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Les aventures de Martine 4

Posted on novembre 1, 2022 By 2ne7l Aucun commentaire sur Les aventures de Martine 4
Visualisations: 10

Histoire coquine :Jacques se demande si l’hĂ´telier, qui vit juste Ă  cĂ´tĂ©, a entendu Martine hurler sa jouissance, car la pièce rĂ©sonne beaucoup et ne parait pas bien isolĂ©e de la maison car il s’agit d’une simple cloison.
Vu son regard vicieux et les allusions un peu lourdes, il n’est pas impossible qu’il soit restĂ© Ă  les Ă©couter de l’autre cĂ´tĂ© du mur.
Les Ă©couter … et les voir ?
Brusquement Jacques repense Ă  leur arrivĂ©e dans la chambre et l’impression bizarre que lui a faite le miroir bien trop grand pour la pièce.
Il occupe prĂ©s de la moitiĂ© du mur sur deux mètres de haut, du cĂ´tĂ© mitoyen au logement de l’hĂ´telier.
Se pourrait-il que cela soit un miroir sans tain, comme il en existe dans certaines maisons closes pour assouvir le voyeurisme de leurs clients ?
L’idĂ©e que l’hĂ´telier soit en train de les mater aiguise son excitation, mais il est difficile de vĂ©rifier, le miroir Ă©tant montĂ© sur un cadre vissĂ© au mur.
Quoiqu’il en soit Jacques dĂ©cide de ne pas alerter ses compagnons qui ne sont peut-ĂŞtre pas aussi pervers que lui.Jamais l’ivresse ne lui a donnĂ© autant d’Ă©nergie, cela en est presque Ă©trange, mais cela le rend euphorique et sĂ»r de lui.
Il a une trique d’enfer, comme rarement il a eu, qui gonfle formidablement son sexe, le rendant particulièrement dur et volumineux.
Sa verge, légèrement arquée, est plutôt massive, avec un petit gland effilé.
Il est sĂ»r que son amie l’a apprĂ©ciĂ©e la veille au soir, et il lui tarde de la lui faire goĂ»ter Ă  nouveau.
Tout comme elle va certainement goĂ»ter celle de Rachid, dont il est un peu jaloux de la taille, du moins pour sa longueur, plus de vingt centimètres de tige brune bien droite et Ă©paisse, et un large gland arrondi et lisse.Martine s’est affalĂ© sur l’un des fauteuils pour rĂ©cupĂ©rer du violent orgasme qui l’a dĂ©vastĂ©, et observe ses compagnons, partagĂ©e entre l’impĂ©rieux dĂ©sir qui la submerge et une sourde inquiĂ©tude d’aller trop loin.
L’ esprit noyĂ© dans une brume cotonneuse, elle sent bien que ce n’est pas son Ă©tat normal, mais son ventre brĂ»le d’un dĂ©sir irrationnel pour les deux hommes qui arborent de superbes Ă©rections, lĂ , sous ses yeux.
Un frisson dĂ©licieux la parcoure en se remĂ©morant la soirĂ©e de la veille quand elle les a prises dans sa bouche, particulièrement la verge qui se dresse entre les cuisses de son ami tunisien, tel un mât puissant et inflexible.Rachid, assis en face d’elle sur l’autre fauteuil, se branle doucement en la regardant, fier de son imposante virilitĂ©.Jacques rapproche la table du miroir puis aide son amie Ă  se relever.
– Viens par lĂ ….Allonges-toi sur la table… ! dit-il
— Qu’est-ce que tu veux faire ? demande-t-elle d’une voix vaseuse, obĂ©issant sagement Ă  la demande.
Faisant face à elle, il lui écarte les jambes, contemplant la vulve magnifiquement bombée encore mouillée du précédent orgasme.
– Quelle belle chatte ! dit-il en la lĂ©chant. Tu me fais vraiment bander, tu sais… !
– Ohhh…Jacques ! gĂ©mit-elle en frissonnant sous l’action de la langue qui glisse sur sa chair— J’ai envie de toi Martine !dit-il en se relevant et en frottant son pĂ©nis contre son vagin.
— Jacques…ce n’est pas une bonne idĂ©e ! proteste-t-elle pour la forme, consciente qu’elle n’a qu’une envie, celle de sentir son membre la pĂ©nĂ©trer.
