Merci à nouveau à tous mes lecteurs fidèles et occasionnels, et lectrices évidemment puisque j’adore les femmes ! Je salue aussi les incrédules avec ma conscience très tranquille, car je le redis, rien n’est inventé, tout a été vécu par moi en vingt ans de visites (cette année) et j’ai matière à écrire très longtemps. D’ailleurs quelqu’un semble me connaître, c’est très intéressant pour prouver mes dires… Petit clin d’œil à Léna. Bon… attends !J’avais abrégé un peu la fin du précédent récit, sommeil peut-être ? Car ce qui s’est passé dans la chambre dura longtemps, moi j’étais en congé le lendemain, eux aussi jusqu’à midi…Nos corps enfiévrés, enlacés ont donné et reçu tout un éventail de plaisirs. Par exemple Betty adorant se servir de ses vibros en utilisa aussi un dans chacun de ses orifices, cela donna lieu à de jolies photos. Elle suggéra elle-même que nous les remplacions, comment refuser ça ? Quelle délicieuse sensation que de se glisser à côté d’un autre sexe raide : à travers une fine peau, le sentir glisser aussi en écoutant les gémissements de plaisir de celle qui le demandait ? Et on a pu résister suffisamment longtemps pour qu’elle en jouisse. Pour la remercier, je lui proposai de lui montrer mon éjaculation, toujours abondante, elle accepta, bien que n’ayant jamais fait ça, de recevoir ma semence sur son visage et je lui en offrit un maximum sous les yeux du mari ébahi. Sept à huit giclées épaisses en plein visage, et très excité, ce dernier fit de même.Betty voulu se voir dans la glace de la salle de bain ou je fis quelques photos :— J’espère que c’est bon pour la peau, hein ?Elle disparut dans la douche où on la rejoignit un par un, car étroite (la douche, pas Betty !). J’eus du mal à m’endormir, revivant tout ça et pensant au lendemain, au rasage de sa minette…Je fus réveillé par des gémissements de plaisir, mais je restai sage pour préserver leur intimité. J’allai me laver, puis on se retrouva pour un petit déjeuner. Betty alla nous acheter des croissants, nue sous une robe et un manteau (il faisait beau)Puis on prépara enfin cette nouvelle expérience et pour cela on se mit au salon. Elle prépara les instruments, ciseaux, rasoir et mousse, bassine puis elle s’allongea sur la table basse où il fit tomber le plus gros de sa toison aux ciseaux devant mon objectif.A l’époque je n’avais pas beaucoup de vue d’un rasage en direct ! Betty était ravie car à chaque fois elle avait l’impression de redevenir une gamine. Puis il enduisit sa vulve de mousse, la massa un peu, elle y prenait plaisir, écartant les cuisses en riant. Nous, on s’était déshabillé et on bandait, ça lui plaisait de me voir tourner autour d’elle pour les photos et elle attrapait mon sexe au passage, le branlait, le tirait vers sa bouche en disant que ça l’excitait de faire tout ça !Et le moment crucial arriva, le rasoir enleva la mousse et chaque passage de la lame laissait la peau nue, de plus en plus nue, la vulve apparut dans sa pureté d’origine, une jolie fente au milieu. Une bassine d’eau tiède enleva les dernières traces de mousse, un coup de serviette et Betty exhiba fièrement sa minette ! Je m’empressais de l’embrasser, de la lécher. Quel bonheur de sucer une fente nue, c’est tendre et doux, montrant tous les détails, et on se mélangea à nouveau. Elle fut très excitée, insatiable pendant plus d’une heure, pour nous relayer on fit marcher ses vibros qu’elle affectionne et elle eut trois ou quatre orgasmes délirants. Moi, j’ai eu le plaisir de lui arroser le ventre et son mari les seins…Je les quittais à regret, bien sûr, mais une excitante correspondance maintint le contact jusqu’à nos retrouvailles au Cap, l’été suivant.Elles eurent lieu en juillet, je leur rendis visite en compagnie d’un copain connu par la revue « SWING » que tout le monde connaît. Il fit la route avec moi, écoutant mes aventures et regardant mes photos et découvrit le Cap avec grand plaisir. Mais malgré leur invitation à souper avec eux au camping, il était un peu coincé et rien ne se passa.J’attendis la semaine suivante pour les retrouver seuls, les invitants à déjeuner, et Betty arriva avec pour tout vêtement un string noir en dentelle ! Superbe et ultra sexy, parmi tous les gens nus, un bout de tissus devient très excitant, c’est comme ça !Je leur proposai tout de suite, s’ils voulaient bien, d’aller boire le café au