Les 1001 perversions de Nathalie (2)
Nathalie soumise – Le dĂ©but.
Dans la rue, la fraîcheur de l’aube la fait frissonner et c’est en vain qu’elle cherche des yeux une station de bus ou de taxi.
– Puis-je vous aider, madame ?
Elle sursaute, paniquée, se retourne.
Proposée le 26/09/2018 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumisePersonnages: FFHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Devant elle, un homme très grand, svelte, lui sourit. Plus proche de la soixantaine que de la cinquantaine, très élégant. Des cheveux poivre et sel, des yeux verts.
– Vous semblez mal en point, madame. Permettez-moi de vous ramener. Vous ne trouverez pas de taxi Ă cette heure dans ce quartier.
– Je vous remercie, mais il ne faut pas…
– Ma voiture est au coin de la rue… Au fait, je suis Marc. Derrière le pâtĂ© de maisons, une grande limousine est garĂ©e.
InstallĂ©e sur la banquette arrière, Nathalie a une dĂ©sagrĂ©able sensation de « dĂ©jĂ -vu » lorsque la voiture, au lieu de se rendre vers le centre, quitte la ville. Mais elle n’a pas la force de protester, et elle se contente de murmurer :
– OĂą allons-nous ?
– Nous allons chez moi. Je crois que vous avez besoin d’un bon bain chaud et d’un lit. Et en cours de route, vous me raconterez votre nuit. Quoique… je n’ai aucune peine Ă deviner ce qui s’est passĂ© dans cet immeuble sordide.
Lorsque elle a terminé son récit, il demande, laconique :
– Vous avez aimĂ© ?Elle ne rĂ©pond pas. N’ose pas lui avouer qu’elle ne sait plus combien de fois elle a joui, criĂ© de plaisir.
Ils roulent une demi-heure, la voiture quitte la grand-route, et après quelques virages, s’arrĂŞte devant une grande villa. Un majordome se prĂ©cipite, ouvre la portière. Sur le perron, une belle femme, brune, un peu plus âgĂ©e qu’elle les accueille.
– LĂ©a, voici Nathalie. Elle a besoin d’un bon bain chaud et d’un lit. Germain va vous prĂ©parer un copieux petit-dĂ©jeuner.
Elle a peine goûté aux mets servis par Germain, que Léa annonce :
– Le bain est prĂŞt.
Elle pénètre dans l’eau très chaude. Elle se sent mollir, ferme les yeux, se laisse aller en poussant un profond soupir.
Munie d’une Ă©paisse Ă©ponge de bain, la femme lui lave les Ă©paules, le cou, le visage, la gorge, descend jusqu’aux seins. Nathalie sent les battements de son cĹ“ur s’accĂ©lĂ©rer. Elle ferme les yeux quand la bouche de la femme effleure son cou, embrasse ses oreilles. Elle frĂ©mit. La femme se dĂ©shabille, la rejoint dans le bain.
Ses seins se pressent contre sa poitrine. Nathalie a un frisson quand les tétons effleurent ses aréoles. Léa prend ses seins dans sa bouche. Sa langue s’enroule autour des tétons, ses dents éprouvent la tendresse de la chair, ses lèvres glissent doucement contre la peau mouillée. Nathalie se tortille, gémit, se sent devenir humide.
Elles quittent le bain, rejoignent la chambre. La femme la couche sur le grand lit, puis se met à quatre pattes et la lèche. Elle écarte sa chatte à deux doigts, y darde la langue. Nathalie se sent fondre, elle s’abandonne aux caresses, à cette langue qui la fouille.
Elle plonge ses mains dans sa chevelure, presse son visage contre sa chatte. Sa langue lui fait du bien et finit par lui procurer une délicieuse jouissance. Elle reprend son souffle, alanguie, elle se sent maintenant épuisée. Léa la couche, la borde.
– Dors, maintenant. Repose-toi bien, je viendrai te rĂ©veiller pour le dĂ®ner.
Elle ne sait pas combien de temps elle a dormi, lorsque un frôlement la réveille. Léa est assise au bord du lit :
– Bien dormi, ma chĂ©rie ? Lève-toi, je vais te faire belle. Marc nous attend.
D’une commode, elle ouvre un tiroir rempli de lingerie fine : dentelle, nylon, satin, soie. Des petites culottes, des tangas, des strings faisaient partie de ces trĂ©sors, des porte-jarretelles en dentelle, une multitude de bas noirs, gris, chairs…
LĂ©a lui tend une paire de bas. Assise sur le bord du lit, elle roule puis habille ses jambes de nylon noir. LĂ©a lui fixe les jarretelles, avant de la remettre debout face au miroir.
– Il te faut des chaussures.
