Contrairement à ce que j’avais imaginé, les jours suivants furent bien calmes : mes parents et mes règles étaient de retour. (sans commentaires)Paul et Annie, mes initiateurs étaient partis précipitamment dans leur famille (histoire d’héritage, d’après mes parents). Ce n’est que la semaine suivante qu’ils revinrent ; j’étais impatiente et, je dois le dire, tout émoustillée de les retrouver. Comme mes parents eurent la bonne idée de reprendre leur périple professionnel sur les routes de France, dès le lundi soir, je me retrouvai chez Paul et Annie.C’est Annie qui m’accueillit. Dès qu’elle me vit, elle leva le nez de ses copies et me tendit les bras. Je me précipitai vers son bureau et me penchai sur elle. J’ai encore en mémoire le goût suave et parfumé de nos baisers. À chaque fois, elle me plaçait une main derrière ma tête, au-dessus de ma nuque, comme pour me retenir, enfonçait sa langue au plus profond de ma bouche, mais sans la moindre brutalité, puis l’enroulait autour de la mienne, avant de la rentrer dans sa bouche, attendant que je lui rende cette caresse buccale.Elle me prit sur ses genoux et m’avoua : » Tu nous as manqué, tu sais !— Vous aussi, vous m’avez manqué.— Tu ne nous en veux pas ?— Mais, de quoi ?— De t’avoir débauchée ?— Mais, vous ne m’avez pas débauchée, vous m’avez fait connaître des moments si merveilleux, si forts, si hmm ! Mais je me demande si ce n’est pas moi qui suis vicieuse ?— D’avoir fait l’amour avec des vieux de quarante ans !— D’abord, vous n’êtes pas vieux, et ça a été si bon ! Non, c’est pas ça !— Quoi, alors ?— C’est difficile à dire, mais, je crois que ce qui me rend folle, c’est d’être enculée ; je sais que je devrais avoir honte, mais ça a été si extraordinaire ! Tout mon corps était comme irradié de plaisir. J’aime tellement ça que je n’ai pas pu résister, et cet après-midi, entre deux cours, je me suis donné du plaisir avec un doigt que j’ai beurré de crème et que je me suis introduit jusqu’à ce que je jouisse !— Mais, tu n’as pas à avoir honte, tu n’es pas la première à qui ça arrive ! Moi aussi, j’aime ça me faire enculer (ces mots prononcés par Annie, je n’en revenais pas !) et quand Paul n’est pas là , je joue toute seule, mais, ajouta-t-elle en riant, j’utilise autre chose que mon doigt ! Et là , en ce moment, il est en manque, ton petit trou ? « Je rougis, mais ne pus répondre. Elle sembla réfléchir quelques secondes puis me proposa : » Il est cinq heures et demie, on sort ? « Ses yeux avaient pris une expression bizarre, comme celle que j’avais lue, avant nos ébats amoureux. Qu’avait-elle, en tête ? C’est mon corps qui s’exprima par ma bouche : » Avec plaisir, lui répondis-je ; où allons-nous ?— À la piscine, et ne me dis pas que tu n’as pas de maillot, j’en ai au moins trois qui sont à ta taille. « N’attendant pas ma réponse, elle m’emmena dans sa chambre choisir celui qui me conviendrait. Je crois me souvenir que c’était un deux pièces d’un rouge très vif. Elle profita du fait que j’étais penchée sur le lit pour examiner les vêtements, pour soulever ma jupe. » C’est juste pour vérifier que tu respectes les recommandations de Paul ; tourne-toi, que je vois si ton minou est toujours aussi lisse ! « J’espérais tant qu’elle pose ses mains sur moi, mais elle ne me toucha pas. Elle constata mon sexe fraîchement rasé et mon absence de culotte, et c’est tout.Une demi-heure plus tard, nous étions dans l’eau. Manifestement, nager ne semblait pas être sa préoccupation. Alors que j’avais accompli un aller et retour dans le bassin, elle n’avait pas quitté le bord. Elle regardait dans toutes les directions. Quand je m’approchai d’elle, elle me glissa :  » Je crois que j’ai trouvé ce qu’il te faut !  » Comme je faisais l’étonnée, elle ajouta  » Tu es en manque ! » et comme pour vérifier son affirmation, elle glissa sa main dans mon slip de bain. » T’es folle, on peut nous voir !— Penses-tu, personne n’a la tête tournée vers nous et ose dire que ce n’est pas bon, ce que je te fais !— Que veux-tu faire de moi ?— C’est la surprise et je sais déjà qu’elle te plaira ! Je vais sortir de l’eau ; quand je te ferai signe, tu me rejoindras, et je te promets le grand frisson. « Je la vis quitter le bassin, récupérer nos serviettes et se diriger vers le coin opposé où était assis, sur un banc, un garçon apparemment guère plus âgé que moi. Elle s’assit à côté de lui. Ils conversèrent quelques minutes ; de temps en temps, je les voyais rire. Il me sembla qu’à un moment, elle le fit rougir, mais je me dis que je devais me tromper. C’est alors qu’elle me fit signe. Je sortis de l’eau pour les retrouver. À mon approche, ils se levèrent et sans un mot, je les suivis.  » Qu’avait-elle pu lui dire ? « Tandis que nous regagnions les vestiaires, Annie tourna sur sa droite et nous ouvrit la porte d’un lieu dans lequel je n’avais jamais mis les pieds. Elle nous laissa entrer puis referma à clé la porte derrière elle. C’était un vestiaire, sûrement peu utilisé à voir le tas de matériel qui y était entreposé.Elle dut deviner mon étonnement de la voir en possession de cette clé, car elle précisa, en nous la montrant,  » Ca, c’est mon petit secret ! «  » Annie, je te présente, Luc. Luc, je te présente Sophie !