camping chez un couple rencontré une heure avant, dont la femme est rasée aussi, mignonne, le mari sympa et je racontais cette rencontre que voici :Le matin, je drague dans les commerces et abords de la plage, quand je croise un couple près de la piscine. Je remarque avant tout l’absence de toison et une petite fente, plus des seins pas vilains du tout, un joli visage et je les aborde.Sympas ils se laissent tenter après avoir un peu discuté et elle accepte de poser pour quelques photos assez sages, me disant que c’était la première fois qu’elle faisant ça. Ils avaient déjà fait du naturisme mais pas au Cap et étaient arrivés la veille, ne connaissant personne. Je continue ma série tout en discutant avec eux, photos de plus en plus osées, elle s’y prêtait vraiment bien quand d’un coup elle me dit :— Si ça vous intéresse, j’ai des grandes lèvres, vous voulez voir ?— Mais bien sûr, j’adore ça, montrez-moi !Elle s’assied sur un muret, écarte ses cuisses au maximum, prend chaque lèvre entre pouce et index et tire. C’était impressionnant, on aurait dit un joli papillon aux ailes brillante. Je n’avais jamais vu ça et je fis plusieurs vues de ce phénomène en la félicitant …— J’ai plein de trésors cachés, hein, chéri ?Le mari acquiesce pendant que je finis ma pellicule. Ils me donnent leur adresse pour l’envoi des photos, puis j’ai l’idée de leur présenter Betty et son mari ce qui leur plait beaucoup car ils viennent avec l’idée de s’amuser pendant une semaine. Ils me donnent leur emplacement au camping et rendez-vous fut pris pour le café. Je jubile intérieurement car elle n’est pas hostile aux caresses féminines, et j’annonce donc ça pendant le repas.Betty et son mari acceptent de les voir, s’ils sont sympas, bien physiquement, propres bien sûr, mais je suis sûr que ça marchera.Après un bon repas et une bouteille de Picpoul goûtée pour la première fois, nous arrivons chez ce couple, et le courant passe tout de suite, après avoir fait connaissance, le café fut servi et la conversation s’orienta sur le sexe, Betty racontait ma rencontre l’année d’avant, ma venue chez eux, Béatrice relatant ses débuts de naturiste poussé par son mari, son rasage tout récent, elles parlèrent « techniques », l’entretien de l’absence de poils et Betty donna des conseils, montra son entre cuisse bien nette que Béatrice toucha !Tout de suite, il y eut un déclic : Betty apprécia le contact de la main et Béatrice lui dit :— Tu es sensible à ce point ?Elle prolongea ce contact attendant sa réponse qui consista en un geste d’approbation, puis le visage de Betty s’approcha de Béa et elle lui donna un petit baiser sur la bouche. On se regarda entre homme et on les applaudit. Puis Betty leur proposa de venir chez eux où c’est plus confortable.Je connais les lieux, on s’assied, le mari nous sert à boire, il fait très chaud, Betty prend une douche installée par eux et invite Béa à faire de même. Je sors mon appareil et fait déjà quelques vues gentilles. Betty essuyant Béa d’un air déjà envieux. Elle la regarde dans les yeux, la caresse plus qu’elle ne l’essuie, on observe discrètement ; je sens que je vais enfin voir deux filles se donner du plaisir pour la première fois ! Betty se tourne vers nous et caresse les seins de Béa pour nous, en souriant. Elle l’embrasse dans le cou, l’oreille, lui dit des mots qu’on entendra pas, Béa sourit et ferme les yeux. Puis Betty dit qu’il faut mieux aller à l’intérieur. On y va tous, elle tire les rideaux pour la discrétion et cela fait une lumière bleue très romantique. Elles s’installent au fond sur une banquette, nous presque en face et Betty recommence quelques caresses, Béa disant :— Je me laisse faire, je n’ai pas tellement l’habitude, moi c’est plus les hommes !On l’encourage à se laisser aller aux douces mains expertes qui sont très agiles. Je fais des photos de ces instants subtils. On fait silence, un silence attentif au moindre souffle, à l’effleurement de doigts sur une peau fébrile, la bouche de Betty, sa langue se pose partout, le cou, les épaules, le dos, Béa est assise et ferme les yeux. Betty vient devant, caresse ses petits seins, ses tétons durcis qu’elle lèche. C’est d’un érotisme étonnant, puis Béa se laisse aller dans les coussins, caressant les cheveux de Betty dont les mains parcourent les jambes de sa «victime », les cuisses. Je me fais le plus discret possible