Histoire coquine :Le soleil est dĂ©jĂ levĂ© quand Martine Ă©merge d’une nuit agitĂ©e, entre remord et excitation, qui ne lui a pas permis de beaucoup se reposer.
Les Ă©vènements de la soirĂ©e l’ont Ă©moustillĂ©e Ă un point qu’elle ne soupçonnait pas, et elle doit se rendre Ă l’Ă©vidence, le regard qu’elle porte envers ses amis n’est plus tout Ă fait le mĂŞme.En avalant son cafĂ©, assise en face des deux hommes qui discutent de la descente de rivière Ă venir, elle les observe en silence, son regard se portant spontanĂ©ment sur le renflement caractĂ©ristique de leur slip qui masque leur virilitĂ©.
Cette virilitĂ© qu’elle a prise dans sa bouche quelques heures plus tĂ´t, et dont elle s’est rĂ©galĂ©e jusqu’Ă s’abreuver de l’abondant nectar qui s’en est Ă©chappĂ©.
Elle remarque que le slip de Rachid parait plus fourni avec des bourses volumineuses qui marquent assez nettement le tissu du sous-vĂŞtement, ce qui suffit Ă raviver l’Ă©moi ressenti la veille quand elle les pressait entre ses doigts.Martine rĂ©alise le pas franchi avec ses compagnons et prie pour que cela reste un secret bien gardĂ©, elle seule sachant que l’un et l’autre ont profitĂ© de ses bienfaits.
Elle espère d’ailleurs que Rachid saura garder pour lui la faveur reçue pendant que Jacques dormait, car elle ne veut absolument pas ĂŞtre considĂ©rĂ©e comme une femme facile, mĂŞme si elle a cĂ©dĂ© assez rapidement Ă sa demande.
Mais ni Rachid, ni Jacques ne font de commentaire sur la soirĂ©e torride de la veille, tout au plus un sourire complice rapidement Ă©changĂ©.Le trio a repris son pĂ©riple, pagaie en mains, et pendant toute la matinĂ©e reste concentrĂ© sur la navigation, chacun s’efforçant de garder le canoĂ« dans la trajectoire en Ă©vitant les rochers affleurant et les remous.
La descente de la rivière nĂ©cessite de vrais efforts, et les difficultĂ©s sont partagĂ©es et surmontĂ©es dans la bonne humeur.A la pause dĂ©jeuner Jacques les informe qu’il a rĂ©servĂ© des chambres pour la nuit en bas des gorges afin qu’ils puissent se reposer avant de reprendre la route le lendemain.La dernière partie du parcours se dĂ©roule sous une chaleur accablante incitant les trois amis Ă opter pour une tenue plus adaptĂ©e, en se dĂ©lestant de leurs vĂŞtements, et ne garder que leur maillot de bain.
Martine a passĂ© le deux-pièces offert rĂ©cemment par son mari, qu’elle n’avait encore jamais portĂ© et qui s’avère plutĂ´t sexy, avec un haut composĂ© de demi-balconnets qui met en valeur le volume de son aguichante poitrine et un slip, style californien, ouvert haut sur les cuisses allongeant ainsi ses jambes.Si ce maillot lui confère une silhouette nettement plus allĂ©chante qu’avec son jogging du matin, il n’est pas très adaptĂ© Ă la pratique sportive, les mouvements de rame ayant amenĂ© Ă plusieurs reprises les lourds mamelons Ă s’Ă©chapper de leur coque de tissu, pour la plus grande joie des deux garçons.
Bien consciente de l’excitation qu’elle provoque, Martine prend son temps Ă chaque fois pour tout remettre en place, se disant que de toute façon, avec ce qui s’est passĂ© la veille, elle ne peut plus avoir de fausse pudeur.En fin d’après-midi, fourbus mais fiers de leur parcours, ils arrivent en bas des gorges ou le loueur les attend pour rĂ©cupĂ©rer le canoĂ« et eux leur vĂ©hicule.Prenant le temps de se changer, Jacques et Rachid enfilent pantalon et chemisette, tandis que Martine se dĂ©barrasse de son maillot de bain trempĂ© au profit d’un soutien-gorge Ă armature qui lui rehausse la poitrine, un corsage et une jupe.
