Les 7 avantages de vivre seul
D’habitude, après avoir éteint mon ordi, je me serai mise au lit, puis je me serai endormi après m’être donné un orgasme magistral à l’aide de mes jouets. Le lendemain, je me serais sûrement réveillée les yeux troubles et les doigts collants, puis, j’aurais été sous la douche jouir à nouveau sur mon gode mural. Mais ce soir, c’était différent.
Proposée le 29/08/2021 par TheBigBeard Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: MasturbationPersonnages: SoloLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Je refermai mon ordinateur portable, les mains lĂ©gèrement tremblantes.J’étais tellement trempĂ©e que je pouvais sentir les lèvres de ma chatte se frotter l’une contre l’autre alors que je m’enfonçai dans le canapĂ©, rejouant ses mots dans ma tĂŞte.Il avait toujours su comment me mettre hors de moi.Ce n’était pourtant que des mots sur un Ă©cran, mais Ă chaque fois, je ne pouvais m’empĂŞcher de mouiller ma culotte quand je lisais ce qu’il voulait me faire.D’habitude, après avoir Ă©teint mon ordi, je me serai mise au lit, puis je me serai endormi après m’être donnĂ© un orgasme magistral Ă l’aide de mes jouets. Le lendemain, je me serais sĂ»rement rĂ©veillĂ©e les yeux troubles et les doigts collants, puis, j’aurais Ă©tĂ© sous la douche jouir Ă nouveau sur mon gode mural.Oui, c’est ça les avantages de vivre seul !Avantage n°1 : Vous pouvez laisser vos sextoys dans la douche. Mieux vaut ça que le cafĂ© pour un bon coup de pied au cul le matin.Mais ce soir, c’était diffĂ©rent. Ce soir, il m’avait dĂ©crit en des termes sans Ă©quivoque ce qu’il ferait de moi s’il pouvait, lĂ tout de suite, me prendre sous la douche… Et cela me laissait brĂ»lante de dĂ©sir.Avantage n°2 de vivre seul : Vous pouvez prendre une douche Ă n’importe quel moment de la journĂ©e ou de la nuit.Posant mon ordinateur sur le canapĂ©, je me levai et m’étirai avant de monter Ă l’étage. Une fois dans ma chambre, je me dĂ©shabillais lentement, passant ma main sur ma peau nue au fur et Ă mesure que celle-ci se dĂ©couvrait.Mes tĂ©tons durcissaient au contact de l’air frais alors que je les titillais, gĂ©missant Ă haute voix sous l’effet que cela me procurait. J’agrippai ensuite mon tĂ©lĂ©phone pour immortaliser la scène et lui envoyer. « Je vais mordre ces tĂ©tons jusqu’à ce que tu me supplies d’arrĂŞter »Il savait que je ne voulais pas ĂŞtre traitĂ©e comme une lady. Il savait que je n’avais besoin ni de romantisme ni de flatterie, et que je voulais simplement ĂŞtre traitĂ©e comme la petite salope que j’avais toujours eu trop peur d’être.Mon jus dĂ©goulinait dĂ©jĂ Ă l’intĂ©rieur de mes cuisses quand enfin, j’atteignis la douche et fis couler l’eau. Je jetai ensuite un rapide coup d’œil sur mon gode qui dĂ©passait obscènement du mur afin de tester son adhĂ©rence.Cela faisait trèèèèèès longtemps que j’étais cĂ©libataire et j’en avais fini par d’avantage comptĂ© sur ce long tube en silicone pour me faire jouir que sur le dernier looser que j’avais ramenĂ© dans mon intimitĂ©. Pas de blabla inutile, pas de prĂ©liminaire, pas d’excuses… juste une Ă©rection permanente et nĂ©cessitant peu d’entretien… le rĂŞve !Je tremblais presque de manque au moment oĂą j’ouvris la porte de la douche et que je pĂ©nĂ©trai dans la brume tourbillonnante. Je collais alors mes mains aux parois de la douche et laissais simplement l’eau pleuvoir sur moi.Une fois mon corps totalement inondĂ©, je me retournai et Ă©cartai les fesses, laissant l’eau couler sur la crevasse de mon cul afin qu’elle se mĂŞle Ă mon excitation.La salle de bain s’était rapidement transformĂ©e en une vĂ©ritable fournaise, me faisant inhaler bruyamment alors que j’écartais davantage les fesses pour permettre au jet d’atteindre directement mon petit trou. La pression de l’eau qui frappait de plein fouet mon Ă©toile plissĂ©e avant de couler en ruisseaux dans ma chatte me faisait lourdement gĂ©mir de frustration. Avantage n°3 de vivre seul : Personne ne peut entendre le bruit de vos gĂ©missements.Bien dĂ©cidĂ©e Ă prolonger cette longue agonie, je