Les circonstances font que … ( histoire vraie ) 1

Les circonstances font que … ( histoire vraie ) 1
Juliette, jeune institutrice, emménage la maison voisine de celle de Paul et sa femme Mariette, les deux femmes se lient d’amitié, et deviennent complices. Paul se sent délaissé, et cela l’agace.
Proposée le 7/10/2022 par linsee Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passionPersonnages: FFHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme

Juliette, jeune institutrice de vingt-cinq ans, vient d’emménager dans la maison de fonction que la commune lui a allouée. Le village en région rurale est très agréable à vivre. La jeune femme célibataire profite des vacances scolaires, pour parfaire son installation. Sa maison et voisine de celle de Mariette et de son mari Paul. La jeune femme fait la connaissance de ses voisins, rapidement, un lien d’amitié, se noue entre eux.Les deux femmes s’apprécient et sympathisent, on sent bien qu’un lien très étroit les rapproche de plus en plus. Souvent Juliette rend visite à Mariette, les deux femmes sont rayonnantes lorsqu’elles se voient, leurs yeux brillent de mille éclats, on sent que le bonheur les habite. Au fil des jours, leur complicité de vient de plus en plus forte, les éclats de rire sont continuels. Elles comparent leurs formes en riant aux éclats, il est vrai que Mariette a le corps moins ferme que Juliette, il faut dire aussi qu’elle à le double de son âge.Leur complicité, agace Paul qui se sent rejeté par le duo féminin. Les deux femmes sont tellement euphoriques, lorsqu’elles sont ensemble, elles en oublient sa présence.
De temps en temps Paul lance des piques, Juliette les prend avec beaucoup d’humour, mais ce n’est pas le cas de Mariette qui fait remarquer à son mari son manque de tact à la limite de la goujaterie.
Pour palier au manque d’attention que les femmes, ont pour lui. Maintenant, chaque jour, Paul, enfile un short, un t-shirt et de confortables baskets faire un footing dans la campagne voisine. Il revient une à deux heures après en sueur, et fonce dans la salle de bain.Les deux femmes deviennent inséparables, l’une à toujours besoin de la présente de l’autre, elles jouent comme des enfants, se taquinent en riant. Paul augmente ses absences, son footing dure plus longtemps, parfois, il regrette que Juliette habite près de chez lui, et qui accapare malgré elle sa femme. C’est Mariette qui attend avec impatience l’arrivée de son amie. Un jour, il rentre plutôt de son footing, il entre dans le corridor, retire son t-shirt mouillé et ses baskets, puis se dirige vers le salon. Il sursaute, ce qui devait arriver et arriva. Les deux femmes à demi-nues sont enlacées sur le canapé. Le sang de Paul ne fait qu’un tour, il hurle en avant à grands pas vers le couple toujours enlacé :-Le cocu ne vous dérange pas trop salopes !Et là, il commet l’irréparable, il gifle sa femme. Juliette se rue sur lui, en criant :- Je te hais pour ce que tu viens de faire salaud !Les deux corps tombent lourdement, et roulent sur le sol. Paul est bien plus fort que le jeune femme, rapidement, il a le dessus, il lui maintient les bras cloués au sol, il pèse de tout son poids su celui de Juliette. Elle grimace en se débattant. Les visages sont très près l’un de l’autre, les souffles se mêlent, son torse écrase, les seins dénudés de Juliette. Sans comprendre pourquoi, Paul pose ses lèvres sur celles de Juliette, qui, surprise, ne se débat plus. Mariette regarde les deux combattants en se demandant ce qui se passe.Un long moment, leurs lèvres restent jointent. Paul relâche lentement les bras emprisonnés de Juliette. Il s’attend à une ruade, mais contre toutes attentes, elle passe ses bras autour du cou de son cou, et lui rend son baiser. Mariette s’approche, en se frottant la joue. Elle qui s’attendait à un combat à mort, est un peu soulagée de la tournure des choses. Paul libère Juliette, les deux se regardent longuement sans dire un mot. Mariette se jette dans les bras de son mari et cherche ses lèvres pour se faire pardonner son infidélité. Mais Paul n’est pas dupe après le baiser, il lui dit :-Le cocu va te faire payer son adultère !© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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