Je rentrais de vacances avec ma copine Angeline en train. Angeline et moi sommes ensembles depuis plusieurs années, et nous sommes toujours aussi amoureux l’un de l’autre. Nous avons beaucoup de goûts et de fantasmes en commun, et n’hésitons jamais à satisfaire les uns comme les autres. Angeline est brune avec les cheveux coupés courts, de jolis yeux noisettes, des petits seins en obus, et de superbes jambes bien galbées. Quant à moi, je suis chatain, de taille moyenne mais assez large d’épaules malgré tout. Nous étions seuls dans le compartiment, et nous nous préparions à en profiter car le voyage allait être plutôt long; Angeline avait une jolie petite jupe noire et un chemisier blanc qui me montraient suffisamment d’elle pour me donner envie d’en voir plus. J’étais de mon côté en T-shirt avec un pantalon de toile.Malheureusment, quelques instants avant que le train ne s’ébranle, un autre couple est entré dans notre compartiment. Ils étaient dans le milieu de la trentaine, soit une bonne décennie de plus que nous; l’homme était blond, avec une mâchoire carrée, et la femme très brune, avec un type oriental très léger. Elle portait un tailleur mauve qui mettaient bien en valeur ses jolies formes que je ne pus m’empêcher d’admirer. Tous deux portaient un sac de voyage. Ils nous ont salués et se sont assis en face de nous. Bon! Visiblement, Angeline et moi allions devoir attendre l’arrivée pour satisfaire notre désir mutuel…Le train était parti depuis une vingtaine de minutes, et Angeline et moi nous étions contentés d’échanger quelques caresses et baisers, lorsque lors d’une secousse, l’un des sacs de nos compagnons de voyage glissa de la banquette et tomba à nos pieds, répandant une partie de son contenu. Nous les avons aussitôt aidés à ramasser, mais je ne pus m’empêcher de remarquer l’uns des objets tombé du sac. Ça ressemblait à un croisement entre une calculette et une lampe de poche à plusieurs couleurs. L’homme a remarqué que j’observais l’objet d’un air surpris et a remarqué :— Ah…. vous êtes intrigué par notre petite invention…— Invention ?— Oui… ceci est le fruit de notre collaboration… un outil révolutionnaire dans le traitement des traumatismes mentaux.— Ah bon ? Comment ça, a demandé Angeline.— Nous sommes tous deux chercheurs en psychologie, a répondu la femme. Cet instrument est le résultat de plusieurs années de recherche sur les réflexes mentaux neurologiques.Nous avons poursuivi la conversation, car Angeline et moi sommes assez intéressés par les évolutions technologiques. Ils nous ont expliqués que cet appareil, en envoyant des ondes cohérentes dans le cerveau à travers l’œil, pouvait endormir certaines parties du cerveau, ce qui pouvait par exemple permettre de faire disparaître le souvenir de traumatismes, ou encore supprimer certains comportements.— Voyez-vous, nous expliquaient-il, certains criminels sont atteints d’un trouble qui se manifeste par une envie répétée de tuer ou faire souffrir. Un traitement prolongé pourrait faire disparaître cette envie.— Mais, fit remarquer Angeline, ceci pourrait être mal utilisé. Par exemple, vous pourriez faire disparaître l’envie de manger à quelqu’un, et le faire mourir de faim sans qu’il s’en aperçoive ?— C’est un risque en effet… mais comme toujours, un traitement peut être utilisé à mauvais escient.Cependant, il faut plusieurs expositions pour provoquer un effet définitif… une simple exposition à notre appareil n’aurait pas un effet prolongé.— Eh bien dites-moi, mais si ça marche, c’est terrible, votre appareil, ai-je dit. Vous pourriez forcer les gens à faire toutes sortes d’excentricités sans qu’ils s’en aperçoivent!