Clara, Laura, Natasha et Sandra sont des amies d’enfance qui se connaissent depuis plus de trente ans.Vivant ensemble dans une immense villa, ces quatre quadragénaires blondes aux yeux bleus avaient tout des jeunes top models de 20 ans, mais avec 28 ans de plus : corps et silhouette minces et élancés, peau claire et douce comme de la soie, poitrine très généreuse, visage et sourire d’anges. On s’y tromperait. Et pourtant, ces quatre somptueuses beautés qui avaient tout pour plaire ont toutes divorcé, et leurs fils poursuivaient quant à eux une carrière internationale. Elles se sont donc retrouvé seules, à la recherche d’un nouveau compagnon, mais cette fois-ci très jeune.Cela faisait trois mois qu’elles n’avaient plus couché avec un jeune homme, mais toutes se refusaient catégoriquement à rentrer dans tout jeu d’amour lesbien.— Quelle serait ta tranche d’âge d’amant, Clara, demanda Laura ?— Oh, ben, je le vois jeune, moins de 20 ans, mais majeur.— Dans ce cas, nous sommes toutes sur la même longueur d’onde, répondit fièrement Natasha.— Ça vous dit qu’on se mette à chercher l’heureux élu, les filles ? demanda Sandra toute excitée.— Avec plaisir. Je crois que nous sommes toutes chaudes à l’idée de se le faire, constata Laura.— Mais on se le ferait où ?— Natasha, je ne vois qu’un seul endroit : la grande piscine olympique intérieure intemporelle et adimensionnelle.— Ah, oui, d’accord. J’ai compris Clara, tu veux qu’on sorte l’immense machine et qu’on le saute dans la mousse de bain.— Oui, mais on le saute de manière tout à fait soft : pas de pipe, ni toute autre chose hot et hard. Simplement un grand amour le plus sensuel possible, Sandra.— Et bien, c’est entendu les amies, fit Clara. Allons-y, en route, à la recherche de notre jeune amant !Leur longue quête estivale se termina rapidement par la découverte de ce qu’elles avaient nommé la perle rare. Jonathan, un jeune garçon d’à peine 18 ans, vêtu d’un simple slip de bain bleu marine, correspondant parfaitement à leur description et qui cherchait son chemin frappa à leur porte, et découvrit les quatre sirènes toutes à poil, jambes écartées, qui le mataient, le draguaient, et le regardaient avec énormément d’envie.— Ouah, euh, bonjour les filles. Excusez-moi de vous déranger, mais…— … Bonjour, mon chéri, t’as quel âge ? Tu es trop mignon ! dirent-elles en cœur.— Eux, je viens d’avoir 18 ans.— Comment tu t’appelles, amour ?— Jonathan, et vous ?— Nous, c’est Natasha, Sandra, Laura, et moi c’est Clara.— Et bien, vous êtes toutes trop belles et si sexy, et…— Tu es perdu, mon ange ?— Euh, oui.— Si tu veux retrouver ton chemin, viens avec nous, mais mets-toi tout nu d’abord.— D’accord.— Ouaaah ! Ce qu’il est chou ! En plus tu bandes, mais ne t’inquiète pas, on prendra bien soin de ton joli corps d’Apollon.Et les quatre femmes emmenèrent leur jeune amant jusqu’au gigantesque bain de mousse, la piscine étant remplie avec plus de 300 mètres de mousse, toute douce, impossible à rincer, et très collante à la peau, sauf la tête qui reste tout le temps à l’air libre.— Oh, les filles, je crois que je vous aime toutes à la folie.— C’est vrai ?— Oh que oui !— Ça te dirait de vivre avec nous dans la mousse pour l’éternité ?— Mais avec joie. Je ne savais pas du tout où aller, mais maintenant, j’ai trop envie de vous.— Eh bien dans ce cas, c’est : bain de mousse immédiat !Et les quatre femmes qui lui avaient annoncé leur âge, puis entraîné sous les millions de tonnes de mousse, rendant Jonathan absolument euphorique, se jetèrent sur lui, et lui firent l’amour soft, toutes à la fois, sans arrêt, en l’embrassant, palpant, caressant et câlinant son corps sans cesse, et en frottant leurs seins contre sa peau et son visage, ce qui poussa l’amant à leur faire l’amour à son tour, à caresser et à embrasser toutes ces si belles poitrines qui ballottaient agréablement autour de lui. Enseveli sous près d’un