Peu avant les vacances pascales, ma femme, Chloé décide de partir en villégiature profiter du début du printemps. Les valises rangées dans le coffre de la voiture, nous prenons l’autoroute du Sud, le trafic étant fluide en milieu de semaine. Pour se protéger de la luminosité d’un ciel bleu éblouissant, ma conjointe porte des lunettes de soleil de marque italienne. D’un doigt, elle choisit sur l’écran LDC des morceaux de musique classique stockés sur une carte mémoire. De chaque côté de la voie défilent des paysages de grande culture et de terres d’élevage. Demi-étendue sur le siège passager, Chloé sommeille dans un chemisier à fleurs et un pantalon droit en popeline.À mi-parcours, nous faisons une halte dans les vignobles pour déjeuner. Au restaurant du village, nous mangeons en terrasse une salade composée et prenons un café pour la route. En fin de trajet, nous nous engageons sur les lacets d’un relief montagneux d’où nous apercevons la mer Méditerranée. À l’arrivée dans notre résidence secondaire, située dans un lotissement abrité par une pinède, nous ouvrons les portes et les fenêtres pour ventiler les pièces fermées depuis l’automne. Après un dîner frugal, nous montons à l’étage dans notre chambre aménagée de meubles provençaux pour y dormir, la fatigue provenant du voyage ayant raison de nous.Le lendemain matin, nous nous partageons les rôles habituels. Chloé fait le ménage, range les vêtements et dispose l’épicerie sur les étagères d’un vieux vaisselier. Je branche le chauffe-eau, vérifie les circuits électriques et sors la table et les fauteuils de jardin sur la terrasse. Pendant que ma femme va au marché ouvert à vélo faire les courses alimentaires, je déloge les plantes de la serre et les place dans différents endroits du jardin. Après un coup de jet d’eau dans la piscine, je démarre le moteur qui assure le remplissage progressif du bassin.Cordon bleu, ma conjointe me propose en collation un risotto aux poivrons et tomates, un vrai délice accompagné d’un rosé local. Nous commençons à savourer notre nouvelle vie sous la douce température et les parfums du Sud. Vêtue d’une robe blanche, Chloé présente le visage détendu d’une femme buvant son café. Après cette remise en état de la maison, nous tombons lors de la sieste rapidement dans les bras de Morphée. Plus tard, j’étire mes bras sur les oreillers et constate l’absence de ma femme sur la couche.De retour dans le jardin, je vois Chloé en pleine séance de stretching sur son tapis de gymnastique posé sur les dalles de la terrasse. Elle alterne les étirements actifs et passifs pour échauffer la nuque, les pectoraux, les abdominaux, le dos, les hanches, les adducteurs, les mollets. Musclé et souple, son corps sculpté s’adapte avec facilité aux mouvements. La session de stretching finie, Chloé me propose un jogging sur un chemin de promenade dans la garrigue avoisinante. En short, tee-shirt et baskets, nous initions notre course sur un rythme lent pour gravir le raidillon du début de parcours.En tête, ma femme se tient droite, les bras pliés se balançant le long du corps. Ses longues jambes assurent une foulée légère et régulière. Les cheveux blonds rassemblés sur sa nuque virevoltent sur les épaules. Ayant atteint le sommet du chemin, nous courons à présent sur un plateau sur lequel nous reprenons notre souffle tout en allongeant nos enjambées. L’air pur imprègne nos poumons en pleine activité d’oxygénation du sang. Une sensation de bien-être nous gagne à présent d’autant plus que le paysage avec la mer Méditerranée au loin est magnifique. En sueur, nous donnons une dernière accélération sur un sentier surplombant le village avant de rejoindre notre résidence secondaire.Après la douche, ma femme reçoit un appel téléphonique d’une amie qui s’assure que nous sommes bien à destination et en bonne santé. Demeurant dans la capitale, leur couple dans la trentaine assume une vie libertine débridée en multipliant les rencontres en club. L’amie donne quelques détails croustillants d’une soirée ce qui conduit à une discussion à voix basse prolongée entre les deux femmes. Par la suite, Chloé m’indique avoir obtenu par l’intermédiaire de son interlocutrice les coordonnées d’un couple libertin vivant à proximité. Son amie, qui nous recommande ce binôme épicurien ouvert à des pratiques sexuelles variées, souligne que l’homme est attentionné et charmant et que la femme est active et pleine d’humour.Encouragés par le dicton « les amis de nos amis sont aussi nos amis », nous convenons de les appeler via le portable dans