pour fixer ces moments. Betty s’assied à côté, une main sur un sein, l’autre ouvrant doucement les cuisses de Béa. Déjà coquine, elle s’affale un peu plus, les fesses au bord de la banquette, ouvrant les jambes au maximum, puis elle relève la tête regarde Betty dans les yeux et attire son visage, leurs bouches se cherchent, leurs langues se touchent et un baiser magnifique les unit. Les maris sont ravis, moi, je crois rêver, on est très excité, on bande bien sûr surtout que Betty touche la vulve de Béa, l’écarte, la fouille très délicatement tandis qu’elles gémissent de plaisir. Que c’est beau de vivre ça ! Et ce qui est excitant c’est que Betty prend plaisir à exhiber sa conquête, elle nous regarde et nous offre la vision de la chatte de Béa qu’elle écarte, étire, masturbe, pénètre de ses doigts. Puis elle prend la même position très ouverte, se branle frénétiquement en même temps qu’elle branle Béa qui va bientôt jouir une première fois ; sans excès.Aussitôt Betty vient se mettre à genoux devant ses cuisses, caressant sa peau et embrassant ses cuisses de plus en plus haut jusqu’à voir sa langue glisser sur sa fente, cette fente déjà mouillée qu’elle lèche comme un chat. En même temps elle remue lentement les cuisses serrées, son cul est sublime, elles gémissent toutes les deux respirant fort puis Betty écarte ses genoux et on voit sa main droite caresser sa vulve par-dessous, un doigt séparant bien ses lèvres et glissant un peu parfois dans son trou béant ! Quelles visions sublimes ! Après cinq minutes de ce traitement Béa se mit à trembler, presse la tête de sa lécheuse en disant combien c’est bon, qu’elle n’a jamais été léchée comme ça, et elle jouit encore, mais cette fois c’est fort, secouée de spasmes et poussant de petits cris qu’elle étouffe de sa main. Betty se relève, se coule sur elle, et vient l’embrasser à pleine bouche. Je réalise mon rêve, chargeant pellicule après pellicule.Béa devient de plus en plus caressante, ses mains explorant les fesses de Betty. Elles se retrouvent allongé l’une contre l’autre, Béa au-dessus prenant enfin des initiatives, suçant ses tétons, écartant ses cuisses. Je tourne autour d’elles pour voir et bientôt elles se retrouvent en soixante-neuf. C’est dément, les doigts, les langues s’agitent, elles sont comme en orgasmes permanents avec des petits cris aiguës ou rauques, des tremblements. Je vois alors Betty fouiller sous un coussin, en sortir un petit sac, l’ouvrir d’une main pour en sortir un vibro, puis un deuxième qu’elle dirige vers sa chatte sous Béa et garde le premier pour exciter l’autre chatte qui s’ouvre mais n’arrive pas à recevoir l’objet de belle taille. Béa alors fait l’échange de vibro, l’autre plus petit, en disant qu’elle était « serré » naturellement ; le petit entre petit à petit et bientôt c’est Betty qui se met à jouir violemment, secouée de spasmes, puis Béa se tourne alors vers nous :— C’est quand même dommage d’utiliser du plastique alors qu’on a du naturel sous la main !Elle a bien raison ! Et Betty ajoute :— Allez-y les mecs, c’est à vous de jouir maintenant !Elles se lèvent pour que Betty déplie la banquette pour faire un lit, et aussitôt les mâles se jettent sur les deux coquines ! Je fais encore quelques vues des jolies bouches avides se jetant sur des sexes raides, puis je pose l’appareil pour participer à la fête charnelle. Mes mains caressent leurs peaux douces, ces fesses bien rondes, car elles sont occupées, presque face à face, bien penchées en avant à sucer chacune le mari de l’autre.Je me place derrière Béa en premier pour lui sucer cette belle petite fente en lui ouvrant bien les fesses, sa minette coule de plaisir, c’est délicieux. Je la fouille avec mes doigts, surpris de voir que mon index entre difficilement dans sa chatte alors que mon pouce glisse bien dans son petit trou ! Bizarrement je n’avais jamais vu ça… puis je viens m’occuper de Betty qui se cambre, écarte ses genoux et reçois ma langue en miaulant !Mais bientôt elle me tire vers elle, attrape mon sexe et me fait comprendre ce qu’elle veut. Je me positionne et commence à la pénétrer lentement. C’est un fourreau de velours, cette chatte, et Betty pousse un grand soupir quand je suis au fond, puis elle se pousse vers moi en se tortillant. Je la tiens aux hanches et la prend de plus en plus vite, de plus en plus fort, très excité mais