Les aubergines nymphomanesSérie « Femmes en uniforme » n° 2Mon attention avait été attirée par les éclats de voix que j’entendis monter crescendo de la fenêtre ouverte de mon salon au premier étage de cette rue très passante et au stationnement difficile.Une puissante voix d’homme vociférait et lui répondaient les cris aigus de deux femmes. La « conversation » tournait mal et les noms d’oiseaux commençaient à voler.Ma curiosité me porta à aller voir ce qui se passait et je vis cet homme gesticulant après les deux contractuelles en uniforme bleu, leur carnet de contraventions à la main.L’une, une jolie petite blonde avec ses cheveux en chignon, bien roulée, l’autre, antillaise, plantureuse et dotée d’une imposante poitrine, dans cette prise à partie par cet automobiliste irascible, avaient bien du mal à se dégager de ce mauvais coucheur, lequel d’ailleurs me paraissait en faute évidente puisqu’il n’avait pas l’air être handicapé et qu’il occupait précisément une place réservée, à moins que l’on accepte d’inclure les handicapés mentaux, qui ne comprennent pas encore les imbéciles.Toujours est-il que les insultes, les injures, les vociférations s’amplifiaient et d’autant que pendant que la petite blonde répondait, la brune antillaise en profitait pour glisser un joli papier sous l’essuie-glace.Ce que voyant, notre coléreux conducteur asséna une gifle, à cette noire audacieuse, qui se retrouva assise sur le trottoir, sa jupe relevée et sa veste en désordre, alors que la petite blonde, n’écoutant que son courage, balançait un méchant de coup de pied dans le mollet de leur client. Mal lui en prit à cette femme consciencieuse qui se battait si fort pour la fluidité du stationnement, l’homme se retourna et lui allongea aussi une bonne claque, ce qui mit de guingois son petit galurin bleu.Sur ce, il déchira la contredanse et monta dans sa voiture, faisait rugir son moteur. Non sans égratigner les pare-chocs des voitures attenantes, il s’en alla.La petite blonde pleurait d’énervement et de vexation.Je décidai alors de descendre après cette aimable bagarre pour réconforter nos deux héroïnes.— Mesdames, remettez-vous, j’ai tout vu.. quel goujat… Un butor.Je me penchai pour aider la ronde antillaise à se relever.— Il vous a fait mal demandais-je à la petite blonde ? je vous ferai témoignage si vous voulez…— Merci, Monsieur, quel salopard, on en voit des fois des vertes et des pas mures, mais celui-là . Il nous aurait tuées.— Ecoutez, ce n’est pas l’usage, mais j’habite ici, au premier, et euh vous avez besoin de reprendre vos esprits. Acceptez un thé ou autre chose, du café ?La noire se relevait, pas très sure de son pas.— Moi, ne n’est pas de refus dit-elle et toi Séverine ? Du coup, sa collègue ne discuta pas.— Bon, d’accord pour un café, quelques minutes alors et vous ferez votre témoignage.— Bien sûr, venez, suivez-moi.Je montais jusqu’au premier et les fis entrer dans mon appartement et au salon, où elles s’assirent sur le canapé.— Ohh Maguy, regarde, indiqua Séverine, montrant une échelle sur le collant de sa collègue.— Euh pardon mesdames, un café ? du thé, autre chose ?— Un café pour moi, répondit Maguy.— Et vous demandais-je à Séverine ? aussi ?— Euh.. je prendrais bien quelques chose de euh plus fort pour me remettre…— Un cognac ?— oui, s’il vous plait.— Bien sûr…Je me levai pour aller chercher le café de l’antillaise, dont la généreuse poitrine bombait son corsage, et qui avait remonté sa jupe d’uniforme pour mesurer les dégâts sur sa cuisse, et servis un doigt de cognac à la blondinette qui me semblait assez délurée.— Merci, vous êtes sympa vous. En général, on est pas très bien vues…— En fait, je dois vous faire un aveu…— Ah oui ? lequel ?— Eh bien, euh Mesdames, c’est difficile à dire…— Je vous en prie, insista, mutine, Séverine, qui sirotait son cognac, en m’observant par dessous…— Eh bien je me lance tant pis…— Mais oui, allez-y ajouta Maguy, avec tout ce qu’entend vous savez…— Bon très bien, je vous dis tout. Je fantasme sur les contractuelles. Elles m’excitent. Je les imagine sexy sous leur tailleur d’uniforme…— Ohh soupira Maguy, la jupe toujours relevée en salivant sur son échelle pour stopper le voile.Les deux donzelles assimilaient cet aveu. Je me donnai une contenance en prenant moi-même un verre de cognac. La petite blonde me regardait par en dessous.