Histoire coquine :En ce dĂ©but d’Ă©tĂ© Pierre et Martine sa femme ont prĂ©vu un week-end en Ardèche, pour descendre les gorges en compagnie d’un couple d’amis, Jacques et Nathalie.
Les deux hommes se connaissent depuis des lustres, ayant étudié ensemble dans le même établissement, et ils sont resté liés, ont fondé leur familles, et les enfants ayant grandi, ils leur arrivent de se retrouver pour des sorties entre adultes.Au dernier moment, Pierre, cadre dans une grande entreprise de services, est sollicité par son employeur pour assurer une permanence lors du week-end ou précisément ils devaient partir.
L’organisation est en place, les rĂ©servations de canoĂ« sont faites, il n’a pas le cœur Ă tout annuler et il insiste pour que son Ă©pouse y participe sans lui.
Celle-ci, après quelques hĂ©sitations, et très motivĂ©e par ce sĂ©jour en pleine nature qui la sortira de son quotidien, finit par se laisser convaincre.Le rendez vous est fixĂ© chez Jacques, très tĂ´t le matin, et c’est avec le cœur guilleret que Martine rejoint le couple d’ami, pour un voyage de quelques heures en voiture.
La trentaine épanouie, petite brune aux formes généreuses, Martine est une femme discrète, une bonne mère de famille, dévouée à son mari.
Mariée depuis dix ans à Pierre elle lui a donné deux enfants auxquels elle consacre la majeure partie de son temps.
Ce week-end est pour elle une vĂ©ritable bouffĂ©e d’oxygène.
En arrivant chez ses amis, elle apprend que Nathalie ne sera pas du voyage, partie chez sa mère, très âgée et qui ne va pas bien.
Jacques assure qu’elle n’a pas voulu qu’il annule le week-end, et l’a invitĂ© Ă en faire profiter un ami commun, Rachid, disponible et très heureux de ce voyage en Ardèche.
Martine le connaĂ®t depuis quelques annĂ©e et apprĂ©cie son humour et sa gentillesse, mais c’est plus un copain qu’un ami.Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, le trio prend la route de l’Ardèche ou ils ont prĂ©vu d’arriver en dĂ©but d’après-midi.
Après un voyage sans histoire, ils rejoignent le prestataire qui les emmène au point de départ des gorges, en amont de la rivière, leur fournit des tentes et leur donne les derniers conseils.
La descente s’effectue en deux temps, avec une nuit sous tente Ă mi-parcours.Et c’est dans la bonne humeur que le trio entame son pĂ©riple, dans le cadre splendide de la rivière bordĂ©e de chaque cĂ´tĂ© par des falaises impressionnantes.
Jacques, Ă l’arrière du canoĂ«, fait office de chef de bord, donnant les indications pour diriger l’embarcation qui progresse rapidement dans le courant.
L’eau fraĂ®che qui Ă©clabousse rĂ©gulièrement les passagers, leur fait le plus grand bien car la chaleur de l’Ă©tĂ©, en ce dĂ©but d’après-midi est accablante.
Martine situĂ©e Ă l’avant du bateau est celle qui reçoit le plus d’eau chaque fois qu’une vague vient s’Ă©craser sur la coque, provoquant bien sĂ»r l’hilaritĂ© de ses deux copains.
Son tee-shirt, rapidement trempĂ©, lui colle Ă la peau, rĂ©vĂ©lant le relief de ses formes gĂ©nĂ©reuses et l’absence de soutien-gorge.
Souhaitant ĂŞtre Ă l’aise pour cette activitĂ©, elle n’en a effectivement pas mis, et le contact de l’eau froide raidit ses tĂ©tons qui pointent sous le tissu.Après deux heures de descente les trois amis dĂ©cident de faire une pause et abordent une petite crique, dans un passage calme de la rivière.
Le soleil toujours haut dans le ciel leur fait le plus grand bien, et ils s’installent pour un goĂ»ter bien mĂ©ritĂ©.
