Suite à cette soirée, notre vie a pris comme un coup de fouet. Véro n’hésite plus à se promener nue dans la maison, semblant toujours disponible pour les caresses que je ne manque pas de lui offrir à n’importe quel moment, sous n’importe quel prétexte.Elle se prête même à des choses un peu bizarres comme la semaine dernière, pendant un bain.Nous barbotons tranquillement, allongés face à face, lorsque soudain elle se lève et dit :— »J’ai envie de faire pipi !— Ne te gêne pas !— Quoi ! Tu veux que je fasse dans la baignoire ?— Pourquoi pas ! Mais tu te lèves et tu me montres !— Hein !— J’ai envie de te voir faire pipi, comme tu dis, devant moi.— Ma foi ! »Elle se lève et, écartant les jambes, se laisse aller. Je regarde son jet jaillir de sa fente. De deux doigts elle écarte ses lèvres puis se baisse et dirige le jet vers mon visage. Je le reçois sur le menton et la bouche. Excité, j’ouvre la bouche et m’abreuve à cette source. Véro, prise au jeu, s’abaisse un peu plus et mes lèvres se soudent à sa chatte. Je sens son liquide ruisseler et ne peux m’empêcher de l’avaler, le goût, salé, n’est pas si désagréable que cela et je prends beaucoup de plaisir, lorsqu’elle a fini de se vider la vessie, à lécher sa fente pour la nettoyer. Elle se rallonge au fond de la baignoire, me regarde et, avec un grand sourire, me dit :— »Tu sais que c’est très excitant de faire pipi ainsi !— J’ai cru deviner, oui, à la moiteur de ton minou.— Tu veux essayer ?— Tu veux que je… te pisse dessus ?— Pourquoi pas ? Je l’ai bien fait, moi !— D’accord ! »À mon tour, je me lève et m’installe, un pied de chaque côté d’elle. La petite séance m’a excité et j’ai un peu de difficulté à uriner. Enfin, ça vient, un premier jet fuse. Je dirige mon sexe vers sa poitrine mais, comme moi tout à l’heure, elle m’indique de viser son visage. La voici alors aspergée de mes jets qui lui arrosent les joues et la bouche. Elle n’ose pas desserrer les lèvres immédiatement mais, peu à peu, elle les entrouvre et goûte elle aussi mon urine. Lorsque j’ai terminé, elle m’empoigne par les fesses et absorbe mon sexe mou qu’elle nettoie à grands coups de langue. Quand elle estime la toilette terminée, elle me libère et je reprends ma position allongée. Nous nous regardons puis éclatons de rire, comme des gamins venant de faire une bêtise. Le bain se termine plus calmement et nous nous rinçons au jet.Bref, notre expérience chez nos amis a beaucoup changé nos rapports, surtout ceux de ma femme, avec les choses du sexe. Sans nous le dire, nous semblons attendre une autre occasion pour revivre ce genre de soirée. Cette occasion va venir d’un autre couple, Martine et Jean que nous connaissons eux aussi depuis longtemps mais qui, contrairement à Marc et Muriel, n’ont pas pour habitude de discuter sur le sexe. Nous les recevons un samedi soir à dîner. Ils arrivent vers 18h30, Martine, comme à son habitude, habillée très élégamment mais très sage, sa robe lui arrive bien en dessous du genou. Connaissant le peu de goût de nos invités pour les tenues trop aguichantes, Véro a choisi elle aussi une jupe assez longue. La soirée se déroule agréablement, nos amis plaisantant facilement. Avant le café, pendant que les femmes sont à la cuisine, Jean me dit :— »J’ai rencontré Marc hier…— Ah bon ! Il va bien ce cher Marco ?