Les aventures de Trixie : chapitre 9 – Le godemichet
Je réfrénai mes ardeurs. Son bureau était assez isolé des autres, mais des bruits de pas dans le couloir. Maxime lâcha le godemiché dont il avait inséré les 26 cm. Je me redressai rapidement, le manche de silicone noir enfoncé en moi.
On toqua la porte s’ouvrit, Boulier, le chef de Marion entra…
Proposée le 1/07/2022 par Trixie Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Maintenant, que j’avais confessĂ© Ă Maxime ma relation avec GĂ©rald, et qu’ il n’y avait pas eu de problème, je retournai au boulot avec joie et bonne humeur, avide de savoir ce que la journĂ©e allait m’apporter. Le travail m’appela dans le bureau de Maxime. Nous Ă©tions en train de rĂ©soudre un Ă©pineux problème informatique de facture, ayant trait Ă des fournitures pour le service de la mĂ©canique.
— Eh, dis donc Trixie, cela fait maintenant au moins six mois que tu n’as pas fait d’inventaire avec GĂ©rald, non ?
— Oui, Ă peu près. Nous n’avons pas eu bien le temps…
— Tu vois, ou ça te mènes de ne plus faire l’inventaire avec lui. C’est plein d’erreurs ! Et puis, sa grosse bite noire ne te manque pas trop ?
— Oui, un peu, beaucoup, même !
— Te rappelles-tu, lorsque que pour la première fois, je t’ai dit qu’il s’intĂ©ressait Ă toi et que je t’ai prĂ©parĂ©e pour qu’il tente quelque chose, car tu doutais qu’il veuille te baiser !
— Oui, et tu avais raison, Heureusement que tu as fait ça !
— Tu peux quitter ton string ? Oui… garde ta jupe levĂ©e, j’adore voir ta chatte rasĂ©e, elle est splendide ! Je ne pus rien lui refuser, un nouveau petit jeu Ă©rotique allait sĂ»rement avoir lieu. Le petit triangle de tissu glissa le long de mes cuisses, le bas de ma jupe resta levĂ©, dĂ©couvrit largement les attaches du porte-jarretelles, qui aujourd’hui Ă©tait blanc.— Oui, parfait ! Assied-toi, met ton pied sur la barre fauteuil. C’est ainsi que tu Ă©tais ? il a commencĂ© Ă poser sa main oĂą ? Ici sur ton genou, et il l’a lentement remontĂ©e, comme ça en caressant ta cuisse, le long de la lanière, dĂ©couvrant peu Ă peu ta peau ? Oui, je vois petite salope. Tu Ă©cartais les jambes au fur et Ă mesure, comme maintenant !
— Je fantasme encore au souvenir de cette main noire glissant sur ma peau blanche. Aaaaahhhhh…
— Tu as fini comme çà , jambes complètement écartées, chatte ouverte ?
— Oui… et j’avais relevĂ© ma jupe comme ça, alors il a insĂ©rĂ© d’abord son majeur, ouuiiiii comme tu fais. Puis son index… Oui, oui… Regarde, regarde tes doigts. Rien que d’y penser, je mouille. Il a des doigts longs, mais longs. Il m’a presque fait jouir ce jour-lĂ !! Ouuuiiii continue, caresse mon clitoris.
— S’il ne t’a pas fait jouir ce jour-lĂ , il s’est bien rattrapĂ© par la suite ! Les inventaires au sous-sol ou tu as pu profiter pleinement de son Ă©norme bite !
— Haaaa, haaaaaa, huuuummm c’est bon, tes doigts !
— Tiens mon annulaire. Je sais, mes trois doigts ne valent pas l’Ă©norme queue de GĂ©rald. Elle ne te manque pas ?
— Si, si… Mais continue… oouuuiiii… J’adore son Ă©norme phallus noir !