Puis ils se rendent au motel ou Jacques a réservé, mais une mauvaise nouvelle les attend.Ce dernier ayant oublié de confirmer, les chambres ont été relouées.
Devant leur insistance Ă trouver une solution, l’hĂ´telier leur propose une chambre d’habitude rĂ©servĂ©e au personnel, contiguĂ« Ă son propre logement, situĂ© de l’autre cĂ´tĂ© du motel.
N’ayant pas d’autre choix, et trop fatiguĂ©s pour reprendre la route ils finissent par accepter l’offre.L’homme, un grand gaillard aux cheveux gras, la cinquantaine passĂ©e, semble n’avoir d’yeux que pour Martine, la dĂ©shabillant quasiment du regard.
Et pour cause, la transparence du corsage laisse deviner le soutien-gorge de dentelle noire aux bonnets bien remplis.
Il parle fort, avec un accent provençal bien marquĂ©, cherchant visiblement Ă ĂŞtre sympathique, mais son regard est plein de concupiscence Ă l’Ă©gard de Martine qui ne sait plus trop ou se mettre.La chambre qu’il leur offre, assez grande, est très sommairement meublĂ©e, avec un grand lit en fer forgĂ©, une table et deux fauteuils bien fatiguĂ©s.
Un miroir immense en face du lit, dont la taille Ă©tonne dans ce dĂ©cor, et une petite salle d’eau, complètent l’Ă©quipement. – mais il n’y a qu’un lit ? s’Ă©tonne Jacques, en se tournant vers l’hĂ´telier.
– Oui mais c’est un grand lit, vous pouvez y dormir Ă trois, non ? Enfin quand je dis dormir, je me comprends… ! ajoute-t-il avec un rire vicieux en direction de Martine Vous ĂŞtes jeunes…. hein ?
– J’ai peur de ne pas vous comprendre ! rĂ©torque Jacques. Nous avons besoin de trois couchages, puisque nous sommes trois !
– Bon, bon comme voulez… je vous apporte des lits de camp ! rĂ©pond l’homme en tournant les talons.
– C’est un vicieux ce type, tu as vu comme il me regardait ! s’indigne Martine.
– Ne t’en fais pas, on dort et on s’en va ! la rassure Rachid. Mais tu as raison, ce type ne me plait pas non plus.
– Tu prendras le grand lit, dit Jacques Ă son amie, nous prendrons les deux lits de camp, et encore toutes mes excuses pour cet incident.Les lits installĂ©s le trio se change puis part dĂ®ner en ville, et fĂŞter comme il se doit leur descente des gorges car c’Ă©tait quand mĂŞme un bel effort.
Au retour ils sont tout bien guilleret, le vin d’Ardèche faisant son petit effet, et Jacques propose un bain de minuit dans la rivière toute proche, histoire de retrouver ses esprits.L’initiative est aussitĂ´t acceptĂ©e, chacun ayant envie de se rafraĂ®chir, et le trio gagne une petite plage abritĂ©e, Ă l’Ă©cart de la route que Jacques avait repĂ©rĂ© en arrivant.
La lune s’est levĂ©e, donnant des reflets argentĂ©s Ă l’eau qui s’Ă©coule tranquillement, dans le grincement rĂ©gulier du chant des grillons.
L’endroit est paisible, bien Ă l’abri des regards, et Jacques, montrant l’exemple, se dĂ©fait de es vĂŞtement, et entre dans l’eau entièrement nu, bientĂ´t rejoint par Rachid.
