Les 3 veuves. Tragi-comĂ©die Ă©rotico-policière en un acteCe matin lĂ en me rĂ©veillant, j’avais le cafard .. J’étais encore sous le choc de la mauvaise nouvelle qui m’était arrivĂ©e hier soir sous le forme d’un tĂ©lĂ©gramme laconique  » jean est mort ce matin d’un arrĂŞt du cĹ“ur Ă 10h42″. sans signature. Un flash back me ramena de nombreuses annĂ©es en arrière. Nous avions alors 20 ans et faisions notre service militaire dans une petite ville de l’Allemagne du Nord oĂą le thermomètre affichait – 20°, tempĂ©rature normale pour un mois de fĂ©vrier dans cette rĂ©gion. Nous Ă©tions quatre dans une petite chambre glaciale et nous nous liâmes rapidement d’amitiĂ©. Il y avait jean le mĂ©ridional, chaleureux et Ă l’accent chantant qui commençait ses Ă©tudes de pharmacie. Richard l’homme du Nord, non moins chaleureux qui comptait passer son brevet de pilote hauturier et qui rĂŞvait de voyages lointains. Hercule ( cela ne s’invente pas ), mince, fragile, discret, extrĂŞmement repliĂ© sur lui mĂŞme et qui portait un nom Ă particule et supportait avec rĂ©signation le titre de baron qui lui venait d’ancĂŞtres anoblis lors de croisades obscures du moyen âge . Et enfin, moi-mĂŞme, breton exilĂ© Ă paris et prĂ©parant des diplĂ´mes de droit pour ĂŞtre avocat. Durant les 18 mois de notre service, nous ne nous quittâmes pratiquement jamais, partageant tout.. Nous avions 20 ans. Souvent Hercule recevait en ville une mĂŞme et superbe jeune femme Ă©nigmatique ( dont nous Ă©tions tous amoureux, d’ailleurs ). Il Ă©tait peu loquace sur ce sujet.. Notre entente Ă©tait si parfaite que pendant les dix annĂ©es suivantes nous nous retrouvâmes rĂ©gulièrement : Jean Ă©tait devenu pharmacien, Richard capitaine au long cours; Hercule Ă©tait toujours Baron et sorti major de deux Ă©coles prestigieuses et moi-mĂŞme avocat et professeur de droit. Nous nous Ă©tions mariĂ©s, mais n’en parlions jamais d’autant plus qu’une sinistre fatalitĂ© nous avait tous privĂ©s de descendance. Nous nous rencontrions tous les ans Ă la mĂŞme date dans un restaurant parisien très connu et finissions la nuit au cabaret. Ensuite mes amis me remettaient de mystĂ©rieux paquets pour que je les mette en lieu sĂ»r. Trop confiant je m’acquittai de cette tâche sans me poser de questions. Si j’avais su ! Puis avec le temps les liens du passĂ© s’étaient estompĂ©s jusqu’à cette annĂ©e funeste 1999 oĂą mes trois amis dĂ©cĂ©dèrent : Hercule, d’une chute de cheval, Richard lors d’une rixe dans un bouge du moyen-orient et maintenant Jean. Comme nous l’avions dĂ©cidĂ©s ensemble, il avait Ă©tĂ© convenu que nous n’assisterions pas Ă l’enterrement de l’un de nous au cas funeste oĂą cela arriverait.Ce matin lĂ , au cabinet, j’étais perdu dans mes pensĂ©es Ă un tel point que ma charmante assistante passa longtemps Ă arroser une petite plante verte qu’elle avait posĂ©e par terre avant que je ne remarque que sa jupe un peu trop courte dĂ©voilait ses jolies jambes rondes et sa superbe croupe Ă peine cachĂ©e par un slip rose qu’elle avait, Ă son habitude, enfoncĂ© profondĂ©ment dans sa fente, faisant ressortir les lèvres roses de sa chatte toujours humide. Elle m’avait expliquĂ© pourquoi avec sa charmante petite moue : quand elle marchait, le frottement de la culotte sur son clitoris et son petit trou lui procurait des sensations très agrĂ©ables qui dĂ©bouchaient sur de petits orgasmes qui lui arrivaient dans les endroits les plus inattendus. Et ajoutait-elle, lĂ©gèrement amusĂ©e, je ne parle pas du mĂ©tro en Ă©tĂ©, sa superbe croupe