— Bonjour !— Bonjour !— Voilà , précisa-t-elle, en s’approchant de Luc, comme je te l’ai dit, Sophie est très jeune ( » j’ai quand même dixhuit ans passés, pensai-je « ) et elle n’a jamais vu le corps d’un homme ( » oh ! la menteuse « ) et je crois qu’il est temps qu’elle découvre comment c’est fait un homme.Elle le laissa planté au milieu de la pièce et me tendit l’une des serviettes : » Essuie-le, il est tout mouillé ! « J’obéis à son ordre. J’essuyai Luc, en passant un peu plus lentement sur la bosse que faisait son slip de bain. Annie ne me laissa pas continuer le jeu longtemps. » Viens t’asseoir ; Luc, montre-nous ta bite ! (Je ne me faisais pas au fait qu’Annie puisse prononcer de tels mots, et je crois que ce vocabulaire entre ses lèvres décuplait mon plaisir.) En faisait-elle exprès ?Inutile de dire que Luc et moi, nous étions rouges comme des pivoines. Il avait l’air quelque peu gaudiche, comme ça devant nous, mais la suite que je savais imaginée par Annie, ne me poussait pas à rire.Luc baissa les yeux, mit sa main dans son slip, en sortit son sexe, raide comme le bois, mais qui ma foi, était loin d’être de la taille de celui de Paul. » Comme il est petit, s’exclama Annie, je suis sûre qu’il peut encore grossir. Enlève ton slip, et branle-toi ! « Le garçon ne se fit pas prier et commença un manège qu’il avait sûrement l’habitude de pratiquer. » Stop ! arrête ! Lâche ta queue ! » Et elle se leva. Elle alla se placer derrière lui, se déshabilla et vint se coller contre lui. Elle se mit à l’embrasser dans le cou et je vis l’une de ses mains glisser le long de son corps pour atteindre le membre qu’elle décalotta avec la lenteur d’une supplicière. Son autre main partit vers la bouche du garçon, y introduisit un doigt qu’elle fit aller et venir comme un sexe, le retira et sa main disparut entre les fesses de Luc. Elle me fit signe d’approcher, de m’agenouiller devant Luc. » Et maintenant, elle va te sucer, comme on suce un sucre d’orge ; on t’a déjà sucé ? ; Non ?, et ton cul, on te l’a déjà sucé ? ; non ! Et bien, je te promets l’extase, mon chéri ! « A son tour, elle s’agenouilla, mais derrière Luc, et nous nous mîmes en devoir de le sucer ; malheureusement, le jeu tourna court car il lâcha très vite son foutre, foutre dont je ne perdis pas la moindre goutte. J’aurais tant aimé retrouver la chaleur d’une bite (qui n’était pas très grosse, il est vrai) dans mon cul.Comme Annie voyait mon désappointement, elle me dit : » Ne t’inquiète pas, à cet âge-là , ils rebandent très vite, tu vas voir ; tu vas t’occuper du haut et moi, du bas ! « Elle me mit carrément dans les bras de Luc qui ne se fit pas prier pour m’embrasser.Annie s’était à nouveau collé contre Luc :  » C’est bon, hein, dit-elle, on ne te l’avait encore pas fait, ça, hein ? Tu aimes, hein, mon doigt dans ton cul. Comme tu es étroit, tu es vierge ? Je te présenterai mon mari, il rêve d’un cul comme le tien. Tu peux demander à Sophie, elle connaît ; n’est-ce pas Sophie ?  » La bouche pleine, je ne pouvais répondre et c’était aussi bien comme ça. Par contre, je sentais tout contre moi, se dresser la bite de Luc.Annie, voyant que Luc avait retrouvé toute sa virilité, alla s’asseoir, non sans avoir disposé sur le sol l’un des tapis de bain présents. » Sophie, viens près de moi et mets-toi à genoux ; et toi, Luc, tu vas d’abord bien mouiller le cul de Sophie avec ta langue, puis tu glisseras un doigt à l’intérieur, que tu retireras aussitôt, que tu iras humidifier dans sa chatte avant de le replacer à nouveau dans son cul, et ainsi de suite jusqu’au signal que je te donnerai. « Ainsi fut fait. Annie et moi, nous nous regardions dans les yeux pendant que Luc prenait un plaisir évident à me tripoter cul et con. Annie ouvrit ses cuisses, tout en me souriant. Elle n’eut rien à dire ; ce sourire fut comme un signal pour que je glisse ma tête dans cette brèche. Je me retrouvai entre les cuisses d’Annie, lapant le jus qu’elle m’offrait (encore un parfum que ma mémoire a conservé).Elle poussait par instants ma tête pour que ma langue descende plus bas vers son œillet, ou, au contraire, la tirait pour que mes lèvres s’occupent de son bouton. Luc ne restait pas inactif : le manège imposé par Annie était exécuté avec conviction, c’est le moins que je puisse dire. Je sentais son doigt s’introduire le plus loin possible en moi, et je sentis la jouissance approcher quand Annie lui intima l’ordre de le faire avec encore plus de lenteur. Un délice ! .Et je l’entendis lui dire :  » Vas-y, encule la ; mais, retiens-toi le plus longtemps possible, qu’elle ait le temps de jour plusieurs fois. « Et c’est ce qu’il fit ; sa liqueur explosa en moi bien après que j’aie explosé à plusieurs reprises.Je repris réellement conscience qu’une fois installée dans la voiture qui nous ramenait vers la maison. » Ça t’a plu ? « Ma façon de la regarder suffit à la convaincre que oui. » J’ai encore plein d’autres surprises, si tu le veux ! « Et les mois qui suivirent me permirent de parfaire cette pratique  » culière  » que j’avais découverte et que depuis, j’adore plus que tout.