La conversation va bon train, mais Jacques et Rachid n’ont d’yeux que pour la poitrine saillante rĂ©vĂ©lĂ©e par le tee-shirt trempĂ© de leur amie.
Ils peuvent en apprécier le volume plutôt conséquent, distinguer aisément les aréoles brunes, assez larges, et surtout les tétons dressés qui semblent les narguer.
Martine, qui a bien remarquĂ© le phĂ©nomène, fait comme si de rien n’Ă©tait, troublĂ©e par la convoitise qu’elle lit dans le regard des deux hommes.
C’est la première fois quelle se trouve en pareille situation, en l’absence de son mari, et qu’elle ressent un intĂ©rĂŞt aussi appuyĂ© pour sa personne.
Jacques sonne la fin de la pause et le trio repart pour la deuxième partie de l’Ă©tape, situĂ©e Ă mi-parcours de la descente, une crique que leur a indiquĂ© le loueur, et ou ils planteront la tente pour passer la nuit.
En fin d’après-midi, après avoir affrontĂ© dans la gaitĂ©, nombres de petits rapides, ils abordent Ă l’endroit indiquĂ©, une plage de galets accessible par un bras de la rivière, un peu Ă l’Ă©cart et ombragĂ©e.
Les tentes sont rapidement montĂ©es, et tandis que les garçons s’affairent Ă prĂ©parer un feu de camp pour le repas, Martine en profite pour faire un brin de toilette et se changer.
Cette fois-ci elle met un soutien-gorge, soucieuse de ne pas en rajouter vis-à -vis de ses copains, et un pull à col roulé car la nuit pourrait être fraîche.
Le dĂ®ner est très dĂ©tendu, chacun reprenant les pĂ©ripĂ©ties de l’après-midi, et le vin que Jacques a apportĂ© est très apprĂ©ciĂ©.
Martine qui ne boit pas beaucoup habituellement se laisse aller et ne refuse pas les verres que lui sert son ami.
Dans le calme de la nuit maintenant tombĂ©e, on entend seulement les Ă©clats de rire du trio qui rĂ©sonnent, couvrant le clapotis de l’eau et le crĂ©pitement des flammes.
– cela vous dit une partie de cartes ? Questionne Jacques
– Pourquoi pas ! rĂ©pond Rachid. Que proposes-tu ?
– On pourrait faire un poker !
– Je ne sais pas jouer ! S’inquiète Martine
– On va t’apprendre, c’est très facile ! la rassure Jacques
– Qu’est-ce qu’on mise ?
– On peut miser nos vĂŞtements !
– C’est-Ă -dire ?
– A chaque tour le perdant doit Ă´ter un vĂŞtement !
– C’est spĂ©cial ton jeu, dis donc !
– Oui mais c’est très marrant, tu verras ! dit Jacques avec un grand sourire. L’esprit un peu embrumĂ© par le vin, Martine hĂ©site, mais devant les deux garçons qui ne semblent pas plus clairs qu’elle, elle accepte de relever le dĂ©fi.- d’accord, on va bien voir !Les règles expliquĂ©es, la partie commence, et Martine comprend peu Ă peu que la chance et le bluff sont des donnĂ©es indispensables au jeu.
En quelques tours les vĂŞtements tombent les uns après les autres, entraĂ®nant de grands fou-rire, et Ă l’exception de Jacques qui a conservĂ© pantalon et chaussures, Rachid puis Martine se retrouvent vite en sous-vĂŞtements.
Celle-ci, un peu gênée, tente de sauver la face en plaisantant et en riant bruyamment, mais elle sent bien ou va le regard de ses amis.
Les deux hommes peuvent apprĂ©cier Ă loisir que la silhouette plantureuse de leur amie n’est pas une illusion, comme le dĂ©montre son soutien-gorge de dentelle noire dont les larges bonnets peinent Ă contenir une poitrine très consĂ©quente.
Le tour suivant est perdu par Martine, brusquement mal Ă l’aise.
Devant son hésitation, Jacques intervient :
– tu peux prendre un gage pour sauver un vĂŞtement si tu veux !