le cadre d’une communication visuelle. Les jolis minois du couple, Romuald et Monique, apparaissent sur l’écran tactile. Pré-informés par notre amie de notre appel, l’homme et la femme donnent une bonne impression. Il est vrai que notre connaissance commune facilite cette première mise en relation. N’ayant aucun tabou, le couple pratique l’échangisme, le triolisme, le candaulisme et le SM dans une ambiance chaleureuse avec des bulles fraîches. La visioconférence se conclut positivement par la fixation d’une date de rencontre qui se déroulera chez nous.Le jour J, nous allons au marché ouvert situé sous des halles dans le centre du village. Sur les étals, nous sélectionnons les asperges, les aubergines, les citrons, les courgettes, les oignons, les pois chiches, les tomates sans oublier les fines herbes telles que le basilic, l’origan et le thym. Chloé achète également du fromage de chèvre, de l’huile d’olive et un saumon. Elle prévoit offrir à nos hôtes une salade composée de légumes et ledit poisson au riz. Les courses sont complétées d’un gâteau au mascarpone et fruits rouges et d’une bouteille de vin blanc sec.Dans l’après-midi, ma femme prépare le repas et dresse la table avec des assiettes en porcelaine aux motifs locaux : chardons, fleurs de lavande, raisins, santolines et avec des verres en forme de tulipe. Puis, elle s’isole dans la salle de bain pour se parfumer et se maquiller avant d’enfiler une robe moulante rouge froncée à fines brides et de se chausser de sandales dorées à talon haut. Recherchant l’harmonie avec ma conjointe, je m’habille d’un pantalon et d’une chemise de couleur bordeaux. La sonnette de la porte d’entrée retentit ; nous ouvrons la porte aux invités.Légèrement plus jeunes que nous, Romuald et Monique se montrent d’emblée courtois et sympathiques. Nous leur faisons faire le tour du propriétaire à l’intérieur et à l’extérieur. La température étant fraîche en soirée, nous les invitons à prendre place au salon où est servi un cocktail avec des amuse-gueule. Oblong, le visage de l’homme se caractérise par des yeux verts, un long nez aquilin et une petite bouche. Plus ronde, la figure de la femme se singularise par de grands yeux marron surmontés de sourcils noirs et par une large bouche aux lèvres charnues. Dotée d’une chevelure brune courte, Monique porte une jupe volante taille haute avec un chemisier en maille avec des effets transparents laissant entrevoir ses seins. Originaire de la région, le couple connaît le village où nous habitons pour y venir parfois en demi-saison le week-end. L’endroit est idéal pour les personnes qui apprécient les ballades dans la nature et les baignades dans les criques. Nous portons un toast de bienvenue à nos invités en leur souhaitant bonheur et santé. Ils nous remercient pour l’invitation et commencent à nous questionner sur nos activités libertines.En veillant à ce que les verres soient remplis, nous leur confions notre préférence pour les soirées multi-couples intimistes. Nous signalons cependant quelques sorties en club à la recherche d’imprévu. Prolongeant notre propos, Monique explique en effet que l’excitation est plus grande en club, car le choix de nouveaux partenaires (couples et hommes seuls) y est plus intéressant. Romuald confirme également que les clubs libertins offrent la possibilité d’exprimer sous différentes formes (triolisme, échangisme, exhibitionnisme, gang-bang, voyeurisme) leur sexualité. Faire l’amour avec de parfaits inconnus est source d’une excitation commune dans leur couple. Monique nous donne les noms de deux clubs locaux réputés pour leur confort et leur sécurité, lesquels attirent une clientèle discrète et respectueuse. Durant la discussion, Romuald pose une main sur le genou de sa femme en lui souriant. Assis face à eux, nous jetons, tels des voyeurs, des regards sur la main de notre invité qui caresse à présent la cuisse dénudée.Ne souhaitant pas rester contemplatifs, nous nous exhibons à notre tour. D’une main, je relève la robe de Chloé et lui caresse l’intérieur des cuisses. Le rouge du string tranche sur la blancheur de ses jambes. Monique soulève sa jupe pour permettre à son compagnon de lui caresser l’entrejambe. Notre invitée porte une culotte noire ajourée sur le devant. Sur l’intérieur d’une de ses cuisses apparaît le tatouage d’un petit papillon. Dans la fente de la culotte, nous apercevons un sexe épilé avec des lèvres refermées.Du bout des doigts, j’effleure sur le tissu du string la chatte de ma femme, laquelle me caresse la nuque. Romuald titille le haut