Ce matin, elle s’est réveillée, le feu entre les cuisses. Ça arrive. Ça lui arrive souvent. Mais à vingt ans, ce sont des états qui ne devraient pas alarmer. Pas de fac aujourd’hui décide-t-elle en se levant, nue, de son lit. Il y a une glace, elle se regarde dedans, elle observe son corps lisse, entièrement lisse. Passe une main sur ses seins lourds, une autre sur son ventre plat. Elle se trouve parfaitement faite mais elle sait que son visage n’est pas à l’avenant, elle l’aurait voulu plus fin, plus subtil, il lui paraît commun. Il fait chaud dehors. Et par la fenêtre ouverte, un petit vent brûlant s’engouffre, longe son cul tandis qu’elle se lève, s’engouffre avant elle dans la salle de bain.Elle passe un simple tee-shirt. Puis vient s’installer devant son PC. Trop vieux. Qui grésille. Site de rencontres. Elle pourrait faire autrement. Les hommes, il suffit de les regarder d’une certaine façon et ils vous baiseraient contre un arbre. Mais elle cherche un genre particulier, un qui la fait fantasmer depuis qu’elle est en âge de passer sa main sur sa chatte et d’écarter les cuisses en imaginant quelque chose de bien raide la défoncer par les deux trous. Mais elle est bien plus prude que ses fantasmes. Ça pourrait être plus simple. La fac pourrait être un terrain de jeu propice mais les gens de son âge l’ennuient. C’est bon pour se marier ces garçons-là, pas pour le sexe.Elle tape, jeune fille cherche homme mûr, bonne cinquantaine, très vicieux. Elle aimerait ajouter, belle queue, mais se retient. Ça devrait aller de soi. Et tandis que les profils défilent sous ses yeux, elle s’étire d’excitation. Il y a de quoi faire. Les quinquas sont matinaux. Elle n’est pas du genre à refuser une aventure mais elle n’a pas tant d’aventures que ça. Il y a un mois que personne ne l’a baisée. Elle est exigeante. D’une certaine façon. Elle converse, demande des descriptions. Petit à petit son choix se réduit considérablement. Jusqu’à ce qu’un des profils se détache.Paul, 57 ans, 1m80, 87 kilos. Dégarni. Viril. Bonne situation semble-t-il puisqu’il habite dans le 16ème. Peut recevoir. Cherche une petite salope bien soumise. Pas original mais terriblement excitant. Il demande, comment es-tu physiquement ? Brune, 1m67, 55 kilos, belle poitrine. Epilée ? Oui. Très bien. Il demande encore, tu as envie qu’un mec mûr te possède ? Elle tape, oui. Il insiste, tu aimes les belles queues ? Elle n’a pas osé encore demander, cette question lui brûle les lèvres pourtant, oui ! Les mots crus apparaissent sur l’écran. Tu vas être servie, salope. Appelle-moi maintenant.Elle a le cœur qui bat. D’habitude, elle s’allonge sur son lit, ouvre ses cuisses et se fait jouir ainsi. Sans aller plus loin. Fantasme toujours. Mais aujourd’hui, vraiment, une vraie petite chienne. Elle compose le numéro, prend soin de masquer le sien. Inconnu. Danger. Au moment où il décroche et que sa voix grave passe le combiné, elle mouille déjà. Et sa voix tremble même légèrement quand elle dit :— Bonjour, c’est Léa.— Alors, tu cherches un homme plus âgé ?— Oui— Pourquoi ?Sa voix est enveloppante.— Je trouve ça plus excitant.— Tu aimes être dominée ? C’est ce qui t’excite dans le rapport avec des hommes plus âgés ?— Oui. Je me sens plus…— Plus quoi ?— Plus femelle.— Tu m’excites Léa. Je te parle, j’aime ta voix et ma queue est déjà bien raide. Tu vas aimer l’avoir dans ta bouche. J’aime que ma partenaire m’obéisse. J’aime la regarder jouir pendant que je l’insulte. C’est ce que tu veux ? Un mec vicieux avec une grosse queue ? Tu feras ce que je veux ?— Oui, souffle-t-elle.Il se passe quelque chose. Cet homme, rien qu’avec ses mots et sa voix chaude, lui noue le ventre. Mais il y a quelque chose d’âpre derrière les phrases. Elle a envie de lui.