— Si on le fait, rien ne sera plus comme avant, en plus Pierre est ton ami.
— Il n’en saura rien, ce week-end sera vite oubliĂ©.Tout en parlant il continue de frotter son gland contre sa vulve et cela semble porter ses fruits car brusquement il a l’impression qu’elle Ă©carte un peu plus ses cuisses, comme pour mieux l’accueillir.- Jacques… S’il te plaĂ®t… non ! Ne fais pas ça ! rĂ©pète-t-elle en tentant mollement de le repousser. Mais sa rĂ©sistance parait bien faible.
– Martine… je te veux! dit-il dans un souffle. Tu me chauffe trop tu sais… !Rachid regarde le pĂ©nis arquĂ© caresser la vulve entrouverte, et pendant que Martine tente de dissuader son ami, le gland lisse et brillant s’enfonce tout doucement entre les lèvres roses, puis la verge tout entière.- Jacques, l’implore-t-elle, on ne devrait pas… ! supplie-t-elle de plus en plus faiblement
en sentant la verge s’enfoncer en elle, Ă©cartelant ses chairs, jusqu’Ă  ce que les cuisses de Jacques viennent au contact de ses fesses.Tout en lui caressant les hanches il ondule du bassin, histoire de bien lui faire sentir sa queue bien dure.— Ne t’en fais pas !… Tu n’aimes pas ?La chaleur du membre qui pour une fois n’est pas celui de son mari irradie dans son vagin et lui procure un bien-ĂŞtre absolu.
Les sentiments se bousculent dans sa tĂŞte, partagĂ©e entre l’envie de se faire prendre par son ami, et une culpabilitĂ© diffuse. Si, bien sĂ»r… mais Pierre….. !
 Ne culpabilise pas ! Il n’en saura jamais rien. Je sais que tu en crèves d’envie…!Il se retire doucement puis sa queue bien raide plonge Ă  nouveau dans les entrailles de Martine rĂ©signĂ©e qui l’accueille les cuisses largement ouvertes.
Rachid se dit que la partie est gagnĂ©e en regardant le membre courbe et Ă©pais qui se met Ă  aller et venir, ponctuĂ© par les râles de plaisir que lâche Martine quand Jacques la pĂ©nètre un peu plus profondĂ©ment. — Ohhhh, Martine, souffle-t-il, qu’est-ce que tu es bonne… ! Je te veux… !
— Jacques…. qu’est-ce qu’on fait… ?
— Tu me sens bien ?
— Oh Oui… tu es dur !
— Martine… Ouhhhh… ! Pourquoi on ne l’a pas fait avant ?Elle ne rĂ©pond pas, tout Ă  son bonheur de sentir le mandrin Ă©pais et dur lui labourer la chatte avec une vigueur peu commune, la pilonnant avec une rĂ©gularitĂ© de mĂ©tronome qui la fait chavirer.
Sa respiration s’accĂ©lère, le plaisir l’envahit, tandis que les coups de boutoir s’intensifient, faisant trembler la table.
Jacques est si incroyablement dur qu’elle a l’impression d’ĂŞtre pĂ©nĂ©trĂ©e par un pieu d’acier, mais au contact très doux.— Viens par lĂ , lui demande-t-il.Il aide Martine Ă  se remettre debout et prenant toujours bien soin de l’orienter dos au miroir, il la tourne contre la table, lui lève une jambe sur le plateau, cette position exposant totalement sa vulve dilatĂ©e et suintante Ă  souhait.
Elle a un cul superbe, bien charnu, dans lequel on a envie de mordre Ă  pleine dent.
Jacques Ă©carte les fesses potelĂ©es et la pĂ©nètre d’une seule poussĂ©e, presque violemment.
Il reste un instant immobile, puis entame un va-et-vient ample et profond, manifestant bruyamment son plaisir.— Qu’est-ce que c’est bon de te baiser… ! Il en a de la chance Pierre… ! T’es bonne Martine… t’es vraiment bonne… !
— Oohh… Jacques!… Ouiii… ! Je sens bien ton sexe… il est dur… !
— Ahhh… c’est toi qui me rend dur comme ça tu sais… !La maintenant plaquĂ©e contre le plateau de la table, il la tringle vigoureusement, ce qu’elle a l’air d’apprĂ©cier Ă  en juger les cris d’encouragement qui rĂ©sonnent dans la pièce
Jacques sourit en pensant Ă  l’hĂ´telier qui est peut-ĂŞtre en train de les espionner.
