Il fait grand jour au réveil de Bernard, mais il est le premier levé. Bernadette dort toujours dans le séjour et l’invitée n’a pas émergé de la chambre d’ami. Il va à la cuisine préparer du thé. Il revient dans le séjour avec un plateau, Ophélie pointe le bout de son joli minois, toujours aussi peu vêtue. À sa décharge, il faut bien reconnaître que ses vêtements étaient restés là. Si elle les avait eus à portée de main, les aurait-elle mis ? Rien n’est moins sûr. Elle fait une bise à Bernard et lui murmure en regardant Bernadette :— Quelle soirée ! Je comprends qu’elle soit encore sur le flanc, elle a beaucoup donné de sa personne hier soir. Vous ne devez pas vous ennuyer tous les deux.En servant le thé, il lui répond :— Comme je te l’ai dit hier soir, c’est une première fois pour beaucoup de choses. Avec des enfants à la maison, ce n’est pas le genre de truc qui se pratique quotidiennement.C’est à ce moment que Bernadette émerge. Elle regarde autour d’elle, ensommeillée, et son regard tombe sur cette fille nue assise devant son mari qui est de dos. Ses yeux s’agrandissent de surprise, elle serre contre sa poitrine la couette. Son mouvement attire l’attention. La fille lui sourit et lance :— Salut. Bien dormi ?Bernard se retourne et vient l’embrasser :— Bonjour, ma chérie. Remise de ta soirée ?Lentement celle-ci lui revient. À ce souvenir elle rougit, osant à peine imaginer le spectacle qu’elle a offert. Qu’est-ce que cette fille doit penser d’elle et Bernard ? Elle voudrait disparaître dans un trou de souris, mais elle se calme et ordonne ses idées. Elle ne va pas faire un complexe devant cette fille qui elle n’en a pas à se promener à poil chez des inconnus de la veille. Il faut assumer ses actes, personne ne l’a obligée. Forte de cette réflexion, elle rejette la couette et s’étire en claironnant :— J’ai dormi comme un loir. Je suis en pleine forme.Elle se lève, se colle à son mari et l’embrasse à pleine bouche, s’approche d’Ophélie et lui effleure les lèvres. Elle se déclare affamée et se jette sur le petit déjeuner. Une fois rassasiée, elle jette un coup d’œil appuyé sur sa toison empoissée et les traînées sur ses cuisses, et de conclure qu’un brin de toilette ne serait pas un luxe. La capacité d’étonnement de Bernard quant aux agissements de sa femme est largement émoussée, aussi la regarde-t-il s’éloigner le postérieur chaloupant, avec plus d’amusement que de surprise.Tandis que Bernard remet un peu d’ordre dans la pièce, Ophélie débarrasse la table du petit déjeuner en faisant remarquer que pour le service elle a de la pratique. Quand elle s’éloigne, Bernard constate qu’elle aussi a un balancement du popotin des plus plaisants. Quand ces dames reviennent, Bernadette est décidée à ne pas laisser l’initiative à cette petite délurée. Mais avant qu’elle n’agisse, cette dernière, le regard fixé sur la pendule, s’exclame :— Il est déjà cette heure-là ! J’ai promis à Maman de déjeuner avec elle à midi. Il faut que j’y aille, je suis déjà en retard.Elle se vêt en un tour de main, ses sous-vêtements quittant l’exil de son sac pour retrouver la place qui est la leur. Au moment des au revoir, elle demande d’une petite voix timide – un comble – si elle pourra venir voir les photos ? Devant son air de petite fille effarouchée, ils éclatent de rire. Bernard lui dit qu’il n’y a pas de problème et ils échangent leurs numéros de téléphone. Elle file. Une fois en tête-à-tête, Bernard ouvre les bras à sa Bernadette qui vient s’y réfugier. Ils échangent un baiser. Il demande :— Que disions-nous hier ? Que l’on était un peu trop plan-plan, que ce serait bien de varier les plaisirs, de mettre un peu de fantaisie ?Elle sourit :— Mission accomplie, mon commandant.