– Allez, Martine, viens ! s’exclame-t-il. Elle n’est pas froide… !Après quelques hĂ©sitations Martine se dĂ©shabille Ă son tour, espĂ©rant que ses copains regardent ailleurs, ce dont elle n’en est absolument pas convaincue, pensant plutĂ´t qu’ils n’en perdent pas une miette.
Au moment d’enlever son soutien-gorge elle leur tourne pudiquement le dos, puis entre dans l’eau en tenant ses bras croisĂ©s devant sa poitrine.
– Alor, elle n’est pas bonne ? l’interroge Jacques en rigolant.
– Si, si… ça va !Une fois rentrĂ© dans l’eau l’impression de froid s’attĂ©nue au profit d’une vivifiante sensation de fraĂ®cheur qui parcourt tout son ĂŞtre, accentuĂ©e par l’absence de maillot qui se rĂ©vèle finalement plutĂ´t agrĂ©able.
Martine se met Ă nager en direction de ses amis qui ont gagnĂ© une poche d’eau calme, Ă l’abri d’un Ă©norme rocher.
L’Ă©clairage de la lune, certes faible, donne au dĂ©cor une ambiance particulière, un peu irrĂ©elle, tout comme les tĂŞtes des deux garçons qui seules Ă©mergent de l’eau et se dĂ©tachent du fond sombre des rochers.Ils nagent pendant un petit moment, jouant et s’Ă©claboussant comme des gamins, se tournant autour, les garçons n’hĂ©sitant pas Ă plonger pour s’approcher de leur amie et remonter en l’effleurant d’une main baladeuse, en s’excusant de ne pas l’avoir vue.
Celle-ci n’est pas dupe de leurs manœuvres mais les laisse faire, se prĂŞtant avec bonne grâce Ă ce jeu de toucher-pas pris.
Brusquement Martine sent des mains se poser sur ses hanches, et un corps se coller contre son dos.
– coucou, ma belle… ! rigole Jacques, dont elle vient de reconnaĂ®tre la voix.
– Qu’est-ce que tu fais ?
– Je t’ai fais peur ?
– Non, mais tu m’as surprise !Elle sent son ami se presser contre elle, seules leurs tĂŞtes dĂ©passent de l’eau, et Rachid est un peu plus loin.
Martine voudrait se libérer, mais le contact de ce corps nu lui est très agréable, et sur le moment elle ne sait plus quoi faire.
– la soirĂ©e d’hier t’a plu ? lui chuchote-t-il Ă l’oreille.
– Disons que cela a Ă©tĂ© une expĂ©rience particulière ! rĂ©pond Martine, un peu gĂŞnĂ©e.
– Tu ne m’en veux pas, hein ? Elle ne rĂ©pond pas tout de suite, partagĂ©e entre le remord d’avoir bafouĂ© une certaine moralitĂ© et le souvenir du plaisir qui l’a submergĂ©e en prenant le sexe de son ami dans la bouche.
– non je ne t’en veux pas… ! mais cela doit rester entre nous, tu me le promets ?
– Martine… enfin… cela sera notre petit secret !dit-il tout en se serrant un peu plus contre elle.
– Et lĂ , tu n’es pas bien …. ?
– Avant qu’elle ait pu rĂ©pondre les mains de Jacques ont remontĂ© le long de son ventre, pour venir se poser sur ses seins, raffermis par l’eau fraĂ®che.
Un frisson la parcoure tandis qu’elle tente de se soustraire Ă l’Ă©treinte de son ami, lequel rĂ©siste et maintient sa prise, les mains bien refermĂ©es sur les deux volumineux mamelons apprĂ©ciant ainsi leur poids consĂ©quent et leur consistance.
Ses doigts se sont saisi des tĂ©tons durcis par l’eau et les tortille dĂ©licatement en les faisant rouler entre le pouce et l’index.
– Jacques… ArrĂŞte ! lui dit-elle Ă voix basse pour ne pas alerter Rachid qui a rejoint la plage et semble les regarder.
– Allez, dĂ©tend-toi ! c’est agrĂ©able, non ?