— Bon, je crois que je vais pouvoir apporter un palliatif Ă cette absence !Des bruits de pas derrière la porte nous firent cesser Ă toute allure notre petit jeu. Deux jours après, Maxime m’appela, me demanda de passer le voir Ă son bureau, il me prĂ©cisa qu’il me voulait sans culotte et si possible avec une jupe ou une robe ample…— Regarde ce que j’ai trouvĂ©, me dit Max. L’autre jour u m’as dit que le gode que j’avais Ă©tait beaucoup plus petit que la bite de GĂ©raild alors j’ai…
— Je suis curieuse, allez montre moi, vite !Il dĂ©balla, la boĂ®te. C’Ă©tait un godemichĂ© noir, avec un prĂ©puce amovible. Il Ă©tait lĂ©gèrement arquĂ©. C’Ă©tait la rĂ©plique fidèle d’un sexe.— Tiens prends le et dis moi ce que tu en penses. C’est toi l’experte !Ce gode offrait une souplesse et un contact remarquables. La finesse du prĂ©puce, qui allait et venait au fur et Ă mesure de la pĂ©nĂ©tration, Ă©tait telle qu’on avait l’impression qu’il s’agissait d’une peau vĂ©ritable. Les veines, avec les creux et les bosses ajoutaient du piquant. Il faisait 29 cm de long et 6 cm de diamètre. La partie insĂ©rable devait faire vingt-six centimètres.— Admirable, ton truc ! Cela ne remplacera jamais la queue de GĂ©rald ! Mais maniĂ© avec dextĂ©ritĂ©, je crois que je vais prendre du plaisir !
— On va l’essayer, si tu veux. Viens ici, appuie toi sur le bureau ; penche-toi en avant. Attends, je vais l’enduire de lubrifiant. Tu ne mouilles quand mĂŞme pas encore. Tu veux bien Ă©carter les jambes que je mette un peu de gel dans ta chatte. il est vraiment gros ce gode.Ses deux doigts dĂ©goulinant d’un lubrifiant soyeux, badigeonnèrent mon orifice vaginal. Je frissonnai pensant Ă ce qui allait suivre. Cela me tira un gĂ©missement. lorsqu’il posa le gland humide, de l’Ă©norme engin sur ma peau nue juste au-dessus de l’attache arrière de la lanière de mon porte-jarretelles. Il le remonta très lentement en direction de ma chatte, qui malgrĂ© moi commença Ă palpiter et Ă s’humidifier. La jupe ample facilita cette approche. Après ce qui me sembla une Ă©ternitĂ©, le gros bout noir Ă©carta mes petites lèvres, il glissa en forçant un peu, deux centimètres du gland dans ma vulve. J’eus un sursaut de plaisir, attendit la suite de la pĂ©nĂ©tration, mais il retira le phallus factice et se mit Ă me caresser la fente de bas en haut, titillant mon clitoris. Il fit semblant de me pĂ©nĂ©trer, et sentit que je ne dĂ©sirai que cela, il ne l’enfonça pas plus que de 3 ou 4 centimètres, et recommença ses caresses. Ce petit jeu m’excita et n’Ă©nerva de plus en plus. J’avais les deux mains appuyĂ©es sur le bureau, le bassin en arrière, j’avais mis un soutien-gorge seins nus, mes mamelons pointaient comme deux petits dards sous mon chemisier presque transparent qui moulait les globes fermes de mes seins.— Enfonce… Enfonce-le-moi, s’il te plaĂ®t… oouuuuiiiii, s’il te plaĂ®t !! Je rĂ©ussis Ă attraper sa main, et Ă diriger le gros gland noir vers le trou bĂ©ant de ma chatte, mes parois vaginales s’Ă©cartèrent, dix centimètres entrèrent dans le conduit bien lubrifiĂ©. Maxime commença alors des allers et retours, gagnant deux centimètres Ă chaque pĂ©nĂ©tration. Effectivement, le prĂ©puce allait et venait comme l’aurait fait celui d’une vraie bite, c’Ă©tait dĂ©licieux.— Ooooouuuuuiii, c’est bon, c’est bon… plus vite, enfonce… Enfonce… Aaaahhhhh…
— Ah tu aimes, petite Salope, c’est aussi bon que la bite de GĂ©rald.
