Les aventures de Trixie : chapitre 8 – La livraison
Je ne fus pas dupe et sus que ce n’Ă©tait qu’un prĂ©texte pour s’introduire chez moi, me sachant seule et de profiter de la situation pour Ă©ventuellement me baiser Ă nouveau. Je dĂ©cidai, de jouer le jeu. Au niveau de l’attribut sexuel, ce n’Ă©tait pas GĂ©rald faute de grives on mange des merles…
Proposée le 23/06/2022 par Trixie Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
C’Ă©tait fait, je venais d’avoir des nouvelles de l’avocat de mon mari. J’allais divorcer cela serait jugĂ© dans peu de temps et en plus avec les torts pris par mon ex Ă©poux, plus besoin de faire attention maintenant, je pouvais laisser libre cours Ă ma libido, je m’avouais que les blacks m’attiraient fortement et que j’avais vraiment pris goĂ»t aux sexes Ă©normes, mes expĂ©riences avec des petits vieux m’avaient aussi apportĂ© pas mal de plaisir. Tu es une vraiment une Salope, mais au moins tu te fais plaisir ! pensais-je.
En face de la grande glace de la salle de bain, j’Ă©tais en train de m’habiller. J’avais mis ma lingerie prĂ©fĂ©rĂ©e un demi soutien gorge et un porte-jarretelles noir soutenant des bas foncĂ©s bordĂ©s sur le haut de dentelle. L’image du miroir me reflĂ©tait une jeune fille fille mesurant 1,70 m au corps svelte, des cheveux blonds lui tombant sur les Ă©paules, au nez lĂ©gèrement retroussĂ©, des yeux bleu-vert. Je caressai ma poitrine aux seins ni trop gros ni trop petits, aux arĂ©oles assez larges et brunes. En pensant Ă la grosse bite noire de mon copain GĂ©rald ma main droite se mit Ă titiller mon clitoris, et mon index se faufila dans ma chatte. Un soupir de frustration s’Ă©chappa d’entre mes lèvres, c’Ă©tait le dĂ©but du week-end, pas de sexe en vue jusqu’Ă lundi !
J’allais enfiler un chemisier et une jupe, lorsqu’on sonna Ă la porte. Je pris ce qui me tombait sous la main pour me couvrir, en l’occurrence une blouse rĂ©cupĂ©rĂ©e au boulot, boutonnai rapidement les trois premiers boutons du haut, les seuls rescapĂ©s, je chaussai mes talons aiguilles et j’allai ouvrir, car la sonnette venait de retentir Ă nouveau. En marchant, la blouse s’Ă©cartait sur mes cuisses et laissait apparaĂ®tre les attaches et les lanières de mon porte-jarretelles. Il va falloir que je fasse attention en ouvrant la porte, Maxime mon autre amant m’avait fait bannir le port du string.
C’Ă©tait Paul, mon voisin, celui qui m’Ă©piait et qui avec mon autre voisin noir, m’avait baisĂ© Ă cĂ´tĂ© de la piscine l’Ă©tĂ© dernier, il m’avait vu aussi me faire baiser par Jaamar. Je le fis entrer.
— Bonjour Trixie, peux-tu me rendre un petit service ? Je ne sais pas comme faire pour remplir ces papiers et je pense que tu pourrais m’aider. Je sais que travailles dans le domaine comptable.
— Bien je vais regarder… si je peux vous ĂŞtre utile !
— Tu es gentille avec moi. tu sais je t’ai entendu te disputer avec ton mari l’autre jour.
— Oui, il Ă©tait question de son patron…
— Le gros qui t’as baisĂ© le lendemain ! J’ai tout vu par la porte fenĂŞtre que tu avais laissĂ© ouverte, tu l’avais fait exprès, car j’ai bien vu que tu me faisais un petit signe, j’ai bien apprĂ©ciĂ©Â !
— Oui, lui répondis-je en rougissant.
— Tu es merveilleuse, de me faire participer ainsi tes Ă©bats, ton mari n’est qu’un rustre. Tu sais tu peux me demander n’importe quoi, je me mettrai en quatre pour te satisfaire.