moulĂ©e dans les tissus lĂ©gers faisait qu’ aux heures de pointe elle voyageait rarement seule. En effet il y avait toujours un homme qui se collait derrière elle. Quand l’homme lui plaisait, elle s’amusait Ă remuer ses fesses charnues Ă tel point qu’arrivĂ© Ă sa destination l’homme descendait en essayant de cacher une Ă©rection qui n’en Ă©tait que plus visible. Et je ne parle pas de ceux qui ne pouvaient se retenir et maculaient leur pantalon.. Bref c’était une coquine. AttristĂ©e par mon apathie, elle se glissa par jeu sous mon bureau et zippa ma braguette puis sortit mon sexe mou qu’elle enfourna dans sa jolie bouche. Elle aimait sucer et le faisait très bien. Elle arriva facilement Ă me faire jouir et avala comme elle le faisait toujours l’intĂ©gralitĂ© de mon jus, aspirant avec soin les dernières gouttes. Elle rangea soigneusement mon sexe dans le slip, se releva et nous parlâmes travail pendant qu’elle se pourlĂ©chait encore les lèvres avec gourmandise. Il faut dire que nous nous entendions aussi bien sur le plan travail que sur celui du sexe. Elle Ă©tait très friande des longs cunnilingus que je lui prodiguai gĂ©nĂ©reusement, au contraire de son mari qui lui refusait cette caresse dont elle raffolait particulièrement. Elle aimait s’allonger sur mon bureau, jupe relevĂ©e, sans culotte et sentir ma bouche et ma langue explorer avec amour et savoir faire son sexe toujours mouillĂ© et sa jolie rondelle très Ă©lastique. Son clito Ă©tait très petit, Ă peine visible mais ultra-sensible Toute Ă son plaisir il lui arrivait parfois de se laisser aller Ă jouir bruyamment, attirant des notes de service internes rageuses de la part de la directrice des RH ( Solange, une charmante jeune femme au demeurant, bien que trop mince Ă mon goĂ»t) qui avait son bureau Ă cĂ´tĂ© du mien. Etait-elle jalouse? Et la vie reprit son cours. Un vendredi matin, je m’en souviens fort bien, je reçus un gros paquet par pli spĂ©cial en provenance d’un important office notarial de la place. Après en avoir accusĂ© rĂ©ception, je demandai Ă mon assistante de venir m’aider Ă dĂ©pouiller ce paquet. Mon ami hercule me demandait post mortem d’enquĂŞter sur leurs Ă©pouses. Un peu surpris je m’acquittai de cette tâche. Si j’avais su!J’arrivai le matin dans cette grande ville du Nord de la France. Un ami m’avait communiquĂ© l’adresse d’un enquĂŞteur privĂ© très efficace. Quand j’avais pris rendez-vous, j’avais eu au bout du fil une voix rauque et je pensais que le dĂ©tective Ă©tait un homme La femme qui m’ouvrit me prouva le contraire. Grande et baraquĂ©e, âgĂ©e d’une trentaine d’annĂ©es elle dĂ©gageait une impression de force. elle portait des santiag Ă haut talon Je lui exposa le problème et elle prit mĂ©ticuleusement de nombreuses notes. Elle me demanda ensuite oĂą j’étais descendu et comme je n’avais rien prĂ©vu elle me proposa une de ses chambres d’amis. J’étais actuellement son unique client. ArrivĂ©e dans sa grande maison, isolĂ©e dans la campagne, elle me proposa de prendre une douche pendant qu’elle tĂ©lĂ©phonait. Je me douchai et enfilai son peignoir qui Ă©tait un peu trop grand pour moi. Elle ouvrit la porte de la salle de bains oĂą je me trouvai et me dit qu’elle avait les renseignements. Pas gĂŞnĂ©e le moins du monde elle dĂ©grafa le peignoir que je portais et prit dans sa grande main ma verge molle qu’elle secoua vigoureusement pour le faire durcir. Pas mal dit-elle. Vous permettez? Sans attendre la rĂ©ponse, elle enleva bottes, chaussettes, pantalon et slip et me fit allonger sur