– C’est vrai…mais bon je suis mariĂ©e, l’aurais-tu oubliĂ© ?
– Non, bien sĂ»r… mais je suis sĂ»r que cela te plait ! je me trompe ?Elle ne rĂ©pond pas.
Martine doit reconnaĂ®tre qu’il a raison car ses seins se sont lĂ©gèrement gonflĂ©s sous les caresses de son ami, et elle ressent ce dĂ©sir particulier qui monte Ă nouveau en elle.
Elle ne cherche d’ailleurs plus Ă se dĂ©tacher de Jacques, qui l’ayant bien compris, intensifie ses caresses, se met Ă lui peloter la poitrine rendue particulièrement ferme par la baignade, heureux d’accĂ©der enfin Ă ces deux joyaux sur lesquels il lorgnait depuis pas mal de temps, Ă l’instar d’autres copains du couple.Comme eux il avait pu se rendre compte, lors de sorties Ă la piscine, de la plastique avantageuse de son amie, et il avait souvent fantasmĂ© sur elle.
– tu as vraiment de sacrĂ© nichons ! lui souffle-t-il Ă l’oreille, en lui pressant ses opulents mamelons entre ses doigts.
– Ta femme Nathalie aussi, je crois, non ? lui rĂ©pond Martine.
– Oui… mais pas aussi gros, … et ses tĂ©tons n‘ont rien Ă voir avec les tiens ! tu ne sens pas comme tu m’excites ?
– Jacques… ! Glousse-t-elle excitĂ©e par les mains qui pressent ses seins.Jacques se serre contre son amie, s’arrangeant pour coller lui son sexe contre les fesses.
A son contact, Martine tressaute, surprise par la dureté du membre en érection, et instinctivement sa main vient le saisir, comme pour en vérifier la réalité.
– Je croyais que l’eau froide vous faisait rĂ©trĂ©cir ?
– Et bien pas toujours, tu vois… !L’esprit encore un peu embrumĂ© par la soirĂ©e au restaurant, Martine a du mal Ă mesurer ce qui se passe, gagnĂ©e par le plaisir des caresses sur sa poitrine, et le contact chaud du membre qui gonfle dans sa main.
Machinalement elle se met Ă le branler, Ă©moustillĂ©e par les conditions très particulières aux quelles elle est soumise, protĂ©gĂ©e du regard de Rachid par la pĂ©nombre et l’eau dans laquelle ils sont plongĂ©s.
Silencieusement Jacques et Martine se caressent mutuellement, faisant monter leur plaisir respectif.Elle sent son ventre s’irradier peu Ă peu d’une chaleur bienfaisante, tandis qu’une main une main court le long de son dos, glisse entre ses fesses, pour venir lui caresser la vulve.
Les mouvements de jambes pour se maintenir Ă flot l’obligent Ă Ă©carter les cuisses, facilitant ainsi la tâche de Jacques qui se met Ă lui caresser le sexe, fouillant la toison drue et coupĂ©e court qui le recouvre, Ă la recherche des grandes lèvres.Martine sent les doigts l’explorer, montant et descendant le long de sa vulve jusqu’Ă ce que deux doigts viennent enserrer son clitoris, et le branlent dĂ©licatement.
L’attouchement lui procure une dĂ©charge de jouissance intense qui la traverse de part en part, puis les doigts de Jacques s’infiltrent dans sa chatte, explorant son intimitĂ© avec une fĂ©brilitĂ© jouissive.
La sensation de l’eau qui pĂ©nètre dans son vagin, nouvelle pour elle, est plutĂ´t grisante, et peu Ă peu Martine s’abandonne, la main serrĂ©e sur le sexe durci, le branlant Ă l’unisson de son plaisir.