— C’est le moins que l’on puisse dire. On a fait très fort. Tu peux dire que tu m’as estomaqué. Que tu sortes les fesses à l’air sous ta jupe, c’était une gentille fantaisie, même si j’ai trouvé que tu étais culottée de ne pas l’être, par contre quand tu es passée sous la table au restaurant pour me pomper, c’était déjà plus corsé. Mais quand tu es rentrée dans le jeu de la serveuse en te faisant tripoter la chatte devant elle et peloter les seins par elle, j’ai cru que je rêvais. Je pensais une fois le restaurant quitté que la folle parenthèse serait refermée et quand le hasard l’a remise sur notre chemin et que tu l’as invitée chez nous pour remettre ça en plus hard, là tu m’as carrément estomaqué.— Je n’en reviens pas moi-même, j’ai du mal à croire que c’est moi qui ai fait tout ça. Au départ, je pensais simplement te provoquer en sortant nue sous ma jupe, sans aller plus loin. Et puis le cocktail, qui était sacrément corsé, m’a rendue un peu euphorique et ton attitude, qui redevenait très raisonnable, m’a incitée à ne pas l’être. Je voulais te faire réagir et après… le train était lancé, je me suis laissé prendre à mon propre jeu. Et toi-même, tu n’as pas beaucoup essayé de m’arrêter. Tu as même poussé à la roue : le caméscope, les bougies, ta main, inviter Ophélie à dormir ici, c’est pas mal non plus.Il rit :— C’est vrai, je plaide coupable.— J’avais beau être un peu pompette…— Pardi, après ce que nous avions bu au restaurant, tu t’es envoyé deux verres de liqueur.— J’avais beau être un peu pompette, quand j’ai vu que tu m’avais enfilé ta main entière ça m’a sciée, et en plus tu avais demandé à Ophélie de filmer !— Mais ça ne t’a pas empêchée de prendre ton pied, et un grand. Au fait, comment ça va de ce côté-là ? Pas trop sensible ?— Non. Je sens bien quelque chose, mais ce n’est même pas une gêne. Et que s’est-il passé après que je me sois endormie ?Bernard lui narre la tentative de renouveler sur Ophélie ce qu’il avait réussi avec elle, l’échec et la bougie en compensation. D’où elle conclut qu’il se dévergonde et qu’il va falloir qu’elle le surveille. Ils discutent encore un peu avant de décider de faire une petite promenade à vélo dans le bois et d’y pique-niquer. Après un petit décrassage, ils dînent tranquillement. Bernard propose d’aller au cinéma, puisque la veille, la séance est passée à la trappe. Bernadette rétorque avec un petit air canaille :— Pourquoi aller au cinéma quand on a un nouveau film à domicile et des photos en prime ?Elle est curieuse de voir ses exploits de la veille. Il acquiesce avec empressement et sort le vidéo-projecteur qui sert habituellement à ses conférences ou aux séances de formation au travail. Par un heureux hasard, il se trouve à la maison et servira pour une fois à des choses un peu plus drôles que d’habitude. Le matériel en place, le spectacle commence et il y a un instant de flottement quand apparaissent les premières images. Elles représentent Isabelle se caressant les seins. Bernard se maudit, il a complètement oublié la séance photo avec elle. Il faut qu’il soit perturbé pour avoir oublié quelque chose, lui qui a une mémoire d’éléphant. Il ne sait trop quel parti prendre, ni comment va réagir Bernadette :— Tu l’as prise en photo !Il explique que l’un des gages était de filmer et photographier les suivants. Il pensait effacer les prises de vue, mais le temps lui avait manqué, il va le faire. Elle l’arrête dans son mouvement pour se lever :— Surtout pas ! L’as-tu aussi filmée ?