le dos. Sans façon, elle s’accroupit sur moi, me tourna le dos et prenant ma bite Ă pleine main l’enfonça dans sa chatte qui devint tout de suite gluante. Elle me baisa vigoureusement Ă grand coup de han! Han!.. Elle prit son pied comme un homme et se leva aussitĂ´t. Constatant que je n’avais pas joui, elle me fit lever, m’entraĂ®na dans les wc et secoua mon sexe avec Ă©nergie au-dessus de la cuvette. Comme je ne venais pas assez vite, elle accĂ©lĂ©ra encore le mouvement si bien que je finis par gicler dans la lunette. Elle me dit : c’est bon, hein?. je ne rĂ©pondis pas et serrai les cuisses sur mon sexe endolori par les plus que vigoureux massage.Et 5 minutes plus tard, comme s’il ne s’était rien passĂ©, nous Ă©tions dans sa voiture et roulions Ă tombeau ouvert vers l’hĂ´tel oĂą la femme de richard avait ses habitudes. Avant de sortir de voiture elle prit malgrĂ© mes regards inquiets menottes et pistolet. ArrivĂ©s Ă l’étages nous fĂ»mes conduits Ă la chambre par le bruit peu discret d’un couple qui s’ébattait bruyamment. La cow-girl enfonça la porte d’un coup de pieds ( je crois que j’avais Ă©tĂ© trop gĂ©nĂ©reux en ce qui concerne le remboursement de tous les frais que je lui avais promis). Une jolie blonde ( vraie ) bronzĂ©e intĂ©gralement Ă©tait Ă quatre pattes sur le lit, offrant une croupe plus que gĂ©nĂ©reuse Ă un jeune homme bien membrĂ© qui la prenait vigoureusement en levrette . Le lit tremblait sous les coups de boutoirs. Notre arrivĂ©e bruyante entraĂ®na un froid certain L ’homme se retira aussitĂ´t. Ma cow-girl sortit ses menottes, et attacha prestement les deux amants au lit. Le jeune homme commença Ă protester mais n’eut pas le temps de terminer sa phrase car ma dĂ©tective lui saisit le sexe de la main gauche et le branla Ă©nergiquement tandis que la main droite se saisissait du plus gros des phallus en plastique qui traĂ®nait sur la table de nuit et le lui enfonçait violemment dans l’anus.. Il beuglât littĂ©ralement et sous le coup de la surprise et de la douleur Ă©jacula puissamment dans toutes les directions. La cow-girl les dĂ©tacha et leur demanda de s’habiller rapidement. Quand nous sortĂ®mes de la chambre, le palier Ă©tait dĂ©sert. L’homme s’esquiva sans demande son reste. Nous nous engouffrâmes dans la voiture, direction la maison de la dĂ©tective. Ma cow-girl s’esquiva ensuite nous laissant seuls en tĂŞte Ă tĂŞte : la femme de richard et moi..Sa robe blanche mettait en valeur son bronzage. Son visage Ă©tait agrĂ©able Ă regarder. Ses formes Ă©taient Ă la limite de l’opulence ( quelques kilos en plus l’auraient fait paraĂ®tre grosse). Mais elle me plaisait beaucoup et elle s’en rendait compte. Dans le rĂ©frigĂ©rateur, il n’y avait que des Ĺ“ufs et elle fit une omelette. Elle proposa ensuite de faire la sieste. Dans la chambre, un grand lit aux draps noirs semblait nous attendre. Elle enleva sa robe blanche. Elle Ă©tait nue en dessous. Son bronzage intĂ©gral faisait ressortir sa pilositĂ© blonde semblable Ă de l’or. Elle Ă©tait face Ă moi et me regardait droit dans les yeux. La toison Ă©tait soigneusement coupĂ©e en forme de triangle, les longs poils dorĂ©s formaient un matelas Ă©pais couvrant intĂ©gralement la fente. Plus Ă©tonnant la toison continuait vers le haut du corps sous la forme d’un mince ruban dorĂ© qui ne s’arrĂŞtait qu’entre les seins lourds et lĂ©gèrement tombants. Elle se tourna lentement pour me permettre d’admirer le verso. Sa croupe imposante Ă©tait largement fendue en son milieu et une forĂŞt Ă©paisse de poils dorĂ©s