— Ah certainement, a dit l’homme. Il est possible par exemple de supprimer certains interdits, comme par exemple celui de porter des habits! Imaginez un congrès scientifique où tout le monde se déshabille et personne n’y voit rien de mal!Là-dessus nous avons tous éclaté de rire, puis l’homme a dit quelque chose à voix basse à sa collègue, qui a pris un air faussement choqué, puis a fait non de la tête en rougissant. Angeline et moi avons profité de leur conciliabule pour échanger un petit bisou coquin. C’est l’homme qui a repris la parole :— Cela vous intéresserait-il de tester notre appareil ?J’ai vu la femme faire un geste, puis un sourire a traversé son visage et elle m’a regardé de façon étrange.— Heu… vous voulez dire, nous faire disparaître des souvenirs, ou un truc comme ça ?— Nous avons toujours besoin de tester et recalibrer notre appareil. Votre aide pourrait nous être utile… et nous vous assurons que les effets sont à court terme.— Mais vous allez faire quoi ? Nous faire oublier qu’il faut s’habiller ?, a plaisanté Angeline.— Nous vous proposons ceci : nous vous soumettons à l’appareil pour supprimer temporairement certains de vos comportements… et vous essayez de deviner lesquels.On s’est regardés avec Angeline. Je savais qu’elle aussi était à demi sceptique au sujet de cette méthode… mais que comme moi elle avait envie de vérifier ce qu’il en était. Nous avons fini par accepter.— Très bien, a dit l’homme en sortant un autre appareil identique de son sac. Si vous le permettez, je vais opérer sur votre amie, et ma consœur va agir sur vous.Nous avons donc changé de place, je me suis retrouvé à côté de la femme, tandis que l’homme s’installait à côté d’Angeline. Tous deux ont pointé leur appareil dans nos yeux en nous disant de ne pas bouger. Il y a eu deux ou trois flashes, et j’ai eu une sensation bizarre, comme si mon cerveau me démangeait. Et au bout de quelques secondes, les scientifiques rangeaient leurs appareils.— Donc, ai-je dit, maintenant, vous avez modifié notre comportement ?— Oui, a dit l’homme. Très exactement, nous avons supprimé juste deux composantes de vos interdits et réflexes.— Déjà, a fait Angeline, nous sommes toujours habillés, donc ce n’est pas ça que vous avez supprimé.— Attention, a dit la femme. La suppression de votre comportement ne devrait pas vous sembler anormale.— Non, mais de toute façon, Angeline a raison : nous sommes habillés, et vous aussi. Donc, nous avons les mêmes conventions que vous de ce côté.— Bien observé, a dit l’homme en posant sa main sur le genou d’Angeline.— Voyons… j’ai toujours ma montre, ai-je dit en vérifiant.— Moi aussi, a confirmé Angeline, tandis que la main commençait à remonter le long de sa cuisse. Et nos bagages sont toujours dans le porte-bagage.A ce moment, j’ai senti la main de la femme se poser sur mon épaule et commencer à me caresser délicatement la poitrine.— Voyons… nous discutons normalement ? Angeline, tu n’as pas l’impression que je parle différemment de l’habitude ?— Nn non, a dit Angeline, avec un léger temps d’arrêt lorsque la main de l’homme disparut sous sa jupe. Remarque, ça, on ne s’en apercevrait pas, a-t-elle ajouté en reserrant un peu les jambes.— Mais nous entendons comment les chercheurs parlent et rien ne nous semble étrange. À moins que…— Non, m’a dit la femme, qui avait passé la main sous mon T-shirt et la promenait sur mon torse, me caressant délicatement les pectoraux et provoquant une lente érection de mon têton. Nous n’imitons pas ce que nous vous avons retiré.Je réfléchissais. Qu’est-ce qu’ils avaient bien pu retirer de notre comportement, et dont on ne s’aperçoive pas ? Je voyais Angeline arborer le même air perplexe, tandis que la main de son voisin s’affairait le long de sa cuisse, remontant jusqu’au genou et replongeant sous sa jupe. Finalement, la main resta là et je vis Angeline desserrer lentement ses genoux.