kilomètre de mousse de bain, le jeune homme riait de bonheur et jouissait de plus en plus fort. Il était aux anges. Ses nouvelles fiancées devenues ses épouses avaient décidé de le séquestrer dans la mousse, à tout jamais. Le jeune mari n’en pouvait plus. Il avait largement dépassé le 20ème ciel !La mousse coulait désormais à flots, et ses épouses avaient décidé de ne plus jamais arrêter les machines à commande vocale. Couvertes de mousse, et les corps de rêve plaqués contre sa peau, elles lui sourirent, lui firent un clin d’œil, et annoncèrent fièrement : « mousse à volonté ! » Ce qui signifiait que la mousse augmentait désormais de 10000 kilomètres de mousse à chaque seconde ! On pouvait entendre le très agréable son des flots de mousse d’un blanc immaculé qui se déversaient, et les bulles de savon qui soufflaient légèrement entre elles comme une bise. Plus le niveau de mousse augmentait, plus le jeune Jonathan jouissait !— Alors, mon chéri, ça te plaît, ou tu en veux davantage ?— Ooooh, mes amours, vous me comblez ! Ooooh, c’est trop ! Ooooh, j’en peux plus !Le sexe du garçon était raide et grandissait encore.— Très bien. Là tu avais droit à un simple avant goût, et maintenant, on passe à table ! On va tellement te faire jouir et bander que tu nous supplieras de prendre une toute petite pause, mais nous n’en ferons rien ! Bien au contraire, plus tu jouis, plus on te saute ! Plus on te saute, plus il y a de la mousse ! Et plus il y a de la mousse, plus tu jouis ! Et ainsi de suite, pour l’éternité ! Ça te plaît toujours comme programme, jeune mari ?— Oh que oui !— Et bien, c’est parti !Et là, Jonathan hurlait de bonheur ! Il jouissait tellement qu’il ne pouvait éjaculer. Cette fois-ci, ses femmes étaient passées à la vitesse supérieure ! Bras et jambes écartés, le corps étiré de tout son long, et le sexe géant et tout raide, il se laissait faire. Le jeune bonhomme de mousse fermait de temps en temps les yeux, et quand il les rouvrait, il voyait ces sirènes s’acharner sur lui, l’embrasser absolument de partout, et entendait gronder les montagnes de mousse qui s’abattaient sur les cinq tourtereaux. Il était prisonnier dans la mousse, séquestré, mais heureux.— Aaaaaaah ! Ooooooooh ! C’est trop ! J’en peux plus ! Au secours ! Comme c’est bon !— Tu vois que tu aimes ça ! T’en veux encore ?— Oh, ouiii ! S’il vous plaît, ne vous arrêtez plus jamais ! Je vous offre mon corps ! Je suis à vous !— Tant mieux ! C’est comme ça qu’on t’aime ! Tu adores la mousse, pas vrai ?— Oh oui, beaucoup.— Qu’est-ce que tu es beau couvert de mousse jusqu’au cou ! Ça nous donne envie de te prendre tout de suite ! Vite !— Oooooooh, mes chéries, je vous aime ! Allez-y ! Encore ! Encore plus fort !— D’accord, mon chat. Tes désirs sont des ordres, mon amour !Et elles remettaient ça de plus belle, en crescendo. Jonathan hurlait plus fort encore tellement il était bien :— Oooooooooh ! Aaaaaaaaaaaa ! Encore ! Encore ! S’il vous plaît, ne vous arrêtez plus, et noyez moi dans la mousse ! leur supplia-t-il.Fallait compter, le jeune homme avait plus que dépassé le millionième ciel ! Comme il s’agissait d’une piscine adimensionnelle, les cinq amoureux étaient noyés sous plusieurs milliards d’années-lumière de mousse ! Autrement dit, ils étaient condamnés à vivre comme ils le souhaitaient sous ces milliards de tonnes de mousse, et ce à tout jamais !250000 milliards d’années plus tard, Jonathan au sexe de plus de 60 centimètres de long et ses quatre épouses folles de lui accompagnées de plus de 10 millions de copines poursuivent cet amour polygame qu’elles entretiennent avec leur nouveau jeune chéri qui hurle sans cesse de plus en plus fort, tellement il jouit sous toutes ces mégatonnes de mousse de bain, et c’est loin d’être terminé puisqu’à chaque seconde désormais, ce sont 10000 milliards de mannequins qui le sautent dans la mousse sans interruption, à tout jamais !