— Ouiii, ouiiii ne t’arrĂŞte pas, continue, plus vite, ouiiiii.J’essayai de refrĂ©ner mes ardeurs, de ne pas parler trop fort. Son bureau Ă©tait assez isolĂ© des autres, mais… des bruits de pas dans le couloir. Maxime lâcha le godemichĂ© dont il avait insĂ©rĂ© les vingt-six centimètres. Je me redressai rapidement, le manche de silicone noir enfoncĂ© en moi.
On toqua, la porte s’ouvrit, Boulier, le nouveau chef de Marion entra.— Bonjour… Ses yeux se fixèrent sur les tâches sombres des petits pics que dessinaient mes tĂ©tons, sous le mince tissu de mon tee-shirt blanc qui collait Ă mes seins comme une deuxième peau. J’Ă©tais sure que l’on pouvait aussi deviner mes arĂ©oles gonflĂ©es et parsemĂ©es de chair de poule. D’autant qu’il passait pour  » un chaud lapin  ». Il dut s’apercevoir de notre gène, se doutant que son intrusion avait dĂ» interrompre quelque chose.— J’ai un problème sur mon PC, dit-il, en s’approchant du bureau, les yeux rivĂ©s sur ma poitrine.Son regard ne quitta pas mes seins tandis qu’il expliquait ce qui clochait dans son PC. Il me sembla que son regard Ă©tait dotĂ© de rayons X qui traversèrent mon sweater, j’en ressentis la chaleur sur mes tĂ©tons. — Vous avez un tee-shirt sensationnel Trixie, dit-il en pointant son doigt sur mes seins, il met admirablement votre poitrine en valeur ! Rajouta-t-il.Je baissai les yeux sur mes seins, le thĂ©lotisme, consĂ©quence d’une stimulation Ă©rotique, avait projetĂ© mes tĂ©tons en avant, ils pointaient d’au moins deux centimètres moulĂ©s par le tissus presque transparent, qui laissait transparaĂ®tre mes glandes de Morgagni, les petites papules naturellement prĂ©sentes sur l’arĂ©ole entourant le mamelon. Une bouffĂ©e de chaleur m’envahit, il me sembla que je devenait Ă©carlate.
Cela n’Ă©tait pas fait pour attĂ©nuer l’Ă©moi sensuel qui Ă©tait en train de m’envahir. En effet, l’incongruitĂ© de cette situation commença Ă m’exciter. Je n’osai pas trop bouger, mais des ondes de chaleurs partirent de ma chatte et montèrent dans mon ventre, de lĂ©gers frissons me parcoururent, en pensant au gros tuyau noir qui emplissait ma vulve. C’Ă©tait très Ă©moustillant de se retrouver ainsi, j’aurai dĂ©sirĂ© que Maxime repasse sa main sous ma robe et recommence ses pĂ©nĂ©trations avec le gigantesque pĂ©nis noir en prĂ©sence de l’intrus. Mon foutre coula sur ma jambe au-dessus de mon bas. J’avais envie de frotter mes cuisses l’une contre l’autre. Je regardai le chef de Marion avec un petit air de dĂ©fi et je tendis ma poitrine vers l’avant pour mieux imprimer en relief le bout de mes tĂ©tons Ă travers le mince tissu transparent qui les enveloppait. Son index Ă©tait toujours pointĂ© sur mon seins droit.— S’il me touche, je joui pensai-je !Insidieusement le plaisir m’envahit, un lĂ©ger orgasme traversa mon corps. Comme dans un rĂŞve, j’entendis Maxime lui promettre de passer voir le problème du PC, il s’Ă©clipsa enfin. En tremblant, j’Ă´tai le godemichĂ©, il ruisselait de mon foutre. J’Ă©tais pantelante ! — Eh…eh bien, j’ai cru que j’allais jouir ! Enfin j’ai eu un petit orgasme ! Nous l’avons Ă©chappĂ© belle, nous aurions pu donner un tour de clef !!
