Histoire coquine :Dimanche soir, 20H, LEA frappe Ă notre porte.
C’est moi qui lui ouvre et l’accueille avec plaisir.
Elle m’embrasse doucement sur la bouche et me tend une bouteille de vin rouge.
Je l’invite Ă venir s’installer dans le salon ou j’avais dĂ©jĂ dressĂ© l’apĂ©ritif.
Elle est encore plus sexy que d’habitude, joli chemisier blanc, jupe noire au dessus du genou, bas noirs et bottines Ă talons d’au moins 6 cm.
Sexy et classe, je suppose qu’elle a mis un porte-jarretelles.
Maquillage léger qui met en avant ses jolis yeux bleus.
Personnellement, je me suis aussi légèrement maquillée.
Je ne porte qu’une des chemises blanche de mon mari (assez longue, elle m’arrive Ă mi-cuisses) ainsi que des bottes beige en peau (mon mari adore lorsque je suis habillĂ©e de cette façon, il peut me caresser ou me prendre très facilement).
Comme Ă mon habitude, aucun sous-vĂŞtement mis Ă part des socquettes dans les bottes.
Pierre est dans un des fauteuils, LEA s’installe sur le canapĂ©.
Je fais le service, Ă savoir Vodka ananas pour elle (je me suis souvenue qu’elle aimait ça), Whisky pour Pierre et Vodka orange pour moi.
En déposant son verre sur la table basse devant elle, je sens ses doigts qui caressent déjà mes cuisses.
Je m’assois juste Ă cĂ´tĂ© d’elle et nous commençons Ă discuter.
Curieuse, je la questionne sur sa rupture avec David.
C’est tout bĂŞte, elle s’est lassĂ©e.
Cela ne nous Ă©tonne pas du tout, elle est trop fougueuse, trop aventureuse pour une relation durable.
Pierre lui pose beaucoup de questions sans intĂ©rĂŞt, je le regarde en souriant tout en sachant qu’il fait « juste durer le plaisir ».
Nous venons de terminer le second verre lorsque LEA nous dit qu’elle n’en peut plus d’attendre. Elle se lève pour rĂ©cupĂ©rer dans son sac un jeu Ă©rotique qu’elle a amenĂ© pour cette soirĂ©e.
« Je suis surexcitĂ©e depuis hier midi » nous dit-elle, « on peut jouer tout de suite ? Je ne tiens plus, j’ai envie de vous deux en mĂŞme temps !
Par contre, j’ai besoin que ça soit complet, je veux que ton mari me prenne, m’encule, me baise vraiment.
Si tu n’es pas d’accord, j’ai aussi prĂ©vu un gode ceinture et c’est toi qui me prendra » dit-elle en me regardant.
J’ai du faire une drĂ´le de tĂŞte car mon mari s’Ă©touffe presque de rire en voyant l’expression sur mon visage.
Il lui rĂ©pond aussitĂ´t : « ne t’inquiète pas, nous aussi sommes aussi excitĂ©s que toi.
J’espère vraiment que ma femme va dire non car la voir porter un gode ceinture et t’enculer avec pendant que tu me suces, je vote pour ! » et il se remet Ă rire…
Elle rĂ©torque aussitĂ´t : « l’un n’empĂŞche pas l’autre. ».
Je suis totalement « soufflée », je ne trouve même pas mes mots.
Mon mari me connaissant par coeur, il me demande de le rejoindre dans la cuisine pour que nous parlions.
« Mon coeur, si jamais nous devons passer ce cap, c’est la bonne personne » me dit-il. « Elle te plait autant qu’Ă moi, on ne risque rien Ă essayer ».
De toute façon, tu peux dire Stop quand tu veux, je te laisse décider. Si jamais tu trouves ça « trop », on peut aussi arrêter cette soirée maintenant.
Dans tous les cas, c’est toi que j’aime, tu le sais et il ne faut surtout pas que cela pèse dans ta dĂ©cision ».
Sur ces belles paroles, il m’embrasse et attend une rĂ©ponse (tout comme LEA d’ailleurs qui est restĂ©e dans le salon).
Il rajoute juste une chose : « que veux-tu toi ? »
Il a raison, si je me pose la question, j’en veux plus et j’ai une totale confiance en lui.
Je l’embrasse en lui disant que je suis d’accord pour tout.
Nous retournons dans le salon et je demande Ă LEA de me montrer Ă quoi ressemble le gode en question.
Elle nous montre un sexe en caoutchouc violet qui doit faire environ 20 cm. A l’autre extrĂ©mitĂ© du gland il y a une sorte de harnachement qui passe Ă la fois entre les cuisses et autour du bassin.
Elle nous dit que si on commence à jouer, je vais vite comprendre le fonctionnement de tout ça.