— Oui, il profite de moi, mais c’est terminĂ©, on va se sĂ©parer. Mais voyons vos papiers.Je n’Ă©tais pas dupe et savais que ce n’Ă©tait qu’un prĂ©texte pour s’introduire chez moi, me sachant seule et de profiter encore une fois de la situation pour Ă©ventuellement me baiser Ă nouveau, si je ne le repoussai pas. De plus il avait entendu la dernière dispute avec mon mari. Vu sa gentillesse et son empathie envers moi. Je dĂ©cidai, de jouer le jeu, et l’installai Ă la table de la salle Ă manger. Au niveau de l’attribut sexuel, ce n’Ă©tait pas GĂ©rald loin delĂ , mais…faute de grives on mange des merles !!
Il sortit ses papiers, je m’approchai et nonchalamment d’un geste naturel appuyai ma main contre ma hanche, en posant mon pied sur le barreau de la chaise. La blouse s’Ă©carta et dĂ©voila ma cuisse et l’attache de mon porte-jarretelles. Le regard du vieux se porta aussitĂ´t sur le morceau de chair dĂ©nudĂ©. C’Ă©tait comme si je donnai mon accord Ă ses dĂ©sirs.
Il approcha sa main tremblante, en m’observant, ne sachant s’il pouvait continuer. Je le regardai gentiment en souriant, il s’enhardit et la passa sous la lanière, caressa la chair offerte, remontant vers le haut de ma cuisse. La blouse s’Ă©carta dĂ©voilant ma chatte. — Oooooohhhh j’adore ta chatte, elle est merveilleuse Ă©pilĂ©e ainsi !Il effleurera en tremblant ma fente bien rasĂ©e, je lui retirai la main, passai entre lui et la table et m’assis sur le meuble.
Je dĂ©boutonnai sa chemise, la lui Ă´tai. Il se mit debout, attrapa ma tĂŞte qu’il plaqua contre les poils blancs de son torse. J’adorai le contact des poils d’un homme, j’ y frottai doucement ma joue, tandis que les mains du vieux dĂ©boutonnaient les boutons de ma blouse. Je le laissai me la quitter.
Ses mains tremblantes de bonheur et d’excitation se plaquèrent sur mes seins et il les malaxa lentement. Je le repoussai doucement, lui quittai son pantalon et son slip et le fit asseoir sur la chaise.
Je m’aperçus que la première fois, cet Ă©tĂ©, j’avais mal jugĂ© la grosseur et la longueur de sa queue, après j’avais Ă©tĂ© trop accaparĂ©e par la grosse verge du noir. Elle Ă©tait assez consĂ©quente surtout pour un homme de son âge. Pour l’instant il ne bandait pas. Je me mis Ă genoux devant lui. Je dĂ©calottai deux ou trois fois le gland, il commença Ă rĂ©agir, je me levai, il m’enlaça tendrement, frottant sa bite qui prenait de la consistance contre ma chatte.— Tu es belle, putain que tu es belle, je suis toujours Ă©bahi par ton corps !Mes mains se posèrent sur ses Ă©paules, puis descendirent lentement sur le torse flĂ©tri, elles s’attardèrent sur la verge, qui commençait maintenant Ă©tait assez dure, saisirent et caressèrent ses bourses ridĂ©es.
Il gĂ©missait doucement. Posant un genou Ă terre, d »une main je lui relevai le sexe, tandis que ma langue lui lĂ©chait les testicules qui se contractaient de plaisir. Puis je la fis remonter jusqu’au gland et je le mis dans ma bouche. J’avalai par petites saccades, entièrement le pĂ©nis du vieux voisin. Je commençai Ă le sucer, en le faisant ressortir de ma bouche et en l’avalant Ă nouveau, tout en frottant les pointes durcies de mes seins sur les cuisses ridĂ©es du vieil homme. Ma chatte Ă©tait dĂ©jĂ humide. Il me caressait les cheveux.
Je me relevai, m’assis face Ă lui sur ses genoux, lui laissai agacer mes seins, tirer et mordiller mes tĂ©tons pour bien les Ă©riger ce qu’il fit avec un plaisir gourmand.
Il voulut m’embrasser, sa langue Ă©tait sortie, je lui la lĂ©chai Ă petits coups, mais sans faufiler la mienne dans sa bouche, il Ă©tait très excitĂ©.
Je reculai, posant mes fesses nues sur le bord de la table, puis basculant sur le dos jambes en l’air, j’ouvris en grand les cuisses pour lui laisser apercevoir l’intĂ©rieur ma chatte largement bĂ©ante, je dĂ©gageai mon clitoris et lui fit signe de venir sucer mon vagin. Il fixait mon entrejambe d’un regard lubrique, il n’avait pas prononcĂ© un mot, moi non plus.