Si c’est le cas il en a pour son argent le salaud !
La table oscille sous le pilonnage encaissĂ© par Martine, qui s’agrippe au plateau tant bien que mal.— Oui… oui… Oohhh… Jacques, oui…
— Ouuhh… Martine ! Qu’est-ce que tu es bonne, putain !
— Oui Jacques… oui… prends-moi ! Tu es bien dur… prends-moi bien !
— J’ai toujours voulu te baiser, tu sais ! J’Ă©tais sĂ»r que tu Ă©tais un bon coup !Rachid se lève et vient se mettre face Ă  Martine, lui effleurant le visage de son sexe tendu.
Avec une aviditĂ© Ă©tonnante elle referme sa bouche sur le chibre de son ami, comme si elle attendait ce moment depuis longtemps et se met Ă  le sucer, s’efforçant de l’avaler le plus profondĂ©ment possible.
Mais Rachid ayant Ă©tĂ© formidablement dotĂ© par la nature, elle doit se contenter d’en engloutir la moitiĂ©.
Le contact du membre contre sa langue et son palet est un vrai bonheur, chaud et dur, elle le sent palpiter, ce qui dĂ©cuple son sentiment d’ivresse.
Jacques dĂ©chainĂ©, lui saisit les bras et les tire en arrière, la forçant Ă  se relever lĂ©gèrement, le dos cambrĂ©, buste saillant, et redouble d’ardeur pour lui dĂ©foncer la chatte.
Martine n’est plus que jouissance, mais ses cris s’Ă©touffent dans sa gorge obstruĂ©e par le membre imposant de Rachid,
Aux tremblements qui agitent soudain son corps Rachid comprend qu’elle vient jouir, la bite de Jacques profondĂ©ment plantĂ©e en elle.
Il Ă©change un regard de satisfaction avec son ami, un regard qui scelle leur complicitĂ© et leur dĂ©termination Ă  profiter de l’incroyable opportunitĂ© qui s’est offerte Ă  eux.Un autre personnage n’a rien perdu de la scène, c’est l’hĂ´telier.
Ainsi que le pressentait Jacques, l’individu a effectivement installĂ© un miroir sans tain entre deux pièces contigĂĽes pour assouvir ses instincts de voyeur.
Il prĂŞte ou loue ainsi rĂ©gulièrement la chambre Ă  des couples de passage dont il espionne et filme les Ă©bats, grâce Ă  un matĂ©riel vidĂ©o sophistiquĂ©, et des micros cachĂ©s de l’autre cĂ´tĂ©.
Régulièrement il organise des soirées au cours desquelles les cassettes sont visionnées et les performances sont notées par les participants.
Robert, c’est son nom, sait dĂ©jĂ  que cette soirĂ©e sera un must !Quand le trio s’est prĂ©sentĂ©, il a remarquĂ© tout de suite Martine, petite brune aux formes gĂ©nĂ©reuses, comme il les aime, et il leur a proposĂ© la chambre au miroir, certain qu’il ne serait pas déçu.
Et ce qu’il voit depuis le dĂ©but de la soirĂ©e ne fait que conforter son impression.
Elle va le faire bander !
Il s’est bien branlĂ© pendant son strip-tease, se rĂ©galant de la voir dĂ©nuder ses superbes nichons, deux savoureux obus que le volume du soutien-gorge laissait pressentir.
Grâce Ă  la camĂ©ra il n’a manquĂ© aucun dĂ©tail, zoomant comme un fou sur les lourds mamelons fièrement dressĂ©s, sans oublier son cul, pulpeux Ă  souhait.
Il se plait Ă  imaginer tout ce qu’il pourrait faire avec cette femme, qui, derrière ses airs de fille bien sage, dispose de tous les arguments nĂ©cessaires Ă  une bonne baiseuse.Et quand Jacques l’a prise contre la table, il l’aurait embrassĂ© tellement l’angle de vue Ă©tait impeccable, lui permettant de voir parfaitement la queue massive marteler cette chatte dont il aurait volontiers fait son quatre heures.