— Attendez, on peut vous poser des questions, non, a demandé Angeline, d’une voix légèrement altérée. Histoire d’avoir quelques pistes ?— Mais bien sûr, a dit la femme, dont la main descendait à présent sur mon ventre.— Bien. Est-ce que l’un de ces comportements concernait un interdit social, comme de s’habiller en public ?— En partie, oui.— Ah! On progresse, a dit Angeline, qui continuait d’écarter lentement les cuisses pour mieux accueillir la main dont je ne pouvais que deviner les actions sous la jupe.— Donc, l’un des deux est un interdit social. Est-ce que l’autre concerne un sens de la propriété, ai-je dit, tandis qu’un léger frisson de plaisir me parcourait, accompagnant la lente descente de la main de la femme vers mon pubis.— Cela peut se formuler comme ça, a dit l’homme.— Génial! On a les deux! Plus qu’à trouver ce que c’est alors! Eh, ça ne va pas, Angeline ?— Si, si, m’a-t-elle dit… c’est juste, que, euh… Monsieur vient de me poser la main…— Appellez-moi Pierre, je vous en prie.— Pierre donc… vient de me poser la main sur ma culotte et me caresse le sexe à travers.— Ah ? Et tu aimes ?— Assez, oui… il me tire sur le slip et me le fait rentrer dans la Aaahh!!Avec un petit cri, Angeline s’est rejetée en arrière et a complètement écarté les cuisses, me laissant nettement voir à présent la main de Pierre plaquée sur son slip, suivant la raie de son sexe à travers l’étoffe qui commençait à s’humidifier.— Ça va ?— Oui, excusez-moi… c’est quand il a touché mon clitoris… et toi, tu aimes bien ce que Madame te fait ?— Anya, voyons, Anya, a dit la femme, qui maintenant avait plongé la main dans mon pantalon et me caressait délicatement tout autour du sexe, ce qui commençait à faire monter mon excitation.— Oui, j’aime bien… Bon, attendez, on était en train de chercher ce que vous avez bien pu modifier dans notre comportement… et ça avait à voir avec des interdits sociaux et la propriété…Une idée a soudain traversé ma tête et j’ai vérifié l’emplacement de mon portefeuille. Non, il était bien là… et je vis Angeline plonger la main dans son sac sans doute pour la même vérification. Mieux valait vérifier… après tout, si leur engin marchait vraiment, ils pouvaient s’en servir pour nous détrousser sans qu’on s’en aperçoive.— Interdit social, voyons… Pierre est en train de me caresser la chatte dans le train… mouais, ça frise l’exhibitionnisme, dites donc!— Euh, Angeline… je ne veux pas dire, mais c’était plus ou moins ce qu’on avait en tête si on avait été seuls dans le compartiment, ça…— Mouais t’as raison… dites, vous pouvez pas nous implanter un souvenir ?— Non, a dit Anya en posant enfin la main sur mon sexe, m’arrachant un sursaut de plaisir. Nous n’ajoutons aucun souvenir.— Ça va bien ? Tu viens de sursauter, m’a demandé Angeline.— Oui oui… c’est juste Anya qui vient de me prendre le sexe… c’est très bon, je suis déjà très dur…— Ah oui ? Ca te plaisait ce qu’elle te faisait ?— Oui… et en plus ça m’excite bien de te voir comme ça… les cuisses bien écartées, avec la culotte toute trempée…— Bon! Assez ri! Faut qu’on trouve qu’est-ce qu’ils nous ont fait! Donc c’est pas le fait qu’on voie pas d’objection à s’envoyer en l’air dans le train… Est-cccccceeeee quhhhhh….La voix d’Angeline se perdit dans un long soupir de jouissance, dont la cause n’était pas dure à trouver : Pierre venait d’écarter sa culotte, et d’enfoncer délicatement un doigt dans sa chatte qui s’ouvrait peu à peu.