— Ouf, c’est vrai, mais tu viens de me dire que tu as failli jouir !!
— Oui, pendant qu’il te parlait, et qu’il me complimentait sur ma poitrine ! Cette situation m’excitait au plus haut point ! C’est vraiment merveilleux ton nouveau jouet. J’ai joui un peu, touche comme suis mouillĂ©e ! Ce soir, mon mari rentre vraiment tard. Si tu veux, on pourra recommencer cela tranquillement chez moi après le boulot vers 18 heures !
— Mais tu es vraiment sûre de toi ? Et si jamais il est là ?
— Tu sais, il n’y a plus grand chose entre nous. Je t’ai racontĂ© comment il a rĂ©ussi Ă avoir son avancement, en me faisant baiser par son patron et les clients de celui-ci, alors !! Le soir, Ă l’heure convenue, Maxime arriva chez moi.— Tout Ă l’heure, je n’ai pas eu le temps de vĂ©rifier, mais est-ce que cela te fait bander de me masturber avec cet Ă©norme engin noir ? Lui dis-je en avançant ma main vers sa queue.
— Ben oui, mais c’est le fait de voir comme tu prends ton pied qui m’excite !! En disant cela, il m’avait attrapĂ©e par la taille, plaquĂ©e contre lui, sa langue partit Ă la conquĂŞte de ma bouche, ses mains Ă celle de mes seins. Je ne sus pas comment, je me retrouvai couchĂ©e, Ă cĂ´tĂ© de mon string qui fit une petite tâche noire sur la moquette du salon. Mon pull moulant remontĂ© au-dessus de ma poitrine, la jupe enroulĂ©e au-dessus de mon porte-jarretelles. Les lèvres de Maxime butinèrent mes mamelons, ses dents mordillèrent juste la pointe, Ă la sortie des canaux galactophores, il savait que je raffolais que l’on s’occupe de mes seins. Avec ces attouchements, les glandes apocrines situĂ©es dans l’arĂ©ole des mamelons produisirent des hormones qui augmentèrent de manière subliminale l’attraction de mon partenaire. La libĂ©ration d’endorphines, d’ocytocine, de prolactine et de testostĂ©rone entraĂ®nèrent une vague d’excitation sexuelle qui firent augmenter la taille de mes seins de plus de 25 % et accĂ©lĂ©rèrent mon flux sanguin vers mon clitoris et les zones de mon vagin. J’avais constatĂ© que la stimulation de mes mamelons me dĂ©tendait, mon stress et mon anxiĂ©tĂ© disparaissaient comme par enchantement.— Merde, j’ai oubliĂ© le gel lubrifiant…
— Tu crois que je vais en avoir besoin ? Lèche un peu ma chatte, elle coule !Il continua Ă pincer, et Ă prendre mes tĂ©tons entre le pouce et l’index en les pressant doucement et en tenant la pression. Si je donnais des manifestations de plaisir en gĂ©missant d’extase, il augmentait le pincement par palier, mais doucement pour que le plaisir ne se transforme pas en douleur. La pression poussait alors le sang hors du mamelon, il relâchait, le sang revenait, crĂ©ant une sensation intense de plaisir. Il Ă©tait le seul Ă me faire ce genre de  »Truc » ! Il arrivait presque a me faire jouir ainsi. Sa langue s’activa dans mon vagin trempĂ©, ses lèvres aspirèrent mon clitoris, ses caresses me rendirent folle.— Vas-y, mets moi le gode, dĂ©fonce-moi avec cet engin… ouiiiiii… c’est ça… Ça ressemble Ă©normĂ©ment Ă la queue de GĂ©rald aussi grosse et aussi longue. Aaaahhhhhh, encore plus loin.Maxime, maniant avec dextĂ©ritĂ© l’Ă©norme phallus factice, me fit grimper une Ă une les marches du plaisir, je perdis la notion du temps. Je me retrouvai au bord du prĂ©cipice de la jouissance, j’allai plonger dans l’abĂ®me du plaisir.— Non, non mets moi ta queue ! Je veux ta queue pour jouir, sentir ton sperme couler en moi.
