I – Le voyage en AmériqueIl avait fallu plusieurs mois avant qu’ils ne se décident. Une fois la décision prise, ils avaient dû tout préparer, et cela leur prit encore trois mois. Et c’est seulement lorsque l’avion toucha le tarmac qu’ils prirent conscience que le voyage dont ils avaient tant rêvé venait juste de débuter.Après avoir trouvé le bon tapis roulant – ce qui n’est pas une mince affaire à JFK – et récupéré leurs biens, ils se mirent en quête d’un coffee-shop pour se poser quelques instants.Une fois attablés, ils choisirent, lui un café (à l’américaine), elle un chocolat. En s’approchant avec leur commande, le serveur, un Américain à l’air typiquement new-yorkais, commença à leur faire la conversation. Il s’enquit de leur nationalité, leur vanta la beauté singulière et le dynamisme de Big Apple, puis les félicita sur le fait qu’ils allaient très bien ensemble.Il faut dire qu’elle était belle. À 33 ans, elle rayonnait. Son joli visage, mis en valeur par sa chevelure blonde, était orné d’un large sourire depuis la sortie de l’avion. Grande, environ de 1,72 m, elle proposait une silhouette des plus agréables, dans un complet contraste avec ces mannequins anorexiques que la mode avait imposés quelques années plus tôt. Une poitrine qui attirait comme un aimant le regard des hommes, des hanches à la courbure des plus féminines, des fesses petites et fermes, elle ne passait pas inaperçue.Sa jolie robe noire mettait d’ailleurs en valeur ses atouts. Elle la dévoilait juste ce qu’il fallait, et la rendait désirable sans une once de vulgarité. On aurait dit que le vêtement la couvrait à la manière de la caresse de son homme. Il semblait s’attarder sur son joli décolleté et permettait de voir, lorsqu’elle se penchait, qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Il mettait en valeur son ventre plat comme une invitation à le couvrir de baisers. Le tissu qui couvrait ses jambes jusqu’à mi-cuisses semblait onduler comme l’aurait fait une main descendant de l’aine vers les cuisses puis faisant le chemin inverse.Quelques heures auparavant, durant le vol, il n’avait d’ailleurs pu s’empêcher d’explorer cette zone. Assis l’un à côté de l’autre, la majeure partie des passagers assoupis dans la pénombre, il avait posé sa main sur son genou, négligemment. Puis il avait progressé délicatement le long des cuisses vers le mont de Vénus. Elle se laissait faire, et avait même fermé les yeux, attendant le contact entre ses doigts et son intimité. Après avoir touché ses grandes lèvres encore protégées par la culotte, il avait commencé à la stimuler délicatement, depuis le périnée en remontant jusqu’en haut des lèvres.Alors qu’il s’apprêtait à passer la barrière de la culotte, une voix dans le haut-parleur avait annoncé que l’avion amorçait sa descente, et au même moment les lumières se rallumaient complètement. Elle l’avait arrêté, posant sa main sur son membre à travers son pantalon, lui mordillant l’oreille et lui glissant :— Tu ne perds rien pour attendre.Lui n’était pas mal non plus. Bien que de taille moyenne, il semblait avoir pratiqué de la musculation pendant longtemps. Ses épaules étaient larges, et son polo mettait bien en valeur son buste musclé. Il respirait la confiance, et imposait sa prestance sans avoir besoin de parler. Il la couvrait de son regard à la fois protecteur, attentionné mais aussi amusé à l’idée des jours qu’ils allaient vivre ensemble.— Commençons par nous installer à l’hôtel. Tu sais comment y aller ? dit Justin— Le plus simple serait de prendre un taxi, non ? lui répondit Gladys— Oui, ma chérie.