La scène l’a tellement excitĂ© qu’il n’a pu retenir son plaisir, Ă©jaculant une bordĂ©e de foutre contre le mur.— Viens sur le lit… ! dit Jacques, avec un clin d’œil Ă  Rachid.
—
Il se retire et s’installe sur le lit en fer forgĂ©, couchĂ© sur le dos, invitant Martine Ă  le chevaucher.
Elle s’exĂ©cute, encore un peu sonnĂ©e par l’orgasme qui vient de l’emporter, et enjambe son ami, se positionnant au-dessus de la verge dressĂ©e, la guide vers sa chatte et s’empale lentement dessus en gĂ©missant de plaisir.
Cambrée, prenant appui sur les cuisses de son partenaire, la poitrine en avant, elle se met à onduler du bassin, à la recherche des meilleures sensations.
Jacques n’est pas l’Apollon absolu, loin s’en faut, plutĂ´t petit et bedonnant, il a un look de père tranquille, mais la nature l’a dotĂ© d’une virilitĂ© vigoureuse propre Ă  combler les attentes de son amie.
En glissant sur le pieu dressĂ©, une fulgurante sensation de bonheur la traverse, tandis que ses chairs s’Ă©cartent sous la pression.— Ohhhh… Jacques! Ahhhh… c’est bon… oui… ouiii !Il s’est emparĂ© des lourds mamelons qui se dressent fièrement au-dessus de lui, enfonçant ses doigts sans mĂ©nagements dans la chair souple et soyeuse.
Il en rĂŞvait depuis longtemps de cette poitrine allĂ©chante, d’en sucer les bouts gorgĂ©s de dĂ©sir.
Ce week-end son rĂŞve se rĂ©alise et sa partenaire semble ravie du sort qu’il leur fait subir en les malaxant avidement, tirant et pinçant les pointes sans mĂ©nagement.
Si Pierre savait ça, pense Jacques, il serait malade que je profite aussi impunĂ©ment des superbes melons de sa femme.Robert, de l’autre cĂ´tĂ© du miroir, se branle Ă  nouveau en regardant Martine s’empaler sur la bite de son copain.
Grâce au micro il a bien compris que le mari n’est pas lĂ , que ses potes le font cocu dans les grandes largeurs, et ils ont bien raison les petits salauds car la garce est sacrĂ©ment bien foutue.
Il aimerait bien, lui aussi, pouvoir prendre cette allĂ©chante poitrine dans ses mains, lui sucer ses gros tĂ©tons bien juteux.- Putain, qu’est-ce que j’aime tes seins Martine ! Ils sont vraiment beaux !
– Profites-en… ils sont Ă  toi… !
– Pierre ne doit pas s’ennuyer, hein… ? Questionne Rachid. Quelle sacrĂ©e paire de loches…!
– Viens un peu vers moi… voilĂ , comme ça… ! dit Jacques.Martine se penche vers lui, offrant Ă  la bouche impatiente de son partenaire ses appĂ©tissants mamelons, qui s’empresse d’en sucer les pointes gonflĂ©es.
Il les aspire entre lèvres, les tire et les mordille, les faisant grossir encore.Avec sa camĂ©ra l’hĂ´telier vient zoomer sur la croupe de Martine, empalĂ©e sur le chibre de son ami et il peut voir distinctement les lèvres de son sexe Ă©troitement collĂ©es au membre Ă©pais qui va-et-vient dans un chuintement humide.
Les gĂ©missements de plaisir se mĂŞlent au souffle bruyant de Jacques qui se donne Ă  fond pour la pĂ©nĂ©trer le plus profondĂ©ment possible, avec des mouvements de reins amples et rapides.- Ouhhh…. Putain…. C’est bon !
– Oui…Oui….Vas-y Jacques….ouhhhh…. ! Mets-la-moi bien…. !
– Ohhh oui…. Je te la mets bien au fond… !Rachid s’approche de Martine et lui Ă©carte les fesses, dĂ©voilant le sillon d’une croupe magnifique, ronde et bien charnue, et la petite rosette plissĂ©e de l’anus.
Ses doigts suivent la raie puis s’attarde sur l’anus sur lequel il dĂ©pose un filet de salive avant de le caresser du bout de l’index, en petits mouvements concentriques.