L’obscuritĂ© la rassure et dĂ©cuple les sensations physiques que lui procure son ami en lui pĂ©trissant les seins d’une main vigoureuse.Jacques exulte littĂ©ralement, galvanisĂ© par la tournure des Ă©vĂ©nements en cette fin de soirĂ©e.En proposant ce bain de minuit il voulait simplement se rincer l’œil en admirant une fois de plus les plantureux appâts de son amie, mais la rĂ©alitĂ© dĂ©passe ses espĂ©rances.
La main qui enserre son sexe et le branle n’est pas une illusion, tout comme la chatte tiède dans laquelle ses doigts s’activent, mĂ©langeant les sĂ©crĂ©tions vaginales et l’eau fraiche de la rivière.
Contre toute probabilitĂ© Martine a acceptĂ© ses caresses et semblent y prendre du plaisir, aussi l’idĂ©e qu’il soit possible d’obtenir plus, qu’un de ses fantasmes puisse se rĂ©aliser, se fait jour en lui.
La voix de son ami le sort brusquement de sa rĂŞverie Ă©rotique.
ď€ je commence Ă avoir froid ! Lui dit Martine. On rentre ?
ď€ Tu as raison… ! RĂ©pond-il. J’espère qu’on pourra poursuivre… ?
ď€ Ce n’est peut-ĂŞtre pas une bonne idĂ©e… ! Bredouille-t-elle, d’une voix peu convaincante et pas convaincue.Ils regagnent la berge ou les attend Rachid, un petit sourire aux lèvres, se contentant de mater son amie qui sort de l’eau en tentant maladroitement de masquer sa nuditĂ© aux yeux des deux garçons.
Pour rejoindre la chambre que leur a octroyĂ©e l’hĂ´telier, ils doivent passer devant chez lui, et celui-ci, postĂ© sur son perron, les interpelle d’une voix joviale :
ď€ Eh…. vous avez Ă©tĂ© vous baigner ?
ď€ Oui, il faisait trop chaud !
ď€ Vous avez bien raison, rien ne vaut un bon bain de minuit avec cette chaleur !s’esclaffe-t-il avec un rire gras. Entrez je vous offre un verre !
ď€ C’est gentil mais on allait se coucher ! Dit Rachid
ď€ Allez, faites-moi plaisir ! Juste pour trinquer !
ď€ Bon d’accord !L’homme les guide jusqu’au salon ou il leur sert un verre de punch bien frais.
ď€ je le fais moi-mĂŞme… vous m’en direz des nouvelles!
ď€ C’est vrai qu’il est bon ! Le fĂ©licite Jacques. Quelle est votre recette ?
ď€ Ah ça…. du rhum, du jus d’ananas, du sucre de canne !
ď€ Il y a un arrière goĂ»t poivrĂ©… ! S’Ă©tonne Rachid. C’est quoi ?
ď€ J’ajoute toujours quelques Ă©pices pour le corser. Ca vous plait Madame ? Demande-t-il en lorgnant sur ses seins qu’elle tente de masquer en croisant ses bras.
ď€ Oui oui… il est très bon, et ça passe tout seul !Le premier verre fini l’homme insiste pour leur en servir un deuxième, et ce n’est qu’après le troisième et un bon quart d’heure de palabres que les trois amis parviennent Ă prendre congĂ© de leur hĂ´te.
ArrivĂ©s dans la chambre les effets de l’alcool commencent Ă se faire sentir, les amenant Ă parler fort et Ă rire pour un rien.
ď€ il est costaud son punch… ! Rigole Rachid.Une euphorie communicative s’installe, accompagnĂ©e d’une grande fĂ©brilitĂ©, et une curieuse sensation d’Ă©nergie.
ď€ j’ai une de ces pĂŞches ! S’exclame Jacques. C’est incroyable… !La fatigue de la journĂ©e semble s’ĂŞtre Ă©vaporĂ©e comme par enchantement, au grand Ă©tonnement du trio qui met cette sensation sur le compte de la baignade nocturne, tout compte fait très relaxante.