Il se mit Ă genoux, ses lèvres se plaquèrent sur le bouton rose et il l’aspira doucement, le mordilla, je tressaillis de plaisir. Puis sa langue, se mit Ă parcourir ma fente ruisselante de foutre. Je me caressai les seins, tirai sur mes tĂ©tons en poussant des gĂ©missements de plaisir et en disant au vieil homme que sa langue Ă©tait merveilleuse.
Je me traitai de salope, me disant que j’aimai me faire baiser par un vieillard assez dĂ©crĂ©pi, que je devais ĂŞtre une nymphomane car ce n’Ă©tait pas la première fois que j’apprĂ©ciai ce genre de situation avec des vieux.
N’y tenant plus, il se releva, je posai un pied sur son Ă©paule et Ă©cartai au maximum mon autre jambe, mon sexe offert n’attendit plus que la pĂ©nĂ©tration. Il approcha sa bite, et avec le bout du gland me caressa longuement le clitoris. Puis il enfonça juste la partie dĂ©calottĂ©e, il recommença la mĂŞme opĂ©ration trois ou quatre fois, et d’un seul coup fit pĂ©nĂ©trer son phallus jusqu’au bout dans mon sexe trempĂ©, je poussai un cri de plaisir. Il me pĂ©nĂ©tra Ă grands coups de reins, je lui attrapai la tĂŞte et l’embrassai fougueusement. — Tu aimes ma vieille queue ? Je vois qu’elle te fait de l’effet me dit-il fièrement.
— Ouiiii Paul, je la sens bien en moi, c’est bon, continue, continue.Il me fit descendre de la table, poser mes Ă©paules Ă plat sur le sol, me demanda de soulever mon bassin, de le soutenir en posant les mains sous mes reins et de basculer la pointe des pieds vers sa tĂŞte, cela dĂ©gagea ma chatte. Il se positionna jambes Ă©cartĂ©es au dessus de mon sexe largement ouvert et moite, fit pĂ©nĂ©trer sa queue et les deux mains posĂ©es sur ses genoux commença de puissants vas et viens, je le trouvai fringuant pour son âge.
Passant une main sur mes fesses, il chercha mon orifice anal, y fit pĂ©nĂ©trer deux doigts, et jugeant l’ouverture suffisante, le força avec sa bite dĂ©goulinant de mon foutre. Je poussai un grognement de satisfaction en l’incitant Ă me pĂ©nĂ©trer plus profondĂ©ment. Le vieux m’enfila sa queue Ă tour de rĂ´le une fois dans le vagin, une fois dans le cul. Je commençai Ă hoqueter de plaisir, mais cette position Ă©tait fatigante pour moi, je lui demandai d’en changer.
Il se mit sur le dos, je m’empalai sur le sexe tendu, il voulait continuer Ă me sodomiser, il ne devait pas faire cela souvent, surtout avec une jolie blonde consentante. Je le laissai faire, Il se dĂ©pĂŞcha de remettre son sexe dans mon orifice anal. J’ouvris largement les jambes, lui pris les mains et lui entrai les doigts dans mon vagin.