– Et c’est quoi le gage ?
– Embrasser celui de nous deux qui sera tirĂ© au sort !
– D’accord, je prends le gage! Dit-elle soulagĂ©e, consciente qu’elle recule peut-ĂŞtre pour mieux sauter.
MalgrĂ© tout, et c’est plus fort qu’elle, elle reste dĂ©terminĂ©e Ă continuer le jeu.Le sort dĂ©signe Jacques qui la regarde s’approcher de lui en souriant, tout content de l’aubaine.
Elle pose ses lèvres sur les siennes, et avant qu’elle ait pu rĂ©agir, elle sent la langue de son ami envahir sa bouche et se nouer Ă la sienne, dans un long baiser enthousiaste.
Instinctivement sa langue rĂ©pond Ă l’intrusion en se liant Ă celle de Jacques, tandis que son cœur se met Ă battre un peu plus vite.- il s’agissait d’un vrai baiser, dit-il, comme pour s’excuser.Martine se rassoit, un peu Ă©tourdie par ce qui vient de se passer, rĂ©alisant Ă peine qu’elle vient d’embrasser son ami sur la bouche, et que cela lui a Ă©tĂ© plutĂ´t agrĂ©able.
Les parties suivantes les deux hommes perdent à tour de rôle et se délestent un peu plus de leurs effets, Rachid ne conservant que son slip, et Jacques ayant toujours caleçon et tee-shirt.
Puis c’est au tour de Martine de perdre Ă nouveau.- si tu veux je te propose un autre gage ! s’exclame Jacques, un brin exaltĂ©, lorgnant dĂ©jĂ sur la gĂ©nĂ©reuse poitrine en passe d’ĂŞtre dĂ©voilĂ©e.
– Ce sera quoi cette fois ?
– Une fellation Ă celui que le sort dĂ©signera pendant une minute !
– Non mais ça ne va pas, s’indigne-t-elle faiblement. Je ne prends pas ce gage !
– Comme tu voudras ! lâche Jacques avec un clin d’œil en direction de Rachid.
– Tu peux arrĂŞter le jeu, dit Rachid, venant Ă la rescousse de sa copine, nous ne t’en voudrons pas.
– Non, non… pas tout de suite ! J’ai encore ma chance… non ?Et sous le nez des deux garçons qui la regardent dans un silence quasi religieux, Martine dĂ©grafe son soutien-gorge, libĂ©rant une paire de seins magnifiques, volumineux et bien ronds, qui s’affaissent lĂ©gèrement sous leur poids.
Ils sont ornĂ©s d’une large arĂ©ole brune d’oĂą Ă©mergent deux gros tĂ©tons encore au repos.
Un ange passe, pendant que Jacques et Rachid, le souffle court, contemple le spectacle offert par leur amie, encore un peu enivrĂ©e par l’alcool, et qui ressent finalement moins de gĂŞne que prĂ©vu, plutĂ´t fière d’ailleurs de l’Ă©motion qu’elle suscite.En regardant discrètement du cĂ´tĂ© de Rachid, elle constate avec amusement que son slip s’est ornĂ© d’une bosse significative, assez impressionnante.La partie reprend, au dĂ©triment de Rachid qui se retrouve intĂ©gralement nu, avec en prime une splendide Ă©rection qu’il ne cherche mĂŞme pas Ă cacher.
Il parait assez fier de sa virilité, de taille très respectable, longue et épaisse, de couleur brune avec un gland rond et large.
Martine observe avec Ă©moi l’imposant attribut dont la comparaison Ă celui de son mari n’est pas Ă l’avantage de ce dernier.
Pierre Ă©tant le seul homme avec lequel elle a eu des rapports, la vision d’un sexe autre que le sien n’est effectivement pas sans effet.
Une sensation bizarre s’empare d’elle, une chaleur qui gagne ses joues, puis son ventre, un sentiment auquel elle n’est pas habituĂ©e et contre lequel elle essaie de lutter.