Longuement il lui caresse le cul, massant le petit œillet, gagnĂ© par un dĂ©sir frĂ©nĂ©tique de le possĂ©der, de sentir sa verge irrĂ©sistiblement serrĂ©e dans l’Ă©troit conduit.- T’as vraiment un beau cul Martine… ! s’exclame-t-il, admiratif.Il introduit un doigt tout entier, l’enfonce lentement, le ressort puis recommence avec deux, fourrageant doucement l’anus qui se dĂ©tend, allant et venant avec prĂ©caution.
Son autre main caresse les fesses nues, les claquant de temps Ă  autre, d’un coup sec qui les fait rougir.
Son Ă©rection tĂ©moigne de son dĂ©sir pour sa partenaire, et Robert dois reconnaĂ®tre qu’il a un sacrĂ© braquemart, long et Ă©pais, formidablement dressĂ©, prĂŞt Ă  s’engouffrer dans la croupe pulpeuse qu’elle lui prĂ©sente. Ă€ l’introduction des doigts Martine se crispe, puis se dĂ©tend, embrassĂ©e Ă  pleine bouche par Jacques.
Les doigts qui se sont introduit dans son rectum ne lui font finalement pas si mal, bien que ce soit la première fois qu’elle se laisse pĂ©nĂ©trer par lĂ .- T’as un beau cul, Martine ! T’es vraiment bien foutue… ! Lui glisse Rachid en la doigtant dĂ©licatement.
– Alors Martine, questionne Jacques, qu’est-ce que t’en dis…C’est bon, non ?
– Oui… c’est bon… ! rĂ©pond-elle en tournant la tĂŞte vers celui qui s’apprĂŞte Ă  la sodomiser.Après lui avoir bien assoupli l’anus, il crache sur son sexe puis, le guidant d’une main, il l’appuie sur le petit orifice qui lentement cède sous la pression du gland, lequel s’enfonce peu Ă  peu entre les fesses rondes.— Va doucement s’il te plait ! l’implore-t-elle.Il patiente quelques instants, se retire, mouille encore son sexe de salive, puis la pĂ©nètre Ă  nouveau, lentement, attentif Ă  ne pas la blesser.
Progressivement, par petites poussĂ©es, il lui pĂ©nètre totalement l’anus, infligeant une formidable pression aux chairs intimes qui l’accueillent.
Martine a l’impression que son cul va Ă©clater, qu’il va la dĂ©chirer car la douleur est vive, mais rapidement elle se dĂ©couvre une capacitĂ© de dilatation tout Ă  fait Ă©tonnante, car l’imposante bite glisse Ă  prĂ©sent facilement, plongeant dans les profondeurs secrètes jamais dĂ©voilĂ©es.
Cette sensation d’un Ă©norme barreau dans le cul, gĂŞnante au dĂ©but, devient assez grisante, quand il commence Ă  coulisser en elle, comme s’il Ă©tait douĂ© d’une vie propre.Robert, qui n’en perd pas une miette, regarde le membre brun disparaĂ®tre entre les fesses, vingt centimètres de queue Ă©paisse et dure qui investissent le rectum de Martine tandis qu’elle gĂ©mit doucement, la tĂŞte posĂ©e sur le torse de Jacques.Celui-ci, qui a stoppĂ© ses mouvements pendant l’introduction, reprend progressivement ses va-et-vient, en alternance avec Rachid qui la tient fermement par les hanches.
Ce dernier la sodomise maintenant de plus en plus vigoureusement, la pĂ©nĂ©trant d’un sexe dur comme la pierre, assouvissant enfin son vieux dĂ©sir, saillir la femme de son copain Pierre.
Elle crie comme jamais elle n’a criĂ©, secouĂ©e par les coups de boutoir de ses deux amis.— Oohhhh… ouhhh… c’est bon !… c’est trop bon !
— Ahhh… Ce cul !… il est bon ton cul… ! Qu’est-ce que j’aime te baiser, Martine… ! crie Rachid.
— Oohhhh… je vous sens bien… ! C’est incroyable de sentir vos deux sexes en moi !
— On va te faire jouir ma belle…. comme jamais tu n’as joui !
— Je vais jouir dans ton cul Martine !
— Oui, oui…. faites-moi jouir…. faites-moi sentir vos queues !C’est la première fois que les deux hommes entendent leur amie s’exprimer de cette façon, elle qui est plutĂ´t discrète, et cela est particulièrement excitant.