— J’allais te l’enfiler, tiens voilĂ , c’est fait !Patatras… la sonnette retentit ! De la rue, la voix de mon mari m’appelait.— Trixie… Peux-tu venir nous ouvrir, j’ai oubliĂ© mes clefs, je suis avec un collègue en route pour le resto, mais avant je veux lui offrir l’apĂ©ritif. Dans le salon, ce fut le branle-bas de combat, j’enfilai mon string en toute hâte, abaissai mon pull, Maxime fit disparaĂ®tre le gode dans la poche intĂ©rieure de sa veste, il se rĂ©ajusta Ă toute vitesse. Heureusement que mes cheveux tombaient sur mes Ă©paules, je n’Ă©tais pas trop dĂ©coiffĂ©e. Le cĹ“ur battant chacun examina l’autre rapidement, le test Ă©tait assez concluant, j’allai ouvrir.
Mon mari accompagnĂ© d’un d’un de ses jeune collègue patientait devant le portillon. Il avait l’air d’avoir assez bu.— Nous venons d’une rĂ©ception de la boĂ®te, nous sommes en route pour le restaurant, mais avant je voulais que David vienne boire un coup Ă la maison et fasse la connaissance de ma femme, qui parait-il est un super canon ! Tiens !! Mais que fait ici ton pote Maxime ?
— Il… il est venu… pour… Pour regarder le micro qui avait des problèmes, il a fini…nous… Il… il allait partir !
— Oui, ce n’Ă©tait pas bien grave, c’est rĂ©parĂ© maintenant. Allez, je me sauve, dit Max.
— Bon, David, viens au salon ! Trixie, sers-nous l’apĂ©ro s’il te plaĂ®t !
— Bonjour madame me dit le jeune homme, ne vous inquiĂ©tez pas, c’est moi qui conduit, me dit-il en souriant.Ce jeune homme d’environ vingt-cinq ans, que je ne connaissais pas Ă©tait beau comme un Apollon, assez grand, blond, les yeux bleus, un corps d’athlète qui emplissait un costume de grande marque. Mon mari me jetait des regards suspicieux, pas persuadĂ© que Maxime Ă©tait lĂ seulement pour le PC.
Effectivement, mes mamelons, après les caresses qui leur avaient Ă©tĂ© prodiguĂ©es, semblaient vouloir transpercer le mince tissu de mon pull moulant. La fine Ă©toffe collait Ă ma peau sculptait le moindre dĂ©tail de mes arĂ©oles, c’ Ă©tait vraiment Ă©rotique, le jeune homme, comme Boulier semblait s’en ĂŞtre aperçu. mon mari aussi !!
Ils avaient pris place, autour de la table basse au salon, David sur le divan, mon Ă©poux sur un fauteuil. Je passai devant lui pour servir les boissons, ses deux mains se faufilèrent sous ma jupe, d’un coup sec de sa main gauche, il tira sur mon string, qui cĂ©da. Sans mĂ©nagement et avant que je ne puisse esquisser un geste de dĂ©fense, deux doigts de sa main droite s’insinuèrent dans ma chatte.
ÉberluĂ© le jeune homme regarda la scène d’un air vraiment gĂŞnĂ©.— Salope, salope, j’en Ă©tais sĂ»r ! Tu mouilles comme une pucelle, qui vient d’avoir son premier doigter !! Ton copain Ă©tait en train de te baiser !! David regarde mes doigts, ils coulent de son foutre et sa culotte et moite. ! Salope ! C’est la longueur de tes tĂ©tons qui m’a mis la puce Ă l’oreille !! Attends, petite traĂ®nĂ©e puisque tu aimes tellement te faire baiser. Tu vas y avoir droit !!