— Tu sais qu’il est déjà 16 h 30 ici. On ferait bien de s’installer, de faire éventuellement une petite sieste, une bonne douche et de se préparer pour le match.Ils commençaient fort le séjour. Lui, fan de basket-ball, rêvait d’assister à un match au mythique Madison Square Garden. Ils avaient donc réservé deux places à distance raisonnable du parquet pour la rencontre du soir, qui voyait s’affronter les Lakers et les Knicks. Et tous deux avaient hâte d’assister au show à l’américaine, fait d’actions spectaculaires, de vidéos folles sur les écrans géants de la salle, d’un public capable de donner la chair de poule rien qu’en encourageant son équipe, d’un speaker endiablé et d’une petite équipe de pom pom girls à la plastique parfaite et la plus artificielle du monde.II – La file d’attenteAprès un passage revigorant dans leur chambre, ils s’étaient retrouvés dans la file d’attente dans le hall du « Garden ». La salle pouvait accueillir environ 20000 personnes, et il ne faisait aucun doute qu’elle serait pleine ce soir. Avant de pouvoir rejoindre leur place, ils patientaient donc, au milieu d’une foule compacte.Dans la file, ils étaient tellement serrés qu’ils se tenaient l’un derrière l’autre, elle devant et lui derrière ; la file de gauche et de droite leur empêchait tout mouvement latéral : il ne restait plus qu’à attendre.Un observateur leur jetant un coup d’œil rapide n’aurait vu qu’un couple de jeunes trentenaires attendant leur tour. L’agent de la sécurité qui les avait vus passer dix minutes plus tôt n’aurait décrit qu’un jeune homme plutôt bien bâti vêtu d’un pantacourt et d’un polo, et une séduisante jeune femme dont les formes étaient mises en valeur par une jupe plissée et un débardeur près du corps.Mais s’il avait regardé plus attentivement, l’observateur aurait vu tout autre chose. Il avait commencé par lui passer la main sur le ventre, pour la tenir, disait-il. Mais rapidement sa main avait commencé à se promener. Elle s’était d’abord glissée sous son débardeur, et était allée à la rencontre de ses seins. Elle avait immédiatement tenté de l’en empêcher, regardant autour d’eux d’un air embarrassé. Mais personne ne semblait faire attention à eux. Devant son insistance, elle avait abandonné.Il avait d’abord caressé sa poitrine, soupesé ses seins fermes, passant du droit vers le gauche, puis faisant le chemin inverse. Puis il s’était dirigé vers les tétons, dont il sentit immédiatement qu’ils étaient en train de durcir. Il prit le gauche entre ses deux doigts et commença à le faire rouler. Elle laissa échapper un soupir et renversa doucement sa tête en arrière, comme un appel à continuer.Autour d’eux, personne ne semblait faire attention à eux. Engaillardi, Justin approcha sa main libre de son autre sein, passant immédiatement sous le vêtement. Elle sentait contre ses fesses gonfler son membre, qu’il collait contre elle à travers son pantalon. Sentant l’excitation qui montait, elle aurait tant voulu le prendre dans sa main. Mais son attention dut à nouveau revenir à ses mains, qui devenaient plus entreprenantes. Après avoir caressé simultanément ses tétons, il fit descendre sa main gauche vers son ventre. Il passa sous l’élastique de sa jupe pour se diriger vers son string et commença à caresser ses lèvres à travers le tissu. Il sentait son excitation, provoquée par les caresses et par leur situation au milieu de cette foule, car le string était déjà trempé. Une fois cette barrière passée, il écarta ses lèvres à l’aide de deux doigts, et présenta son majeur à l’entrée de sa grotte. Avant d’y pénétrer, il remonta de quelques centimètres, et fit plusieurs fois le tour de son clitoris, le lubrifiant de sa propre liqueur d’amour.Lorsqu’il rentra enfin le doigt, Gladys ne put retenir un petit cri en même temps qu’elle se penchait en avant, comme pour ralentir sa progression devant ce plaisir si soudain. Mais la place qu’ils avaient dans la foule maintenant très compacte ne permettait plus le moindre mouvement. L’index rejoignit bientôt le majeur et elle ferma les yeux, complètement offerte et hors du monde. Tantôt il stimulait son vagin d’allers et retours rapides, tantôt il ressortait ses deux doigts pour encadrer de près son petit bouton, décrivant de petits cercles. Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, il accéléra ses mouvements : alors qu’il lui pinçait le téton d’une main et qu’il s’enfonçait dans sa chatte de l’autre, il perçut qu’elle parvenait au paroxysme de son plaisir. Son vagin se contracta à plusieurs reprises et un frisson parcourut à plusieurs reprises l’ensemble de son corps.Elle prit quelques instants pour reprendre son souffle. Mais bientôt, mue par la même excitation incontrôlable de cette soirée incroyable, elle se demanda ce qu’il allait bien pouvoir faire. Elle sentait toujours sa verge contre sa jupe, et il semblait n’attendre qu’une occasion pour aller plus loin.C’est alors qu’apparut, sur une scène située entre les deux portes massives donnant accès à la salle, Amar’e Stoudemire, star de l’équipe hôte. Immédiatement, toute l’attention de la foule se concentra sur le joueur. Il semblait qu’il s’apprêtait à offrir un show « de première partie », à l’occasion apparemment d’une commémoration d’un événement de l’histoire du club.Le couple ne s’en préoccupa pas plus. Tout le monde regardait maintenant dans une même direction, et plus rien de ce qui se passait sous leur nez ne semblait pouvoir les intéresser. À l’aide de très légers mouvements, il entreprit de sortir son sexe. Collé contre ses fesses, il le plaça immédiatement entre ses cuisses. Son idée était de remonter sa jupe pour pouvoir passer en dessous. Il descendit donc ses deux mains désormais libres sur ses fesses, saisit le bout du vêtement et fit passer son engin. Il était maintenant en contact direct avec sa vulve trempée, son gland venant frotter contre le bas de ses lèvres. La jupe retombait de part et d’autre, masquant suffisamment pour ne pas les faire remarquer.Serrés comme ils l’étaient, il leur était quasi impossible de bouger. À peine pouvait-elle imprimer des mouvements de bassin qui permettaient au bout de son sexe de venir la stimuler. Ses lèvres étaient maintenant complètement ouvertes, et s’il avait pu les voir, il se serait dit que c’était un appel à la pénétrer.Après quelques minutes de ce manège qui n’était pas pour calmer son excitation, il décida de changer de stratégie. La prenant par les hanches, il l’éloigna de quelques centimètres de lui, laissant sa verge remonter le long du sillon de ses fesses. À l’aide de quelques contorsions, il parvint à la présenter à l’entrée de son petit trou.Ils avaient l’habitude de cette position, et à vrai dire ils adoraient tous les deux. Si c’est lui qui avait été le premier à la proposer, elle n’avait pas tardé à considérer la sodomie comme partie entière de leurs jeux sexuels. Ils adoraient lorsqu’il la prenait en levrette, tandis que, collé à elle, il lui glissait un ou plusieurs doigts dans la chatte.Comprenant son intention, Gladys lui glissa un « oui » étouffé, l’invitant à la pénétrer. Son gland était si bien huilé de sécrétion vaginale qu’il rentra sans difficulté. À peine avait-elle eu besoin d’écarter ses deux beaux globes. Il s’arrêta quelques instants dans cette position, profitant de la chance incroyable qu’il avait de vivre un tel moment. Il prit conscience du monde autour de lui, puis se concentra à nouveau sur son membre tendu, dont l’extrémité était figée dans l’anus de sa femme.Justin recommença alors à la pénétrer, avançant millimètre par millimètre, centimètre par centimètre, jusqu’à ce que son bassin vint enfin se coller contre elle. Elle se mordait la lèvre de plaisir. Il n’avait