Elle-mĂŞme n’aurait jamais imaginĂ© qu’en bonne de mère de famille exemplaire, sage et rĂ©servĂ©e, elle se serait laissĂ© aller ainsi Ă  des pulsions presque animales. — Ouhhhh… Qu’est-ce que t’es bonne Martine… ! crie Jacques d’une voix rauque. Tu la sens ma queue ?
— Oui, elle est bien dure… Baises-moi…baisez-moi bien fort… !
— Allez… jouis ma belle, vas-y, jouis… ! L’encourage-t-il.
— Tu les aimes nos bites, hein… ? RenchĂ©rit Rachid en s’enfonçant entre ses fesses, lui dĂ©vastant l’anus de sa grosse queue brune.
— Oui…Ohhh oui…. !
— Dis-le… ! insiste-t-il
— J’aime vos bites….. ! Oui….c’est si bon… !Des larmes de bonheur perlent aux yeux de Martine, prise en sandwich entre les deux hommes, dĂ©foncĂ©e par leurs formidables pieux de chair.
Minute après minute, le va-et-vient des deux sexes qui la pilonnent, de façon incessante, fait monter en elle une jouissance incroyable qui la transporte vers des sommets rarement atteints.
Le claquement des cuisses contre les fesses nues, le chuintement caractéristique des membres qui vont et viennent, les cris de plaisir créent une tension quasi orgiaque dans la pièce qui se transmet par les micros aux oreilles de Robert.
L’hĂ´telier est aux anges, se rĂ©jouissant Ă  l’avance des futures projections Ă  ses potes, qui n’ont pas fini de bander devant le dĂ©chainement du trio.
Cette petite brune se rĂ©vèle ĂŞtre un sacrĂ© bon coup !Le corps pelotĂ© par les mains fĂ©briles de Jacques, qui se dĂ©foule sur ses seins, Martine s’abandonne aux assauts Ă©nergiques de ses deux amants, les encourageant bruyamment Ă  la baiser encore et encore.- Ohhh…Oui ! Oui ! Allez-y…. encore… oui !
– Putain Martine, t’es trop bonne…. ! S’exclame Rachid. Vraiment bonne… !
– Oui. Rachid… Hahn …Ouhhh …vous ĂŞtes gros… !…Oui… c’est bon !Ă€ leurs cris Robert, toujours dans sa pièce d’observation, comprend que les deux hommes viennent de jouir, presque en mĂŞme temps, profondĂ©ment plantĂ©s en elle.
Ils soufflent comme des bêtes, éjaculant leur foutre bouillant qui jaillit abondamment, noyant littéralement les deux orifices de leur amie.
Ils doivent lui mettre une sacrée dose !
Il imagine la tĂŞte du mari s’il apprenait comment ses potes se vident les couilles pendant qu’il a le dos tournĂ©, comment ils prennent et reprennent sa femme par tous ses trous en la faisant hurler de bonheur.
Martine a joui Ă©galement, intensĂ©ment, son corps est traversĂ© de tremblements, tandis que ses deux partenaires s’activent encore en elle, Ă  un rythme qui reste soutenu, lâchant leurs dernières bordĂ©es de sperme.Finalement Rachid, puis Jacques se dĂ©gagent, s’Ă©croulant de chaque cĂ´tĂ© de leur amie qui se tient pĂ©niblement Ă  quatre pattes, essoufflĂ©e, les yeux mi-clos, l’intĂ©rieur des cuisses couvert d’un liquide crĂ©meux qui s’Ă©coule de son vagin dilatĂ©.— Qu’est-ce que c’Ă©tait bon… ! leur dit-elle, merci, merci !Et elle les embrasse l’un après l’autre, d’un long baiser Ă  pleine bouche.
Elle regarde les deux sexes encore érigés, trempés de mouille et de sperme mélangés, les empoigne et les suce tour à tour, avec un grand sourire de contentement.
Son plaisir de les enfourner est Ă©vident et elle ne mĂ©nage pas sa peine, tandis que Jacques et Rachid lui caressent ses seins, gros, tendus, terriblement gonflĂ©s de jouissance.— J’aime vos sexes, vous savez ! J’ai adorĂ© les avoir en moi !L’hĂ´telier est impressionnĂ© par l’Ă©nergie qu’elle dĂ©ploie Ă  branler et sucer les membres qui sont restĂ©s bien raides, prĂŞts Ă  l’honorer.