Il tira fortement ma jupe vers le bas, avec un peu de résistance, elle glissa le long de mes jambes, rapidement ne me laissant pas le temps de réagir, il fut debout et saisissant mon sweat-shirt, il le fit passer par-dessus ma tête.
Je me retrouvai en porte-jarretelles et soutien-gorge seins nus face aux deux hommes. Le doigter sauvage de mon Ă©poux devant son collègue relança les sensations qui ne m’avaient pas quittĂ©es depuis les caresses de Maxime. Je fus comme paralysĂ©e. Je culpabilisai de m’ĂŞtre fait surprendre avec Maxime. Il dĂ©grafa mon mini soutien-gorge qui tomba Ă mes pieds. Mais ce dĂ©shabillage brutal devant ce jeune homme beau comme un Dieu, qui n’en revenait pas, commença Ă m’exciter. Ma vulve gardait encore le souvenir du gigantesque gode noir que Maxime m’avait insĂ©rĂ©. Mon excitation n’Ă©tait pas retombĂ©e, preuve en Ă©tait la moiteur de ma chatte. Le collègue de mon mari regardait ce qui se passait avec de grands yeux ronds, il s’Ă©tait levĂ©. Une bosse assez consĂ©quente se profilait Ă hauteur de son sexe.— Je… je crois que je ferai mieux de partir, dit le jeune homme ne sachant plus ou regarder.
— NOOOON… David… noooon dit mon mari en bredouillant, je ne sais pas si c’est l’alcool ou elle qui me fait cet effet mais je n’arrive pas Ă bander ! Regarde.Il dĂ©boucla son pantalon, son sexe pendouillait, mou comme une limace.— Alors… alors tu… tu sais quoi… non ? Eh bien, tu vas la baiser cette salope…p… pour la punir…
— Non, mais, je ne peux pas faire ça…
— Si tu peux, c’est moi ton chef non ? Alors tu vas le faire… sinon… Il commença Ă s’Ă©nerver, le jeune me regarda avec des yeux contrits, je lui souris, pourquoi ne pas profiter de la situation avec ce jeune Ă©phèbe ?— Il a vraiment bu hein ? Il ne va pas falloir le contrarier ! Je ne vous plais pas ?
— Si, si madame, vous ĂŞtes vraiment très belle… mais…
— Mais quoi ? Je vois que je te fais de l’effet, dis-je en lui montrant l’Ă©norme bosse de son pantalon. Alors puisqu’il t’a donnĂ© un ordre. ObĂ©is-lui !
— Effectivement vous ĂŞtes merveilleuse ainsi vĂŞtue, et vous me faite bander ! Mais… Vous… vous croyez…que…
— Ou… oui… Ă©coute la, cette salope… Baise-la de … devant moi… pour la pu… punir.Souriante, je m’approchai et lui caressai le sexe Ă travers l’Ă©toffe de son pantalon. Il gĂ©mit.— Pas mal, lui dis-je, elle a l’air vraiment ferme, grosse et longue, fais voir.
— C’est de vous voir nue seulement avec vos bas et votre porte-jarretelles, ça m’excite. Vous ĂŞtes très jolie ! Je bande comme un âne. Je… je peux vous caresser les seins ?
— Mais bien sĂ»r, tu ne veux pas sucer mes tĂ©ton ? Regarde comme ils sont durs et longs, ils n’attendent que ta bouche. Allez dĂ©shabille toi, j’ai hâte de te voir tout nu ! Touche ma chatte, rien que d’y penser, je mouille.
— Vous croyez, vous ĂŞtes tellement belle ! Je ne comprends pas son attitude envers vous.Il se dĂ©shabilla Ă toute allure, sa main partit Ă la rencontre de mon sexe, il jeta un regard Ă mon mari qui Ă©tait maintenant avachi sur le fauteuil et nous regardait bĂ©atement. EncouragĂ© par l’apathie de celui-ci et mes encouragements, il s’enhardit. Tandis que deux de ses doigts se faufilèrent dans mon vagin, il m’attrapa derrière la nuque, et me prodigua un baiser plus que passionnĂ©.