Ils se mettent à danser dans la pièce, sur une musique imaginaire, inventant des figures plus folles les unes que les autres, en éclatant de rire.
Martine qui semble ĂŞtre bien partie, s’agite devant l’immense miroir en prenant des poses de plus en plus sexy, encouragĂ©e par les deux garçons.
Elle se sent légère, enivrée certes, mais une ivresse particulière qui lui donne un sentiment de liberté, de puissance.
ď€ Oui…Vas-y Martine….super ! Fais-nous voir ce que tu sais faire… !
ď€ Allez, sois sexy… oui ! S’Ă©crie Jacques en se dĂ©hanchant Ă ses cĂ´tĂ©s. Fais nous un petit strip….Allez !Prise par son jeu, galvanisĂ©e par les cris de ses amis, Martine se dĂ©hanche de plus belle en se regardant dans la glace, et doucement commence Ă dĂ©grafer son corsage, prenant un malin plaisir Ă faire durer l’opĂ©ration.
Les deux garçons la regardent faire en se pressant autour d’elle, l’encourageant, pressĂ©s de voir le vĂŞtement Ă terre.Un par un elle dĂ©fait les boutons du vĂŞtement avant de le faire glisser lentement sur ses Ă©paules, apparaissant en soutien-gorge, son taille E Ă armatures, sous des applaudissements nourris.
ď€ Chiche d’enlever le haut ? La dĂ©fie Rachid, tout excitĂ©.
ď€ Et toi ? Lui rĂ©pond Martine, la bouche empâtĂ©e. Toi aussi tu pourrais nous faire voir quelque chose !
ď€ D’accord ! RĂ©pond-il
Et joignant le geste Ă la parole Rachid se dĂ©shabille Ă son tour, ne conservant que son slip, largement insuffisant pour masquer l’imposante Ă©rection qui orne son bas-ventre.
ď€ Tiens…Ca te va ? Dit-il en se tournant ostensiblement vers Martine.
ď€ Ouais …pas mal ! Mais tu peux mieux faire ! RĂ©pond-elle les yeux fixĂ©s sur le renflement Ă©norme qui distend le tissu.
ď€ Viens ! Dit-il avec un air de dĂ©fi. Fais le toi-mĂŞme !La vue de Rachid, presque nu, et la silhouette de ce sexe qui ne demande qu’Ă jaillir de sa prison font monter son dĂ©sir d‘un cran, et sans plus y rĂ©flĂ©chir, elle s’approche de son ami, saisit son slip qu’elle fait rouler sur ses cuisses, libĂ©rant un membre imposant qui se redresse instantanĂ©ment.
ď€ belle pièce ! Lâche-telle, en effleurant de la main le sexe Ă©rigĂ©.
ď€ A toi maintenant ! Insiste Jacques.Un curieux sentiment l’a envahie progressivement qui lui Ă´te toute vellĂ©itĂ© de refus, mieux elle a envie de s’exhiber, de se rendre dĂ©sirable.
Se montrer nue ne lui pose plus de problème, au contraire, elle se sent fière de son corps, consciente de l’attrait qu’il exerce sur les deux hommes, et veut en jouer avec eux.
Silencieusement Martine dĂ©grafe son soutien-gorge, fait glisser les bretelles, tout en maintenant les bonnets en place avec son avant-bras au grand dam des deux garçons qui s’impatientent.TournĂ©e face au miroir elle regarde Jacques et Rachid, debout derrière elle, et se remet Ă danser, une danse lente et sensuelle quand sans prĂ©venir, d’un geste rapide, elle leur jette son soutien-gorge par dessus la tĂŞte, rĂ©vĂ©lant sa majestueuse poitrine.ď€ tenez… Il est Ă vous !dit-elle en continuant d’onduler devant le miroir,
ď€ Je peux le garder ? Interroge Rachid en ramassant le sous-vĂŞtement de dentelle noire, impressionnĂ© par la taille des bonnets.