Pendant que je nous ressers un verre, elle dĂ©ploie son jeu sur la table basse. Cela ressemble Ă un « Trivial Poursuite ». On avance autour d’une carte avec des dĂ©s.
ForcĂ©ment les questions sont assez difficiles et il n’y a que deux couleurs pour les erreurs correspondants à « Soft » ou « Hard ». Quelques cases/cartes Joker aussi.
Elle perd la première, volontairement je suppose. Carte « soft » : elle doit enlever un vĂŞtement mais c’est aux autres de choisir lequel.
Pierre me laisse faire et je demande Ă LEA de retirer sa jupe.
Elle se lève se met face à moi puis me tourne le dos en me montrant le début de la fermeture éclair.
Je m’empresse de la descendre ainsi que sa jupe pour redĂ©couvrir ses très jolies fesses blanches, bien rebondies.
Je ne peux m’empĂŞcher de caresser et d’embrasser ses rondeurs si intimes et si douces.
En effet, elle porte bien un porte-jarretelles noir en dentelle et comme moi, elle n’a pas d’autre sous-vĂŞtement.
Elle se remet face Ă moi, attrape ma main droite et la pose sur son sexe complètement trempĂ©. Elle veut que je ressente son niveau d’excitation, j’ai bien compris.
Nous recommençons Ă jouer mais pour simplifier les choses je demande Ă LEA si elle ne veut pas directement sucer mon mari. Je me doute qu’il est en Ă©rection depuis longtemps, son sexe emprisonnĂ© dans son boxer et surtout dans son jean doit commencer Ă lui faire mal.
Il ne s’est pas passĂ© 10 secondes avant qu’elle n’ait la queue de mon homme dans sa bouche.
Elle le caresse doucement, le lèche avec gourmandise…
Elle s’arrĂŞte pour dire que ça fait des mois qu’elle attendait ça, goĂ»ter Ă nouveau Ă ce sexe si doux, si particulier.
Il faut croire que je suis mariĂ©e avec un extra terrestre…
Elle me demande si elle a le droit d’aller jusqu’au bout, comme si je devais dĂ©cider.
Je ne réponds même pas, surtout en voyant le plaisir que les deux ressentent.
Elle varie entre mordillements, caresses lentes du bout des doigts, titillements du frein avec sa langue et rĂ©gulièrement elle l’enfonce jusqu’au fond de sa gorge. Du grand Art…
Aucun homme ne peut tenir plus de quelques instants si elle dĂ©cide de s’en occuper. Ni aucune femme d’ailleurs.
Moins de cinq minutes plus tard il jouit dans sa bouche et je suis sur qu’elle aussi vu comment elle gĂ©mit.
Elle se retourne vers moi en demandant Ă Pierre de se lever pour que je le remplace sur le fauteuil.
Je m’exĂ©cute et aussitĂ´t sa langue me fouille, ses doigts m’explorent. Le sperme de mon mari coule sur la commissure de ses lèvres mais on ne peut plus l’arrĂŞter.
Je m’abandonne totalement pour jouir dans sa bouche encore plus vite que mon homme ne l’a fait.
Cette jeune femme est une tornade, un gouffre de plaisirs…
Après nous avoir fait jouir l’un comme l’autre en moins d’un quart d’heure, elle me remontre le gode, le suce quelques secondes et nous dit : « On mange maintenant pour reprendre un peu de force ? Ensuite je vais mettre en place le gode sur ta femme et je veux qu’elle me prenne pendant que je te suce Ă nouveau. Cela vous convient ? Ou alors Pierre me prend directement, comme vous voulez ».
Pour l’instant nous passons Ă table, et elle n’a bien sur pas remis sa jupe.
Pas d’entrĂ©e, juste un gratin de Macaronis « maison » que je rĂ©ussi parfaitement.
Nous mangeons tous avec plaisir en dĂ©gustant la très bonne bouteille qu’avait ramenĂ© LEA.
Pour le dessert, des gâteaux de pâtisserie au gout de chacun.
A un moment, je me lève pour aller me laver les mains et chercher une autre serviette mais en revenant, plus de LEA !
Je demande Ă Pierre ou elle est passĂ©e et il me fait juste un signe pour m’indiquer qu’elle est sous la table en train de le sucer encore une fois.
Je me mets Ă rire, m’agenouille sous la table Ă cĂ´tĂ© d’elle et pour la première fois je partage le sexe de mon mari avec cette insatiable petite gourmande.
Pierre (sentant surement qu’il allait jouir Ă nouveau) se relève, nous empĂŞchant de terminer ce que nous avons commencĂ©.
Il sait qu’il n’est pas inĂ©puisable et surtout il ne veut pas en rester lĂ .
