Mon nom est Justine : oui, je sais, ça fait très » vieille France « , mais, je le trouve rigolo.J’ai 24 ans, je fais du secrétariat, je suis célibataire. Je partage mon appartement avec une amie, Gisèle, qui est infirmière à la clinique du coin.Quoi ? Me décrire ? Oui, voilà :J’ai les cheveux blonds, coupés jusqu’aux épaules, les yeux verts, un petit nez droit qui se perle de taches de rousseur quand vient l’été, car j’ai le teint pâle : je mesure 1 mètre 72, pour 59 kilos.Comment ça ? Le reste ? Mais quel reste ? Ah ! Oui, mes seins !Je fais du 95 de tour de poitrine… C’est bien pratique, n’est-ce pas, pour la branlette espagnole, appelée aussi, cravate de notaire. J’ai de beaux seins blancs, ronds et fièrement dressés. Non, non, non ! C’est du vrai, pas de chirurgie là -dessous. D’ailleurs, ils sont tous deux munis d’une jolie pointe rosée, qui sont du plus bel effet : tout à fait entre nous, c’est la gourmandise de ma copine Gisèle.— Hé là ! Hé là ! Pas de déduction hâtive ! Gisèle et moi on se donne souvent du plaisir, mais j’aime aussi les mecs. C’est ma copine qui m’a fait découvrir les plaisirs lesbiens.Comment ? On en parlera après ? D’accord ?Bon, où ai-je posé ce sèche-cheveux ? Ah ! Le voilà !Ma bouche ? Et ben, ma bouche est tout ce qu’il y a de plus normale ! Quoi que, Gigi me dit souvent, quand elle me regarde mettre du rouge à lèvres, que j’ai une bouche à tailler des pipes. Ce n’est pas tout à fait inexact, j’en taille souvent. Mais elle ne me sert pas qu’à ça : Gigi en sait quelque chose !Mon petit cul ?ET ben oui ! J’ai de jolies fesses, toutes rondes et, d’après ce que j’ai constaté, elles plaisent beaucoup à ces messieurs, qui posent souvent leurs yeux sur ma croupe. Pas touche à mon cul, c’est un endroit réservé exclusivement à ma copine, championne au maniement du gode.Mais non, je ne suis pas mannequin ! Je décris seulement le reflet de mon miroir. Actuellement, je suis dans ma salle de bain : je viens de sortir de ma douche. Et puis, on m’a dit que, pour être mannequin, il fallait de longues jambes.A propos de mes jambes ? Oui, quoi donc ? Qu’est ce qu’il y a entre elles ?Et bien, comment dire… Il y a un mignon berlingot, recouvert d’un gazon clair : lui aussi, est le délice de Gisèle… Et quelques autres copains et copines.Moi une salope ?Mais non ! Je profite simplement des plaisirs terrestres ! Franchement, je ne vais quand même pas me contenter de pointer tous les matins à 8 heures et bosser pendant une semaine et tirer un coup le samedi soir, vite fait bien fait… Je baise avec qui je veux, quand je veux !Et pour Gisèle ? Oui, patience, je vais tout dévoiler :Il y a 2 ans, dans le courant du mois de juin, j’ai eu un accident de scooter : une voiture m’a renversé et, un peu plus tard, quand j’ai ouvert les yeux, deux iris d’un bleu profond me fixaient avec inquiétude. C’était elle. Ah ! Qu’elle était jolie tout plein, avec sa petite coiffe blanche sur sa tignasse cendrée ! Quand elle a constaté que je sortais de mon état de choc, ses lèvres pulpeuses se sont étiré en un sourire de satisfaction. J’avais une côte cassée et quelques autres contusions sans gravité. Elle s’est merveilleusement occupé de moi. Elle est si douce ! Et des doigts de fée, avec ça ! ! !Un soir, au 3ème jour d’hospitalisation, alors qu’elle assurait sa garde de nuit, je me suis inquiété du devenir de mon scooter et de mes effets personnels : et bien, Gigi s’était occupé de tout, comme ça, par pure gentillesse. Trop heureuse d’échapper à une multitude de tracasseries, du fond de mon lit, j’ai entouré son cou de mes bras et lui ai baisé le front. Elle m’a fixé en souriant, s’est penché sur moi et à doucement et tendrement collé sa bouche contre la mienne. Surprise, je me suis d’abord crispé, puis, sa langue veloutée m’a rapidement fait craquer. Un long frisson a parcouru ma colonne vertébrale, s’insinuant dans la raie de mes fesses, pour terminer entre mes cuisses. Quand je l’ai à nouveau enlacé, sa langue a cherché la mienne. Pendant de longues minutes nous nous sommes embrassé et, je dois dire, de plus en plus fougueusement. Nous avons échangé un regard étonné, puis, elle a déboutonné sa blouse blanche : dessous, elle ne portait qu’un minuscule slip vert : Eh oui ! La canicule, ça n’a pas que des inconvénients ! Mon regard quitta lentement son visage pour parcourir les formes de son corps à la peau dorée. Gigi est plus petite que moi, environs 1 mètre 55, de corpulence mince, avec un 85 B de