— Eh bien, Angeline ? Qu’est-ce qui t’arrive ?— Oh rieeen…. c’est Pierre qui vient de m’enfoncer un doigt dans le vagin… et c’est boonnnn….Au même instant, Anya a ouvert ma braguette, et a empoigné mon sexe en pleine érection, le dégageant rapidement du slip. Je me suis affalé dans le fauteuil en écartant les cuisses pour qu’elle ait plus de facilité à me branler.— Aahh… toi aussi t’es assez excitant comme ça, tu sais, m’a dit Angeline avec un regard délicieusement vicieux… avec la bite bien dure bien tendue comme ça devant toi…— Héhéhé… bon, ça n’avance pas le schmilblick ces histoires… oh mais attendez! Ca y est! J’ai compris!!!— Ah bon ?— Mais oui! Vous êtes en train de nous caresser tous les deux, et on est tellement occupés à discuter de ce que vous nous faites qu’on oublie de rechercher ce que vous nous avez fait oublier avec votre appareil!— Non, a dit Anya en se retenant de rire. Nous vous promettons que ce n’est pas ça.— Mmm… on se trompe à ce point pour ça soit si drôle ?— Non, non, vous verrez… de toute façon, quand vous aurez trouvé, l’effet disparaitra.— Mmm… quelque chose sur la propriété et un interdit social… voyons…Je me suis mis à réfléchir. Ce n’était pas entièrement facile, vu qu’Anya continuait de me branler d’une main experte. Elle faisait descendre sa main sur mon sexe, me décallotant complètement à chaque fois, puis la remontait lentement, caressant délicatement le gland dans le mouvement. Un tel traitement aurait déjà du me faire jouir, mais elle s’interrompait toutes les fois qu’elle me sentait au bord de l’orgasme, et me caressait alors les couilles qu’elle avait sorti du slip. En face de moi, Angeline avait les cuisses complètement écartées, et ondulait doucement son bassin au rythme des doigts qui plongeaient dans sa chatte. Sans cesser de masturber ma copine, Pierre avait plongé son autre main dans son chemisier et l’avait rapidement effeuillé, mettant à jour les jolis petits seins d’Angeline qu’il tripotait délicatement.— Quand même, c’est pas facile de se concentrer comme ça, hein, m’a-t-elle lancé entre deux soupirs de plaisir.— Ça tu peux le dire! J’ai l’impression que je vais exploser dans la main d’Anya, c’est trop délicieux comme elle me branle ! Je commence à avoir mal aux couilles tellement j’ai envie d’éjaculer, mais ses caresses sont trop douces pour que j’aie envie d’achever ça!— Tu parles! Regardes, je me suis cambrée en avant pour que les doigts de Pierre me pénètrent le plus possible… ah c’est trop exquis je les sens bien au fond de moi si tu savais comme je mouille c’est délicieux mmmm….— Ce que c’est bon! Finalement c’est aussi bien que si on avait été seuls…En prononçant cette phrase, un léger doute a traversé mon esprit. J’ai vu le visage d’Angeline prendre pendant quelques instants la même expression soucieuse, avant de reprendre son air extatique.— Attends voir, a-t-elle gémi, visiblement très proche de l’orgasme. On voulait faire l’amour dans le train si on avait été seuls… pourquoi il fallait qu’on soie seuls…— Euh…. attends… c’est mieux, seuls, non ? On n’aime pas trop l’exhibitionnisme… et c’est rien que nous deux, non ?J’avais du mal à réfléchir, il me semblait qu’un voile obscurcissait mes pensées… s’ajoutant bien sûr aux sensations de ma queue qui vibrait sous les caresses d’Anya, faisant battre le sang à mes oreilles, comme pour me rappeler que tout mon corps réclamait un orgasme.