Les 1001 perversions de Nathalie (8) – La route du cul
BloquĂ©e dans un bouchon sur l’autoroute depuis plus d’une demi-heure, Nathalie est en nage. La climatisation dĂ©traquĂ©e, toutes vitres baissĂ©es, avec 36° Ă l’ombre la chaleur reste Ă©touffante.
Elle revoit son rĂ©veil, le matinâŠ
Proposée le 7/11/2018 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
ThĂšme: Couple, passionPersonnages: FHLieu: ParkingType: Fantasme
Léa assise au bord de son lit, un gode argenté à la main.
– Une petite gĂąterie avant ton dĂ©part, ma chĂ©rie ?
Elle vient sur elle. Assise Ă Â califourchon sur son ventre, elle prend le gode, quâelle suce pour le rĂ©chauffer. Et sans prĂ©ambule elle le lui enfonce. Presque Ă Â lui faire mal, presque avec rage. Elle lui claque les cuisses et les fesses au point de les faire rougir. Et Nathalie se rend compte qu’elle aime ĂȘtre baisĂ©e ainsi, avec violence.
LĂ©a la retourne sur le ventre, prĂ©sente le gode Ă Â lâentrĂ©e de son cul. Elle ne le refuse pas, le gland entre dĂ©jĂ . Dans le mĂȘme temps, la main de LĂ©a se ferme sur son cou. Elle pousse un cri rauque, mĂ©lange de peur et dâexcitation. LĂ©a lui caresse la gorge, serrant Ă Â peine en la sodomisant.
Elle a peur, mais le plaisir chasse la peur trĂšs vite. Du cul, le gode repasse Ă Â la chatte, la langue de LĂ©a vient le remplacer. Des ondes de plaisir de partout pour Nathalie, qui crie qu’elle nâen peut plus.
Et elle a envie de sentir à  nouveau la main lui serrer la gorge, augmenter encore le feu qui lui ravage le bas-ventre. Léa la gode rageusement en lui suçant le cul et Nathalie finit par hurler son plaisir.
LĂ©a l’embrasse, les lĂšvres poisseuses de sa mouille. Elles s’enchevĂȘtrent, roulent sur le lit, aboutissent en 69. LĂ©a ordonne :
– LĂšche-moi !
La chatte de LĂ©a est brĂ»lante. Nathalie y frotte ses lĂšvres, embrasse la fente dĂ©jĂ ouverte et trempĂ©e, enfouit son visage entre ses cuisses. Pendant ce temps, LĂ©a l’Ă©carte toute, lui dĂ©vore la chatte et le cul avec ardeur, donnant de la langue, des dents, de tout, salivant, bavant, embrassant.
Nathalie en a la tĂȘte qui tourne. Elle plante sa langue dans sa chatte, dĂ©couvre son goĂ»t suave, lâadore, lĂšche. Elle cherche le clito, qu’elle presse contre le pouce, qu’elle suce ensuite, tandis que LĂ©a suçote et mord le sien.
Elles crient et gĂ©missent ensemble, et jouissent presque en mĂȘme temps.****
Nathalie dĂ©gouline. Elle a envie. Elle veut une bite⊠Ce matin, avant son dĂ©part, Marc ne l’a pas baisĂ©e, il s’est contentĂ© de lui faire boire son « lait de mĂąle du matin », selon l’expression de LĂ©a.
Elle Ă©carte les jambes. Sa main glisse sur sa fente, se ferme sur sa chatte entiĂšre qui s’ouvre sous sa petite culotte. De l’index, elle pousse le tissu dans son vagin ouvert, palpitant. ⊠Elle revoit Marc, la chevauchant comme une jument, l’amenant Ă l’orgasme Ă coups de cravache.
Ă sa droite, le pare-chocs d’un camion dĂ©passe lentement sa voiture, la cabine s’arrĂȘte Ă sa hauteur. Elle lĂšve les yeux. Le chauffeur lui fait un grand sourire auquel elle rĂ©pond. Elle ne referme pas les cuisses. Le pouce levĂ©, il lui fait signe qu’il apprĂ©cie.
Elle replie sa jambe, pose son genou contre le volant et Ă©carte l’autre jambe, se renverse contre la portiĂšre, lui faisant face. « Je suis une chienne en chaleur », se dit-elle, « et ça me plaĂźt »… Elle tremble, maintenant ça l’excite Ă mort de s’exhiber devant ce mĂąle.
Il peut deviner son con Ă travers lâĂ©toffe humide de lâempiĂšcement qui pĂ©nĂštre entre les lĂšvres. Sans quitter l’homme des yeux, elle soulĂšve son fessier, ses doigts coulent vers son cul. Son index presse sur la rondelle, plusieurs fois. Elle rĂ©pĂšte cette caresse obscĂšne, elle offre son cul qui s’ouvre.