pas encore entamé d’aller-retour qu’il était déjà au bord de la jouissance, l’érotisme de la situation et de la position suffisant pour l’amener jusque-là. Il s’imaginait qu’il suffirait de quelques coups de boutoir pour l’inonder de son sperme.Leur situation ne leur permettait pas ces quelques mouvements, ils restèrent une minute en ne bougeant pratiquement pas, concentrés sur ce pont de chair qui les unissait.Soudain, sans qu’ils sachent pourquoi, les gens se mirent à applaudir à tout rompre. La foule en délire sautait de joie, apparemment clôturant l’intervention de Stoudemire. Il n’en fallut pas plus pour qu’il reprenne l’initiative. Trois allers-retours rapides. Il eut à peine le temps de venir prendre son sein à travers son débardeur. Au troisième, il laissa son gland sortir à moitié. Puis il s’enfonça à fond dans un dernier mouvement. Il sentit la chair enserrant son membre comme jamais : elle venait d’avoir son deuxième orgasme de la journée. Les frissons qui la parcouraient entièrement resserraient encore l’étroit fourreau par vague. Il lui déversa toute sa semence, et il lui sembla qu’il avait joui pendant une minute sans discontinuer.Quelques instants plus tard, la foule reprenait sa lente progression en direction de la salle. Il en profita pour se rhabiller discrètement et déposa un baiser dans son cou.Jusqu’à ce qu’ils trouvent leur place et qu’ils s’assoient, elle sentait son sperme couler le long de sa jambe. Elle se rendit compte qu’elle adorait ça.III – La rencontreLeurs sièges étaient bien placés. Quelques rangées derrière le banc de l’équipe locale, ils embrassaient d’un seul regard l’ensemble de l’aire de jeu. Ils s’assirent, et commencèrent à reprendre leurs esprits. Le plaisir qu’ils avaient éprouvé quelques instants auparavant ne les avait pas calmés, et ils se sentaient de braise.Après une annonce du speaker, le noir se fit dans la salle et les faisceaux de lumière se concentrèrent sur le parquet devant eux. C’était le show d’avant match. Au programme : des acrobaties, des démonstrations d’adresses avec une balle de basket, puis quelques morceaux d’une chanteuse à la mode, avant enfin l’entrée et la présentation des joueurs.Quelques secondes après le début, elle posa sa main sur son sexe à travers son pantalon, approcha ses lèvres de son oreille, et lui glissaTournant la tête vers la gauche, il distingua, de l’autre côté de l’allée, un couple. La lumière du spectacle produisait des flashes intermittents, comme les éclairs d’un orage. Ils pouvaient néanmoins voir que la femme avait profité de l’obscurité relative pour sortir le membre de son compagnon, et qu’elle s’appliquait à l’astiquer vigoureusement de sa main droite. L’homme semblait apprécier le traitement, mais continuait à regarder devant lui. Il avait néanmoins posé sa main sur la cuisse de sa compagne, et semblait chercher à remonter vers son entrejambe.De son côté, après le double orgasme qu’elle avait vécu, l’excitation de Gladys monta en flèche, et elle sentit son rectum se contracter. D’autant plus que son compagnon, regardant aussi discrètement que possible, avait imité son camarade et dirigeait sa main sous la jupe de sa compagne, bien décidé à vérifier l’effet de la situation sur sa femme.— Je vois que ça t’excite, lui murmura-t-il discrètement.