Elle lui tend une paire d’escarpins noirs avec des talons de près de dix centimètres. Elle se chausse et revient devant le grand miroir, perchée sur ses talons.
L’image que lui renvoie celui-ci n’a plus rien Ă voir avec la sage bourgeoise qu’elle croit ĂŞtre. LĂ©a lui ajuste les jarretelles, tire sur les bas pour les faire monter un peu plus haut. Lui tend une petite culotte assortie, en dentelle noire, presque transparente.
– Superbe ! Marc nous attend au salon, il a dĂ» prĂ©parer le champagne. Viens te montrer.
Elle n’a pas vraiment le choix, et c’est comme dans un rĂŞve que, LĂ©a la tenant par la main elle se laisse guider.
– Regarde, la dĂ©licieuse coquine que je t’offre.
Léa dépose des petits bisous dans son cou, puis ses lèvres remontent, jouant avec ses oreilles, Nathalie frissonne. La fièvre monte en même temps que le rouge aux joues.
Elle adore, ses lèvres se posent sur les siennes, elle la fixe dans les yeux. Sa langue pointe à la rencontre de la sienne. Ses mains se posent sur ses hanches, elle sent ses doigts jouer avec le porte-jarretelles et la culotte. Puis l’un d’eux glisse sous la fine dentelle. Elle murmure à son oreille :
– Tu plais Ă Marc… regarde la bosse qui dĂ©forme son pantalon.
Ses doigts jouent avec ses fesses puis remontent sur ses hanches. Passant la barrière de dentelle et du porte-jarretelles, ils parcourent ses reins. Elle la met face à Marc, se positionnant dans son dos, elle pose en coupe ses mains sous les seins, avant d’entamer une caresse qui fait poindre et se tendre ses tétons. Son souffle au creux de son épaule et les yeux de Marc sur son corps la font frémir.
Elle se retourne face Ă LĂ©a et cette fois, c’est elle qui lui force les lèvres, y glissant sa langue. Elle sent monter cette chaleur dans son ventre, qu’elle connait bien, et qui lui fait mouiller sa culotte. LĂ©a glisse ses doigts entre leurs deux corps, sous la culotte. Sa main passe Ă plat alors qu’elle ne peut dĂ©tacher ses lèvres des siennes.
Son index passe sur sa fente qui s’entrouvre déjà , toute humide. Elle lui arrache un petit cri lorsque le bout de son ongle touche son bouton déjà sorti de sa cachette.
Son souffle s’accélère au fur et à mesure que la caresse se fait plus précise. Elle la repositionne face à Marc sans que sa main ne quitte son clitoris et sa fente de plus en plus humide. Le plaisir monte déjà , ainsi exhibée devant cet homme. Offerte à ces yeux, à cette main dans sa petite culotte, elle se laisse aller à une première jouissance.
LĂ©a la tourne face Ă elle :
– Tu n’es qu’une peste, Nathalie, tu prends ton plaisir et tu ne penses qu’à toi. Tu mĂ©riterais une fessĂ©e.
– Laisse, LĂ©a, je vais m’en charger. Mais une fessĂ©e, cela se donne cul nu.
Léa s’agenouille devant elle et lentement, elle entreprend de faire glisser sa culotte sur le porte-jarretelles puis le long de ses jambes. Instinctivement, elle soulève successivement chacun de ses pieds pour l’enjamber. Léa jette la culotte à Marc, il la porte à ses narines :
– Ça sent la femelle en chaleur… Vous allez me montrer votre cul, Nathalie. Ă€ quatre pattes sur le canapĂ© !
Elle obéit et pose ses genoux sur le canapé, jambes légèrement écartées. Elle priend appui de ses mains sur le dossier, attendant, offerte.
– LĂ©a, très chère, je te laisse le soin de choisir la punition de cette insolente.
– J’ai peur que la cravache ne soit prĂ©maturĂ©e, que dirais-tu d’une sĂ©ance de gode ?
– Parfait, je prendrai le relais lorsqu’elle sera bien prĂ©parĂ©e.
Léa ouvre un tiroir et en sort un long gode en latex noir orné d’une queue-de-cheval en crin noir. Elle le caresse :
– Nathalie, je te conseille de bien le sucer, car lĂ oĂą je vais le glisser, tu n’es pas encore prĂ©parĂ©e !
Elle le lui tend, alors que ses lèvres s’entrouvrent et que déjà elle force sa bouche. Elle prend soin de bien saliver pour parfaitement humecter l’objet. Elle a le feu aux joues, mais également au ventre.
– Allez, petite peste, cambre-toi bien, offre-toi.
Indécente, cambrée, offerte, jambes écartées, les mains en appui sur le dossier du canapé, elle se positionne comme indiqué. La main de Léa se pose sur sa fesse droite, immédiatement un frisson la parcourt. Elle se mord les lèvres, sa bouche s’entrouvre, son souffle se fait saccadé.