— Oh oui ! Il avait un petit problème d’ordinateur et m’a demandé de passer chez lui. »Que veut dire ceci ? Marc, comme moi, connaît les idées de nos amis et cela m’étonnerait qu’il se soit allé à lui montrer les photos de notre soirée. Comme si de rien n’était, je poursuis le dialogue :— »Décidément, il a de la chance de nous avoir pour le dépanner.— Oui. Tu as vu son appareil photo ?— Bien sûr ! Très chouette engin !— Oui ! Et il fait de très belles photos… »Nouveau silence de ma part, je remarque que Jean me sourit en m’avouant :— »Je suis tombé par hasard sur un dossier dans lequel certains fichiers ne sont pas à mettre entre toutes les mains…— Ah…— Allez sois tranquille ! Je suis très heureux d’avoir pu ainsi admirer les plastiques de Muriel et Véro.— Merci pour elles.— Vous faites souvent ce genre de soirée ?— C’était la première fois, pour eux comme pour nous.— Je peux te poser une question ?— Bien sûr !— Vous nous trouvez comment ?— Physiquement ou … ?— Oui.— Je trouve Martine très mignonne et je pense que Véro te trouve plutôt bien également.— Et… ça vous dirait… de… enfin… de passer une soirée pareille avec nous ?— Ça serait avec plaisir mais… je crois savoir que ta femme ne serait pas très partante…— Ne t’inquiète pas ! Elle n’est pas aussi oie blanche qu’elle parait. Laisse-moi faire !— Comme tu veux ! Mais je ne veux pas courir le risque de perdre des amis…— Sois tranquille ! Et toi ? Tu es sûr que Véro appréciera ?— Aucun doute !— Dans ce cas… »La discussion reprend un cours plus normal et, quand les femmes nous rejoignent, nous devisons informatique.Nous dégustons un café en parlant de tout et de rien jusqu’au moment où Jean dit à sa femme :— »Au fait ! J’y pense ! Tu as le bonjour de Marc et Muriel. »Regard surpris de Véro dans les yeux de qui une lueur un peu inquiète brille.— »Ah, tu les a vus quand ?— Hier. Ce cher Marc avait un problème d’ordinateur… »Véro tourne les yeux vers moi, anxieuse. Je lui adresse un sourire qui ne semble guère la rassurer.— »Le jour où il n’en aura plus…— Tu sais qu’ils se sont offert un appareil photo numérique ?— Non, comment le saurais-je, je n’ai pas vu Muriel depuis au moins un mois.— C’est un peu de ta faute non ?— Oui… enfin, j’ai quelques excuses…— De quoi s’agit-il ? Demande Véro.— Ben… Marc aurait semble t-il dit des choses à Martine…— Des choses ! Il m’a draguée, oui !— Ah bon ?— Quand je suis arrivée chez eux, Muriel n’était pas encore rentrée. On a bu un coup ensemble en l’attendant et c’est là qu’il a commencé à me dire que j’étais belle, désirable,…— Il n’avait pas tort. Remarque Jean. Qu’en penses-tu Chris ?— Euh… c’est vrai que tu es une belle femme Martine. C’est de t’entendre te dire ça qui t’a fâché ?— Non, c’est toujours agréable un compliment… mais c’est le fait qu’il me le dise ainsi, en cachette de sa femme et Jean…— Donc, s’il t’avait fait les mêmes compliments devant nous, tu aurais trouvé cela normal ?— Ça n’aurait pas été pareil. Là, j’ai vraiment eu l’impression qu’il cherchait à me… sauter.— Et si Chris, ce soir, te disait qu’il te trouve très attirante, tu penserais qu’il à envie de toi aussi ?— Ben… euh… je ne sais pas… mais ça aurait le mérite d’être dit devant vous…— Donc, si Marc avait eu envie de toi devant Muriel et moi, tu aurais accepté ses avances ?— Je n’ai pas dit ça, quand même ! Toi, ça te plairait de me voir avec un autre ?— Qui sait ? Et toi ?— Moi quoi ?— Ça te plairait de le faire avec un autre… en ma présence ?— Mon pauvre Jean, tu deviens fou…— Peut-être, mais tu ne réponds pas…— Je ne sais pas moi, je n’y ai jamais pensé.— Donc, tu n’es pas sûre de ne pas vouloir ?— Et bien, non ! Tu es content ?