— Nous deux, nous deux, a balbutié Angeline…. mais on n’est pas seuls, là ? Je veux dire, on fait l’amour… non, attends, on fait pas l’amour, c’est… c’est… c’est un autre homme que toi qui me branle et je… je… oh oui, continuez, s’il vous plait, ne vous arrêtez pas, je vais jouir, c’est bon, je vais jouir…. mais pourquoi est-ce que…Je me sentais au bord de l’orgasme, et je reconnaissais dans la voix d’Angeline qu’elle aussi était à quelques instants de la jouissance. Anya avait décalotté mon gland en entier et en agaçait délicatement la base avec son pouce, tandis que Pierre avait trois doigts enfoncés dans la chatte d’Angeline et les faisait vibrer tout en les déplaçant délicatement d’avant en arrière. Mais malgré tout, quelque chose dans mon cerveau voulait chercher… voulait trouver, malgré les pulsions de jouissance qui agitaient le reste de mon corps.— Je… Angeline… on n’est pas… je veux dire… tu… nous… ils nous ont… attends…. l’échangisme… ôte moi d’un doute… on n’en avait jamais parlé… on ne voulait pas….— Non… tu as raison… oh ouiii…. l’échangisme… on s’était dit que… mais… mais alors….Angeline, qui jusque là était complètement affalée sur le siège, les seins à l’air, les yeux fermés, le visage tordu de plaisir, se redressa brutalement et me regarda les yeux écarquillés. Je devais sans doute avoir le même air, car je venais de réaliser au même instant l’insolite de la situation : depuis une demi-heure, je regardais sans broncher ma copine se faire caresser par un autre homme, tandis que j’acceptais sans problème de me faire branler par une autre femme. Or, Angeline et moi, qui n’hésitions en général pas à nous adonner à nos fantasmes, n’avions jamais été tellement attirés par l’échangisme ou quoi que ce soit du même genre.— C’est ça!! avons nous crié presque en même temps. On ne s’apercevait même pas que vous nous branliez et nous faisiez terriblement plaisir, alors qu’on ne vous connait même pas!— Bravo, a dit Pierre en retirant sa main luisante de la mouille d’Angeline de sa chatte et en abandonnant ses seins, tandis qu’Anya relachait ma queue prête à exploser. Vous avez trouvé la première modification.Involontairement, j’amorçais un mouvement pour retenir la main d’Anya sur mon sexe… et entendis Angeline murmurer « Non… » d’une voix faible. Nos regards se sont croisés. J’aais rarement vu Angeline dans un tel état d’excitation. Ses yeux brillaient de désir, des mèches de cheveux collaient à son front trempé de sueur, je voyais des spasmes traverser son corps; elle était assise avec les cuisses complètement écartées, sa chatte rougie et trempée tendue en avant, les seins à l’air avec les têtons gonflés. Quant à moi, j’avais l’impression de brûler littéralement de désir. J’aurais pu plonger dans les bras d’Angeline et jouir en elle, mais quelque chose me retenait… les sensations que m’avaient procurées Anya étaient si intenses que j’avais presque peur d’avoir à les comparer à ma copine. Finalement, j’ai réussi à balbutier :— Euh… dites voir, l’autre élément de notre comportement que vous avec enlevé… ça concerne aussi le sexe ?— Oui, a dit Angeline, le fait que je meure d’envie que Pierre replonge sa main dans ma chatte et me fasse jouir comme une folle, c’est aussi un coup de votre appareil ?— Non, a dit Anya. Nous pouvons vous assurer que cela ne concerne pas ce point-là. Ce que vous ressentez ne vient que du savoir-faire de Pierre, rien d’autre.Avant même de parler, j’ai vu dans les yeux d’Angeline qu’elle serait d’accord avec moi— Oh puis zut, ai-je dit. Tant pis, finissez nous, on n’en peut plus. Faites nous jouir, vous nous avez rendus à moitié fous tous les deux de toute façon…— Nous sommes bien d’accord que c’est vous qui le demandez…— Oui, oui, dépêchez vous, moi j’en peux pluuuuus…Une vibration s’est propagée dans tout mon être lorsque j’ai senti les doigts délicats d’Anya enserrer à nouveau mon pénis. J’ai fermé les yeux, m’abandonnant entièrement aux sensations divines qui me parcouraient… et qui cessèrent brusquement. Anya m’avait relaché, et en ouvrant les yeux, je pus voir Angeline, l’air également surpris, constater que Pierre avait à nouveau retiré sa main de son sexe.