s’échappaient de la raie et venait s’épanouir en bas de son dos en un tapis Ă©pais de mousse blonde.. Je vous plais dit-elle faussement innocente, en s’allongeant sur les draps noirs. Je me dĂ©shabillai en un temps record et m’allongeai près d’elle .Sa pilositĂ© ressortait encore davantage sur les draps noirs Ă tel point qu’on aurait pu croire qu’elle Ă©tait couverte de copeaux d’or comme la chaĂ®nette qu’elle portait Ă la cheville. Comme je voulais glisser ma langue dans sa bouche, elle me repoussa doucement et me dit d’un air gourmand qu’elle prĂ©fĂ©rait les feuilles de rose. Elle se retourna sur le ventre me prĂ©sentant son superbe cul. J’écartai les globes charnus : la raie Ă©tait couverte d’un tapis de poils blonds. Je dus les Ă©carter pour trouver la pastille rose que je taquinai de la langue avant de la pĂ©nĂ©trer. Elle devait adorer cette caresse car elle me demanda de continuer plusieurs fois. elle gĂ©missait de plaisir. Je la retournai sur le dos et après avoir Ă©cartĂ© les poils, j’ouvris sa fente et me mit Ă la sucer. Elle coulait abondamment et j’avais la bouche remplie de sa liqueur, que j’avalais d’ailleurs avec gourmandise. Je la fis jouir presqu’ immĂ©diatement quand ma langue titilla son joli clito rose. Elle se leva ensuite, enfila ses chaussures Ă talons hauts et s’accouda sur le bureau faisant saillir sa superbe croupe. Je bandais Ă mort lorsque je me mis derrière elle. Je m’enfonçai dans sa chatte trempĂ©e et agrippant sa taille la baisai vigoureusement pendant qu’elle faisait onduler son gros cul. Ă€ un moment je dĂ©rapai et pĂ©nĂ©trai sans le vouloir son anus qui s’ouvrit comme une fleur. Le fourreau Ă©troit Ă©tait soyeux Ă souhait. Elle beugla son plaisir pendant qu’un spasme la secouait.Comme je n’avais pas joui, je lui proposai une cravate de notaire. Cela la fit rire et elle me rĂ©pondit qu’elle prĂ©fĂ©rait le terme de branlette espagnole. Elle s’allongea sur le sol et serra ses gros seins entre ses mains. Je me mis sur elle et enfonçai ma bite dure dans le sillon Ă©troit. J’étais tellement excitĂ© que j’éjaculai presque tout de suite en de longues giclĂ©es qui maculèrent son visage. AmusĂ©e elle ramassa le sperme avec ses doigts et porta le tout Ă sa bouche. Elle avala avec un plaisir Ă©vident le jus qu’elle avait rĂ©cupĂ©rĂ©. Nous nous allongeâmes su le lit et toute en s’amusant avec ma queue devenue molle, elle me demanda oĂą Ă©taient les paquets. Comme je lui rĂ©pondis que je l’ignorai, elle se mit en colère et serra fortement mes testicules ce qui me fit venir les larmes aux yeux. Je ne dus mon salut qu’à l’arrivĂ©e de la cow-girl. La blonde ravageuse s’habilla et quitta la maison en claquant la porte violemment.Elle reposait dans un petit cimetière campagnard. Paix Ă son âme.J’attendais Ă la sortie de la gare. Une jaguar arriva Ă toute allure et s’arrĂŞta devant moi. Elle en descendit.. J’eus un choc et malgrĂ© les annĂ©es qui s’étaient Ă©coulĂ©es je reconnus tout de suite la belle et Ă©nigmatique crĂ©ature qui venait rendre visite de nombreuses annĂ©es plus tĂ´t Ă mon ami Hercule. Le temps ne semblait pas avoir eu de prises sur elle. Seules quelques rides fines apparaissaient sur le beau visage presque trop parfait. Entre nous pas besoin de parler, nous ressentions la mĂŞme peine. Elle conduisait très bien mais un peu vite. Un peu inquiet je surveillai le compteur qui accrochait le 200 Ă la moindre petite ligne droite.. Elle semblait aussi indiffĂ©rente au fait que sa jupe Ă©tait remontĂ©e très haut dĂ©voilant intĂ©gralement