Nous voilĂ repartit dans le salon et je demande une trĂŞve, le temps de fumer une cigarette.
LEA est déjà en train de manipuler le gode, on dirait un animal qui attend son jouet.
Elle l’enfile pour me montrer vraiment comment c’est. Elle arrive vers moi en prĂ©sentant le « gland » du gode tout proche de mon visage.
Je le repousse en souriant, disant que j’avais dĂ©jĂ tout ce qu’il fallait.
La cigarette est terminĂ©e, LEA est surexcitĂ©e, moi aussi et Pierre n’en parlons mĂŞme pas !
« Ton mari peut m’enculer maintenant, lĂ par terre, juste devant toi ? J’aimerai savoir si un sexe aussi doux change quelque chose lors d’une pĂ©nĂ©tration. »
Pierre me regarde, attendant ma réaction. Il me demande de le rejoindre dans la cuisine.
« Nous y sommes » me dit-il. J’aimerais le faire si tu es Ă cĂ´tĂ© de moi et que tu guides ma queue entre ses fesses. Ou alors je t’aide Ă enfiler ce fameux gode ceinture. Comme tu veux. »
En quelques secondes, je choisi la première solution et nous retournons près de LEA.
Elle est assise sur le canapĂ© et je me mets Ă califourchon sur elle pour l’embrasser Ă pleine bouche.
Je lui mords la joue en lui murmurant Ă l’oreille : « tu as gagnĂ© petite cochonne mais crois-moi on va te fatiguer et te faire jouir de nombreuses fois ».
Sans plus attendre elle demande Ă mon mari comment s’installer.
Il lui propose de se mettre à quatre pattes au milieu du canapé, laissant ainsi de la place devant et derrière elle.
La voila en place attendant ce moment avec une impatience Ă©vidente.
Pierre se glisse derrière elle sur le canapé et me demande de venir le rejoindre.
Il prend ma main gauche, la pose sur son sexe et me laisse faire.
Je me penche pour le sucer quelques secondes, comme pour retarder l’inĂ©vitable.
Je fais glisser son gland entre les lèvres de LEA (comme je le fais habituellement pour moi) et le place Ă l’entrĂ©e de ses fesses, lĂ ou elle veut qu’il entre).
Je l’embrasse, lui souris tout en lui pinçant un peu l’Ă©paule, puis je viens m’installer sur le canapĂ© juste devant LEA en ouvrant largement mes cuisses.
Elle ne perd pas une seconde, sa langue si douce me fait déjà frissonner.
Je suppose que Pierre a commencĂ© Ă la pĂ©nĂ©trer car elle se met Ă mordre l’intĂ©rieur mes cuisses.
Plus aucun doute possible, elle ne fait que gémir et me mordre de plus en plus fort.
Quelques instants plus tard, elle jouit si fort qu’elle ne se contrĂ´le plus, ses ongles s’enfoncent dans ma chair, tout en haut de mes cuisses.
La douleur est vive, je plaque sa tête contre mon sexe et elle reprend son cunni en faisant glisser ses doigts entre mes cuisses voulant que moi aussi je jouisse très vite.
Mon mari me fixe pendant qu’il continue ses va et vient, il attend le moment ou je vais « venir » pour enfin s’abandonner.
J’arrĂŞte de lutter, un immense plaisir m’envahit.
Un Orgasme fort, long, diffĂ©rent de d’habitude. J’entends les gĂ©missements de Pierre et de LEA se mĂ©langer aux miens comme dans un tourbillon sonore, je suis Ă la limite de l’Ă©vanouissement.
Je reviens doucement Ă la « rĂ©alité » pour aller me blottir dans les bras de mon mari, c’Ă©tait un moment totalement magique, pas d’autre mot.LEA semble plus calme, elle nous embrasse tour Ă tour, s’assied sur le canapĂ© et allume une cigarette qu’elle me tend.
Elle nous regarde et nous dit : « Merci, c’Ă©tait juste fabuleux ».
Pierre lui sourit, m’embrasse et ajoute : « Il ne faut jamais dire merci sauf si bien sur tu parlais du dĂ©licieux gratin que nous avons dĂ©gustĂ© tout Ă l’heure, mais c’est du aux talents bien particuliers de ma femme. »
Il n’y a rien Ă faire, il est et restera l’homme de ma vie !
Nous avons terminĂ© cette soirĂ©e dans notre chambre et dans le noir…
LEA est repartie le lendemain en dĂ©but d’après-midi, presque triste de retourner Ă sa vie quotidienne.
Je la soupçonne de tomber sous le charme de mon mari mais il ne faut pas confondre plaisirs charnels et sentiments…Partagez ce rĂ©cit coquin : Tweeter