— Tu te trouves pas que Monsieur mérite une récompense pour nous avoir aidées Maguy ? dit-elle soudain.— Si, bien sûr.Forte de cette approbation, Séverine, soutenant mon regard commença à relever lentement sa jupe, dévoilant ses jambes peu à peu, qu’elle écartait légèrement.Retenant ma salive, j’observai la scène, ces cuisses qui se découvraient. Puis je vis apparaître la lisière de ses bas chair du genre dim up. Elle laissait glisser ses doigts sur ses cuisses, de manière caressante et voluptueuse.De son côté, Maguy, laissant de côté son échelle, remontait aussi sa jupe en lissant ses cuisses gainées de gris. Elle aussi portait des bas autofixants.Séverine me toisait de son regard pétillant de malice et de rouerie. « Celle-là n’a pas froid aux yeux, me disais-je ni ailleurs non plus »..— Alors, çà vous plait ?— Oh tout à fait. Vous êtes toutes les deux magnifiques, et euh excitantes.— C’est vrai ?— Oui absolument…— On vous fait bander ?Surpris par la question on ne peut plus directe, je réservai quelques secondes ma réponse, conscient du tour que prenait notre conversation.— Oui, Mesdames, je vous l’avoue.. je bande.— Tu entends çà Maguy, nous faisons bander Monsieur, insista Séverine en écartant les jambes de manière plus franche, de telle sorte que je voyais le tissu blanc de son slip tendu sur son pubis rebondi.— J’aimerai bien voir çà , moi ,dit l’antillaise pulpeuse.— Moi aussi, renchérit aussitôt la coquine Séverine, approchez-vous et montrez nous çà .Je me mis alors debout devant ces deux dames assises sur mon canapé la jupe bien retroussée.— C’est vrai qu’il y a une belle bosse, observa Maguy, les yeux sur ma braguette. J’eus d’ailleurs l’impression que ce seul regard polisson augmenta ma bandaison.— Monsieur me semble particulièrement bien monté oui. Allez-y sortez le votre gros zoziau, dit Séverine qui se touchait négligemment la peau nue en haut de ses cuisses, faisant glisser ses ongles sous la jarretière du bas.N’écoutant plus la voie de la raison mais celle, oh combien délicieuse, du désir, je dégrafai ma braguette, écartai mon pantalon et enfin, baissai mon slip faisant jaillir devant ces deux dames, mon engin dans toute la vigueur de son érection.— Oh quel gourdin, dit Maguy…— Vous avez une bien grosse queue, Monsieur, ajouta Séverine…Tu as vu comme il bande bien ?Je n’y tins plus et plus impudique que jamais, me surprenant moi-même, je mis en branle mes doigts autour de ma hampe.Les filles regardaient cette masturbation exhibitionniste d’un œil allumé. Elles se passaient la langue sur les lèvres.Bonne fille, Maguy, réagit la première.— On ne va pas le laisser faire çà tout seul non ?— Non, tu as raison, dit Séverine avançant la main. Ses doigts se refermèrent sur mon chibre rigide et la coquine commença à me branler, simplement mais très efficacement, alternant les changements de pression de ses doigts.Sans m’en rendre compte je me rapprochai des deux contractuelles de telle manière que Séverine, la plus entreprenante, pouvait maintenant poser ses jolies lèvres purpurines sur mon gland gonflé. Elle ne s’en priva pas et commença à me sucer délicatement, léchant le gland de sa langue, puis, ouvrant juste la bouche en continuant à me branler.J’étais aux anges de voir la voir ainsi, avec son bibi bleu, excitant et ses cuisses écartées, entamer une pipe d’excellente facture, sous l’œil allumé de sa copine, qui, sans gêne, avait complètement relevé sa jupe montrant une culotte de dentelle blanche.Soudain, Maguy se leva et enleva sa jupe, qu’elle plia soigneusement et vint vers moi pour m’embrasser sur la bouche. Je profitai de ce contact humide pour lui caresser sa croupe rebondie, puis, d’un main aventureuse, je vins écarter sa veste d’uniforme et peloter ses gros seins. Je sentais ses tétons durs sous le soutien-gorge tendu par ces deux globes. Elle fait au moins du 100 ou du 105 me dis-je, en savourant maintenant la bouche moelleuse de Séverine qui aspirait ma queue.