ses longues jambes gainĂ©es de bas couleur chair qui Ă©taient tenus très hauts par un porte-jarretelles noir. C’était la première fois que je voyais le château qui Ă©tait noyĂ© ans la pĂ©nombre. La suite se passa très vite : un majordome comme il n’en existe plus que dans les films me conduisit Ă mes appartements et me prĂ©vint que la tenue de soirĂ©e Ă©tait exigĂ©e pour le dĂ®ner. Ă€ 21 heures, en smoking, j’arrivai dans l’immense salle. J’eus un choc. Mon dieu, qu’elle tait belle! Un savant maquillage mettait en valeur ses grand yeux noirs et sa grande bouche aux lèvres bien ourlĂ©es. Un chemisier transparent ne cachait rien de ses seins lourds en forme de poires dont les pointes dures semblaient vouloir transpercer le tissus. Une jupe noire longue entièrement fendue sur le devant laissait apparaĂ®tre ses jambes interminables gainĂ©es de bas noirs attachĂ©s très haut sur les cuisses ainsi qu’un slip ou une toison de couleur sombre. Mon Ă©rection devait ĂŞtre visible car son regard s’attarda quelques secondes sur ma braguette gonflĂ©e. Le repas dura longtemps. Les vins lourds, les vieux alcools embrumaient mon esprit. Au sortir de table elle prit mon bras familièrement pour que je la conduise Ă sa chambre. Elle m’attira Ă l’intĂ©rieur et posa sa bouche sur la mienne. Sa langue longue et nerveuse s’enroulait autour de la mienne. Elle me dĂ©shabilla avec habiletĂ© et je me retrouvai bientĂ´t nu comme un ver devant elle bandant comme un âne. Elle me fit allonger sur le gigantesque lit et promena sa bouche longuement sur mon corps. Je gĂ©missais sous ses caresses adroites et quand elle me prit dans sa bouche je crus que j’allais dĂ©faillir.Elle s’arrĂŞta brutalement et de sa voix un peu grave elle me demanda de lire une lettre de mon ami Hercule Ă©crite Ă mon intention. Surpris je pris l’enveloppe qu’elle me tendait, l’ouvris et la lus. Le dernier paragraphe me fit l’effet d’une bombe. Il me prĂ©venait que son amie Ă©tait Ă mi-chemin entre l’homme et la femme, de ne pas me choquer et que je connaĂ®trai alors avec elle des sensations inoubliables. Je compris d’un seul coup pourquoi je me sentais attirĂ© par elle et qu’en mĂŞme temps je ressentais une certaine gĂŞne. C’était un transsexuel.. Elle me prit la lettre des mains et Ă©teignit la lumière. Je dis « elle « car Ă aucun moment de cette nuit agitĂ©e je ne pus la considĂ©rer comme un homme tant sa fĂ©minitĂ© Ă©tait omniprĂ©sente. J’avais rallumĂ© la lumière pour vois ce corps parfait, enfin presque parfait…je la sodomisai plusieurs fois au cours la nuit mais je crois que j’eus le maximum de plaisir entre ses lèvres pulpeuses. Jamais on ne m’avais sucĂ© de façon aussi intense et Ă chaque fois j’envoyai dans sa bouche ma liqueur que je n’aurai jamais cru aussi abondante. Elle dĂ©gustait le tout lentement, me dĂ©vorant de ses grands yeux noirs Je me rĂ©veillai tard le matin, Ă©puisĂ©. Elle Ă©tait allongĂ©e près de moi et me demanda de sa voix mĂ©lodieuse si je n’avais pas de paquets pour elle. Devant mon air Ă©tonnĂ©, elle se mit en colère et d’une voix rageuse me dit que l’on se reverrait bientĂ´t. Et elle me laissa sur place, interloquĂ©.Le château Ă©tait en fait en piteux Ă©tat. Je dus tĂ©lĂ©phoner Ă la sociĂ©tĂ© pour que l’on vienne me chercher. La directrice des RH se dĂ©voua sans enthousiasme. Quelques heures plus tard La BMW de la sociĂ©tĂ© avec Solange au volant s’arrĂŞta devant le perron .A son air pincĂ©, on voyait bien que cela ne lui plaisait pas. Elle dĂ©marra en trombe. Et quelques minutes