Alors qu’elle ferme les yeux, un contact froid sur le haut de sa raie lui arrache un murmure. LĂ©a positionne le gode sur son anus.
– Oh ! Doucement, je vous en prie.
– Ne t’inquiète pas, ma chĂ©rie, tu vas adorer. Une traĂ®nĂ©e comme toi ne peut pas ne pas apprĂ©cier.
La pression se fait plus forte, elle se cambre, le bout du gode semble la perforer. Soudain, il entre, passant la barrière de son muscle et lui arrachant un cri.
– Tu vois, ma salope, te voilĂ une vraie femelle.
– Enlevez-le, je vous en prie.
– Mais non, Nathalie ! Laissez LĂ©a vous prĂ©parer, sinon je remplace le latex par ma queue et croyez-moi, vous me faites bien bander ainsi.
Léa passe sa main libre sur sa chatte, lui arrachant de nouveaux frissons de plaisir mêlés à la douleur dans ses reins.
– Tu es dĂ©jĂ très mouillĂ©e, je vais continuer Ă te masturber pendant que je le ferais rentrer encore plus loin.
– Non, oui… Oh !
– Ton petit bouton est tout dur, tu aimes ça, n’est-ce pas ?
Elle le fait rouler entre ses doigts, Nathalie adore, elle se sent couler encore davantage. La douleur s’apaise dans son cul, pourtant la pression qu’elle y exerce est de plus en plus soutenue. Léa a maintenant entrepris des allers-retours tout en douceur qui lui arrachent mille feux de douleur et de plaisir mêlés.
Elle fait monter le plaisir en lui branlant le clitoris comme une folle. Elle sent qu’elle va jouir alors que le gode est maintenu au plus profond de son cul. Les crins de nylon qui finissent le gode frottent sur sa raie au rythme de ses mouvements de bassin.
– Allez, petite vicieuse, laisse-toi aller, offre-nous ton premier orgasme du cul.
– Oui, LĂ©a, continue Ă la baiser, elle va jouir !
LĂ©a fait mĂŞme mieux que cela. Elle fait glisser deux de ses doigts dans l’antre trempĂ©. Prise des deux cĂ´tĂ©s, Nathalie a un mouvement de recul qui ne fait qu’accentuer la pĂ©nĂ©tration anale. LĂ©a agite ses doigts joints de plus en plus vite dans son con, le plaisir monte encore, elle ne va pas pouvoir rĂ©sister.
– Oh oui, oui, oui !
Un orgasme monstrueux la terrasse alors que les doigts de Léa pressent son bouton, et que deux autres sont fichés le plus loin possible dans son con, où ils jouent à caresser le gode à travers la fine paroi.
– Eh bien ma salope, on se laisse aller au plaisir, sans demander la permission ?
– Cette fois, elle mĂ©rite une fessĂ©e. LĂ©a, Ă toi !
La laissant à genoux sur le bord du canapé, le gode fiché entre les fesses, la main de Léa s’abat avec violence sur chacune de ses fesses, à tour de rôle. Elle essaie de se couvrir de ses mains, mais Marc, placé à ses côtés, lui tient les bras. Le feu sur ses fesses qui s’embrasent sous les claques que lui assène Léa, la douleur, la honte d’être ainsi offerte, godée, et cette sensation étrange de plénitude, le plaisir qui, de nouveau, monte en elle.
Un nouveau tsunami la submerge, elle jouit longtemps, gémissante, les fesses en l’air, en feu, la tête posée sur l’assise du canapé, aux côtés de Marc qui se branle lentement.
Elle retrouve peu Ă peu son calme, LĂ©a lui tend la main pour l’aider Ă se lever. Très lentement, avec le gode toujours plantĂ© entre ses fesses rougies, elle la positionne devant Marc. Lui tournant le dos elle devine le spectacle qu’elle lui offre : perchĂ©e sur ses hauts talons, les jambes gainĂ©es de nylons noirs tendus par les jarretelles de dentelle noire, encadrant son cul perforĂ© par le gode, dont seule l’extrĂ©mitĂ© ornĂ©e de ses crins noirs s’échappe.
– Oh Nathalie, dĂ©licieuse soumise, belle pouliche que vous ĂŞtes ainsi parĂ©e, je vais vous libĂ©rer ! Penchez-vous en avant.
LĂ©a se positionne devant elle, place ses mains sur ses hanches. Elle approche son bassin plus près d’elle, Nathalie a devant les yeux sa chatte. Elle ne peut se retenir d’y dĂ©poser un nouveau baiser, les jambes de LĂ©a s’entrouvrent pour lui laisser un libre accès Ă sa fente.