soutien-gorge, des seins en forme de poire, aux aréoles sombres. Cette vision me noua l’estomac et me fit saliver. Je passais ma langue sur mes lèvres et elle le remarqua. Je fus étonnée de mes propres envies, moi qui n’avais jamais eu d’expérience avec une femme. Avec délicatesse, elle m’aida à ôter ma nuisette et ma petite culotte, prenant soin de ne pas réveiller la douleur de mes blessures : voilà , nous étions toutes nues… Sans mot dire, elle s’assit sur mon lit et ses mains me massèrent les côtes avec sensualité. Je la contemplais, subjuguée, m’enivrant du parfum de sa peau. Elle fit jouer sa bouche et la pointe de sa langue dans mon cou, ce qui eu pour effet de m’électriser entièrement. Puis elle se déplaça sur mon épaule, revint vers ma gorge, s’attaqua à l’autre épaule, descendit sur mon thorax. Quand elle saisit l’un de mes tétons, un flot de lave envahit mon bas ventre, m’arrachant de petits gémissement. Mon corps ondulait voluptueusement, réclamant plus de caresses encore. Je lui offrais mes seins pendant de longues minutes. Dans un souffle, je lui ai dit que je mouillais, que je n’en pouvais plus, que mon minou était trempé. Alors, elle s’est allongé sur moi : Son corps était chaud, mes mains ont glissé sur la peau ambrée de son dos. Ses lèvres ont une fois de plus emprisonné les miennes et, lascivement, elle a agité lentement son bassin contre le mien. Durant un moment que j’aurais voulu éternel, nous avons échangé de brûlantes caresses. Puis elle a recommencé à embrasser mon corps, avec une petite langue insistante sur mes seins, tandis qu’une de ses mains s’immisçait entre mes cuisses. Avec une lenteur voulue, elle me pénétra d’un doigt, puis de deux. Je me cambrais pour mieux accueillir sa main. Gisèle entama un lent mouvement de va-et-vient, fouillant mon intimité qui émettait des bruits mouillés. Quand le premier orgasme me saisit, je me cramponnais à ses cheveux, retenant un cri, de peur d’éveiller l’attention des chambres voisines. Gisèle m’a alors regardé en souriant, visiblement satisfaite de son œuvre. Nous sommes restées allongées l’une contre l’autre de longues minutes.Je lui ai demandé comment la faire jouir : et bien, elle m’a rétorqué un truc du genre : » attends, je vais te montrer ! » Elle a alors mis sa tête entre mes jambes et coller sa bouche contre mon pubis. Sa langue coquine m’envahit, plongeant dans mon intimité, puis remontant caresser mon petit bouton de plaisir. De temps en temps, elle s’interrompait pour me dire que j’étais bonne, que mon nectar la rendait folle. Au bout de quelques instants de ce petit jeu,, mes hanches se sont agité de soubresauts de plus en plus violents. Oh ! Gigi, quelle experte fais-tu là ! Sentant l’orgasme venir, Gisèle est devenue plus gourmande, me bouffant presque le berlingot. Je n’ai eu que le temps de saisir le coin de mon oreiller pour étouffer le cri qu’a provoqué ma jouissance.J’ai encore passé 4 jours à la clinique : ou devrais-je dire 4 nuits inoubliables, pendant lesquelles Gigi m’a initié. Faut dire qu’elle a de l’expérience, elle est plus âgée que mois, elle a 31 ans. Ces nuits là furent torrides, aussi bien pour elle que pour moi. C’était toujours une immense euphorie quand je lui arrachais des cris de plaisirs et de jouissance. J’aime tant avoir la tête entre ses cuisses satinées, Elle aussi est bonne : sa peau est chaude et sucrée. Ce qu’elle préfère, c’est quand le passe la pointe de ma langue le long du creux de sa colonne vertébrale jusque dans la raie de ses fesses et, après, je me délecte de sa chatte. Moi, ce qui me rend folle, c’est de lui dévorer le minou.Quand j’ai quitté la clinique, elle est venue le soir même me rendre visite dans mon petit studio et, à mon grand étonnement, ma proposé de venir habiterchez elle : ce que j’ai fait.Alors ? N’est-elle pas belle mon histoire d’amour ?Ah ! Ouais ! Je l’ai super bien réussit, mon Brushing ! Et pourtant, ça n’a pas été facile ! Se concentrer en faisant ce genre de confidence… Des envies peu avouables me gagnent ! Mon entrecuisse commence à se perler de rosée !Quoi ? Les Mecs ? Ah ! Oui ! ET ben, que pourrais-je en dire ?Les garçons, Gigi, c’est pas son truc. Moi, comme je l’ai déjà dit, je suis bi. Quand j’ai envie de me faire un type, j’en parle à ma copine : c’est plus loyal. En général, ça me prend une ou deux fois par trimestre : Et oui, Gisèle me comble assez bien comme cela. Un exemple :Une fois, à la fin de ma journée de travail, j’ai quitté mon bureau