Les regards de plus en plus salaces de l’homme sur elle et son geste obscĂšne, lui faisant comprendre qu’il se branle aussi la rendent folle. Elle ouvre son chemisier, dĂ©couvre ses nichons, elle pince, triture les tĂ©tons bandĂ©s. Son odeur de femelle en chaleur lâenivre, sa chatte est remplie de ses doigts qui s’enfoncent. Son petit slip est trempĂ©, sa fente ouverte est grosse.
Son regard ne quitte plus celui de l’homme. Ses doigts s’enfoncent, frictionnent son entre-jambes de plus en plus vite, elle presse ses doigts habillĂ©s du tissu sur sa chatte brĂ»lante, sur le clito en feu.
Lorsque l’homme tire la langue et simule un lĂ©chage, tout son corps se soulĂšve, elle se raidit, ses jambes se crispent, son ventre se gonfle. L’orgasme la secoue, sa main se colle contre sa fente emprisonnant ses doigts au fond de sa chatte en Ă©bullition. Sa mouille gicle, coule sur ses cuisses.
Elle retire ses doigts de son con, ils sont trempĂ©s. Et tout en regardant son voyeur, elle les porte Ă sa bouche et les suce lâun aprĂšs lâautre. Le routier lui fait signe du pouce levĂ© que le spectacle lui a plu.
Elle retrouve peu Ă peu son calme au moment oĂč la file de vĂ©hicules se remet en mouvement. « Dommage » se dit-elle, « il a sĂ»rement une belle grosse bite ».
L’avalanche de tĂŽle se traĂźne encore une demi-heure sous un soleil de plomb, Nathalie est en sueur, elle colle de partout. Lorsque elle voit le panneau annonçant une aire de repos avec service, elle dĂ©cide de s’arrĂȘter. Sur le parking, il nây a aucune autre voiture et le petit resto est pratiquement vide. Deux retraitĂ©s jouent aux cartes. Nathalie s’installe au fond de la salle, face Ă la table occupĂ©e par un Arabe, un grand sac Ă dos Ă ses pieds, un auto-stoppeur sans doute.
Elle va aux toilettes se rafraĂźchir, commande le menu. Tout en mangeant, elle observe discrĂštement l’Arabe. Il la mate sans vergogne. Et son regard lui rappelle Houssam. Une chaleur sournoise alourdit le bas-ventre de Nathalie⊠Houssam et sa grosse bite⊠Houssam l’enculant sur « le banc Ă fesser ».
Alors elle se cambre un peu, dévoilant le haut de ses cuisses, ouvre doucement les jambes, les croise et les décroise, offre le spectacle de son entre-jambe.
Le regard de l’homme ne quitte plus ses cuisses. Elle sent ses tĂ©tons darder Ă travers sa blouse, elle sait qu’elle offre une vue imprenable sur sa petite culotte qui cache Ă peine son sexe.
Elle imagine qu’il a mille pensĂ©es lubriques. Sa culotte lui colle Ă la chatte, les joues en feu, elle voit son regard s’incruster entre ses cuisses. Elle imagine qu’il voit qu’elle est mouillĂ©e rien quâĂ lâidĂ©e de se montrer devant lui.
Elle s’entend lui demander s’il fait du stop et qu’elle peut l’emmener, s’il veut. « J’aurais pu tout aussi bien lui demander de me mettre sa queue », se dit-elle. Il lui rĂ©pond que oui, qu’il veut bien et qu’il s’appelle Rachid.
Lorsqu’ils s’engagent sur l’auto-route, un nouveau bouchon est en train de se former et elle profite de la prochaine bretelle de sortie pour prendre la nationale.
Avachi sur son siĂšge, Rachid est silencieux. Elle jette un coup d’oeil. Il bande comme un cerf et elle sent son regard sur elle. Plus prĂ©cisĂ©ment sur ses cuisses, qui sont d’autant plus dĂ©couvertes avec sa petite robe d’Ă©tĂ© qui lui colle Ă la peau.
Lorsque elle sent sa main effleurer sa jambe, puis commencer Ă faire remonter sa robe, elle Ă©carte les cuisses. Un doigt se glisse, se faufile vers son entre-jambe, poursuit sa perfide progression, se pose contre sa chatte, Ă travers sa petite culotte. Il lui lĂšche le lobe de l’oreille, chuinte :
– Tu mouilles fort, cochonne.
– ArrĂȘtez ! Je dois conduire !
Mais c’est pour la forme qu’elle proteste. Car l’index fouineur lui fait perdre toute volontĂ© lorsque il enfonce le fin tissu dans sa chatte, et qu’il se met Ă la branler Ă travers sa culotte. Chaque fois que le doigt lui Ă©crase le clito, elle se cambre en poussant un gĂ©missement sourd. C’est si bon, elle sent qu’elle va jouir dans sa culotte, elle ne parvient plus Ă se concentrer sur la route.
Alors au prochain chemin qui se prĂ©sente, elle y engouffre la voiture, s’arrĂȘte dans le sous-bois.
Il lui laisse Ă peine le temps de couper le contact, la saisit par la nuque et l’embrasse. Une pelle d’enfer, langues qui se cherchent, qui se sucent, il mordille ses lĂšvres, elle bave dans sa bouche, il boit sa salive.