me redressai et tandis la main vers mon gel douche. Après en avoir versĂ© une quantitĂ© gĂ©nĂ©reuse dans ma paume de main, je commençai Ă me savonner et bientĂ´t, mes mains glissèrent sur mes seins, tirant Ă nouveau sur mes pointes.Ils Ă©taient si durs et avait tant besoin d’affection.Au fur et Ă mesure de mes caresses, je laissais enfin mes doigts s’insinuer dans les profondeurs de mon intimitĂ©, mes genoux flĂ©chissant presque quand ma main effleura mon clito. Ă€ ce moment-lĂ , j’étais tentĂ©e de taquiner ma chatte avec mes doigts, mais je rĂ©sistais, ayant besoin de quelque chose de plus Ă©pais et de plus long en moi pour calmer mes frustrations.J’attrapai alors mon gode et le masturbais sur toute la longueur avec ma main pleine de savon pour m’assurer qu’il soit bien lubrifiĂ©. Ensuite, après m’être retournĂ©e et penchĂ©e en avant, je passai mes bras entre mes jambes pour saisir le gode et l’aligner Ă l’entrĂ©e de ma fente dĂ©jĂ bien trempĂ©e. Puis, très lentement je me glissai le long de mon joujou, jusqu’à ce qu’il disparaisse en moi.Les mains solidement appuyĂ©es contre le mur, je commençai Ă onduler mon bassin, poussant mon jouet aussi profondĂ©ment que possible, le cul pressĂ©es contre le mur de verre froid. Je pouvais littĂ©ralement sentir l’énorme tige sur laquelle j’étais empalĂ© au fond mes entrailles et c’était terriblement bon.Que-dis-je…c’était I.N.C.R.O.Y.A.B.L.ELa sensation de mes lèvres glissant sur toute la longueur de mon amant en silicone excitait pleinement mes sens alors que le bruit de mes fesses claquant contre la parois faisait Ă©cho dans la cabine close.J’étais dĂ©jĂ bien excitĂ© au moment oĂą je tendis la main pour taquiner mon petit trou. Je le sentais rĂ©sister sous les assaults de mon majeur, mais une lĂ©gère pression me permit d’insĂ©rer la première phalange.J’enlevai alors directement mon doigt, et tout en maintenant la pression du gode en moi, je badigeonnai mon majeur d’un peu de savon avant qu’il ne me pĂ©nètre de nouveau mais cette fois, plus en profondeur.Avec une main accrochĂ©e au mur et l’autre me doigtant le cul de manière obscène, je commençai Ă m’agiter bestialement sur mon gode.Je n’allais pas pouvoir me retenir encore longtemps. Je fermais alors les yeux et me mis Ă repenser aux messages qu’il m’avait envoyĂ©s un peu plus tĂ´t« J’aimerais tellement que tu jouisses pour moi. Je veux sentir ta petite chatte exploser sur ma queue. Je veux que tu me baises comme la petite salope que nous savons tous les deux que tu es. Je veux baiser ton petit cul comme jamais il ne l’a Ă©tĂ© avant« La simple pensĂ©e de lui baisant mon cul vierge suffisait pour m’amener au bord de l’orgasme. Je pouvais sentir ma chatte commencer Ă convulser alors que je m’appliquais Ă remplir mes orifices au maximum. Je me demandais d’ailleurs comment mon petit cul pourrait recevoir sa bite alors que je pouvais Ă peine contenir mon doigt, mais ça, c’est une autre histoire.Je m’agrippais Ă mon gode comme si je m’accrochais Ă la vie alors que j’explosai dans un orgasme engourdissant. Mes genoux faiblissant littĂ©ralement, j’enlevai alors mon doigt de mon petit trou pour caler mes deux mains contre les parois de la douche afin de reprendre mon souffle.Une fois les contractions lĂ©gèrement dissipĂ©es et ma respiration revenue, je glissai de mon jouet et m’effondrai toujours tremblante sur le sol de la cabine, laissant le jet d’eau marteler mon visage.Putain, c’était vraiment intense !