pour me rendre immédiatement dans mon bistro préféré. J’étais épuisée par mes 8 heures de turbin et un bon whisky me délasserait sûrement. Pendant que je feuilletais le journal, le serveur est passé prés de ma table pour aller prendre une commande. Il a heurté ma chaise et j’ai renversé ma boisson sur mon pantalon. Il était tellement confus, qu’il m’a invité au restaurant le soir même. C’était un beau mec, le genre sportif tout en muscles, bronzé, bien soigné de sa personne. Il me plaisait bigrement. J’ai adopté la même tactique que d’habitude.Tout en dînant tranquillement avec Richard, car il s’appelait Richard, entre poire et fromages, après les banalités, j’ai guidé la conversation, sans avoir l’air de rien, vers le sexe. Ben oui, j’aime bien savoir à quel sorte de mec j’ai à faire. Si c’est le genre » Monsieur je tire mon coup et je me casse « , j’abandonne. Si en face de moi j’ai » Monsieur je prends tout mon temps « , alors, je me le tape.De quelle manière ? En voilà de la curiosité !Bon : en ce qui concerne Richard, c’était le genre câlin, sensualité assurée, longs préliminaires.Je lui ai carrément dit qu’il me plaisait et que j’étais partante pour un moment coquin avec lui. Je me suis absenté pour passé un coup de fil à Gigi, histoire qu’elle ne s’inquiète pas si je rentre au petit matin. Puis, nous avons été chez lui. Là , après le verre d’usage, j’ai demandé où était la salle de bain pour prendre une douche. Nous l’avons prise ensemble, sans se toucher, rien que pour admirer nos anatomies respectives. Puis, nus, nous avons filé à la vitesse d’un T.G.V. sur son lit.Ha ! Le salaud ! Il baise comme un dieu ! Malgré sa carrure de déménageur, il a des doigts de velours. Ses grandes mains ont parcourut, longtemps, tout mon corps, dans les moindres recoins, provoquant quelques orgasmes mémorables. Quand il me présenta son membre dressé, mes lèvres eurent du mal à le contenir.Mais, habile de ma langue comme je le suis, grâce au petits cours de Gisèle, je n’ai pas tardé à sentir pointer le sperme et, redoublant d’ardeur, je l’ai fait grimper aux rideaux, goûtant avec délectation sa jouissance qui m’emplissait peu à peu la bouche. Hmmmm ! Quelle délectation !Bon, où ai-je posé ce foutu rasoir ? Très excitant, n’est-ce pas, de m’imaginer nue, en train de m’épiler les jambes !Mais non ! Mais non ! Ce n’est pas tout ! Un peu de patience, voyons !Plus tard, après un rafraîchissement et quelques jeux coquins, alors que je ne m’y attendais pas, il a saisit mes jambes pour les lever et, avec la précision d’un tireur d’élite, d’un seul coup, a plongé sa verge au plus profond de moi. J’ai poussé un cri, surprise de me sentir aussi remplie de lui. Après un pilonnage sévère, excité par nos jeux, il n’a pas tardé à succomber à l’orgasme, arrosant ma toison de longues giclées de sperme blanc et épais.Bon, maintenant, je passe à l’autre guibole ! : A raconter tout ça, je mouille toujours autant !Comme je le disais plus haut, mon petit cul, c’est le domaine réservé de Gigi : Souvent, nous sortons notre collection de godes et, assises une en face de l’autre, nous nous regardons nous masturber. Ce dont je raffole, c’est quand elle s’en sert pendant un 69. Tandis que je suis cramponnée à ses hanches, occupée à lui brouter la craquette, Gigi, amuse mon clitoris de ses lèvres et de la pointe de sa langue, une main en soutient sous mes fesses, pour que je sois cambrée le plus possible : de l’autre, elle agite le gode, tantôt dans mon con, tantôt dans mon cul. Ah ! La garce ! Qu’est-ce qu’elle me fait jouir !Voilà , mes deux guiboles sont au top ! C’est pas tout ça, mais moi, j’en peux plus ! Et si je me paluchais ? Hmmmm ! Quelle vision, hein ! Mon corps tout blanc, allongé sur le tapis épais de la salle de bain ! Les cuisses écartées, un bras replié sous ma nuque, une main fouillant mon berlingot !Tiens ! J’entends une clé dans la serrure ! C’est Gisèle qui rentre de sa garde de nuit à la clinique ! Donc, pas de paluchage ! ! ! C’est con, hein ! Dans l’état où je suis, je vais suivre ma copine sous la douche et, à mon avis, on est pas encore sorti de là !J’entends qu’elle se déshabille dans notre chambre ! Théoriquement, après ses ablutions, elle va se coucher : ça y est, elle entre, m’embrasse, les yeux ensommeillés. Elle entre dans la cabine : je retiens sa main qui veux fermer le rideau. Elle sourit, elle a compris, elle me tire vers elle et… Oh ! Sa main est déjà entre mes cuisses !Bon : je ferme le rideau…