Il se mit d’une main Ă me caresser profondĂ©ment et de l’autre Ă me titiller le clitoris. Je poussai des gloussements de plaisir, l’excitant de la voix. Le plaisir monta rapidement dans mes entrailles. Un bon bout de temps après, le vieil homme sentant venir son Ă©jaculation, voulut dĂ©verser son sperme et Ă©jaculer au fond de la chatte de la jolie jeune femme. Il me fit basculer sur le cĂ´tĂ© me leva une jambe et enfila son sexe avec violence dans mon vagin humide. Je sentis les soubresauts de la bite dĂ©verser sa semence tiède, je contractai mes parois vaginales sentant Ă mon tour monter la jouissance. Ce ne fut pas l’extase complète, je m’Ă©tonnai que le vieil homme Ă©jacule aussi longtemps. Il se retira enfin et je me penchai sur lui pour finir d’aspirer et lĂ©cher le sperme rĂ©pandu sur son sexe qui perdait de sa rigiditĂ©. Il n’avait toujours rien dit, si ce n’est haleter et grogner de plaisir. J’avais un petit peu honte d’avoir joui, avec le vieux monsieur. La première fois, il y avait mon jeune voisin noir, mais lĂ !! Oui, je tombais vraiment dans la luxure et avec des vieillards de surcroĂ®t, mais chatte aimait ça, mon corps et mon cerveau aussi !! Pourtant me dis-je au boulot tu as des Ă©talons ! Plus jeunes et mieux montĂ©s !— Alors petite Salope, le vieux Paul t’as fait jouir, tu as aimĂ©Â ?C’est alors que la sonnette retentit. J’en fus Ă©tonnĂ©e, je n’attendais personne, les coups de sonnette continuaient. Je ne bougeai pas, pas question de me faire surprendre avec le vieil homme. Puis on toqua fortement Ă la porte ! Mon voisin n’avait pas du refermer le portillon donnant sur la rue.— Tu attends quelqu’un ?Â
— Non… personne !! Oh mon dieu si… J’ai oubliĂ©… Le marchand de lĂ©gume qui devait me livrer ma commande… Je vais la chercher… ! Ne bougez surtout pas…
— Il est comment ce marchand de légume ?
— Vieux et laid, mais il a une bite Ă©norme, bien plus grosse que la votre lui dis-je en riant.J’attrapai ma blouse pour l’enfiler et aller ouvrir, mais le vieux me la prit des mains et apparemment vexĂ© de ma remarque, m’ordonna d’aller ouvrir comme j’Ă©tais. Je refusai, mais les coups Ă la porte redoublèrent.— Dis donc Salope, tu vas aller ouvrir comme tu es, cela risque d’ĂŞtre assez Ă©rotique de voir comment tu vas te sortir de cette situation et peut-ĂŞtre que ton vieux marchand de lĂ©gume sera Ă©moustillĂ© de te voir ainsi ! Et n’oublie pas bien que tu te sĂ©pares de ton mari, j’ai toujours les films.Je refusai, mais les coups s’intensifièrent. Prise de panique, j’obtempĂ©rai, en me disant que j’entrebâillerai seulement la porte pour lui dire de dĂ©poser la commande devant. Nue, en porte-jarretelles, du sperme coulant de ma chatte, les tĂ©tons encore durcis par la jouissance, j’allai entrouvrir lĂ©gèrement la porte.
AussitĂ´t deux mains velues se positionnèrent Ă mi-hauteur pour l’empĂŞcher de se refermer, et la poussèrent fortement pour l’ouvrir plus largement.
Je rĂ©sistai en vain Ă la poussĂ©e. La tĂŞte qui passa par l’entrebâillement Ă©tait hideuse, le visage porcin, au nez aplati Ă©tait barrĂ© par une moustache abondante, une barbe noire couvrait ses joues, son crâne chauve luisait. Les oreilles dĂ©collĂ©es augmentaient la bestialitĂ©.
Il vit que je ne portais en tout et pour pour tout que des bas et un porte-jarretelles. Il enfonça presque la porte me faisant reculer. Il devait mesurer 1,80 m et avoisinait les 110 kg. Il Ă©tait beaucoup plus jeune que mon voisin Paul. Il me dĂ©tailla de ses petits yeux chafouins qui brillèrent d’excitation de me voir ainsi dĂ©vĂŞtue.
Je reculai Ă©bahie. Je butai littĂ©ralement sur Paul qui referma ses bras autour de moi, et m’entraĂ®na doucement vers le living-room.
L’intrus se retourna, se saisit une caissette pleine de lĂ©gumes, qu’il dĂ©posa Ă l’intĂ©rieur de la pièce, puis referma la porte. Il s’avança vers nous.— Bonjour, je suis Ludo le fils du fermier Ă qui vous avez commandĂ© ces lĂ©gumes, mon père m’a dit de venir vous les livrer, il n’a pas pu venir !!Â
— Excusez-moi j’avais complètement oubliĂ©…
— Je me suis permis d’insister car j’ai vu votre voiture devant chez vous et le portillon Ă©tait ouvert. Je suis entrĂ©, j’ai regardĂ© par la fenĂŞtre. C’Ă©tait vraiment torride. Je n’ai pas voulu vous dĂ©ranger, j’ai attendu la fin du spectacle. Eh bien… mon paternel m’a dit que vous Ă©tiez chaude, mais Ă ce point !! Vous aimez les vieux ? A ce que je vois, c’est certain ! Mon père a soixante quinze ans passĂ©s et il n’arrĂŞte pas de tarir d’Ă©loges sur vous !! Il m’a dit que vous baisiez foutrement bien. Et il a rajoutĂ© que pour le paiement de la facture, vous payez en nature ! Ses yeux brillèrent de plus en plus de convoitise. Je me doutai de ce qu’il dĂ©sirait, d’autant que son père m’avait dit qu’il voulait me prĂ©senter son fils. Je reculai lentement, m’assis sur le canapĂ©. Paul, nu appuyĂ© contre le mur ne bougeait pas, sa queue comme son moral Ă©tait en berne.— Bon, je vous ai dĂ©posĂ© votre commande, si vous ĂŞtes d’accord on va passer au paiement !!