— Oh oui, gémit Maguy, commençant elle-même à dégrafer son chemisier d’uniforme. Mais alors que je m’apprétais à découvrir ses gros nichons, elle se baissa d’un coup et vint quémander auprès de sa copine le partage de ma bite.Bonne fille, Séverine lui laisse mon engin et l’antillaise l’avala immédiatement, suçant aspirant comme une affamée.Pendant ce temps, Séverine retira prestement sa jupe et voulut enlever sa veste.— Non, l’arrêtai-je, restez comme çà , vous êtes plus excitante. Défaites votre chemisier seulement.— Coquin, je peux quand même enlever ma culotte ? répondit-elle en me mettant la main aux fesses tandis que sa collègue, aussi douée en matière de pipe, me servait une fellation experte.— Pour la culotte pas de problème, au contraire…Puis les deux aubergines, à genoux toutes deux reprirent leur prestation buccale. Elles alternaient leur bouche, leurs lèvres, leur langue sur ma queue et mes couilles. Quel délice. Quelle expérience, moi qui rêvait de sauter une contractuelle, j’en avais deux sous la main et autre chose.Qu’elles m’excitaient ces cochonnes, à me sucer ainsi goulûment, salivant sur mon sexe dur comme bois.Séverine s’allongea en bout de canapé, les cuisses écartées me montrant son joli minou épilé et sa toison blonde, qu’elle flattait de ses doigts fins. Je vins poser ma bouche sur cette fontaine odorante de son plaisir et la lécha avec gourmandise, fouillant ses délicates chairs de ma langue, suçant avec délice son bouton sensible, la doigtant de mon index fureteur.La coquine gémissait de plaisir tout en se caressant les seins dont elle pinçait les mamelons érigés.Assise sur le tapis devant le canapé et mes cuisses écartées, Maguy continuait de me sucer avec ardeur, caressant mes testicules d’une main tout en aspirant mon gros crayon. J’adorai sentir ses lèvres pulpeuses téter ma queue tendue comme jamais.De son côté, Séverine se pelotait ses petits seins en gémissant sous ma langue gourmande qui excitait son clitoris érigé puis s’enfonçait dans sa chatte offerte et ruisselante, lapant son plaisir.Je m’allongeai alors que mon canapé, et les filles changèrent de plaisir. Maguy vint poser sa belle chatte brune aux lèvres rosées luisantes d’excitation sur ma bouche et Séverine, après quelques coups de langue, vint s’asseoir sur ma queue tendue.Quel pied que ces deux aubergines affamées de sexe qui acceptaient de baiser ainsi, avec leur jupe remontée, mais en gardant leur veste bleue et leur petit chapeau bandant.— Ohh Mesdames, quelles cochonnes vous faites…— Oui, continues gémit Séverine, au bord du gouffre magique de l’orgasme dévastateur, haletante de tension.Elle se trémoussait sur ma queue tout en se touchant le clitoris. Elle ne tarda pas à exploser de jouissance alors que de mon côté, je me retenais d’exploser dans la chatte dévoreuse de cette coquine dont les muscles internes me trayaient divinement la bite.Nous alternâmes par la suite diverses pénétrations et combinaisons. À mesure que la séance progressait en lubricité, les deux aubergines s’embrassaient plus volontiers, se touchaient, se caressaient. Elles se libéraient l’une avec l’autre de telle sorte que nous finîmes par une séance de vrai triolisme.Je me trouvais à genoux derrière Maguy, la sodomisant profondément, avec la coquine Séverine en 69 sous sa collègue. Elles se léchaient réciproquement et Séverine rajoutait à l’occasion quelques coups de langue gourmands sur mes couilles. C’est dans cette position que le plaisir vint me submerger si j’ose dire, car en fait, me retirant prestement du derrière confortable de la belle et callipyge antillaise, c’est moi qui aspergeas fort généreusement les fesses et les cuisses de Maguy, sa copine, lapant goulûment les coulées de foutre et prenant ma queue entre ses doigts, lécha mon gland pour en extraire toute la substantifique moelle.C’est Maguy qui revient la première sur terre.— C’est pas le tout çà , on s’est bien amusées, mais on bosse nous, on a des contredanses à mettre.— Eh oui dit Séverine, aspirant une dernière fois mon sexe…— Euh oui bien sur…Elles trouvèrent toutes seules la salle de bains et après quelques rapides ablutions, elles quittèrent l’appartement, impeccables dans leur uniforme bleu.— Ohh revenez quand vous voulez…— Ouais promis, on repassera…merci pour le café… et la crème…Vos commentaires à chriscate@hotmail.com