— Oui.— Nous allons d’abord regarder les photos et films d’Isabelle et après ceux que l’on a pris hier. Ça nous fera deux spectacles pour le prix d’un.L’idée ne l’enthousiasme pas, mais il n’ose refuser. Elle vient s’installer sur ses genoux et l’embrasse dans le cou :— Ne fais pas cette tête-là. Ce ne doit quand même pas être un mauvais souvenir, et puis, ce n’est pas comme si tu ne m’avais rien dit. Allez, fait redémarrer le diaporama.Les images défilent, montrant Isabelle se caressant les seins, ensuite la chatte, puis jouant avec une bougie.— Dis donc, ce n’était pas la première fois que la bougie faisait une visite intime… Est-ce elle ou toi qui a eu l’idée ?— C’est moi, quand elle a tiré le gage de se masturber avec un godemiché. Comme nous n’avions pas ce genre d’article à la maison, j’ai pensé aux bougies comme substitut.— Tu es plein d’idées, ces derniers temps… Il faudra y pourvoir.Devant l’air perplexe de son mari, elle précise :— Ben, à l’absence de gode à la maison : si on veut jouer, il faut le matériel. On ira chercher ça demain.Entendre sa chérie proposer ce genre de chose est une surprise de plus pour Bernard. Les dernières photos passées, Bernadette réclame le film. Tandis que son homme fait les manipulations adéquates, elle se dévêtit en un tour de main, et quand il revient s’asseoir, c’est une femme nue et visiblement plutôt chaude qui vient reprendre place sur ses genoux. Le film démarre doucement. Comme sur les photos, Isabelle se caresse les seins, le sexe. Bernadette commente :— Elle y met de l’ardeur, cette petite.Quand sur les images suivantes, elle voit son tendre époux la sauter en missionnaire, puis en levrette, elle poursuit :— Je vois que tu n’as pas voulu la laisser s’investir seule.Voyant que son mari n’est pas à l’aise, elle le rassure à nouveau :— Allez ! Je t’ai déjà dit que je ne t’en tenais pas rigueur. Nous avons tous deux eu notre moment de faiblesse.— Tu n’en as pas fait un reportage.Elle sent que si elle laisse Bernard se laisser aller à l’auto-flagellation, ils ne sont pas près de s’en sortir. Elle ajoute, pour le rassurer encore plus, même si elle doit s’avouer que ces images où elle voit son mari faire l’amour à une autre ne lui procurent pas une joie sans mélange :— C’est vrai, mais la scène que tu avais surprise te donne des circonstances atténuantes. J’imagine parfaitement le spectacle qu’elle devait offrir. J’aurais dû mettre le holà plus vite. Et puis, voyons le bon côté des choses. Un : ça m’a permis de t’avouer ce qui me pesait sur le cœur depuis sept ans. Deux : nous sommes à égalité. On aurait tous deux préféré qu’il en soit autrement. Mais… (Elle lève les mains l’air de dire faut faire avec…) Et trois : cette mésaventure nous permet de redynamiser certaines choses, ne crois-tu pas ?D’entendre sa femme parler ainsi, Bernard se détend, la serre contre lui, l’embrasse et glisse la main entre ses cuisses qu’elle ouvre sans renâcler, lui permettant ainsi de constater que c’est son minou qui pleure, pas ses yeux. Elle suggère alors qu’il se déshabille aussi, que c’est injuste qu’il ne soit pas à égalité là aussi :— Je vois que la devise de la République t’inspire. Nous prenons d’abord quelques libertés, maintenant nous nous occupons de l’égalité et la fraternisation est en vue.Tout en discourant, il s’exécute. Elle est ravie de le voir retrouver un peu d’humour. Elle reporte son regard vers l’écran, Isabelle s’y sert de la bougie, avec la même hardiesse qu’elle hier. L’action change, Bernard intervient de nouveau, il lèche la chatte d’Isabelle, avant de la faire mettre à quatre pattes. Après une longue préparation, elle le voit s’enfoncer dans le petit trou de la donzelle. Elle ne peut s’empêcher de s’exclamer :— Mais tu l’encules !