— Je.. je ne sais… pas… si…Â
— Ntttttt, Ntttttt mon père m’a dit que vous payez comptant ! Et avec le vieux monsieur vous n’Ă©tiez pas farouche…Je m’Ă©tais allongĂ©e sur le divan, il me regarda d’un air narquois et commença Ă se dĂ©shabiller, je pus ainsi « admirer » ses pectoraux poilus qui ressemblaient Ă une petite poitrine fĂ©minine, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rĂŞches et fournis, qui partant de son sexe s’Ă©talaient sur les replis graisseux de son abdomen. ses Ă©paules aussi Ă©taient recouvertes de pilositĂ©. Mais c’est son pĂ©nis qui me fascina. Il Ă©tait en Ă©rection, il devait mesurer vingt centimètres, son gland dĂ©calottĂ© mauve foncĂ© Ă©tait assez pointu, puis il s’Ă©vasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’Ă la couronne bien marquĂ©e et très saillante, ce qui devait procurer des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pĂ©nĂ©tration ou de la rĂ©tractation lors du coĂŻt. Son prĂ©puce Ă©tirĂ© Ă©tait d’un brun clair, le corps du membre presque noir Ă©tait Ă©tonnement massif, il Ă©tait largement aussi gros que le poignet d’un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridĂ© pendait assez bas et contenait deux testicules presque aussi gros que des Ĺ“ufs de poule. Il suivit mon regard. Il saisit sa bite Ă la base d’une main pour bien la dĂ©gager des poils et l’exhiber fièrement. Comme pour m’en faire apprĂ©cier la grosseur et la longueur. Il la caressa doucement, me regarda en sourit de ses chicots jaunâtres. — Eh oui, elle est Ă©tonnante ma bite hein ! Attends qu’elle entre dans ta chatte, tu vas l’apprĂ©cier.Toujours d’après mon vieux père !!Il n’Ă©tait vraiment pas ragoutant et dĂ©gageait une odeur aigre de transpiration. Son allure gĂ©nĂ©rale, son faciès, son hirsutisme, me firent penser Ă un primate. Je m’aperçus alors que sa verge Ă©tait parsemĂ©e sous la peau d’une myriade de dĂ´mes gros comme des grains de riz, cela augmenta mon aversion.
Il s’approcha, me mit la main sur ses Ă©normes couilles velues. Mais, malgrĂ© ma rĂ©pulsion, la bestialitĂ© qui Ă©mana de lui exacerba mes sens, une sensation glauque me chauffa le bas-ventre. Je cĂ©dai Ă ce dĂ©sir malsain. Mes mains entourèrent les bourses poilues. Et puis mon voisin Paul Ă©tait lĂ pour regarder, cela m ‘excita encore plus.— Caresse les, soupèse les bien, elles sont lourdes et dures, hein ! Tu vas voir tout le sperme qu’elles contiennent, je vais tout te mettre dans la chatte et dans le cul ! J’eus un peu de rĂ©ticence lorsqu’il me fit basculer sur le dos, les jambes ouvertes, pendantes du canapĂ©, les cuisses bien Ă plat, tĂ©tanisĂ©e je ne bougeai plus. Il se mit Ă quatre pattes entre mes membres infĂ©rieurs, posa les mains sur mes cuisses, Ă l’endroit ou la peau commençait Ă ĂŞtre dĂ©couverte par les bas noirs. Il les fit remonter sous les lanières tendues, doucement vers mon sexe ouvert ou suintait encore du sperme de mon voisin. Il progressa avec une lenteur calculĂ©e, les pouces arrivèrent au bas de la fente du sexe encore humide. Ils Ă©cartèrent les lèvres en remontant toujours doucement, du sperme s’Ă©chappa.— Bien, dis donc ma Salope, le vieux a Ă©jaculĂ© un paquet de sperme dans ta chatte !Je croyais avoir le contrĂ´le de mon corps, j’Ă©tais persuadĂ©e que je ne me laisserai pas exciter par ses attouchements, que je resterai sans rĂ©action. Il est rĂ©pugnant pensais-je, mais que ce n’est qu’une formalitĂ© pour payer le montant de plusieurs factures, si je le laissai faire.