ď€ Si tu veux….. ! RĂ©pond-elle, amusĂ©e devant l’attitude de son copain qui lui fait penser Ă un gamin qui aurait dĂ©crochĂ© le pompon sur un manège de fĂŞte foraine.Prise d’une pulsion soudaine Martine se livre alors Ă une vĂ©ritable danse Ă©rotique, n’hĂ©sitant pas Ă se caresser le corps, le dos cambrĂ©, se massant les seins dont les pointes hĂ©rissĂ©es trahissent son Ă©tat d’excitation, sous le regard mĂ©dusĂ© des deux hommes.
Elle ne porte plus que sa culotte brĂ©silienne qu’elle s’ingĂ©nie Ă transformer en string, en tirant dessus pour la faire rentrer entre ses fesses, rendant diaboliquement sexy sa croupe gĂ©nĂ©reuse.
Les poses qu’elle prend sont de plus en plus suggestives, visiblement destinĂ©es Ă exciter son public qui se rĂ©gale du spectacle.Jacques a du mal Ă reconnaĂ®tre son amie dans la femme qui se caresse les seins devant lui en ondulant du bassin, mimant quasiment un rapport sexuel.
Le punch y est sûrement pour quelque chose, car lui aussi se sent des ailes, dévoré par le désir fou pour la femme de son ami Pierre.
Les dĂ©hanchements torrides auxquels elle se livre depuis un moment, en exhibant ses fabuleux mamelons sous son nez ne font qu’attiser son appĂ©tit et l’envie de la prendre.
Il se dĂ©leste rapidement de ses affaires, et s’approche de son amie, le sexe dressĂ© et dur comme de la pierre, sous le regard de Rachid qui lui aussi s’est dĂ©nudĂ© et se caresse le sexe, lequel a pris une taille impressionnante.Il vient derrière elle et l’enlace d’autoritĂ©, l’accompagnant dans sa danse lascive.
Martine sourit sans se soustraire, se contentant de regarder leur image qui se reflète le miroir, et s’abandonne aux caresses de son ami qui a jetĂ© son dĂ©volu sur sa poitrine dont il pĂ©trit avidement les globes lourds et fermes.
Elle adore sentir ses doigts s’enfoncer dans ses chairs gĂ©nĂ©reuses, les presser pour en faire gonfler les pointes brunes maintenant bien dures, presque douloureuses.
ď€ qu’est-ce que j’aime tes seins Martine ! S’exclame Jacques en les regardant le miroir. Ce sont de vrais obus… ! J’ai l’impression qu’ils sont encore plus gros ce soir … !
ď€ c’est parce que je suis excitĂ©e… ils grossissent toujours un peu !
ď€ ExcitĂ©e comment ? Demande-t-il la bouche sèche, en se serrant un peu plus contre son corps nu.
ď€ Très excitĂ©e… !
ď€ Comme nous alors… !Rachid les a rejoint, s’agenouille devant elle et lentement fait glisser la culotte brĂ©silienne le long de ses jambes, en guettant ses rĂ©actions.
Martine reste silencieuse, acceptant de bonne grâce la perte de son dernier rempart, et regarde le bout d’Ă©toffe rejoindre le sol, tandis que les deux garçons dĂ©couvrent la toison noire qui couvre son pubis.
Les poils drus et coupĂ©s courts, forment un triangle qui s’arrĂŞte juste au dessus de la vulve dĂ©licieusement bombĂ©e et Ă©pilĂ©e.
ď€ Pierre est un sacrĂ© veinard ! S’exclame Rachid, en caressant doucement la toison.Avant qu’il ait eu besoin de le demander Martine a Ă©cartĂ© ses jambes pour lui faciliter l’accès Ă son sexe ce dont il s’empresse de profiter, en Ă©cartant les grandes lèvres brunes avec ses doigts.
IL plonge sa langue dans la chatte qui s’offre Ă lui, rose et luisante, et entame une voluptueuse exploration.