Mais malgrĂ© sa volontĂ©, Martine ne peut s’empĂŞcher de jeter de temps en temps un regard furtif en direction du pĂ©nis toujours hĂ©rissĂ©.La partie se joue entre elle et Jacques maintenant, et son ami a plus de chance qu’elle.
Elle ne porte plus que sa petite culotte comme ultime rempart à sa totale nudité et elle ne sent pas prête à leur exposer son sexe, aussi copine soit-elle avec eux.- je vais prendre le gage ! dit-elle à haute voix.
– C’est comme tu veux ! rĂ©pond Jacques. Nous allons tirer au sort l’heureux bĂ©nĂ©ficiaire. Je te rappelle qu’il faut le garder une minute en bouche !
– J’ai bien compris ! rĂ©pond-elleLe sort dĂ©signe Rachid, mais celui-ci intervient.- Attends Martine, ce n’est qu’un jeu, tu n’es pas obligĂ©e d’accepter tu sais
– Merci ! dit-elle, les yeux dĂ©jĂ penchĂ©s sur son bas-ventre. Mais je veux respecter les règles… !Elle s’approche de son copain, dont le corps Ă©clairĂ© par les flammes vacillantes du feu de camp est animĂ© de reflets orangĂ©s.
Un peu gauche elle s’agenouille devant lui, saisit le sexe tendu sur lequel elle referme ses lèvres.
C’est la première fois qu’elle prend un sexe dans sa bouche qui n’est pas celui de son mari, et c’est avec une rĂ©elle Ă©motion qu’elle commence Ă sucer le gland congestionnĂ©, chaud et odorant.
Elle est surprise par la taille et la duretĂ© du membre, et très vite elle sent le dĂ©sir monter en elle, l’ envie de l’avaler goulĂ»ment, de le sentir palpiter contre sa langue.
D’ailleurs il semble avoir encore grossi dans sa bouche.
C’est la voix de Jacques qui la ramène Ă la rĂ©alitĂ©.- la minute est Ă©coulĂ©e, c’est bon tu as rĂ©ussi ton gage ! dit-il A regret elle libère Rachid qui l’aide Ă se relever en lui glissant un « merci » furtif, et regagne sa place prĂ©s du feu pour terminer la partie.
Jacques perd les deux parties suivantes et se retrouve à égalité avec Martine, et il ne peut plus cacher plus longtemps le gonflement qui déforme son slip, provoquant la jubilation de son amie.
– Eh bien Monsieur Jacques, seriez-vous excitĂ© par hasard ? je me demande bien par qui ?
– J’espère que cela n’est pas par moi ! rigole Rachid
– Non je ne crois pas en effet… ! dit-elle, cambrant le dos en riant, faisant saillir ses allĂ©chants mamelons. Allez, c’est la dernière ligne droite. Voyons qui va l’emporter !Les cartes sont distribuĂ©es une dernière fois, et malgrĂ© un coup de bluff, Martine doit s’avouer vaincue, Jacques ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© de meilleures cartes.- Bon, je vais garder ma culotte, dit-elle, en Ă©change je te fais le mĂŞme gage qu’Ă Rachid !
– D’accord ! rĂ©pond Jacques. Cela me va
– Et comme tu es le vainqueur, tu auras droit Ă une surprise ! ajoute-t-elle avec un petit sourire.Martine s’accroupit devant son ami, fait rouler son slip sur les cuisses, libĂ©rant une verge dĂ©jĂ bien gonflĂ©e.
PlutĂ´t petit, un peu enveloppĂ©, les jambes poilues, Jacques n’est pas un apollon certes, mais la nature l’a nĂ©anmoins bien dotĂ©.
Sans ĂŞtre très long, son pĂ©nis, Ă©pais et courbĂ©, terminĂ© par un gland effilĂ©, est d’un diamètre consĂ©quent.Contemplant le sexe qui se dresse Ă quelques centimètres de son visage, Martine marque un temps d’arrĂŞt, rĂ©alisant ce qui est en train de se passer.