Je crus que mon esprit serait assez aguerri par mes nombreuses expĂ©riences pour rĂ©sister. Mais je sentis petit Ă petit que, sous l’immonde caresse mon corps rĂ©agissait diffĂ©remment, mon cĹ“ur commença Ă battre plus fort, ma respiration Ă s’accĂ©lĂ©rera. Cela me sembla impossible et pourtant ma chatte s’humidifia sous la montĂ©e de mon dĂ©sir.
Oui, j’allai cĂ©der. Moi que les hommes de la boĂ®te ou je travaillai appelaient « Barbie », allait se laisser faire par ce qui Ă©tait de par sa laideur l’antonyme de « Kent ».
Les pouces atteignirent mon clitoris, ils le dégagèrent. Les mains étaient toujours sous les lanières du porte-jarretelles, il commença à masser doucement avec les deux doigts le petit bouton rose.
Je regardai les mains prodiguer leurs caresses et je fus dĂ©goĂ»tĂ©e par le spectacle, mais quelque chose de bestial se rĂ©veilla dans mon esprit, quelque chose que je ne pus plus contrĂ´ler, quelque chose qui fit circuler mon sang plus vite, noua mon ventre et rendit ma chatte encore plus humide. Je concentrai toute mon Ă©nergie Ă lutter contre cette sensation, mais je ne pus pas maĂ®triser cet instinct dès plus primaire. Je sentis mon foutre tremper mon vagin. Je me laissai aller Ă apprĂ©cier les caresses prodiguĂ©es par cet homme d’une laideur repoussante. LĂ je me traitai vraiment de nymphomane et de fille vĂ©nale.
Il Ă©mit un sifflement, je compris qu’il avait remarquĂ© mon excitation. De deux doigts, il Ă©carta les lèvres vaginales.— Dis donc Trixie… c’est bien comme ça que tu t’appelles ! Elle coule… ta chatte… elles t’excitent mes caresses ! Il enfila son majeur velu dans mon sexe palpitant. Mon foutre lubrifia l’insertion. Mon excitation me submergea et j’Ă©tais trempĂ©e maintenant. Il se releva un peu, sa poitrine poilue remonta doucement sur mon ventre, sa bouche se plaqua sur mon tĂ©ton droit, il l’aspira puis le mordilla assez fortement, il fit subir le mĂŞme traitement au tĂ©ton gauche, je gĂ©mis sous la douleur. Cela dut l’exciter car il recommença avec le droit. Je sentis le sang affluer aux extrĂ©mitĂ©s de mes seins, mes mamelons durcirent et s’Ă©rigèrent en deux pointes brunes, et se tendirent malgrĂ© moi vers la bouche fĂ©tide rĂ©clamant d’ĂŞtre châtiĂ©s. — Ohhhh putain, ta bouche sur mes tĂ©tons… ouiiiiii c’est bon, c’est bon mords les ! Pendant ce temps, il essaya d’enfiler son majeur boudinĂ© le plus profondĂ©ment possible, il fit des va et vient rapides. Je gĂ©mis de plus en plus fortement sous les morsures et haletai sous le doigter.