Il la fouille de fond en comble, la lĂ©chant goulĂ»ment sur toute sa surface, mettant tout son savoir-faire en la matière pour faire couler le dĂ©licat nectar qui rapidement dĂ©trempe l’orifice.
ď€ tu mouilles bien dis-donc ! C’est bon ça ! Exulte-t-il
La langue s’insinue dans les moindres replis, pĂ©nètre par petits coups rapide l’entrĂ©e du vagin, avant de remonter vers le clitoris que Rachid vient de dĂ©gager.ď€ Whaoo… ! Ca c’est un clito ! S’Ă©crie-t-il en dĂ©couvrant le bouton nacrĂ©, gros comme un petit pois.Tenant les lèvres relevĂ©es il se livre Ă un lĂ©chage soutenu de la petite excroissance rosĂ©e, ce qui fait tressaillir Martine Ă chaque coup de langue.
Banco !
Rachid a compris la grande sensibilitĂ© de sa partenaire et il concentre ses caresses buccales sur son clito, le suçant et l’aspirant avec frĂ©nĂ©sie, impatient de la faire jouir.
L’Ă©coulement abondant qui trempe la chatte atteste de l’efficacitĂ© de son action, tout comme les gĂ©missements de son amie qui s’intensifient, pour la plus grande joie des deux hommes.
Celle-ci s’abandonne de plus en plus Ă eux, donnant Ă leurs rĂŞves les plus fous une rĂ©alitĂ© toute proche.Jacques s’agenouille derrière elle et vient enfouir sa tĂŞte entre les fesses charnues, glissant sa langue dans le sillon jusqu’Ă l’anus qu’il lèche amoureusement.
Ce cul est un vrai bonheur pour lui, doux et pulpeux, et comme c’est parti il est sĂ»r qu’il va en profiter ce soir.
Tandis que Rachid continue de la lĂ©cher, Jacques lui pĂ©nètre la chatte dĂ©trempĂ©e de son index gauche, tandis qu’avec l’autre il lui caresse l’œillet, pressant l’orifice pour le dilater.
D’abord timides, ses mouvement deviennent plus musclĂ©s, Ă la mesure de son dĂ©sir pour Martine, laquelle gĂ©mit de plus en plus fort, la tĂŞte rejetĂ©e en arrière.
Il la doigte maintenant avec Ă©nergie, enfonçant son index le plus profondĂ©ment possible, tandis que Rachid branle le clitoris entre ses doigts.Les deux hommes Ă©changent un regard complice, bien dĂ©terminĂ©s Ă saisir l’opportunitĂ© incroyable qui s’offre Ă eux, malgrĂ© l’amitiĂ© qui les lie au mari de Martine.
Celle-ci mouille de plus en plus abondamment, inondant les doigts et la bouche qui la fouille toujours plus intensĂ©ment, son corps se tord sous les vagues de plaisir qui la parcourent de toutes parts, l’obligeant Ă se tenir aux barreaux du lit pour garder l’Ă©quilibre.
Son vagin distendu accueille maintenant la moitiĂ© de la main de Jacques avec quatre doigts introduits, qu’il fait aller et venir Ă un rythme rapide, cherchant Ă faire passer le pouce Ă©galement.
Un incroyable frĂ©nĂ©sie s’est emparĂ©e de lui, et il redouble d’efforts, poussant un peu plus sa main dans l’orifice dĂ©trempĂ©.Martine n’en peut bientĂ´t plus, son orgasme Ă©clate brutalement, avec un grand cri de jouissance qui rĂ©sonne dans la pièce comme un coup de tonnerre.
Un immense frisson, d’une intensitĂ© sans Ă©gal, la parcoure de la tĂŞte aux pieds, tandis que Rachid s’efforce de lui garder les cuisses Ă©cartĂ©es afin de s’abreuver du flot de cyprine qui s’Ă©coule de sa chatte dĂ©vastĂ©e.Partagez ce rĂ©cit coquin : Tweeter