de l’entrée du sexe de sa conjointe découvrant graduellement le capuchon du clitoris. Monique tend son bassin invitant son homme à entrer un doigt dans la cavité. Romuald répond à l’invitation en plongeant deux doigts dans la vulve et entreprend de savants massages sur les parois intérieures. Dans le même temps, sa femme se met à masturber son bouton rose.Le spectacle érotique offert par nos invités nous excite aussi et Chloé retire son string me donnant ainsi la possibilité de caresser sa chatte épilée. J’entre deux doigts dans l’orifice qui ne tarde pas à s’humidifier. Se masturbant et nous laissant les doigter, nos femmes laissent échapper de petits gémissements de plaisir. Expérimenté, Romuald alterne des allées et venues lentes et rapides dans l’abricot modulant ainsi l’état d’excitation de sa femme. Il la mène au bord de l’orgasme puis ralentit le frottement. Ce procédé amplifie la jouissance de sa bien-aimée laquelle connaît des spasmes répétés. Chloé accélère les frottements sur son clitoris ; mes doigts à l’intérieur caressent le point G. Se raidissant, elle clame son plaisir, les muscles de son vagin se contractant sur mes doigts.Radieuses, nos femmes remettent de l’ordre dans leur chevelure et leur tenue. Tout en prenant plusieurs lippées de vin, elles avouent ressentir un bien-être diffus dans leurs corps. Monique croise et décroise ses longues jambes en me lançant des œillades. Se mettant plus à l’aise, elle retire sa jupe volante offrant à notre vue la nudité de sa chatte épilée, les grandes lèvres étant dépliées. Bisexuelle, Chloé s’approche et se penche pour lécher la figue ouverte. Elle lape par petits coups les lèvres et le clitoris et avale la cyprine. Posant ses bras sur les cuisses de sa partenaire, sa tête oscille au gré des léchages prodigués sur l’abricot.Monique ouvre son chemisier d’où sortent des seins fermes en forme de pomme. Cerclés de petites aréoles, les tétons trônent sur le sommet des seins. Notre invitée emprisonne de ses mains ceux-là et presse les mamelons entre son pouce et l’index. Le sang sort des tétons puis y revient lorsqu’elle relâche la pression. Ce geste lui procure une sensation intense qui s’ajoute à celle provenant du cunnilingus. Plus bas, Chloé masturbe le bouton rose et poursuit avec sa langue les applications sur l’entrée de la chatte. Le spectacle lesbien offert par nos femmes est hautement érotique et suscite chez les hommes le désir.Calmement, Romuald se lève du canapé et s’installe derrière la croupe de ma femme. Il relève la robe sur le dos et caresse les fesses. Les écartant de ses mains, il souffle sur le con et entame un cunnilingus. Sa langue léchouille le clitoris, les lèvres, le périnée, l’anus puis fait le trajet inverse. Après plusieurs passages sur ces endroits intimes, notre invité donne trois claques vives sur le fessier et introduit profondément sa langue la chatte. Surprise, Chloé tend ses reins et écarte ses jambes invitant son partenaire à la pénétrer.Monique me demande de m’approcher et saisit d’une main ma queue en semi-érection. Son conjoint retire son slip laissant apparaître des attributs bien fournis. Il se masturbe sur la raie des fesses et place son gland sur l’entrée de la chatte. Doucement, il introduit sa tige dans la cavité qui l’absorbe jusqu’à la garde. Maintenant son sexe à l’intérieur, Romuald fesse une nouvelle fois Chloé et prend avec ses mains les poignées d’amour. Le piston va-et-vient à présent dans le vagin.Poursuivant sa pratique bucco-génitale sur la chatte de Monique, ma femme commence à apprécier de se faire prendre en levrette, une position stimulant aussi bien le vagin que le clitoris. Notre invitée suce le pourtour du gland et le méat de mon sexe. Ce faisant, elle excite les récepteurs sensoriels (corpuscules de Krause) innervant ces parties. Sous le léchage divin, mon engin s’agite et enfle. Monique le met dans la bouche et le tapote avec la langue par dessous. Enfermée dans l’étui de soie, ma queue se déploie jusqu’au fond de la gorge. Elle en ressort humide avant que les lèvres l’aspirent de nouveau à l’intérieur.Plus bas, ma femme doigte notre partenaire commune. Romuald active ses pénétrations en faisant buter ses couilles sur les cuisses de Chloé. Épaisse, sa queue fourre avec vigueur la cavité dilatée. Ma femme râle de plaisir le nez sur le bouton rose de notre invitée. Celle-ci me prodigue une fellation délicieuse tout en se pinçant les tétons. Une main derrière la nuque de ma partenaire, je tends sa tête vers mon dard pour lui faciliter les opérations