— Tu as remarqué.Et il explique l’histoire du gage non retiré et ses suites.— Tu veux dire que c’était la première fois qu’elle se faisait…— Enculer. Oui.— Ça n’a pas l’air d’être trop difficile. J’avais entendu dire que ce pouvait être délicat, surtout la première fois.Fascinée, elle regarde la douce Isabelle se faire sodomiser, d’abord à quatre pattes, puis venant elle-même s’empaler sur Bernard allongé et elle réussit à prendre du plaisir, en s’aidant de la main, il est vrai. Songeuse, elle dit :— Il va falloir y remédier.— À quoi ?— À ça. Nous n’avons jamais essayé, tous les deux.— Je n’ai jamais pensé à te le proposer.— Pourquoi ?— Je ne sais pas. Je pensais que ça ne t’aurait pas branché de te faire sodomiser. Et toi, pourquoi ne l’as-tu pas proposé ?— Ça ne m’était pas venu à l’idée non plus avant ce soir. Peut-être parce que j’avais entendu dire que ça pouvait être désagréable. Bon, si on passait à l’action ?— Maintenant ! Et nos photos ?— Elles ne se sauveront pas. À propos, ce serait bien de filmer l’action.— Hé bien ! Tu te dévergondes.— Je ne suis pas la seule.Ils se lèvent en riant, se dirigent vers la chambre, récupérant en passant le matériel vidéo. Tandis qu’il installe les deux caméras, elle va procéder à quelques ablutions supplémentaires. Ils se retrouvent sur le lit et commencent par quelques baisers et caresses, poursuivent par un classique, mais néanmoins délicieux 69. Il rompt le contact pour la faire mettre à quatre pattes pour un cunnilingus qui dérape parfois en feuille de rose. Les doigts viennent prêter main forte, enfin pas trop forte, un peu de lubrifiant venant à propos aider aux opérations.Bernadette est parfaitement détendue, n’ayant que de vagues appréhensions. Ce qu’Isabelle a réussi, pourquoi ne le réussirait-elle pas ? Jusqu’à présent, c’est plutôt agréable ce qui se passe du côté de son petit cul. Bernard en a fini avec les amuse-gueules et décide de passer au plat de résistance. Elle empoigne ses fesses pour les écarter au maximum afin de dégager au mieux la cible. Le gland entre en contact avec sa pastille. Elle a une petite contraction. La poussée commence, ses muscles se détendent, la progression se fait sans difficulté et même facilement. Bernard ménage quelques arrêts, voire de légers replis, mais il s’enfonce inexorablement. Son ventre entre en contact avec le postérieur de sa partenaire qui demande :— Ça y est, tu m’as tout mis ?— Tu as tout jusqu’à la garde. On dirait qu’il n’y a pas eu de problèmes.— Le gros suppositoire est entré sans embarras. Après ce que j’en avais entendu dire, je croyais que ça allait être beaucoup plus… délicat.Ce qu’elle n’ajoute pas, c’est qu’elle tenait à se faire enculer. Elle ne voulait pas rester en retrait par rapport à Isabelle. Mission réussie.Il commence à la pistonner, après quelques minutes, elle lui demande d’arrêter. Bien qu’étonné – décidément, il s’étonne beaucoup dans cette histoire – il obtempère immédiatement, peut-être cela commence-t-il à chauffer un peu. Il se retire doucement. Elle lui lance :— Tu vas te reposer, maintenant c’est moi qui vais travailler. Allez, couche-toi.Ce qu’il fait. Il a parfaitement compris où elle veut en venir : faire comme Isabelle et s’empaler elle-même sur son pieu. Elle prend soin à ce qu’ils œuvrent dans le champ des caméras. Elle l’enjambe, prend sa queue, la pointe vers le ciel, s’assoit dessus, monte, descend, et comme son modèle