Mon esprit haĂŻssait ce que mon corps dĂ©sirait. Mais, mon bassin se dĂ©plaça pour rĂ©pondre au doigt qui me fouillait. Je saisis la main pour l’enfoncer plus profondĂ©ment en moi. Mon autre main griffa le tissus du canapĂ©. Je râlai de plus en plus fort.— Salope, tu commences Ă aimer, attends ce n’est qu’un dĂ©but…. Il abandonna mes seins et sa bouche se plaqua sur la mienne, sa langue força mes dents, je cĂ©dai Ă son baiser, son haleine puait le vin. D’une main il dirigea son phallus vers l’orifice bĂ©ant de ma chatte palpitante. L’Ă©norme gland peina lĂ©gèrement pour pĂ©nĂ©trer entre mes lèvres, puis il glissa doucement dans le conduit trempĂ©, lorsque son gland fut entrĂ©, il stoppa la pĂ©nĂ©tration.— Regarde, ton vieux copain, il bande le salaud et il se branle. Ça Ă l’air de l’exciter ce que je te fais, toi aussi salope, tu mouilles Ă mort !! Et disant cela, il m’ enfonça sa bite d’un seul coup de rein. Je fus surprise par la raideur et la duretĂ© du monstrueux tuyau qui me pĂ©nĂ©tra. Je fus aussi agrĂ©ablement Ă©tonnĂ©e par la sensation que me procurèrent les petites vĂ©sicules qui parsemaient la peau du phallus qui m’ Ă©cartait les parois vaginales. Je poussai maintenant des petits cris, les petites excroissances frottant l’intĂ©rieur des parois de mon vagin augmentèrent mon plaisir. — Elle te plaĂ®t ma grosse bite, Salope ! Je crois que je vais souvent venir me faire payer…
— Quelle honte, quelle honte pensai-je ! Mais pourtant quel plaisir trouble, d’ĂŞtre humiliĂ©e ainsi devant mon vieux voisin ! Il a raison, c’est vrai je deviens malgrĂ© moi, une espèce d’objet de dĂ©sir charnel… je n’y tiens plus… oh bon dieu… que c’est booooonnnn !Il me prit la jambe gauche et la posa sur son Ă©paule. Je ne rĂ©sistai plus, mon orifice vaginal s’ouvrit encore, d’un grand coup de rein il enfonça sa large queue jusqu’aux couilles. Il me tira un cri de plaisir. Ma vulve se distendit et se resserra, mes lèvres vaginales furent entraĂ®nĂ©es par des convulsions. — Tu aimes ma grosse queue ? Ton copain t’a trop distendu la vulve tout Ă l’heure, ça glisse tout seul, c’est pas marrant ! Il continua quand mĂŞme ses pĂ©nĂ©trations, je sentis ses testicules se contracter, un puissant jet de sperme inonda mon vagin. A la seconde contraction il sortit sa bite de ma chatte relevant ma jambe encore plus haut, il positionna rapidement son sexe sur mon orifice anal, une assez grande quantitĂ© de sperme chaud inonda mon anus.— C’est en prĂ©vision de ce qui va suivre, dit-il… Il faut que les clientes en aient pour leur fric… Tu as les lĂ©gumes… et moi je me paye… en te donnant du plaisir… mais je ne t’ai pas entendu jouir… Bien qu’il eut Ă©jaculĂ©, son phallus ruisselant de sperme et de mon foutre, Ă©tait toujours aussi gros et tendu. Je me sentis frustrĂ©e, je n’avais effectivement pas joui, mon corps me trahissait, rĂ©clamant une jouissance Ă tout prix !
Il me retourna, me fit mettre Ă genoux sur le sol devant le divan, la poitrine appuyĂ©e sur les coussins. Il s’assit Ă cĂ´tĂ©. Puis me caressant les fesses, il les Ă©carta doucement pour dĂ©gager l’anus trempĂ© par son sperme. Il commença avec son majeur Ă ramener le sperme dans le trou en l’effleurant doucement, je le contractai et le relâchai en attendant une pĂ©nĂ©tration du doigt qui tardait Ă venir.
Puis il Ă©carta d’une main mon sphincter, du sperme mĂŞlĂ© Ă de la salive coula Ă l’intĂ©rieur. Le gros majeur velu et boudinĂ© glissa Ă l’intĂ©rieur, bientĂ´t rejoint par l’index. Il les tournait doucement pour bien ouvrir l’orifice, son sperme facilitait la pĂ©nĂ©tration. Son annulaire avait Ă©tĂ© adjoint aux deux autres doigts et il forçait pour les enfoncer plus profondĂ©ment. Cela m’excitait follement, je mordis le tissu du canapĂ© pour ne pas crier d’extase. Mais j’attendis avec un peu d’apprĂ©hension la pĂ©nĂ©tration de son Ă©norme queue.