sans envie de jouir. Elle se redresse, s’appuie sur son mari, Béa fait de même et vient se mettre face à elle, l’embrasse, lui caresse les seins et passe une main en dessous, prenant mes bourses et lui titillant le clito ! Le mari de Betty passe derrière elle et tente de la prendre aussi, je dis bien tente car il n’arrive pas à y entrer. Son mari lui conseille de la prendre dans l’autre trou :— Tu es trop gros, elle est trop serrée, moi j’y arrive une fois sur dix, alors…Béa ajoute :— Oui tu peux y aller, encule-moi j’aime ça, peut-être que Bernard va y arriver, il est plus fin ?C’est fou d’entendre ça, et juste après :— Oh oui c’est bon de se faire enculer. Vas-y ! Vas-y !Sachant que Betty adore ça aussi, je lui dis que :— Ce serait bien que vous vous mettiez côte à côte et qu’on vous prenne tous les trois— Oh, oui si tu veux ! On essaiera de deviner qui nous baise !Aussitôt dit, elles s’installent en levrette tout en se caressant le dos et s’embrassant sur la bouche. Nous étions super excités, les queues raides. Je laissais la priorité aux maris, on a du savoir-vivre ! Le mari de Béa se glisse dans la chatte de Betty, il est bien monté, au moins dix huit ou vingt centimètres (j’ai honte !) Il commence à y aller de plus en plus vite et Betty ondule de plaisir. Puis l’autre mari, lui aussi de bonne dimension se présente directement au petit trou de Béa, un peu plus laborieux, mais comme tout à l’heure, il y entre sous les gémissements de Béa. Et moi ? Et bien je me mets face à elles, je m’allonge et c’est le paradis ! Deux visages pâmés qui s’occupent de mon sexe, deux bouches gourmandes, surtout celle de Betty, une douceur, comme sa minette, du velours ! Elle me tient le sexe à la base, le lèche, le donne à Béa, le reprend, tout ça avec des râles de plaisir, c’est divin ! Et Béa entre deux « bouchées » me dit :— Je n’aurais pas la surprise, mais tu veux essayer ma chatte ?— Pourquoi pas, si on me laisse la place !— S’il vous plait, je voudrais essayer Bernard !C’est une petite marrante !— Place au photographe, il va faire une tentative !On rigole tous, je viens derrière elle je mouille de salive, je glisse un doigt, je présente mon gland ! C’est dingue l’étroitesse de cette femme !— Tu vois, c’est plus facile de l’enculer, mais force un peu, vas-y ! Dit le mari qui lui écarte les fesses pour moi !Je pousse, ça fait un peu mal, je remouille, je pousse encore et d’un coup ça passe ! Je suis presque en entier dedans mais comme étranglé ! Je n’ai jamais vécu ça mais c’est bon et bientôt j’arrive à faire des va-et-vient.— Oh ! C’est bon Bernard, vas-y ça me plait aussi dans la chatte, vas-y, après tu m’enculeras si tu veux !Un délice inconnu, mais là je me retiens, là je n’ai plus honte d’être plus petit, je me venge ! Le mari de Betty a pris ma place, Betty jouit sous les coups de son mari et Béa la suit de peu. Je ne sais plus ou je suis ; je vis un rêve éveillé. J’entends Betty me dire de venir quand son mari s’en détache et je le remplace toujours étonné de cette infinie douceur. Son mari vient se faire sucer à son tour et Béa est sodomisé par son époux.Il fait chaud, on transpire, mais que c’est bon de vivre ça dans des râles, des gémissements continus. Puis je me dis que le petit trou de Betty est bien joli aussi, je m’y faufile, le mari de Béa me dit :— Tu viendras l’enculer aussi, Bernard, tu verras comme elle est bonne !— La mienne aussi !Et l’autre mari en riant qui dit :— Vous êtes deux belles enculées toutes le deux !Je lui laisse la place, passant vite au lavabo et reviens pour sodomiser Béa ! On s’amusera après à les prendre à tour de rôle, puis le mari de Béa jouira dans le petit trou de Betty.Moi, j’ai pu me réserver pour avoir le plaisir de les arroser de mon sperme. J’adore ça et Betty apprécie aussi, Bea qui aime moins s’y prête quand même : Elle s’allongera sur le dos, Betty aussi à côté, son visage à hauteur de son ventre me sucera au-dessus d’elle en me branlant. Je sens que ça vient, je les avertis. Betty garde la bouche sur mon gland et reçoit ma première giclée, puis s’écarte vite et laisse fuser le reste sur Béa ! Le BONHEUR !Betty se lèche les lèvres, regarde son mari,— Chéri, viens, à toi maintenant !Elle lui fera subir le même sort !Je n’ai jamais revu Béa ni son mari, hélas ! Mes deux autres amis, oui, je vous raconterai, c’est promisBernardJuillet 2002