de fellation. Chacun prend son plaisir avec plus ou moins d’intensité selon la coordination des mouvements. Romuald éjacule sur le dos de Chloé ; moi-même sur la poitrine de notre invitée. Les femmes s’embrassent et partent faire un brin de toilette dans la salle de bain.De retour dans la salle à manger, nous décidons de faire une pause et de dîner en restant nus. Chloé et Romuald s’assoient l’un à côté de l’autre ; Monique et moi-même faisons pareil. Dans un premier temps, nous dégustons la salade composée avec un rosé frais. Souriants, nos invités mangent avec appétit. Le saumon rôti aux fines herbes servi avec du riz parfumé au safran est vite avalé. Nos invités sont assurément des épicuriens. Monique apprécie particulièrement le fromage de chèvre à la confiture de framboise. Après chaque bouchée, elle passe sa langue sur ses lèvres charnues à la recherche d’éventuels restes.Pendant le dessert consistant en un gâteau au mascarpone, nos invités nous expliquent avoir rencontré un couple singulier. Adepte du BDSM, il organise des soirées où les femmes, dominatrices, soumettent les hommes à de multiples turpitudes. Ayant assisté en qualité d’observateurs, nos invités hésitent à aller de l’avant dans ces pratiques mêlant le plaisir et la souffrance. Nous leur répondons que si nous participons parfois à des rencontres SM soft, nous évitons les situations glauques.En rejoignant le salon, j’observe Romuald avec sa main dans le dos de ma femme. Tous deux s’arrêtent en chemin près d’une commode. Chloé se retourne vers lui et l’embrasse en collant ses seins contre le torse. Sur une musique douce, ils tournent sur eux-mêmes dans un slow langoureux. Nez contre nez, ils s’étreignent en oscillant légèrement leur bassin. Romuald frotte sa queue contre le pubis de sa partenaire. Monique se plaque derrière mon dos et pose ses mains sur mon ventre. Tout en regardant l’autre couple, elle prend mon sexe dans une main et le masturbe. Elle mordille ma nuque et me branle lentement.Devant nous, Chloé prend en main la verge de son partenaire qu’elle continue à embrasser passionnément. Silencieux, Romuald laisse faire ma femme en lui tenant les hanches. Monique passe une seconde main derrière entre mes jambes pour me caresser le scrotum. Ses caresses produisent une forte érection que je maintiens le plus longtemps possible sans jouir. Ma partenaire anticipe mon orgasme et fait ainsi durer mon plaisir. Sous les manipulations expertes, les hommes lâchent leurs jets de sperme, l’un sur le pubis, l’autre sur le parquet.Me prenant la main, Monique m’invite à m’allonger sur le dos sur un tapis. Elle s’agenouille à califourchon au-dessus de ma tête, m’offrant sa chatte à lécher. Ma partenaire fait glisser ses lèvres sur mes lèvres tout en se masturbant. Elle maîtrise le baiser bucco-génital en frottant à sa guise sa vulve contre ma bouche. Elle m’offre à boire le liquide visqueux sortant de la cavité. Romuald et Chloé nous observent avec intérêt. Me dominant, Monique place sa chatte sur mon nez auquel elle se frotte également. Ne souhaitant pas contraindre trop longtemps ma respiration, elle repositionne son abricot sur mes lèvres. Je tends ma langue à l’intérieur et la tourne dans la cavité. Ma partenaire semble apprécier cette position, aussi je lui dévore la chatte sans ménagement. Les bras en arrière, elle remue son bassin en frottant énergiquement son clitoris sur ma bouche. Hurlant, Monique connaît des transes provenant d’un orgasme intense. Relevés, nous nous embrassons, reconnaissant ainsi notre complicité. Je m’assieds sur le canapé et Monique s’y allonge en posant sa tête sur mes cuisses. En face de nous, Chloé et Romuald se tiennent la main comme des amoureux.À son tour, notre invité s’allonge sur le dos en suggérant à ma femme d’entreprendre un 69. Chloé lui présente ses orifices en plaçant ses jambes de chaque côté de la figure. Puis, elle pose ses seins sur le bas-ventre et saisit le sexe dans une main. Ma femme gratte les testicules et lèche la hampe du mandrin. Excité, l’organe prend de bonnes proportions et se tend droit comme un pic. Derrière, Romuald titille le clitoris du bout de la langue. Il humidifie les chairs de la vulve en écartant les petites et grandes lèvres pour accéder à la caverne. D’un doigt, il masse le périnée et la rondelle, endroits sensibles chez ma femme. Celle-ci lèche le pourtour du gland en masturbant vigoureusement la tige. Romuald grogne de plaisir en levant les jambes. Attentive, Chloé assouplit sa pression sur la hampe pour faire perdurer