— Je serai content si tu osais le faire un jour…— Tu es sérieux ?— Tu n’aimerais pas ? Franchement ?— Je ne sais pas… je t’ai dit… je n’y ai jamais pensé… et il faudrait que le mec me plaise…— Pure hypothèse… Chris te le propose, tu réponds quoi ?— Écoute, arrêtons là, tu veux bien. Je n’ai pas envie de choquer nos amis. Excusez-le, il -doit avoir trop bu…— On n’est pas choqué du tout, rassure-toi. Répond Véro. On trouve votre conversation très sympa.— Ah bon ? Mais toi, Véro, que dirais-tu si Chris et moi…— Pour l’instant, c’est à toi que la question a été posée.— Décidément, vous êtes tous fous… Et bien, pourquoi pas ? Je trouve Chris très mignon et s’il voulait de moi…— Maintenant ? Lui demande Jean— Maintenant quoi ?— Tu le ferais maintenant ?— Ce n’était qu’une hypothèse, d’accord ! D’ailleurs, Chris ne m’a jamais dit qu’il me trouvait à son goût…— Je te trouve très mignonne… »Un long silence suite ma réponse. Martine a les joues en feu et ne sait quelle attitude prendre. Véro, désireuse de détendre l’atmosphère, nous sert une coupe de Champagne que nous dégustons lentement. Jean prend ensuite sa femme dans ses bras, approche son visage du sien, leurs bouches se joignent dans un long baiser. Jean en profite pour caresser les jambes de sa femme, faisant sensiblement remonter le bas de la robe. J’ai l’impression de revivre notre soirée chez Marc, à cette différence que nous sommes, Véro et moi, à la place de Muriel et Marc. Lorsqu’ils se séparent, Jean murmure quelque chose à l’oreille de sa femme. Celle-ci se retourne vers moi et lui répond :— »Tu rigoles ?— Non. »Elle se lève alors, s’approche de moi et demande à Véro :— »Jean veut que j’embrasse ton mari. Je peux ?— Oui, vas-y ! »Je me lève. Martine m’enlace et me tend sa bouche. Je pose mes lèvres sur les siennes, encore fermées, puis ma langue force sa bouche qu’elle m’offre enfin. Son baiser est passionné et nos dents s’entrechoquent. Son corps appuie sur le mien, déclenchant une érection qu’elle ne peut ignorer. Mes mains caressent lentement ses épaules, descendent sur son dos. Elle me lâche soudain, s’écarte un peu et, me regardant dans les yeux, murmure un timide « pardon » et retourne s’asseoir à côté de Jean.— »Ton baiser était très agréable.— Merci Chris, j’ai bien aimé aussi. Tu ne m’en veux pas Véro ?— Pas du tout !— C’était si terrible que ça ? Demande Jean.— Non, c’était même assez troublant…— Tu veux recommencer ?— Tu veux bien ?— Si tu en as envie… »Cette fois, c’est sans aucune hésitation qu’elle vient vers moi. Elle se retrouve dans mes bras et nous échangeons un nouveau long baiser. Cette fois, je l’enlace plus fermement et, me reculant lentement, nous amène tous les deux au bord du canapé. Je m’assieds, l’entraînant avec moi, à califourchon sur mes cuisses. Son sexe appuie sur le mien et il me semble ressentir de très lents va-et-vient de sa part. Contrairement à tout à l’heure, à la fin de notre baiser, Martine reste assise sur moi. Mes mains caressent son dos, descendant de plus en plus bas sans qu’elle fasse un geste pour m’arrêter. Je regarde Jean, il sourit, une main négligemment posée sur sa braguette. Un coup d’œil à Véro qui, elle aussi, nous regarde en souriant. Mes lèvres courent sur le visage de Martine, mes mains sont à la lisière du slip dont je sens l’élastique sous le tissu de la robe. Je n’ose aller trop loin, de peur de rompre le charme. Jean s’approche de nous, pose une main sur l’épaule de sa femme et lui demande si ça va :— »Oui… les mains de Chris sont très douces…— Tu veux enlever ta robe ?