— Je vais devenir folle.Leur état était tel qu’il commença à regarder sans aucune précaution. Au bout de quelques minutes, leur regard était rivé sur cette femme masturbant son homme, tandis que Justin caressait lui aussi sa femme. Il aurait fallu qu’elle lève la tête pour se rendre compte de leur présence. Ce qu’elle fit. Elle les regarda tous les deux, s’aperçut de leur état et susurra en riant quelques mots à l’oreille de son compagnon. Ce dernier les regarda et sourit à son tour, et lui répondit quelque chose.Il rentra alors son engin, et se leva. Elle le suivit, fixa les voyeurs d’un air de gourmandise. Elle passant à côté de Gladys, elle effleura son épaule avec son doigt, comme par mégarde.Le départ du couple provoqua un sentiment de frustration chez Justin et Gladys. Qu’allaient-ils faire ? Partaient-ils ? Où allaient-ils continuer ? Et leur état les poussait à poser d’autres questions : qu’allait-il lui faire ? Le sucerait-elle dans un coin ? La prendrait-il debout ?Ce fut finalement Gladys qui se décida.Lui comprit tout de suite de quoi elle parlait. Ne tenant plus, il acquiesça immédiatement, et ils se mirent en quête du couple mystérieux. Ils finirent par les trouver, en passant devant un local technique dont la porte était entrouverte, et dont sortaient des gémissements. Justin avait poussé la porte et vu que les bruits provenaient d’une seconde pièce dont la porte était elle aussi entrouverte. Ils pénétrèrent dans le local technique en prenant bien soin de refermer la porte du couloir, et s’approchèrent.Le spectacle qu’ils découvrirent combla toute leur curiosité. Elle avait ôté son haut et laissait voir deux énormes seins, dont les larges aréoles brunes contrastaient avec celles, plus claires et plus modestes, de Gladys. Accroupie devant son compagnon, elle avait sorti son sexe, qui semblait de dimension impressionnante. Gladys l’estima à environ 21 ou 22 centimètres pour 5 centimètres de diamètre.La femme devait ouvrir grand la bouche pour le sucer, et elle s’appliquait. Régulièrement, elle le sortait pour aller lécher les bourses, puis promenait sa langue depuis la base vers la verge, s’attardant sur le frein. Soudain, elle l’avala complètement et sembla placer son gland au fond de sa gorge.Devant ce spectacle, Gladys n’y tint plus. Imitant la femme, elle s’agenouilla devant son homme, ouvrit son pantalon et commença à lui administrer la même fellation, en continuant à les observer du coin de l’œil. Elle calquait ses mouvements sur la femme qui semblait bénéficier d’une science qu’elle-même n’approchait pas encore.Lorsque la femme commença à astiquer le membre énorme, elle tourna la tête de leur côté. Elle aperçut le couple de voyeurs. Avec un sourire, elle se releva, regarda son mari d’un air complice, et se dirigea vers eux. Elle caressa délicatement l’épaule de Justin et regarda Gladys toujours la bouche à hauteur de sexe. Puis elle la rejoignit à genoux, et commença à sucer le membre.Interloqué, Justin ne réagit pas. Il regardait sa compagne, guettant sa réaction. Si une telle situation figurait très haut dans le classement de ses fantasmes, il ne souhaitait que les deux partagent ce moment. Elle le rassura en la regardant d’un air excité, puis prit la tête de la femme, et l’embrassa langoureusement. Elles s’activèrent alors toutes les deux en même temps sur sa bite dressée, l’une léchant les bourses quand l’autre l’avalait, ou embrassant à la fois le gland et la bouche de sa compagne. Lui posait la main sur la tête de ses deux suceuses. À la limite de venir, il leur demanda de ralentir.La femme se releva alors, se retourna vers son compagnon. Elle prit un morceau de tissu qui était rangé sur une étagère et le disposa sur le sol. Elle lui demanda de s’allonger sur le dos, et s’empala sur son mandrin. Gladys était fascinée. C’était la première fois qu’elle voyait en réalité une pénétration. Bien sûr, ils avaient regardé ensemble des films pornos, mais le voir en vrai était autre chose. La tige de chair écartait les grandes lèvres de la femme, et il semblait qu’elle l’aspirait régulièrement. Les yeux mi-clos, elle imprimait le rythme.N’y tenant plus, Justin prit lui aussi un tissu et s’installa à côté du couple. Ils prirent rapidement