Il ressortit ses doigts, il tenait toujours d’une main mon anus ouvert. Le gland violacĂ© vint buter contre mon cul maintenant bien lubrifiĂ© et ouvert. Tout en me demandant si les petites boursouflures allaient me procurer autant de plaisir dans mon anus que dans mon vagin. J’essayai de me dĂ©contracter au maximum pour faciliter la monstrueuse pĂ©nĂ©tration. Il poussa doucement mais avec force, le gland entra, une lĂ©gère douleur commença Ă irradier mon anus. J’ essayai de le repousser avec ma main. Il me saisit le bras et accentua sa poussĂ©e, je criai, mais le gland Ă©tait entrĂ© entièrement. Il le ressortit, cracha sur la tĂŞte de sa bite et recommença l’opĂ©ration, le gros rouleau glissa avec plus de facilitĂ© dans l’anus distendu. La douleur n’avait Ă©tĂ© que passagère. Maintenant il entrait et sortait son sexe et Ă chaque fois il gagnait un ou deux centimètres en profondeur. J’ adorai maintenant la sensation que me procuraient les petits boutons de chair qui Ă chaque passage frottaient dĂ©licieusement contre ma paroi anale, je n’avais jamais ressenti une telle sensation, mĂŞme lors des sodomies prĂ©cĂ©dentes.— Tu vois, c’est nettement mieux ! C’est plus Ă©troit, j’apprĂ©cie mieux. Toi aussi hein, Trixie ! Dis moi le !!
— Oui, continue, plus profond, plus vite…aaahhhhh, aaaaaaaaaaahhhh…..j’aime ta grosse queue…
— Attends doucement, maintenant je suis moins pressĂ©, tout Ă l’heure il y avait une Ă©ternitĂ© que je ne n’avais pas Ă©jaculĂ© dans une aussi jolie chatte !! Putain ce que tu peux ĂŞtre bandante avec tes bas et ton porte-jarretelles ! En disant cela il me saisit Ă la taille, passa ses mains sous le porte-jarretelles, suivit les lanières.
Il me lĂ©cha dans le dos, m’attrapant par les cheveux, me tournant la tĂŞte il m’embrassa violemment m’ aspirant la langue. Son abondante toison pectorale me caressa le dos, cela ne me dĂ©plut pas. Je regardai Paul qui cette fois assistait de très près Ă cette baise sauvage.
Puis il accĂ©lĂ©ra la cadence de sa pĂ©nĂ©tration. Ses couilles me battirent les cuisses, les poils de la toison pubienne me chatouillèrent les fesses. Je ne contrĂ´lai plus mon bassin, ni le roulement de mes hanches que l’ivresse m’imposait. L’Ă©norme queue bosselĂ©e fit monter mon plaisir Ă toute allure. Je passai une main entre mes jambes et me caressai le clitoris. Ce fut un plaisir dĂ©vorant, prĂ©lude Ă mon orgasme qui arriva et je chavirai, un jet de foutre s’Ă©chappa de mon vagin.— Éjacule !!!! Éjacule… Ă©jacule dans ma chatte… Je veux ton sperme au fond de moi… J’avais oubliĂ© qu’il ressemblait Ă un orang-outan tellement le plaisir qu’il me donnait Ă©tait Ă©norme.
Je criai, les muscles de mon sphincter se contractèrent et enserrèrent l’Ă©norme queue qui l’emplissait. Il me saisit les hanches dans un dernier spasme, il enfonça sa queue entièrement et se mit Ă Ă©jaculer par de longs jets, qui le firent tressaillir Ă chaque fois. Je cru qu’il ne s’arrĂŞterait pas de jouir. Puis haletant, il sortit son sexe et s ‘assit sur le divan pour reprendre son souffle, Je me penchai sur la bite qui dĂ©bandait et suçai le liquide sĂ©minal visqueux qui suintait encore du gland. Il eut encore deux sursauts lorsque je l’aspirai plusieurs fois.
On me tourna la tĂŞte, Paul Ă©tait devant moi la bite tendue, il me la prĂ©senta en toute hâte, j’ eu juste le temps de la mettre dans ma bouche, et il Ă©jacula aussitĂ´t, je dĂ©glutis et avalai le sperme chaud. — Eh bien, dit le livreur de lĂ©gumes en s’habillant, le paiement Ă©tait super… Je reviendrai souvent te livrer… allez m’sieur dame au revoir, j’ai du boulot qui m’attend !  © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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