Il fait sauter les boutons de son chemisier. Impatiente, en se trĂ©moussant elle l’aide Ă le lui retirer. Il dĂ©grafe le soutien-gorge et libĂšre les nichons aux tĂ©tons tendus, granuleux. Il plonge son visage entre les globes, lĂšche et mord les bouts dardĂ©s avant dâaller passer sa langue dans les touffes des aisselles.
Elle se penche vers lui, ouvre son short, pose sa main sur l’Ă©rection qui gonfle son slip. Sa queue palpite. Elle tire le slip, fait glisser l’Ă©lastique sous les couilles. Elle les lui lĂšche. Sa verge se dresse, turgescente, elle la prend en main, lentement, elle fait tourner son pouce sur le gland cramoisi dĂ©jĂ suintant.
– ArrĂȘte⊠Tu vas me faire juter !
Il quitte le vĂ©hicule, se dĂ©barrasse en un tour de main de son short et de son t-shirt. Nathalie l’imite, elle se met Ă quatre pattes, le visage dans l’herbe. Elle soulĂšve sa robe et baisse sa culotte. Elle est sa chienne, son cul et sa moule sont Ă lui.
Mais au lieu de la baiser ou de l’enculer, il se branle au-dessus d’elle en la traitant de femelle lubrique et Ă©jacule sur le bas de ses reins et sur ses fesses. Puis il ordonne :Â
– Reste comme ça, salope ! Je dois te laver !
Juste le temps que sa queue ramollisse un peu pour que ça puisse sortir, et il lui pisse dessus. Un jet fort dans la raie des fesses. La tĂȘte dans l’herbe, Nathalie sent le jet frapper son trou du cul et la pisse passer sur sa chatte avant de sâĂ©couler le long de ses cuisses, jusquâĂ terre.
Rachid passe sa main partout, comme pour la laver, puis il lui prĂ©sente sa bite et ses couilles, qui comme sa main sont mouillĂ©es du liquide de sa vessie. Elle embrasse, elle lĂšche, elle nettoie, elle suce. Câest si bon, les parfums et les goĂ»ts mĂ©langĂ©s de sa pisse et de son cul.
Il se couche, elle se met assise sur lui, et comme une folle, elle se branle sur sa bouche. Elle y frotte son cul trempé de pisse, il lui suce la rondelle, baise son trou de sa langue. Elle couine comme une chienne en chaleur et elle pisse à son tour.
Elle lui en met partout, de sa bouche Ă sa queue, elle arrose sa bite et l’embouche. Dans sa bouche, elle est dure Ă nouveau et sent fort le foutre et la pisse, ce qui la fait geindre d’impatience :Â
– Mets-la moi ! Baise-moi !
Il la relĂšve. Il la plaque contre un arbre, il se colle Ă elle. Elle entoure lâarbre de ses bras, les reins cambrĂ©s elle lui offre son cul. La main de l’homme fouille son entrecuisse, l’Ă©carte. Elle se pousse vers lui, contre sa queue tendue entre ses fesses.
Elle veut ĂȘtre saillie comme une truie lubrique, elle est prĂȘte pour son porc. Deux bĂȘtes en rut qui vont s’accoupler. Â
Il pĂ©nĂštre, il remplit, il besogne son cul trĂšs lentement, profondĂ©ment. Elle jette ses fesses sur la bite rigide, mais il la retient, lui impose son rythme, des mouvements lents et profonds.Â
Elle a mal, clouĂ©e contre cet arbre. Chaque coup de queue Ă©cartĂšle son cul et Ă©corche son ventre, l’Ă©corce rugueuse lacĂšre ses tĂ©tons et les ongles de Rachid ses cuisses et son dos.
Elle geint. De douleur, de plaisir, les deux ne font qu’un. VĂ©ritable salope soumise, elle sait que ses plaintes ne font qu’exciter davantage le mĂąle qui la domine. Il lui enfonce trois doigts trempĂ©s de mouille dans la bouche, elle suce, hoquĂšte.
Alors elle s’empale sur la pine. Son con dĂ©goulinant contre ses couilles, elle jouit, elle hurle et mord ses doigts et il se met Ă rugir et Ă giclerâŠÂ
Et puis il la couche sur l’herbe, et comme une chatte son chaton, il la nettoie, partout, lĂšche ses plaies et son foutre et leur pisseâŠNathalie dĂ©pose Rachid sur la prochaine aire de repos. Elle n’a plus besoin de lui, il l’a faite jouir, il a rempli sa fonction de mĂąle.
Elle reprend seule la route. Des mĂąles et des queues, elle sait qu’elle en aura encore beaucoupâŠ
Elle sait aussi qu’elle retournera chez Marc et LĂ©a…
« J’ai le feu au cul ». Je suis devenue boulimique de sexe, je suis une nymphomane et une hyper-sexuelle⊠et mon Dieu, comme j’aime ça ! » © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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