— Tu vas venir chez moi. Le plus vite possible. Si tu transpires un peu, j’aime beaucoup ça. Tu porteras une jupe courte et un chemisier sans rien en dessous. Je veux que les mecs te regardent dans la rue. Je veux que tu aies peur et que ta peur t’excite. Tu ne porteras rien sous ta jupe. Dans l’ascenseur, tu ouvriras ton chemisier. Et tu sonneras à ma porte les seins offerts. C’est un immeuble cossu et calme, tu ne devrais pas croiser beaucoup de monde. J’ai les couilles pleines Léa, grosses et pleines. Je n’ai pas baisé depuis un bon moment. Je vais bien profiter de toi.Elle sent le regard des hommes. Les pointes de ses seins s’invitent sous le tissu fin du chemisier, le tendent. Elle imagine les mains de Paul sur son ventre. Elle a rarement franchi le pas de ces rencontres virtuelles. C’est du fantasme. Mais il fait chaud, si chaud qu’elle transpire déjà. C’est un beau quartier. Elle ignore pourquoi elle associe son excitation à l’argent et à l’âge. Mais c’est ce qui l’excite. Se faire baiser dans un bel appartement lui plaît.Elle est nerveuse, terriblement excitée. Elle sonne à l’interphone, il ouvre. L’ascenseur et ses grilles années folles. Elle entre. Se place face à la glace et déboutonne son chemisier, l’entrouvre pour libérer ses seins. Son ventre se serre. Elle est excitée par sa propre image et par ce que son corps va subir. Aujourd’hui elle va tout lui donner. Quelqu’un descend les escaliers, elle rougit.Elle sonne à la porte. Il n’y a que deux appartements. Ses talons s’enfoncent dans un épais tapis. Elle entend du bruit. On ouvre. Il est comme il l’avait dit. Grand, lourd, dégarni, des lunettes, des yeux bleus, pas très beau mais le genre qu’elle aime. Il porte un pantalon de toile léger qui laisse deviner une belle bosse, déjà. Il la regarde.Il la colle dans le couloir sombre. Ecarte son chemisier pour admirer ses seins. Tu es magnifique, petite salope. C’est mon jour de chance. Il colle sa langue à son oreille, c’est désagréable et terriblement excitant en même temps. Je vais te baiser toute la journée. Elle a peur soudain, tente de détourner la tête.— Petite pute, tu ne comptes pas venir ici et repartir tout de suite, non. Embrasse-moi.Elle s’exécute, puis se lâche et enroule sa langue autour de la sienne. Il embrasse bien. Sa main descendue sous la jupe se repaît de sa chatte lisse. Il enlève le chemisier et la force à s’agenouiller. Baisse sa braguette et sort sa queue. Grosse, odorante, longue. Elle joue avec le prépuce. Du liquide clair coule sur ses lèvres.Elle gobe le gland, enfonce sa tige dans sa gorge. Il la force, elle le prend au plus profond. Il pétrit ses seins avec force, la traite de tous les noms. Au bout d’un très long moment, alors qu’elle lèche ses énormes couilles, il dit :— Arrête, je vais jouir dans ta bouche mais pas tout de suite. Suis-moi.Il l’amène dans une petite pièce. Riche. Il a enlevé son pantalon. Elle a remonté sa jupe. Il y un bureau sur lequel elle s’allonge sans qu’il le demande. Ainsi offerte, sur le dos, elle écarte les cuisses. Il sourit, crache sur sa bite, humidifie bien le gland. Puis entreprend de lui lécher la chatte. Sa langue tourne sur son clitoris, il soulève ses jambes, glisse sur son anus bien lisse. Il entre un doigt puis deux autres. Elle gémit.— Petite garce, je vais te défoncer le cul.Il place sa queue devant son petit trou, hésite et finalement lui prend la chatte. Il est endurant. Il transpire. Mordille la pointe de ses seins. L’oblige à embrasser ses tétons. Il râle, crache sur sa chatte. Il la lime pendant une bonne demi-heure, elle n’en peut plus de crier.— Tu seras ma salope régulière maintenant, lui glisse-t-il à l’oreille, tu le veux petite garce ?Elle dit « oui, oui » et elle contracte ses muscles autour de sa grosse queue.— Je vais te baiser avec quelques amis. Tu viendras quand j’en aurai envie. Le matin tu me réveilleras avec ta bouche.Elle dit encore :— Oui, je t’appartiens.Il sort sa queue de sa chatte et lentement entre dans son cul. Elle est étroite, ne l’a fait qu’une seule fois mais avec sa mouille, il la lubrifie, crache encore sur son petit trou et finit par rentrer en douceur. Elle a peur mais a trop envie qu’il la baise par là. Cet homme, il pourrait lui faire faire n’importe quoi. Pourquoi ? Il la bourre, lui défonce le cul pendant un long moment, elle hurle de douleur et de plaisir. On ne l’a jamais baisée comme ça. Elle lui dit. Ça le rend dingue, il lui remplit le cul complètement. Elle jouit fort, l’embrasse comme une morte de faim puis il se retire.— Mets-toi à genoux ma pute.Elle le prend dans sa bouche, pompe, pompe encore. Elle sent des saccades brûlantes. Il gémit fort.Du sperme épais coule dans sa gorge. Beaucoup, il n’a pas baisé depuis longtemps. Quand elle lui a nettoyé complètement la queue, il lui dit de l’attendre dans son lit. La journée est encore longue.