Sa bouche descendit ensuite le long de mon cou, lĂ©cha Ă tour de rĂ´le mes seins, mordilla mes tĂ©tons, aspira mes arĂ©oles… au bout d’un moment, la lente descente reprit. Il suivit le pourtour du porte-jarretelles, lĂ©cha ma peau nue le long des lanières, remonta le long de ma fente pour s’insinuer dans mon conduit vaginal, les caresses prodiguĂ©es et le va-et-vient de son muscle buccal, me donnèrent des frissons et me tirèrent des gĂ©missements. Mes Ă©paules eurent des spasmes lorsque ses mains attrapèrent mes seins et les malaxèrent doucement et qu’au mĂŞme instant sa bouche aspira mon clitoris et se mit Ă le sucer… Un cri de plaisir sortit de ma gorge, cela eut l’air de tirer mon Ă©poux de sa somnolence.— Oui, c… c’est bien… Continues… tu vas la faire jouir cette salope…
— Non David ne t’occupes pas de ce qu’il baragouine… Baise-moi… Enfile-moi ta queue… maintenant… lui intimai-je !Il me fit basculer sur le canapĂ©, Ă©carta mes jambes mettant un genou Ă terre entra sa verge qu’il ne cessait de masturber comme pour la faire encore grossir. Elle Ă©tait de bonne taille, mais loin d’ĂŞtre aussi grosse et longue que le godemichĂ© de Maxime ou la queue de GĂ©rald. Mais j’Ă©tais tellement excitĂ©e par tout cela, et pour l’instant, je n’avais Ă aucun moment pu aller au bout de ma jouissance lors de la sĂ©ance avec Maxime. J’accueillis sa verge comme une dĂ©livrance. Elle glissa facilement dans mon fourreau bien lubrifiĂ©. Il posa un de mes mollets sur son Ă©paule et me martela sans relâche enfonça son sexe jusqu’Ă la garde. Je l’encourageai, lui disant que sa bite me rendait folle, en poussant des cris de plaisir. C’Ă©tait vrai, le plaisir montait. Cette fois, je n’allais pas rater le grand plongeon dans l’abĂ®me de la voluptĂ©.— Oooooohhhhhh, ooouuuuuiiiiii….putain que c’est bon… ouiiiii, ouuiiiiiii…. roucoulai-je.Je tombai… La chute Ă travers les flashes, sembla durer une Ă©ternitĂ©… Mon orgasme refoulĂ© depuis assez longtemps fut assez impressionnant. Je perçus vaguement que David me demandait s’il pouvait Ă©jaculer en moi.— Ou…. Ouiiiii…. Ă©ja… Ă©jacule dans sa chaattteeee… Ă cette sa…salope…Je refermai mes jambes autour des reins de David, il se cambra d’un seul coup et je sentis les soubresauts de son pĂ©nis, bien enfoncĂ© dans mon vagin, dĂ©verser son sperme chaud. Je hurlai Ă nouveau…ma jouissance.
David eut l’air paniquĂ© et tourna la tĂŞte vers mon Ă©poux, il fut aussitĂ´t rassurĂ©, celui-ci dormait profondĂ©ment sur le canapĂ©. Je me dirigeai vers lui, le secouai, c’est tout juste si j’obtins un lĂ©ger grognement.— Bon, laissons le cuver… As-tu prĂ©vu quelque chose pour ce soir David ?
— Non, nous devions aller au restaurant et après il avait prĂ©vu d’aller en boĂ®te.
— Je crois que lĂ , il est parti pour sa nuit, je te propose de rester dĂ®ner avec moi et ensuite on pourrait remettre ça !David ne me quitta qu’Ă l’heure ou les noctambules rentrent de discothèque.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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