la même position, elle au-dessus. Mais tous deux étaient fascinés par ce qu’ils voyaient. La mouille de Gladys coulait depuis son vagin sur la verge, et on aurait dit une inondation. Lui regardait alternativement sa femme et l’inconnue. Il échangea même un regard complice avec l’homme.Mais il éprouva un choc lorsque la main de l’homme se dirigea vers Gladys et lui prit le sein et commença à le malaxer. Très vite, la jalousie se transforma pour ne devenir qu’une composante de son excitation. Il était en train de prendre sa femme, il avait choisi d’être là, le couple ne semblait en rien menaçant, et surtout Gladys avait accueilli avec tout l’accord du monde cette troisième main sur son corps. Car les deux mains de Justin n’étaient pas en reste. Sa main droite était posée sur son épaule, et mettait régulièrement le doigt dans sa bouche. Son index gauche titillait son anus, bien ouvert par le traitement qu’il avait subi quelques dizaines de minutes plus tôt. Elle avait alors posé la main sur celle de l’inconnu, et continuait à diriger ainsi le mouvement.Tandis que Gladys continuait leur chevauchée, le couple se leva. L’inconnue se mit à genoux et commença à lécher alternativement les testicules de l’un et l’anus de l’autre. Son compagnon, de son côté, présenta son sexe à la bouche de Gladys. Elle regarda Justin, et ne vit qu’un regard bienveillant et encourageant. Elle l’emboucha en un instant, et s’appliqua autant que lui permettait le membre qui lui fouillait le ventre et la langue qui lui stimulait le petit trou.S’estimant suffisamment lubrifié, l’homme se retira de la bouche de Gladys, se plaça derrière elle et sembla vouloir la sodomiser. Elle prononça les premières paroles depuis le début de leurs ébats :— Il va me prendre, mon chéri !— Oui mon amour. C’est trop bon.Il enfonça son gros membre d’une traite dans son anus. Justin le sentait à travers la fine paroi qui séparait des deux orifices. Dilatée comme elle l’était, elle n’avait eu aucun mal à accueillir un chibre, malgré sa taille.Justin et l’homme entamèrent alors un va-et-vient synchronisé. À chaque fois que les bites s’enfonçaient simultanément dans son vagin et son cul, Gladys se sentait tellement pleine qu’elle menaça de hurler. Elle ne s’en rendait d’ailleurs pas compte, mais elle hurlait littéralement de plaisir. Elle les encourageait :— Oui c’est bon, j’en veux encore.De son côté, la femme se masturbait devant le spectacle : un homme sur le dos, surmonté d’une femme aux seins fermes, elle-même montée d’un autre homme. Dans son entrejambe, deux sexes enfichés s’activant de concert.Gladys ne tarda pas à sentir monter l’orgasme. Elle en eut deux coup sur coup, puis un troisième alors que les hommes accéléraient leur mouvement, sentant eux aussi venir leur semence. L’homme se retira pour jouir sur son dos, tandis que Justin s’enfonça jusqu’à la garde au moment suprême.Ils s’effondrèrent tous les trois sur le sol, reprenant leur souffle pendant plusieurs minutes. La femme et l’homme se rhabillèrent rapidement en silence. Avant de partir, elle déposa un baiser tendre sur la bouche de Justin puis de Gladys. Lui adressa un sourire complice à Justin, semblant le remercier d’avoir partagé sa femme. Il caressa de manière délicate la tête de Gladys, déposa un tendre baiser au creux de son oreille, puis ils partirent.Ils laissèrent passer quelques minutes encore, avant de s’habiller à leur tour et de regagner leur place. Ils furent soulagés de voir que les sièges de l’autre côté de la rangée étaient vides. Pour eux, ce moment hors du temps devait rester à jamais mystérieux.Justin se retourna finalement vers sa femme :— Je t’avais bien dit que le Madison Square Garden te ferait vivre des émotions comme jamais…Et il l’embrassa amoureusement.