— Puisque vous nous demandez de vous faire quelque chose… vous pouvez peut-être nous rendre la pareille ?En prononçant ces paroles, Pierre venait d’ouvrir son pantalon et de libérer une bite de taille respectable en pleine érection (caresser ma copine avait du quand même lui faire de l’effet). Angeline l’a regardée en balbutiant :— Si je vous branle, vous voudrez bien remettre votre main ? J’ai besoin de votre main, je la veux, je ferais n’importe quoi pour l’avoir à nouveau, je peux ?Leurs mains se sont croisées vers leur sexes respectifs. J’ai regardé Angeline empoigner le gros membre et commencer à le branler doucement, tandis que Pierre replongeait sa main dans sa chatte. J’ai découvert que je venais de poser ma main au creux des cuisses d’Anya, qu’elle était en train d’écarter. Je me suis tourné vers elle :— C’est comme pour Angeline ? Si je vous caresse la chatte, vous voulez bien continuer ? Vos doigts sur ma queue m’excitent vraiment trop…Et j’ai commencé à caresser le sexe d’Anya. Il était épilé, et déjà très humide aussi. J’ai promené mes doigts le long des lèvres, puis j’ai commencé à les plonger dans la vulve pleine de mouille. J’avais l’impression de rêver tant la situation était irréelle : devant moi, Angeline faisait doucement aller et venir sa main le long du membre d’un autre homme qui avait lui même ses doigts profondément enfoncés dans sa chatte, tandis que j’avais moi même la main glissée entre les cuisses d’une femme inconnue qui me branlait divinement bien.— Angeline, c’est fou… c’est délicieux j’ai l’impression que je vais m’envoler… ça m’excite trop, la chatte d’Anya est toute humide, je suis bien au fond, je la caresse comme Pierre te caresse…— Oh oui moi j’aime sa queue elle est grosse elle est dure elle m’excite et ah puis tant pis!Et Angeline s’est abattue comme un arbre foudroyé sur les genoux de Pierre et a englouti toute sa queue d’un seul coup. J’ai cru que ce seul spectacle allait suffir à me faire jouir mais Anya a retiré sa main juste à ce moment, me laissant dans un état d’excitation proche du délire. Les seins d’Angeline étaient pressés contre la cuisse de Pierre, et sa jolie bouche enserrait son sexe, tandis que sa tête montait et descendait le long du membre. Elle ne cessait de pousser de longs grognements étouffés. Pierre avait toujours la main dans la chatte de ma copine et continuait de la branler, mais je voyais que lui aussi commençait à apprécier la fellation de ma copine. Je me suis tourné vers Anya :— Dites voir, c’est quoi l’autre truc… c’est pas ça qui fait qu’Angeline elle suce votre copain et que ça m’excite incroyablement ? Ca me rend littéralement fou de la voir comme ça….— Non, ça n’a rien à voir. Vous donnez votre langue au chat… ou à la chatte ?Elle me regardait en souriant. J’ai réalisé qu’elle me proposait de la lécher… et que j’en avais terriblement envie. J’ai aussitôt plongé la tête entre ses cuisses. Elle avait des bas, et j’ai senti avec délice la fine texture glisser contre mes joues tandis que je me précipitais sur sa chatte que je commençais à lécher avec avidité. Elle avait laché ma queue, mais les grognements d’Angeline suffisaient à maintenir mon excitation. Je savais qu’elle et moi étions dans un état de désir tel que nous pouvions faire à peu près n’importe quoi. Cela nous était déjà arrivé quand nous faisions l’amour ensemble, et nous recherchions ces délicieux moments d’abandon où chacun de nous était