plus tard nous roulions Ă vive allure sur l’autoroute. Après un silence interminable je pris l’initiative et lui demandai pourquoi, au bureau, elle nous espionnait par la grille d’aĂ©ration quand nous nous Ă©battions mon assistante et moi. Elle rougit et ne rĂ©pondit pas, les yeux fixĂ©s sur la route. Je posai ma main sur sa cuisse, elle me jeta un regard assassin mais ne dit rien. Je m’enhardis et du bout des doigts caressai le tissu du pantalon Ă l’endroit de l’entrejambe. Elle me fusilla du regard mais ne fit encore rien. Je me mis carrĂ©ment Ă la masturber malgrĂ© le tissu, insistant Ă l’endroit du clitoris. Elle se mordillait les lèvres nerveusement. Soudain et sans prĂ©venir elle changea de direction et s’engouffra dans la bretelle de sortie de l’autoroute. Une cacophonie de Klaxon accompagna cette manĹ“uvre risquĂ©e. Elle prit une dĂ©partementale, puis un chemin de terre et pila brutalement devant une sorte de hangar perdu en plein champ.Elle sortit de la BMW et me fit signe de sortir. Quand je fus devant elle me balança une paire de gifles qui me fit vaciller. En colère, je la lui rendis et comme elle ouvrait la bouche je saisis son entre jambes dans ma main ce qui la pĂ©trifia. Le tissu Ă©tait trempĂ©Â : elle mouillait comme un fontaine Elle m’aida Ă Ă´ter son pantalon et se trouva cul nul devant moi. Ses cuisses Ă©taient très musclĂ©es et elle avait un joli petit cul bien rond. Je la poussai Ă l’intĂ©rieur du hangar et la fit mettre Ă quatre pattes. Je me mis derrière elle, sortis ma queue toute raide et la pris en levrette. Je commençai Ă bouger quand elle me dit : mais il y a quelqu’un. En effet, un vieux paysan Ă©tait en train de graisser les pièces du moteur de son tracteur et nous regardait sans mot dire, interloquĂ©. Il avait environ 70 ans, le visage ridĂ©, des petits yeux porcins et un bĂ©ret crasseux vissĂ© sur la tĂŞte. Il s’approcha très intĂ©ressĂ© et se mit Ă genoux devant la tĂŞte Ă Solange. Ă€ notre surprise, il ouvrit sa braguette et sortis un gros bout de chair noueux qu’il branla pour faire durcir. Puis tranquillement il saisit dans ses grandes main calleuses la tĂŞte de Solange, approcha la jolie bouche du gland violacĂ© cernĂ© de tâches jaunâtres qui prouvaient qu’il n’avait pas vu le savon depuis longtemps. Elle ouvrit la bouche pour protester et il en profita pour y enfourner profondĂ©ment son vieux chibre noueux. Nous Ă©tions tombĂ©s sur un vieux vicieux. La bouche pleine, elle Ă©mettait des grognement de protestation. Nous nous mĂ®mes Ă la baiser en cadence, moi derrière elle cramponnĂ© Ă ses hanches. Lui, tenant fermement sa tĂŞte faisait dans sa bouche de puissants va-et-vient.. Puis elle prit l’initiative tĂ©tant voracement la grosse queue du paysan qui ouvrit la bouche pour la première fois  » quelles salopes ces parisiennes « . Une idĂ©e me vint. Je me retirai et fit signe au paysan de s’allonger le dos au sol., ce qu’il fit en maugrĂ©ant. Je pris Solange par la taille et la fis venir sur le vieux salaud. elle comprit tout de suite et accroupie sur lui s’empala sur le gros dard noueux. Son petit cul remuait devant moi. Je pris le pot de cambouis du paysan qui lui servait Ă graisser le moteur du tracteur et y plongea mon sexe raide Ă plusieurs re prises. Quand il fut bien recouvert de graisse Ă©paisse, je me positionnai juste au-dessus de Solange et Ă©cartant les fesses fermes je posai mon gland sur sa petite rondelle. Surprise elle ne se dĂ©fendit pas et quand elle comprit, c’était trop tard je l’avis pĂ©nĂ©trĂ©e de