« Je veux te voir jouir pour moi bĂ©bĂ© ! Ensuite je lĂ©cherais ton pti minou jusqu’à ce que tu me supplie de te baiser« Je n’en pouvais plus, mais ses mots rĂ©sonnaient encore dans mon esprit. J’essayais pourtant d’ignorer les palpitations de ma chatte, mais rien Ă faire, je sentais toujours la chaleur du dĂ©sir brĂ»ler au creux de mon ventre.DĂ©sormais sĂ©chĂ©e et enveloppĂ©e d’une moelleuse couche de coton, je retournais dans ma chambre, me demandant comment pouvais-je ĂŞtre encore aussi excitĂ©e. C’est vrai quoi qu’est ce qui clochait chez moi ? Mais alors que je me laissais tomber sur le lit, les yeux fixĂ©s sur le plafond, une idĂ©e traversa mon esprit et me fĂ®t me redresser. Je farfouillai alors quelques secondes dans ma table de chevet avant d’enfin trouver ce que je cherchais.C’était un autre de mes petits joujoux d’amour, mais celui-ci Ă©tait beaucoup plus petit et plus fin. Sur le coup, j’avais presque honte de l’avoir mis de cĂ´tĂ©, mais après la première utilisation, j’avais vite compris qu’il ne ferait pas l’affaire.Mon cĹ“ur battait de plus en plus vite, ne sachant pas si je devais cĂ©der aux sirènes de la tentation.SĂ©rieusement, devrais-je ? Et puis merde !Avantage de vivre seul n°4 : Vous pouvez expĂ©rimenter ce que vous voulez sans que personne ne vous juge ou ne se moque de vous. Ainsi, je retournai rapidement dans la salle de bain afin de prĂ©parer mon nouvel amant. En revenant, j’attrapai le tube de lubrifiant ainsi que mon fidèle Rabbit et j’étais enfin prĂŞte pour passer Ă la suite.Comme Ă mon habitude, je tremblais fidèlement d’excitation et de dĂ©sir en pensant Ă ce que m’apprĂŞtais Ă faire. Analysant l’espace de ma chambre en quĂŞte du coin idĂ©al pour exprimer ma luxure, j’optais finalement pour le mur jouxtant la porte d’entrĂ©e.Ă€ cet endroit, j’avais installĂ© un miroir mural et j’étais Ă peu près sĂ»r qu’il n’y avait aucune instruction interdisant d’y coller un gode et de se faire jouir dessus, mais bon… la nĂ©cessitĂ© est la mère de l’invention, n’est-ce pas ?Avantage de vivre seul n°5 : Libre utilisation du mobilier.Après un moment de rĂ©flexion, je collais mon sextoys sur la partie basse du miroir. Mes jambes supportant Ă peine le poids de mon corps, je m’installais en levrette afin d’obtenir une meilleure stabilitĂ©. J’ajustais ensuite la hauteur de mon gode au niveau de mon petit trou puis je reculais lentement dessus pour le tester.Parfait !J’attrapais alors le lubrifiant et en rependais une quantitĂ© gĂ©nĂ©reuse sur toute la longueur de mon jouet. Ce simple geste me faisait espĂ©rer que mon big beard soit lĂ avec moi ce soir et me rappelais Ă´ combien je voulais sa queue dans ma bouche. J’aime sucer, genre vraiment. Pour ĂŞtre totalement honnĂŞte, je suis une vraie experte.« Je veux voir jusqu’oĂą tu peux prendre ma bite dans ta gorge. Je veux voir combien de temps tu la supportes avant que tes yeux ne pleurent.« Putain !J’avais vraiment besoin de me dĂ©tendre si je voulais y arriver. Ainsi, je fermais les yeux tout en prenant de profonde respiration, puis, j’injectais un peu plus de lubrifiant sur mes doigts avant de tendre la main vers mon cul et d’effectuer de lĂ©gers mouvements de rotation autour de mon Ă©toile plissĂ©e.De nouveau, mon majeur se glissa dans mon orifice, huilant l’entrĂ©e de mon petit trou qui s’agrippait autour d’elle comme un Ă©tau. Cette fois, le fait de ne rien avoir dans la chatte pour me distraire amplifiait vraiment les sensations dans mon cul. Je ne pouvais pas croire Ă quel point c’était bon. C’était vilain, mais t.e.l.l.e.m.e.n.t bon.Je retirai alors mon doigt pour y rĂ©pandre un peu plus de lubrifiant avant de l’insĂ©rer de nouveau. Je pouvais sentir le gel frais s’écraser sur mon majeur alors que je l’actionnais lentement dans mon cul.Une fois correctement dilatĂ©e, j’extirpais mon doigt et attrapais la tĂŞte du gode, remuant sur mes genoux jusqu’à ce que la pointe perfore l’entrĂ©e de ma grotte. Alors que je poussais lĂ©gèrement, la sensation de mon petit trou s’écartant sous la pression de mon joujou me fit bruyamment gĂ©mir.C’était un petit gode certes, mais il restait beaucoup plus gros que mon doigt. Ce n’était pas vraiment douloureux en tant que tel, juste très intense. Je me balançais alors doucement d’avant en arrière, tenant toujours la pointe de mon gode Ă l’entrĂ©e de mon cul jusqu’à ce que ce je puisse l’insĂ©rer de toute sa longueur.Putain c’était Ă©norme !J’arrĂŞtais donc de bouger momentanĂ©ment pour permettre Ă mon cul de s’étirer mais presqu’immĂ©diatement, je ressentis le besoin de bouger Ă nouveau. C’était tellement diffĂ©rent de tout ce que j’avais pu expĂ©rimenter.Savourant