si proche de l’orgasme que nous laissions nos fantasmes les plus délirants s’emparer de nous… et où d’ailleurs à peu près n’importe quoi nous semblait être un fantasme. La différence, c’est que cette fois-ci, nous avions atteint cet état en compagnie d’autres personnes… et que maintenant, nous étions tous les deux prêts à faire à peu près n’importe quoi avec eux. Et donc, je me délectais du nectar d’Anya, au gout très différent de celui d’Angeline, plongeant ma langue dans sa chatte, suçant son clitoris gonflé, frottant mes joues contre le haut de ses bas, tandis que ma queue, tendue entre mes cuisses, vibrait comme animée d’une relation propre. Je sentais mon excitation monter du simple fait de la situation – en train de me délecter du sexe d’une autre femme en écoutant ma copine mugir de plaisir, la bouche pleine de la queue d’un autre homme.Enfin, au moment où je me sentais prêt à exploser, Anya a écarté ma tête de sa chatte et m’a dit en se penchant vers moi :— Tu as peut-être envie de me pénetrer, maintenant ?J’ai balbutié quelque chose au travers de la mouille qui me recouvrait les lèvres, puis je me suis relevé. Anya m’a fait me rasseoir, puis s’est levée pour venir sur mes genoux. J’ai pu voir Angeline interrompre sa fellation pour regarder ce qui se passait, puis a soudain relâché la queue de Pierre et s’est relevée en essayant d’assembler une phrase cohérente :— Oh ouiii pénétration Pierre s’il vous plait… je veux…. envie…Elle s’est relevée en tenant sa jupe, chancelant comme si elle était ivre. Son corps était encore animé de spasmes, son visage était tordu dans une expression extatique, la bouche ouverte, les narines pincées, et les yeux mi-clos. Elle est venue devant Pierre, et s’est empalée sur son sexe, à l’instant précis où Anya, s’asseyant lentement sur mes cuisses, guidait mon propre sexe en elle. J’ai senti ma queue s’enfoncer dans son vagin, tandis que je regardais, sans doute avec une expression qui n’avait rien à envier à celle d’Angeline, la chatte de ma jolie copine se distendre pour accueillir le membre étranger. Anya a commencér à onduler des hanches, me soumettant à de nouvelles décharges de plaisir, tandis que Pierre, à coups de bassin, déplaçait son sexe dans celui d’Angeline sans cesser de lui caresser le clitoris. Il se pencha vers elle pour lui demander :— Vous aimez cette situation ?— Oh, a gémi Angeline entre deux cris de plaisir, j’aimerais n’importe quoi, vous m’avez rendue folle avec vos caresses, on ferait n’importe quoi maintenant, mais c’est trop bon, je sens votre queue en moi bien au fond qui bouge puis je vois celle de mon copain dans la chatte de votre amie et il a l’air fou de plaisir, il est tout rouge il a des yeux de bête fauve, il va jouir, oh ce que ça m’excite ohh ouiii c’est bon c’est bon j’aime j’aime trop je deviens folle ta bite à fond oh oui mmmmmmmhhhAngeline et moi avons joui en même temps, hurlant chacun le prénom de l’autre comme nous le faisions à chaque fois. J’ai eu l’impression qu’un spasme immense me saisissait, faisant vibrer mon corps en entier, puis descendait vers mes couilles qui déchargèrent alors toute leur semence à travers ma queue qui elle-même n’était qu’une tige brulante que chaque contraction du vagin d’Anya faisait vibrer en cadence. En face de moi, Angeline s’était raidie dans les bras de Pierre, qui la maintenait d’un bras passé sous sa poitrine tandis que son autre main caressait la chatte écarlate d’Angeline que je voyais vibrer autour du gros sexe qui l’emplissait. Il me sembla rester une éternité à décharger dans Anya, chaque jet faisant écho à un spasme de plaisir d’Angeline. Enfin, l’orgasme s’est achevé, me