plusieurs centimètres. Elle se dĂ©battit mais ses mouvements me permirent de rentrer plus encore profondĂ©ment dans le fourreau Ă©troit. D’un coup de reins puissant je l’enculai bien Ă fond et commençai un lent va-et-vient. Elle Ă©tait littĂ©ralement prise en sandwich . Et soudain ce fut elle qui donna la cadence Ă un rythme infernal. Je jouis dans son cul tandis que le vieux cochon dĂ©chargeait son foutre dans sa petite chatte. Elle eut un orgasme puissant, cria des choses incomprĂ©hensibles et s’affala sans connaissance sur le sol en terre battue. Le paysan se leva, rentra dans son pantalon le gros sexe devenu mou et me dit avec son accent du terroir : vous auriez pu utiliser moins de graisse, au prix que ça coĂ»te.!Nous aidâmes Solange Ă se rhabiller et le paysan nous accompagna chez lui. Sa femme mise dans la confidence rigolait de toute sa bouche Ă©dentĂ©e. Solange prit un bain chaud dans une baignoire qui devait dater du 1er empire. Ensuite, ce fut elle qui me chargea de passer une crème adoucissante sur son anus dilatĂ© et douloureux. Cela devait lui faire mal car elle se retourna courroucĂ©e quand je lui fis un peu malicieusement des compliments sur son joli petit cul. Je conduisis pour rentrer dans un silence de plomb .Les jours passèrent. J’avais oubliĂ© tout cette histoire et ce matin lĂ , je me penche pour ouvrir la porte de ma voiture. Soudain un coup violent sur la tĂŞte. Un trou noir. Je me rĂ©veille lentement avec un lancinant mal de crâne. Mes poignets sont attachĂ©s en hauteur Ă un anneau fixĂ© dans le plafond bas de ce qui ressemble Ă première vue Ă une cave. Je suis habillĂ© Ă l’exception de mes pantalons et slip qui ont Ă©tĂ© baissĂ©s sur les chevilles. La pièce n’est pas Ă©clairĂ©e. Seul un brasero rougeoie. Deux silhouettes s’approchent. Il y a la femme de richard qui n’a pour tout vĂŞtement qu’une paire de grosses galoches aux pieds. La lumière rouge du brasero donne des lueurs cuivrĂ©es Ă son abondante pilositĂ© habituellement dorĂ©e. Ă€ cĂ´tĂ© d’elle il y a la belle transsexuelle. Elle est Ă©galement nue, juchĂ©e sur des chaussures Ă hauts talons, ses seins volumineux dardent leurs pointes dures. Elle semble excitĂ©e et sa longue queue mince pointe vers le ciel. Tiens, il est rĂ©veillĂ© le petit chĂ©ri dirent-elles en cĹ“ur. La blonde se met Ă genoux devant moi et sans attendre enfourne goulĂ»ment mon sexe dans sa bouche et me suce avec voracitĂ©, me faisant durcir en quelques secondes. C’est tellement bon que je ne m’aperçois pas tout de suite que la belle crĂ©ature hybride est passĂ©e derrière mois. Elle Ă©carte mes fesses et me perfore l’anus de sa longue bite. La douleur est telle que je me mets Ă dĂ©bander aussitĂ´t au grand amusement de la suceuse. La crĂ©ature m’encule maintenant Ă grands coups de queue. Cela dure longtemps et je ressens rien sinon une brĂ»lure intense. Puis soudain je sens un chaleur agrĂ©able m’envahir les reins. J’essaie de me retenir, mais en vain. La suceuse s’exclame soudain : « mais il jute le petit salaud ». Je baisse les yeux et je sens que je rougis de honte. Mon sexe est toujours mou mais de longs filets de sperme s’écoulent du mĂ©at. La suceuse les rĂ©cupère dans sa bouche et aspire fortement le jus qui lui vient par a – coups. Mon enculeuse s’est retirĂ©e sans jouir me laissant tout endolori. La blonde poilue m’abandonne après m’avoir bien vidĂ© les couilles. Les deux crĂ©atures s’enlacent maintenant devant moi lascivement si bien que je me mets Ă bander de nouveau. La blonde s’en aperçoit. Elle