commence à se bichonner la chatte et son petit bouton et, comme elle, parvient à s’envoyer honorablement en l’air. Les contractions de sa petite femme font partir Bernard qui gicle au fond de son cul. Son sexe est chassé de sa conquête.Tous deux sont satisfaits de la manière dont s’est déroulée cette petite séance. Elle, pour cette inauguration réussie où elle n’a pas à souffrir d’une éventuellement comparaison avec les performances d’Isabelle. Lui, pour la manière dont les choses s’arrangent au mieux après son incartade. Un nouveau passage par la salle de bain et ils s’endorment serrés l’un contre l’autre.À la suite de ces deux jours, leur vie intime redémarre sur de nouvelles bases. Dès le lendemain, ils vont acquérir ces objets auxquels les bougies avaient suppléé. Bernadette en choisit un assortiment, dont un double, un de taille respectable et un vibrant. Sur sa lancée, elle achète aussi des boules de geishas, qu’elle met discrètement en place sitôt payées, et tout un assortiment de dessous coquins. Elle avait déjà des strings, elle en prend des encore plus string, auxquels elle ajoute, pour faire bonne mesure, quelques culottes fendues. Bernard s’étonne d’ailleurs que si peu de tissu puisse coûter aussi cher, mais il ne s’en plaint pas.De temps en temps, Bernadette fait quelques sorties légèrement vêtue, Bernard n’hésitant pas, en ces occasions, et même en d’autres, à avoir les mains baladeuses.Ophélie est venue voir les photos la semaine suivante, avant de partir pour Montpellier où elle avait décroché un poste à l’Université et ils se perdirent de vue.Après l’avoir fait languir deux semaines, Isabelle se réconcilia avec Pierre. À l’initiative de ce dernier, les deux couples renouèrent. Un jour Bernadette invita Isabelle, seule, et lui montra photos et films. Cette dernière s’affola, mais Bernadette la rassura et lui narra la folle fin de semaine, l’agrémentant même d’une projection. Elles devinrent les meilleures amies du monde. Neuf mois plus tard Isabelle eut une petite fille qui fut prénommée Bernadette, dont le parrain fut Bernard, ce qui lui permit de voir régulièrement… sa fille. C’est à Bernadette qu’Isabelle annonça d’abord que l’enfant qu’elle attendait ne pouvait pas être de Pierre, car elle n’avait pas eu de relations intimes avec lui pendant les trois semaines durant lesquelles le bébé fut conçu. En jonglant un peu avec les dates, Pierre n’y avait vu que du feu.Deux ans plus tard, Isabelle et Pierre voulurent avoir un second enfant. C’est là que les choses se corsèrent. Ils n’y arrivaient pas. Ils consultèrent et il s’avéra que Pierre ne pouvait pas avoir d’enfant. Isabelle escamota le résultat et, affolée, se confia à Bernadette. Comment expliquer la première naissance, alors que Pierre n’a pas pu, ne peut pas et ne pourra jamais faire d’enfant. Elles trouvèrent « LA solution » : que quelqu’un d’autre s’en charge. Et de l’avis unanime de ces dames, Bernard était tout indiqué.Quand elles lui exposèrent le résultat de leurs cogitations, il est difficile de décrire sa stupeur. Que sa femme soit non seulement d’accord, mais qu’en plus elle en ait eu l’idée, le laissa pantois. Ceci dit, il accepta sans trop se faire prier. De ses efforts naquit un petit Bernard, dont Bernadette fut la marraine. Le trio continua à se voir après la conception.Quand Isabelle désira un troisième enfant, Bernard assura naturellement la mise en route du projet. Dans la foulée, Bernadette s’en fit faire un aussi qui répond au prénom d’Isabelle et dont Pierre est le parrain.Après tout, ce n’est que justice : il est à l’origine de tout.