laissant affalé contre le corps d’Anya, comme paralysé, incapable de faire autre chose que de me délecter de la vue d’Angeline, qui semblait foudroyée sur les genoux de Pierre. Enfin, Anya s’est relevée délicatement, libérant ma queue gluante de sperme et de mouille mêlées qui commençait lentement à débander. Je me suis relevé, contenant le vertige qui m’assaillait, tandis que Pierre séparait délicatement Angeline de lui-même. Nous nous sommes effondrés dans les bras l’un de l’autre, ma queue à moitié molle venant battre contre les cuisses nues d’Angeline dont la jupe n’était pas encore retombée, et nous somme lourdement retombés côte à côte sur la banquette, tandis qu’Anya se relevait pour rejoindre Pierre. J’ai serré Angeline contre moi, sentant ses cuisses nues contre les miennes, et nous nous sommes embrassés longuement, mêlant à notre salive le goût des deux sexes étrangers que nous avions goûté. En face, je devinais vaguement qu’Anya et Pierre étaient en train de s’engager dans des effusions similaires.— C’était bon… c’était si bon… a murmuré Angeline lorsque notre baiser s’arrêta enfin. Il m’a tellement bien branlée au début, alors qu’on ne réalisait pas ce qui se passait, que j’étais devenue folle de désir… j’aurais pu faire n’importe quoi… ça m’excitait même encore plus de me sentir si vulnérable… et même de te voir avec une autre fille ça m’excitait… j’aurais jamais cru…— Tu était belle, Angeline, très belle et trop excitante… ça m’excitait de te voir si près de jouir… et c’est vrai, ça m’excitait de te voir jouir sans moi… à cause d’un autre homme….Nous avons continué comme ça un moment, puis nous sommes décidés à nous rajuster un peu et à reporter notre attention sur nos voisins de compartiments. Ils venaient visiblement de se donner du plaisir mutuel, car ils étaient tous deux un peu plus rouges que tout à l’heure.— Euh, et au fait, c’était quoi la deuxième modification ?— Trois fois rien, a répondu Anya en souriant. Nous avons juste supprimé certains de vos interdits quant au vocabulaire, qui faisaient que vous décriviez par le menu tout ce que vous ressentiez. Que voulez-vous, on aime savoir que le public apprécie…— Et ça va vous servir à recalibrer votre appareil, tout ça? a demandé Angeline d’un ton incrédule.— Mais bien sûr, s’est exclamé Pierre. Mais rien ne nous empêche d’y prendre un peu de plaisir. Voyez-vous… après toutes ces années de travail ensemble, Anya et moi sommes devenus partenaires à plus d’un titre… et nous avons une vie sexuelle assez active, ainsi qu’une certaine expérience. Alors… quand nous le pouvons, nous cherchons à en faire profiter les autres. Vous étiez tellement mignons, tous les deux, que c’était trop tentant…— Vouais. Quand même, c’était pas très moral… vous nous avez ôté des souvenirs pour qu’on se laisse faire…— Ah pardon! Vous étiez tous deux dans un certain état d’excitation lorsque nous somme arrivés. Nous n’avons fait qu’en profiter… et vous remarquerez que nous n’avons profité de votre appareil que pour vous donner du plaisir… vous aviez retrouvé un comportement normal quand nous sommes allés plus loin!On a continué le débat pendant un moment, et ensuite la discussion s’est poursuivie sur des sujets plutôt coquins. C’est qu’ils avaient du savoir-faire, les bougres (on était bien placés pour le savoir…)! Et pas mal de techniques intéressantes à nous décrire… À l’arrivée, on a échangé nos adresses. Ça pouvait être intéressant de connaître des personnes aussi douées, pour apprendre quelques trucs sympas. Et leur appareil pouvait être amusant. Puis….Non. L’échangisme, en temps normal, ça ne nous intéressait pas. Vraiment pas.En temps normal…Cédrixx