Jacques est leur ami depuis des années, à elle et à son mari, elle est très copine avec Nathalie, ils se sont gardé mutuellement les enfants, et ce soir elle est agenouillée devant lui, presque nue, sur le point de lui administrer une gâterie dont seul Pierre, à ce jour, a été bénéficiaire.
Son regard croise celui de Jacques, qui, silencieux, lui sourit en caressant doucement ses cheveux
Les effets de l’alcool se sont presque dissipĂ©s, mais le sentiment de dĂ©sir est toujours lĂ , bien prĂ©sent, et quand elle referme sa bouche sur le membre dressĂ©, une bouffĂ©e de plaisir l’envahit tout entière.
Sa langue s’enroule autour du gland et le lèche avec l’enthousiasme que procure la nouveautĂ©, s’imprĂ©gnant de l’odeur virile, qui s’en dĂ©gage, puis elle descend le long de la tige boursouflĂ©e, parcourue par de grosses veines gorgĂ©es de sang.Oubliant ou elle est, Martine se met Ă sucer Jacques avec une aviditĂ© Ă©tonnante, assouvissant le besoin impĂ©rieux qui s’est emparĂ© d’elle, au mĂ©pris des règles de fidĂ©litĂ© qu’elle a toujours respectĂ©e.
Pierre, son mari, en cet instant ne fait plus partie de son univers, seul compte le plaisir de ce sexe gonflĂ© dans sa bouche, et elle s’applique Ă le pomper le mieux possible, Ă la grande satisfaction de son propriĂ©taire.
Ses lèvres serrĂ©es autour du membre repoussent la peau jusqu’Ă la base, puis remontent vers le gland qu’elle suce dĂ©licatement avant de l’aspirer, tandis que sa main gauche malaxent les bourses bien remplies.- Ouhhh… Martine… Oui…oui !Elle lève les yeux vers son ami pour apprĂ©cier les effets de son petit traitement qui parait très efficace, Ă en juger les râles feutrĂ©s qui s’Ă©chappent de ses lèvres entrouvertes.
Ils Ă©changent un regard qui en dit long sur l’Ă©motion ressentie Ă ce moment-lĂ par l’un et l’autre, tous deux conscients de la limite qu’ils viennent de franchir ;
MĂŞme si ce n’est qu’un jeu au dĂ©part, un dĂ©fi relevĂ© par Martine, le plaisir ressenti est bien rĂ©el.- Hummm…hummm Martine….. c’est bon… !
– Tu aimes… ?
– Oh oui…. Tu suces bien… !La bite, qui a encore gonflĂ© dans sa bouche, est maintenant bien dure, tout comme les testicules qu’elle presse dans sa main et elle la sent prĂ©s de l’explosion,
S’agrippant aux fesses de Jacques, elle avale son sexe au maximum, jusqu’Ă sentir le gland au fond de sa gorge, les mâchoires bloquĂ©es, retenant sa respiration.
Les palpitations de la verge se font plus fortes, et brusquement un flot chaud et visqueux lui envahit la gorge, la noyant totalement.
Jacques, la tĂŞte entre ses mains, la maintient contre son bas-ventre tandis qu’il Ă©jacule longuement, jouissant d’un orgasme particulièrement fort.
Son sperme s’Ă©coule lentement dans la bouche de Martine qui s’en dĂ©lecte avant de l’avaler, le trouvant Ă son goĂ»t, suave et abondant.- dis donc Martine… ! Qu’est-ce que c’Ă©tait bon… !
– Tu as aimĂ©…? Interroge-t-elle en lĂ©chant les traces de semence sur ses lèvres.
– Ah ça oui…j’ai aimĂ© !
– C’Ă©tait le cadeau au vainqueur ! mais cela reste entre nous… d’accord ? dit-elle en regardant les deux hommes qui acquiescent d’un signe de tĂŞte, encore sous le coup de la surprise.Qui aurait cru que Martine, cette Ă©pouse modèle, serait capable d’une chose pareille ?Elle ramasse ses affaires, salue ses compagnons et se dirige vers sa tente, l’esprit en Ă©bullition, le goĂ»t du sperme dans la bouche.