Ils sont face au miroir, et donc de la camera, ainsi il ne perd rien de leur plaisir, ni du regard Ă©trangement brillant de Martine qui s’active sur leur virilitĂ©, une dans chaque main.AgenouillĂ©e entre eux, il est clair qu’elle est dans un Ă©tat d’excitation extraordinaire emportĂ©e par une soif de sexe que lui ont communiquĂ© les deux compères.Robert contemple avec envie Jacques, allongĂ© nu sur le lit, son ventre replet, et son sexe Ă©pais enserrĂ© dans la main qui monte et qui descend, le dĂ©calottant totalement, faisant gonfler le gland devenu Ă©carlate.
Jacques la regarde le branler, un sourire au coin des lèvres, en grognant de contentement, tandis que sa main droite disparaĂ®t sous les fesses de Martine qui lâche un petit gĂ©missement, certainement quand les doigts s’introduisent en elle.- Ohhh Martine… c’est bon ce que tu me fais ! Continue….oui !Martine se concentre sur Jacques, referme ses deux mains sur la bite maintenant bien dure, et le branle de plus en plus vigoureusement.
Le sentant proche de la jouissance, elle se baisse et avale le sexe turgescent qu’elle suce jusqu’Ă  ce qu’il finisse par Ă©jaculer Ă  nouveau, dĂ©versant dans sa bouche un flot de jute blanche et Ă©paisse.
Il lui maintient la tĂŞte enfoncĂ©e sur sa queue, ignorant les hoquets de sa partenaire qui s’Ă©touffe du sperme fusant au fond de sa gorge.- Allez ma belle…! l’encourage-t-il. Avale bien tout ça… c’est bon pour toi… ! Puis c’est au tour du membre de Rachid de disparaĂ®tre dans la bouche affamĂ©e, littĂ©ralement happĂ© par les lèvres minces de son amie.
AssurĂ©ment Martine a pris goĂ»t Ă  cette verge robuste, fièrement Ă©rigĂ©e, engloutie avec jubilation, motivĂ©e par le plaisir qu’elle lit dans les yeux de son ami maghrĂ©bin.Pour Robert il est Ă©vident qu’elle aime la bite, Ă  voir comment elle descend lentement le long de l’imposante tige, les lèvres serrĂ©es, avant de remonter jusqu’au gland lisse et bombĂ© qu’elle lèche avec prĂ©caution.
Cette bite a du lui faire un bien fou tout Ă  l’heure en lui ravageant le cul, et elle ne s’en lasse plus.Martine suce longuement son ami, accompagnant son mouvement d’une bonne branlette de la main droite, le serrant bien fort Ă  la base pour augmenter la pression dans le gland cramoisi qu’elle sent proche de l’explosion, jusqu’Ă  faire jouir une nouvelle fois son partenaire, s’abreuvant avec dĂ©lectation de sa semence.
D’abondants jets de foutre fusent dans sa bouche ouverte, qu’elle savoure longuement avant d’avaler le tout avec un grand sourire de contentement.
Elle s’Ă©vertue Ă  ne rien laisser perdre, lĂ©chant avec beaucoup d’application le fabuleux mandrin qui se dresse devant elle, dĂ©cidemment infatigable.Pendant une bonne partie de la nuit Martine se fait baiser par ses deux compagnons qui affichent une endurance peu commune, pour la plus grande joie de l’hĂ´telier qui filme leurs Ă©bats sans interruption.
Ils la prennent dans de multiples positions, Martine, totalement soumise et assoiffée de sexe, acceptant toutes leurs demandes et ne ménageant pas sa peine pour les maintenir en érection.Assis face au miroir, Robert a joui plusieurs fois devant le spectacle particulièrement torride que vient de lui offrir le trio.
Il imagine dĂ©jĂ  les sĂ©ances spĂ©ciales entre potes, au cours desquelles ce film amateur sera projetĂ©, livrant les Ă©bats de l’Ă©pouse modèle prise en sandwich, encourageant ses partenaires Ă  la baiser encore plus.Dommage que le week-end s’achève…..Partagez ce rĂ©cit coquin : Tweeter

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