s’absente un instant et revient avec une lame de rasoir qu’elle tient habilement entre le pouce et l’index.. « Maintenant petit chĂ©ri tu vas nous dire oĂą ils sont ? ».Leur ton a changĂ© et leur visage aussi. J’ai en face de moi maintenant des crĂ©atures aux yeux durs et mĂ©chants. Je les vois enfin sous leur vrai jour .Impitoyables et froides. Et soudain je me souviens d’un fait divers qui avait dĂ©frayĂ© la chronique il y a quelques annĂ©es. Le titre de l’article de presse Ă©tait Ă©loquent : deux tueuses torturent sexuellement leurs victimes pour leur faire avouer oĂą elles cachent leurs Ă©conomies. La police est sur leurs traces mais sans succès ; La blonde promène avec habilitĂ© le fil de la lame sur le gland de ma verge tendue. Quand tu jouiras, petit chĂ©ri, je te couperai la pine d’un seul coup de lame de rasoir. Ă€ moins que tu ne parles. J’ai beau leur expliquer que je ne comprends pas, rien n’y fait la lame de rasoir caresse le gland. J’essaie de dĂ©bander mais je n’y arrive pas. Les 2 harpies m’expliquent que mes trois copains Ă©taient des fieffĂ©s salauds. Ils Ă©taient la fameuse bande des tueurs fous qui pillaient les bijouteries et ne laissaient personne de vivant après leur passage. Quant Ă elles, elles prenaient plaisir Ă torturer sexuellement celles et ceux qui ne voulaient pas parler. Puis elles se sont dĂ©barrassĂ©es de leurs hommes qu’elles trouvaient trop timorĂ©s Les paquets que mes drĂ´les d’amis me remettaient Ă©taient des bijoux volĂ©s. Je compris tout d’un seul coup et en mĂŞme temps j’éjacule violemment, j’entends des coups de feux et je sens une brĂ»lure sur le cĂ´tĂ© de mon crâne. Je perds Ă moitiĂ© connaissance. Des silhouettes s’agitent autour de moi. Puis le trou noirJe me rĂ©veille Ă l’hĂ´pital. Il y a pas mal de monde autour de mon lit. Un monsieur dĂ©corĂ© me remercie pour l’arrestation des 2 folles crĂ©atures et me prĂ©sente le capitaine et le lieutenant de la police de la slobonie orientale qui ont menĂ© l’enquĂŞte.: c’est Solange et la cow-girl qui me couvrent d’un regard attendri. Tout le monde sort de la pièce sauf Solange qui s’assied près du lit et me demande de l’épouser. Je ne sais pas ce qui me pousse Ă lui dire oui. Sa main glisse sous les draps, se faufile dans le pantalon de pyjama pour s’emparer de mon sexe qui durcit aussitĂ´t. Elle se penche sur moi, pose ses lèvre sur les miennes, nos langues s’enroulent pendant qu’elle me caresse avec beaucoup d’habiletĂ©. La porte s’ouvre et une jeune infirmière rougissante pĂ©nètre avec un plateau sur lequel il y a un tube de pommade. Devant nos regards interrogateurs la jeune infirmière maintenant Ă©carlate bredouille : c’est pour l’anus du monsieur. Je me mets sur le ventre, l’infirmière passe la pommade sur mon anus malmenĂ© par la transsexuelle meurtrière Solange se met Ă rire et dit  » tu sais que tu as un beau petit cul mon chĂ©ri…..Je me retourne pour lui jeter un regard courroucĂ© qui ne fait qu’accentuer sa bonne humeur  » L’infirmière sortie, elle enlève ses chaussures, relève sa jupe jusqu’à la taille, monte sur le lit et s’accroupit au-dessus de mon visage. Elle ne porte pas de culotte. Elle ouvre grand sa fente rose et se baisse de telle façon que son sexe bĂ©ant soit contre ma bouche. Je commence Ă la sucer quand je l’entends dire d’une voix Ă©namourĂ©e : au fait mon petit chĂ©ri tu ne m’as pas dit ce que tu as fait des bijoux volĂ©s…?. »Y aurait-il une femme qui accepterait d’écrire avec moi d’autres nouvelles dans le mĂŞme style ?(theo246@caramail.com)