Elle ne ressent aucun remord, plutĂ´t l’excitation de la dĂ©couverte, comme un enfant Ă qui on vient d’offrir un jouet inattendu.
Elle se dit qu’elle ne pourra jamais s’endormir dans cet Ă©tat, aussi choisit-elle d’aller vers la rivière ou elle a repĂ©rĂ© une petite plage avec du sable.
Pendant un long moment elle reste lĂ , assise, Ă Ă©couter le bruit de l’eau, apprĂ©ciant le calme de la nuit qui peu Ă peu l’apaise.
Elle n’en revient toujours pas de ce dont elle a Ă©tĂ© capable avec son ami, regrettant presque d’avoir pris autant de plaisir.
Elle sait pourtant qu’elle aime un seul homme, son mari.Un craquement de bois mort la sort de sa rĂŞverie, et elle reconnaĂ®t la silhouette de Rachid qui a troquĂ© son jean contre une sorte de djellaba.
Il s’approche et vient s’asseoir Ă ses cĂ´tĂ©s.- Je n’arrive pas Ă dormir ! dit-il. Toi aussi ?
– Oui, c’est pareil… ! rĂ©pond-elle La soirĂ©e a Ă©tĂ© riche en surprise, non ?
– C’est le moins qu’on puisse dire !
– Tu sais que je suis un peu jaloux… !
– Rachid….enfin… !
– J’ai cru pourtant que tu avais apprĂ©ciĂ©…. !
– C’est vrai… dit-elle, un soupçon de regret dans la voix
– Tu ne veux pas finir ce que tu as commencĂ©…? Insiste Rachid Martine, silencieuse, le regarde, ne pouvant nier que la sensation de son sexe imposant dans sa bouche quelques instants auparavant l’a beaucoup troublĂ©e.
Mais c’Ă©tait un jeu.
Puis il y a eu Jacques, et lĂ , sans savoir pourquoi, elle s’est lâchĂ©, prenant un rĂ©el plaisir Ă lui faire une fellation en règle, allant jusqu’Ă avaler sa semence.
Elle tente de lutter contre le sentiment de dĂ©sir qui remonte en elle, le mĂŞme qu’elle a eu tout Ă l’heure, mais elle ne peut dĂ©tourner son regard du renflement qui grossit sous le tissu fin de la djellaba.
Lentement, comme hypnotisĂ©e par le mât en train de s’Ă©riger, elle tend la main vers le bas-ventre de son copain.
Martine pose sa main sur la barre de chair qu’elle masse Ă travers le tissu, la sentant gonfler peu Ă peu, sous le regard amusĂ© de Rachid qui s’est allongĂ© sur le sable.
Instinctivement elle se tourne vers les tentes, mais tout est calme, et Jacques doit sûrement dormir.
Un peu hĂ©sitante, comme si elle redoutait les consĂ©quences de ce qu’elle s’apprĂŞte Ă faire, elle remonte la djellaba, saisit Ă pleine main le membre brun qui se dresse devant elle, impressionnant par sa taille, et commence Ă le branler.- Qu’est-ce qu’il est gros ! S’exclame-t-elle
– Tu aimes… ?
– Je ne suis pas habituĂ©e, tu sais… !
– Alors profites-en… ! Prends le dans ta bouche… j’adore ça !Martine se penche sur lui, retrousse la peau pour dĂ©calotter complètement le gland rond et lisse sur lequel elle referme ses lèvres avec gourmandise, faisant tressaillir instantanĂ©ment son compagnon.
Le contact du gland, doux et tiède, contre sa langue, est si voluptueux qu’il balaie d’un coup les rĂ©serves qu’elle pouvait encore avoir.
Martine n’a plus qu’une envie, celle d’avaler cette superbe verge, la sucer jusqu’Ă la moelle, lui tirer tout son savoureux nectar.