Elle sent la pression inverse qu’exerce Marc sur l’intrus qui perfore son trou du cul pour l’extraire lentement. Elle sent millimètre par millimètre son retrait, et soudain, c’est la libĂ©ration totale, la laissant partiellement ouverte.
Alors que sa langue taquine le clitoris de Léa, Marc parcourt de ses doigts sa raie ainsi offerte. Son index inquisiteur remplace le gode qui y est logé. Très vite, il est rejoint par un second doigt, ensemble, ils se mettent en mouvement dans l’étroit conduit, lui arrachant de nouveau des râles de plaisir.
– Nathalie, j’ai très envie de votre dĂ©licieux cul !
Marc se lève, tout en gardant ses doigts dans le cul de Nathalie, il présente à Léa sa verge bandée à sucer. Elle ne se fait pas prier, elle semble aimer ça et le suce tout en l’enduisant de salive. En moins de trois minutes, il semble ne plus pouvoir se retenir. Léa se relève et tenant d’une main sûre la queue de Marc :
– Nathalie, je vais le guider dans ton cul. Cambre-toi bien, prends appui sur tes jambes. Il va te prendre debout.
Elle fait glisser un peu de salive sur son index pour parcourir sa raie et s’enfoncer dans ce trou habituellement si fermé.
– Le gode et les doigts de Marc t’ont bien prĂ©parĂ©e, ma chĂ©rie. Cambre-toi bien.
Elle positionne le gland sur la rondelle, Nathalie a un mouvement de recul, mais Marc la maintient par les hanches, les mains posées sur la dentelle de son porte-jarretelles. Il pousse, elle ouvre la bouche un râle, un cri… le gland se fraie un passage.
– Oh la chienne ! Elle s’ouvre ! Regarde, je la prends ! Je l’encule !
Léa vient poser ses mains sur celles de Marc. Elle la tire sur lui, l’empalant lentement sur son pieu tendu. Elle bute contre son bas-ventre. Il la prend en totalité. Elle reste ainsi, plaquée contre Marc, les fesses en feu, alors que Léa vient se positionner de nouveau devant elle, l’invitant à lui dévorer le con. Marc donne de très lents et courts mouvements de bassin.
Elle commence à s’habituer à sa présence dans son fondement. Les mains posées sur les hanches de Léa, elle la lèche sur toute la longueur de sa fente, faisant monter en elle les prémisses du plaisir.
Marc accélère lentement, mais sûrement, et elle sent le plaisir monter à nouveau. Tout en continuant à donner du plaisir à Léa avec sa langue dardée sur son clitoris, elle glisse son index sur sa rondelle. Léa se cambre, s’offrant à son doigt. Marc se déchaîne dans ses entrailles, il lui pilonne en règle l’arrière-train.
– LĂ©a, elle est divine, cette petite bourgeoise, regarde comme je lui fais le cul !
– Oui Marc, elle me lèche le clitoris en me doigtant le cul, j’adore cette dĂ©lurĂ©e, je vais jouir !
LĂ©a part dans un orgasme qui la tĂ©tanise, entraĂ®nant Nathalie avec elle dans son orgasme anal. Marc, qui s’est immobilisĂ© entre ses fesses, prĂ©vient LĂ©a qu’il va jouir lui aussi.
– Viens dans ma bouche, je veux te boire.
– Nathalie, branlez-moi dans la bouche de LĂ©a.
Elle se saisit de la queue sortant de ses fesses, et commence à le branler alors que Léa se positionne à genoux à ses côtés. Bouche ouverte, langue sortie, elle fixe sa main s’agitant sur la longue bite épaisse de Marc, lequel se raidit sous la caresse.
Un râle… Un premier jet strie le visage de LĂ©a. Puis un second qu’elle dirige directement dans sa bouche, suivi d’un troisième… et enfin, elle s’approche pour le prendre dans sa bouche. LĂ©a continue de le sucer lentement, tirant de son pompage les dernières gouttes de plaisir de Marc.
Nathalie dépose un baiser sur ses lèvres, sa langue parcourt ses joues pour aspirer le sperme que Marc a laissé lors de son premier jet. Elle s’en délecte.
– Ma chĂ©rie, dĂ©clare LĂ©a, Marc et moi avons dĂ©cidĂ© de t’adopter…
Marc renchérit :
– Oui, Nathalie, vous ĂŞtes notre invitĂ©e. D’ailleurs, j’ai dĂ©jĂ fait chercher vos affaires Ă votre hĂ´tel et votre note est rĂ©glĂ©e. Nous avons encore beaucoup de belles choses Ă vous faire dĂ©couvrir, LĂ©a et moi… (Ă suivre)© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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