l’excitation de son partenaire. Romuald mordille le bouton rose et enfonce deux puis trois doigts dans la chatte. Il frotte la paroi intérieure sous le clitoris avec énergie. Agitée, sa partenaire se contorsionne pour échapper à une jouissance trop rapide. Elle avale la verge au fond de sa gorge et la retire à plusieurs reprises. Des jets de sperme se répandent dans sa bouche, semence qu’elle avale en plusieurs étapes. Gardant fermement la queue en main, elle l’astique de nouveau le sexe pour libérer le reliquat de sperme. Chloé prend alors son plaisir sous le doigté ferme de son partenaire et s’écroule sur lui, assouvie.Après ces ébats échangistes, nous reprenons nos esprits et buvons de l’eau pour nous désaltérer. Dans la période post coïtale, les gestes de tendresse sont essentiels pour renforcer les liens entre les partenaires. Tout en lui disant des mots doux, Romuald pose des petits baisers sur le visage et les épaules de ma femme. Caressant les plantes de pied de Monique, je lui dis combien j’apprécie sa beauté et sa sensualité. Détendus, nous échangeons des propos sympathiques en observant nombre de concordances entre nos deux couples. Nous partageons l’engagement dans nos familles respectives, l’hygiène de vie avec la pratique régulière du sport et recherchons le bonheur par la satisfaction des désirs naturels. Je sers une liqueur de Charente dans des verres ballon qui conservent les arômes. Sirotant le cognac, Monique s’étire telle une chatte qui s’éveille. Elle se penche sur Chloé et l’embrasse en effleurant les seins. Puis, elle caresse la nuque de son conjoint en lui parlant discrètement dans l’oreille. Comme une panthère en cage, Monique se déplace genoux et mains au sol pour relancer la soirée déjà bien avancée.Exhibitionniste, notre invitée nous présente sa croupe en faisant bouger ses fesses. Elle griffe nos jambes pour nous faire réagir. Romuald l’attrape par un bras et la fait asseoir sur ses cuisses. À son tour, il lui gratte le dos et le ventre pour l’exciter. Il soulève les fesses de sa femme et place son gland à l’entrée de la rondelle. Dirigeant la pénétration, Monique s’empale doucement sur le pieu, lequel disparaît peu à peu dans l’anus. Immobile, elle s’adosse sur le torse de son conjoint qui enserre les seins dans ses mains.Monique se masturbe le clitoris en remuant les fesses. Montrant une complicité intime, le couple nous offre un numéro érotique auquel il semble habitué. Enculée, notre invitée prend un plaisir manifeste. De sa chatte rougie par le doigté, perlent des gouttes de cyprine. Relevant la tête, elle m’apostrophe et me demande de la pénétrer par-devant. Face à elle, je me masturbe et lui présente ma queue raide. D’une main, Monique la saisit et la dirige vers l’entrée de la cavité. Avec le gland, elle frotte son bouton rose avec dextérité. Puis ma queue entre dans l’étui jusqu’à la garde. De l’autre côté de la paroi, je sens la tige de Romuald aller et venir dans le second orifice.Excitée en regardant la double invasion, Chloé ouvre le compas de ses jambes et se masturbe. Monique se meut de sorte à coordonner les deux pénétrations. Elle imprime des rythmes lents et rapides selon son plaisir. Tantôt son sphincter anal se contracte sur le membre du conjoint, tantôt, la matrice vaginale enserre ma queue. Humides, les deux orifices sont suffisamment souples pour accepter des pénétrations plus rapides. Expérimentée, Monique joue avec nos sexes en nous donnant du plaisir. Elle nous demande de prendre le relais en nous activant. Romuald et moi-même nous lançons alors dans un trio d’enfer. Nous fourrons notre partenaire avec vigueur tout en faisant attention à ne pas sortir nos queues des cavités respectives. Monique pousse de longs cris de jouissance en s’abandonnant totalement aux assauts de ses amants. La double chevauchée se poursuit dans une grande luxure où chacun prend son plaisir. Après les coïts, nos queues sortent de leurs fourreaux, toutes les deux enduites de sécrétions visqueuses. Sur le coin des yeux de notre partenaire, de petites larmes scintillent, témoignant d’un orgasme intense.Sur ce final, nous nous rhabillons et nous congratulons avec des compliments mutuels. Nos invités nous remercient pour l’excellente soirée et nous proposent de sortir ensemble en club. Nous les accompagnons jusqu’à leur voiture et les saluons d’un geste de la main. Tendrement, je prends la main de ma femme en rentrant à la maison. Dans la fraîcheur de la nuit, nous marchons d’un pas léger en nous remémorant les temps forts de la rencontre.