa braguette, le fixe dans les yeux pendant que les boutons cèdent un à un. Je baisse ensuite son pantalon, son caleçon. Je ne touche pas à son sexe, ne le regarde pas. Je retire le string qui m’entrave et le jette à l’entrée du compartiment, m’agenouille doucement sans quitter son regard. La tête relevée mon visage glisse sous sa magnifique queue et je sors ma langue pour lécher sa hampe. Je veux qu’il sache à quel point je suis excitée et offerte.Rassurée par ce que je lis dans ses yeux je baisse les miens pour me consacrer pleinement à ce qui est devant moi, remonte le long de son sexe pour le prendre enfin dans ma bouche. Il est doux, je le sens tressaillir contre mon palais et me régale de la sensation que me procure son va-et-vient entre mes lèvres.Je veux réveiller ses fantasmes les plus fous. Je m’arrête pour le regarder, lève la tête et croise mes mains derrière mon dos sans dire un mot, avec un sourire.LUI :Son regard m’excite et mon corps se laisse aller à ses caresses. Ses mains sur mon torse sont douces, délicates. J’observe ses yeux provocateurs pendant qu’elle ôte les boutons de mon pantalon.Quel bonheur de sentir mon sexe enfin libéré par ses mains expertes. Elle ne le regarde pas, passe dessous et m’aguiche encore un peu plus. Elle joue avec mon désir de son regard vicieux barré de mon sexe dressé. Ses caresses sur mes fesses m’invitent à me rapprocher. Je la contemple en train de lécher ma queue. Sa langue est chaude, douce. Je me liquéfie et mon regard devient vague.A cet instant elle sait que je suis à elle et je sais qu’elle en joue. Je la laisse jouer. Je me laisse aller au plaisir qu’elle me procure, ferme les yeux pour focaliser mes sens sur ses délicieuses caresses. Elle me suce à merveille. Mon sexe enserré par ses lèvres je sens sa langue jouer avec mon gland pendant que ses mains caressent mes fesses. Je ne tiendrais pas longtemps. J’ouvre les yeux mais elle ne me regarde plus. Elle est concentrée sur mon sexe et je dévore des yeux les aller et venu de ma queue dans sa bouche. Elle adore ça. Ça se voit.Mon sexe se tend encore entre ses lèvres, j’imagine qu’elle le sent et qu’elle craint que je jouisse trop tôt. Elle doit savoir qu’aucun homme ne peut résister à sa manière experte et gourmande de le sucer. C’est en tous cas ce que semble indiquer son sourire lorsqu’elle se recule pour mieux observer ma détresse et mon abandon, manifestement satisfaite de son effet.Les mains croisées dans son dos elle affiche effrontément ses seins dressés dans ma direction, semble m’offrir son corps. Je passe une main dans ses cheveux, caresse ses joues, glisse sur ses lèvres un doigt qu’elle s’empresse de lécher impudiquement. Mon désir n’a plus de limite, je veux la baiser comme jamais personne ne l’a fait avant.Je l’invite à se relever lentement, glisse mon sexe entre ses seins pendant qu’elle se redresse. Elle comprend, reprend mes fesses dans ses mains et se plaque contre mon corps.ELLE :Je le regarde, cherche à le satisfaire. À sa demande je me relève légèrement et commence à masturber son sexe entre mes seins. Mes cuisses me brûlent et la position est délicate. Je continue un peu mon va-et-vient mais dois rapidement me résigner ce qui le déçoit. Pour me faire pardonner je m’installe sur le bord de la banquette et l’invite à reprendre sa place entre mes seins.Mes mains referment leurs étreintes sur son sexe et j’entame de légers mouvements du torse pour reprendre ma masturbation, bien décidée à ne m’arrêter qu’une fois qu’il aura joui. Je n’attends pas longtemps, les précédents préliminaires ont eu raison de sa résistance. Après les premiers spasmes annonciateurs je sens son sperme chaud et abondant jaillir. Je me recule, présente ma poitrine pour qu’elle reçoive sa semence et le regarde dans les yeux, fière de moi. Il me fixe. Je ne résiste pas à l’envie d’en rajouter, à l’envie de me montrer « salope ». J’écarte largement les jambes pour ne plus rien lui cacher de mon intimité et recueille