— Non ! Enfin… je ne sais pas… Jean, j’ai peur de ce qu’on est en train de faire.— Il ne faut pas. »Il pose une main sur une cuisse et relève la robe, dévoilant la peau nue en la caressant. La respiration de Martine s’accélère, elle pose sa tête contre mon épaule et reste prostrée. Jean prend une de mes mains et la pose sur la cuisse dénudée. Je caresse la peau douce, remonte lentement et arrive bientôt à la lisière du slip. Mes doigts flattent le mont de Vénus par-dessus le tissu, descendent un peu et je m’aperçois que le slip de Martine est trempé. Ainsi, sous son attitude réservée, notre amie est très excitée par la situation. Je glisse un doigt sous l’élastique et effleure ses lèvres. Un gémissement sort de sa bouche, elle relève la tête, me regarde et demande ;— »Chris, qu’est ce que tu fais ?— Tu n’aimes pas ?— Non… si… on ne devrait pas…— Tu n’en as pas envie.— Ce n’est pas bien… »Je trouve son bouton, déjà dressé, et le caresse. Un spasme la secoue.— »Tu aimes mes caresses ?— Hum… oui… c’est bon.— Attends, relève-toi ! »Debout devant moi, elle semble réaliser ce que nous sommes en train de faire.— »Arrêtons là !— Pourquoi ? Tu n’aimes pas ?— Ce n’est pas ça… je n’ai jamais trompé Jean.— Tu ne me trompes pas puisque je suis là. Répond celui-ci— Je sais mais ce n’est pas bien…— Qu’est ce qui n’est pas bien ? Que tu prennes du plaisir ?— Oui… enfin, non…— Allez, laisse Chris continuer, il me semble que tu apprécies ses caresses. »Vaincue, elle reste immobile. Je m’approche d’elle, descend la fermeture éclair de sa robe et ôte celle-ci. Martine nous apparaît alors en slip et soutien-gorge. Dans un réflexe de pudeur, ses mains couvrent sa culotte. Je l’enlace et l’embrasse tendrement puis dégrafe le soutien-gorge, libérant deux seins aux aréoles grumeleuses et aux tétons durcis par l’excitation. Mes mains les soupèsent puis mes doigts pincent gentiment les tétons, les faisant durcir un peu plus. Martine gémit sous mes caresses. Une main descend sur le ventre et atteint bientôt l’élastique du slip. Sans hésiter, je baisse ce dernier rempart sans rencontrer d’opposition. La partie est gagnée ! Je fais asseoir Martine dans le fauteuil, m’agenouille devant elle, écarte lentement ses jambes et pose ma bouche sur sa fourche. Je lèche sa fente sur toute sa longueur avant de l’insinuer dans sa grotte dont le goût est délicieux. Je remonte ensuite embrasser son bouton, accueilli par un long gémissement. Je le pince entre les lèvres et le branle doucement. Soudain, le corps de Martine se tend, ses mains appuient sur ma tête et elle jouit longuement, m’abreuvant de sa savoureuse liqueur. Elle écarte enfin mon visage de son sexe et je me relève, heureux de lui avoir procurer ce premier orgasme. Nous la regardons tous les trois, une larme coule sur sa joue.— »J’ai honte…— Tu ne dois pas. Répond Véro.— Mais si ! Je me conduis comme une vraie salope !— Pourquoi ? Parce que tu prends ton pied ?— Parce que je le prends avec un autre homme que mon mari et devant lui et sa femme.— Tu avais notre accord. Pour ma part, je suis très excité de t’avoir vu ainsi prendre du plaisir.— C’est pareil pour moi. Répond Jean.— Faites-le tous les deux !— Tu es certaine de vouloir me voir embrasser Véro ?— Oui ! Fais-la jouir comme Chris l’a fait avec moi. Tu es d’accord Chris ?— Sans aucun problème ! »La soirée prend une nouvelle tournure que j’apprécie beaucoup.