pleinement ces nouvelles sensations, je lâchai alors mon gode et calais mes avant-bras contre sol pour une meilleure adhĂ©rence. Je baissai ensuite la tĂŞte et commençai Ă pousser doucement mes fesses contre le manche.Je savais pertinemment que je n’exploitais pas tout le potentiel de pĂ©nĂ©tration de mon jouet, mais Ă cet instant je m’en fichais complètement.C’était la chose la plus sale que je n’avais jamais faites, que ce soit seule ou avec qui que ce soit et je devais bien avouer que c’était mĂ©chamment Ă©rotique.Alors que j’avais fini par atteindre mon rythme de croisière, je relevai alors la tĂŞte pour admirer la vue dans le miroir. De lĂ , je pouvais voir mon trou s’étirer sous le martèlement de mon gode ainsi que ma chatte bĂ©ante et dĂ©goulinante de plaisir. J’espĂ©rais tellement qu’il puisse me voir dans cette position…« Oh bĂ©bĂ©, ton pti trou est si serrĂ© autour de ma queue… Met deux doigts dans ta chatte et fais-moi goĂ»ter !« Je passai alors un bras entre mes cuisses afin d’atteindre ma fente. Merde alors, j’étais tellement trempĂ©e.Pressant deux doigts dans ma chatte, je les fis tourbillonner pour recueillir mon jus avant de les aspirer dans ma bouche. Je n’avais dĂ©couvert que très rĂ©cemment Ă quel point j’aimais le goĂ»t de mon fluide intime et depuis ça, ma nouvelle lubie sexuelle Ă©tait de sucer mon partenaire après avoir joui sur sa bite. Ce mĂ©lange de saveurs Ă©tait quelque chose dont je ne me lassais jamais.Ă€ cet instant, j’étais tellement perdu dans mon plaisir que je ne me rendais mĂŞme pas compte de la longueur de gode que j’avais rĂ©ellement dans mon cul, jusqu’à ce que je me retourne et le regarde disparaitre avec fascination entre mes joues.Regarder mon cul avaler cette barre de silicone dĂ©cuplait mes sensations. Je sentais que j’étais proche, mais ne voulant pas jouir avant d’essayer une dernière chose, je retirai alors mes doigts Ă contre cĹ“ur de ma fente et saisis mon rabbit.Je taquinai ensuite la pointe de mon lapin autour ma chatte dĂ©goulinante de dĂ©sir pendant une ou deux minutes avant de le glisser dans mon trou affamĂ©. Presqu’instantanĂ©ment, une sensation de plĂ©nitude m’envahit alors que mes godes jouaient des coudes pour se frayer un espace Ă l’intĂ©rieur de moi. Finalement, je trouvai enfin mon rythme, poussant mon rabbit au moment oĂą je retirai le gode de mon cul.Je me sentais littĂ©ralement pleine Ă craquer alors que de petites Ă©tincelles Ă©lectriques semblaient se dĂ©charger au niveau de mon aine m’obligeant Ă freiner mes vas et viens. C’était tout ce que je pouvais faire pour garder mon vibromasseur en moi tellement je tremblais, dĂ©lirante de plaisir.Je sentais mon orgasme approcher tandis que mes halètements se transformaient en long gĂ©missement, puis, il s’écrasa en moi, m’offrant la meilleure jouissance que je n’avais connu depuis très très très longtemps. Je m’évanouissais presque sous son intensitĂ©.Je sentais ma chatte et mon cul se serrer fermement autour de leurs bienveillants envahisseurs pendant que mon jus coulait gĂ©nĂ©reusement de ma fente…quel plaisir !Je laissais ensuite tomber mon vibro et glissai du gode avant de m’affaler sans mĂ©nagement sur le tapis de ma chambre toute tremblante. Quand finalement, j’avais assez de force pour me lever, je baissai les yeux et Ă©clatai de rire.Avantages n°6 de vivre seul : Pas besoin d’expliquer les tâches douteuses sur le solĂ€ ce moment, je pensais Ă lui et Ă tout ce qu’il me ferrait s’il Ă©tait prĂ©sent avec moi ce soir.« Demande-le-moi bĂ©bĂ©, demande-le et je saute dans le premier train« Je rĂ©cupĂ©rais alors mon tĂ©lĂ©phone, me reconnectais et tapait sur le clavier en souriant :« Envie de venir baiser ta petite salope le week-end prochain ?« Avantage de vivre seul n°7 : PossibilitĂ© d’inviter votre amant n’importe quand dans le seul but de vous baiser.Selon vous, manque t’il quelques avantages Ă cette liste ? Faites-le-moi savoir.Érotiquement, The Big Beard.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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