un peu de son sperme pour le porter à ma bouche, le lécher, le déglutir.Je souris en le voyant abasourdi, prends ses mains pour les poser sur ma poitrine savamment arrosée. La tête relevée je le regarde, bouche ouverte, poitrine bombée, sulfureuse …LUI :Je savoure la caresse de ses seins sur mon sexe et perçois un signe d’impatience lorsqu’elle décide de s’asseoir sur la banquette. Veut-elle que je la prenne ? Préfère-t-elle d’abord que je la lèche ? Elle présente ses seins à ma queue dressée et je reprends ma position initiale, observe mon gland aller et venir entre ses siens, aller jusqu’à sa bouche ouverte.Elle m’excite trop, je vais craquer. Mon regard lui indique que je n’en peux plus et son sourire m’indique qu’elle le sait, qu’elle m’attend. Tout mon corps se tend et je suis envahie par un orgasme puissant qui arrose copieusement sa poitrine offerte.Et toujours ce regard… cette position obscène pendant qu’elle porte ses doigts à sa bouche pour goûter ma semence. Cette poitrine bombée…C’est maintenant à moi de la fixer et à elle se s’abandonner. Je m’agenouille entre ses cuisses, approche ma bouche de son sexe et découvre les lèvres ouvertes de ma petite vicieuse. Je l’observe entre ses seins recouverts de mon sperme. Ma langue joue avec son clitoris et son regard se fait moins aguicheur. Ses yeux se ferment, son souffle devient court.J’étale mon sperme encore chaud sur ses seins pendant que je la lèche avec passion et gourmandise. Je veux qu’elle jouisse dans ma bouche, me laisse guider par ses soupirs et l’observe. Son bassin imprime de lents mouvements à la recherche de ma langue tandis que mes mains écartent ses cuisses pour que mes inquisitions soient plus profondes.Je glisse une main pour passer avec vice de son sexe à son anus. Elle gémit, caresse ses seins. Je sens son orgasme monter, son clitoris se gonfler. Son corps est pris de spasmes et j’entends enfin sa voix claire exprimer son plaisir. Ma petite vicieuse est aussi une jouisseuse…Lentement je me redresse et me recule pour mieux l’observer, cuisses ouvertes, son sexe trempé, ses seins maculés de mon sperme. Elle a encore son regard provoquant.ELLE :Il me surprend. Alors que je l’allume pour l’inciter à ne penser qu’à son plaisir je le vois penser au mien, s’agenouiller entre mes cuisses ouvertes pour glisser sa langue en moi et me lécher. Il est habile et je me laisse emporter, ferme les yeux pour mieux apprécier les sensations que sa langue me procure. J’oublie tout pour ne penser qu’à mon plaisir, ne cherche plus à contrôler mes gestes. Je laisse mon corps et mes mains s’exprimer selon l’envie du moment. Mon bassin se soulève pour coller mes lèvres ouvertes contre cette langue diabolique et mes mains finissent d’étaler son sperme sur mes seins.La fine pellicule de sperme entre mes mains et mes seins rend la caresse divine et je regrette de ne pas pouvoir l’étendre à volonté. Je me laisse envahir par le plaisir, me lance à la rencontre du majeur qui vient se frayer un chemin entre mes fesses. Je sens l’orgasme proche et j’ai envie de le sentir au fond de moi.Finalement je jouis sous sa langue, me détend. Il se lève, me regarde. Son sexe a retrouvé toute sa vigueur mais nous approchons de notre destination et mon envie a été comblée. Je me redresse pour déposer un léger baisé sur sa bouche et recherche ma culotte. Je ne la remets pas. Je me contente de l’utiliser pour m’essuyer devant lui. Puis je retrouve ma jupe, la remet en fermant volontairement un minimum de bouton. Je ne peux m’empêcher de continuer de l’allumer un peu, remets mon chemisier en le laissant lui aussi particulièrement ouvert sur mes seins.Enfin je prend mon sac et me rapproche dans cette tenue provocante pour déposer dans ses mains ma petite culotte souillée en guise de souvenir. Je l’embrasse une dernière fois, ma main de nouveau sur son sexe, et remonte jusqu’à son oreille : « merci pour ce magnifique voyage ….».La minute suivante, j’étais déjà loin, heureuse.