Prise de frĂ©nĂ©sie, elle la branle et la suce avec un appĂ©tit fĂ©roce, excitĂ©e par sa duretĂ© et son volume hors du commun.- Ohhh Putain… Martine… Ouhh …..oui… tu me fais du bien !Elle se rĂ©gale de la bite exceptionnelle de son ami, essayant de l’avaler presque complètement, jusqu’Ă s’Ă©touffer, sa tĂŞte allant et venant sur le pieu de chair hĂ©rissĂ©, Ă une cadence endiablĂ©e.
Sa main libre s’est emparĂ©e des bourses et malaxe les gros testicules qui roulent entre ses doigts.
C’est la première fois qu’elle tient des couilles aussi volumineuses dans sa main, et elle trouve ça très excitant.
Pendants de longues minutes Martine se dĂ©lecte de la virilitĂ© gonflĂ©e Ă bloc, enivrĂ©e par son odeur prenante, la lĂ©chant de bas en haut comme un dĂ©licieux esquimau.— Aahhh… ouhhhh… je sens que je viens, Martine, s’Ă©crie Rachid, en lui pressant la tĂŞte contre son bas-ventre.Son sexe disparaĂ®t presque complètement dans la bouche affamĂ©e, quand brusquement Martine sursaute.
Rachid, qui n’a pu rĂ©sister plus longtemps au traitement, vient d’Ă©jaculer.— Aahhhh… c’est bon !… Ouhhh !… Martine… Putain….Ouiii !Dans l’ombre protectrice de cette nuit ardĂ©choise, Ă mille lieues de son mari, Martine s’abreuve avec dĂ©lectation de la semence tiède et Ă©paisse qui jaillit de la verge plantĂ©e dans sa bouche.
Les jets de foutre inondent sa gorge et l’enivrent vĂ©ritablement, lui faisant perdre toute notion de la rĂ©alitĂ©
La bouche emplie de sperme, elle continue de sucer Rachid, allant et venant sur la tige dĂ©goulinante, le trop plein s’Ă©coulant aux commissures des lèvres en longs filets crĂ©meux.
Doucement, avec application, elle lèche le membre, le nettoyant de toute trace, et c’est Ă regret qu’elle se rĂ©sous Ă libĂ©rer son trophĂ©e, encore Ă©tourdie par le plaisir qu’elle a pris et celui qu’elle a donnĂ© Ă son ami.- Tu as aimĂ© ? demande Rachid
– Ma foi oui ! rĂ©pond-elle, c’Ă©tait vraiment bon. Et toi… ?
– C’Ă©tait trop fort… tu suces vraiment bien !
– Rachid…. ! A t’entendre on dirait que je suis une spĂ©cialiste !
– Non, mais tu te dĂ©brouilles rĂ©ellement bien… je suis sincère !
– Bon, eh bien je te souhaite une bonne nuit…. Fais de beaux rĂŞves…A demain
– Bonne nuit !Martine regagne sa tente, le cœur encore en Ă©bullition, Ă©tonnĂ©e d’avoir rĂ©pondu aussi facilement aux attentes de son copain, presque honteuse du plaisir qu’elle a ressenti en prenant son sexe dans sa bouche, et surtout d’avoir presque joui en avalant sa semence.
Elle ne se rappelle pas avoir pris autant de plaisir depuis longtemps avec son mari dont elle aime pourtant bien sucer le membre.AllongĂ©e elle reprend peu Ă peu ses esprits, se caresse le ventre, descends sur sa vulve qu’elle dĂ©couvre trempĂ©e.
Elle effleure doucement son clitoris déjà bien gonflé et la moindre caresse lui déclenche des vagues de jouissance qui la parcourent instantanément.
ConcentrĂ©e sur son copain elle ne s’Ă©tait mĂŞme pas rendue compte Ă quel point il l’avait excitĂ©e.
Elle se caresse doucement, essayant de se concentrer sur son mari, mais rien n’y fait, c’est bien les sexes de ses deux copains qui hantent son esprit, et en quelques minutes elle parvient Ă bel orgasme qui la secoue longuement.A suivre….Partagez ce rĂ©cit coquin : Tweeter