Le destin, qu’est-ce que le destin ?Moi je crois que certains êtres sont faits pour se rencontrer et vivre des moments forts, érotiques ensemble. Ce fut mon cas, notre cas.LUI : Un homme plein de charme – normal puisqu’il me plaît ! – menant une vie plus qu’occupée – il est sous-préfet, oui, vous avez bien lu, même ces gens-là se dévergondent, je dirais plus, SURTOUT ces gens-là !!!Marié à une femme de bonne société, mais un peu coincée ! Il approche de la cinquantaine et ses pulsions sont encore présentes ; il veut encore en profiter quelques années ! Tiens, si je pianotais sur le net se dit-il un jour !MOI : Une femme qui aime plaire, qui semble plaire encore, mais difficile de se juger ! Mariée aussi, qui veut le rester, mais veut profiter quelques années encore de ses charmes. Mes enfants sont grands, j’ai du temps pour moi. Tiens, si je pianotais sur le net me suis-je dit un jour !Alors l’alchimie d’une rencontre tient à peu de chose ! Un portrait qui nous interpelle, un échange de mots, des coups de téléphone qui ne donnent qu’une certaine idée de l’autre, puis c’est la première rencontre !MOI : J’ai stressé durant tout le chemin qui me menait vers lui .Vais-je lui plaire ? Va-t-il me plaire ? Allons-nous passer un moment sympa ? Je suis à l’heure. Un coup de fil, je serai en retard, attends-moi au restaurant. Ça commence mal, je préfère l’inverse ! Mais bon, laissons-lui une chance ! Quand la porte s’ouvre, je sais que c’est lui !Ses yeux profonds me dévisagent et confirment que je suis bien celle qu’il attendait. Ils sont beaux, ses yeux, et je sens mon corps qui s’envahit d’une certaine chaleur, surtout ne pas lui montrer. Au cours du repas, je sens son regard qui plonge dans mon décolleté, qui, je reconnais, laisse plus qu’entrevoir la naissance de mes seins. Il le fait discrètement, j’aime, je sens que je lui plais. Au moment de partir, un baiser sur la joue remplace la poignée de main de l’arrivée. Il me plaît.LUI : Je suis en retard. J’aime que ce soit elle qui m’attende, je reconnais être un peu macho, mais ne pas lui montrer tout de suite ! J’espère qu’elle va me plaire, que ses formes seront aussi tentantes que sur la photo. Elle m’attend ! Durant le repas, elle s’arrange pour me mettre ses seins sous les yeux, j’ai envie de les toucher. Elle m’excite ! J’ai passé un moment agréable, j’ai envie de la revoir.Rendez-vous fut pris pour la semaine suivante. Nous savions l’un et l’autre que nous allions cette fois nous rencontrer pour faire l’amour. Moi j’en avais une folle envie.Pierre, cette fois, m’attendait sur le seuil de la sous-préfecture, costume, cravate, chemise blanche : j’adore. Un feu de cheminée flambait, les flûtes étaient prêtes. Nous bûmes le champagne – ce breuvage a le don de m’émoustiller – tout en discutant. Nous avons parlé de son travail et quand, pour me prouver qu’il était fort occupé, il s’approcha de moi pour me montrer son agenda, j’ai senti son odeur épicée, puis son épaule qui s’appuyait sur moi et soudain nos regards se sont rencontrés et nos bouches se sont trouvées.MOI : Quel baiser !!! sa bouche était chaude et douce, sa langue cherchait la mienne et l’aspirait goulûment. J’ai su, à cet instant, que je le voulais complètement.LUI : Il faut que j’y aille doucement, mais j’ai envie de l’effleurer, de la toucher, de l’embrasser partout. Quel baiser ! J’aime sa bouche. Je la veux complètement à moi.MOI : Il prit ma main dans la sienne qui était douce et chaude, et nous sommes montés dans la chambre. Je dois avouer que mon intimité était tout humide. Nous eûmes tôt fait de rouler sur le lit. Là, ses mains coururent sur mon corps et sa bouche m’embrassait à perdre haleine. Dès que je reprenais mon souffle, il me disait « embrasse-moi » d’un ton ferme. Ce fut le début de son autorité sur moi. Je m’empressai d’obéir, et j’ai su à cet instant qu’il pourrait alors faire ce qu’il voudrait de moi. Mes seins étaient dressés par les caresses de ses mains et de sa bouche qui les tétaient. Mais moi aussi je le touchais, je voulais connaître tous les recoins de son corps ; mais surtout je voulais toucher son sexe durci contre moi. Je me suis empressée de le caresser et une pulsion irrésistible me fit le prendre en bouche.Aussitôt, Pierre m’ordonna :— Lèche, mets de la salive.Je m’exécutai au mieux tout en passant des petits coups de langue tout le long, aspirant son gland au passage. Que c’était bon ! Quant à mon corps, il était en feu, mes cuisses s’écartaient involontairement, mes fesses se soulevaient et n’attendaient qu’une seule chose : qu’il me pénètre. Mais Pierre aime prendre son temps, il sait m’emmener près de la jouissance mais se reprend pour me faire attendre. Dire que je mouillais ne serait pas vrai, j’étais trempée. Quand enfin il céda à l’appel de mon corps, je ne pus retenir un cri de plaisir de le sentir en moi :— Viens, Pierre, prends-moi, profondément, embrasse moi, j’ai envie de toi, j’aime te sentir en moi.Pierre avait compris que j’aimais cette domination, que je jouissais autant par mon corps que par nos échanges de paroles, d’ailleurs il est comme moi. Il n’a pas joui tout de suite, il a encore attendu , acceptant mes caresses sur tout son corps, il se laissait aller. Puis soudain, sa queue se raidit davantage au fond de moi et je sentis une chaleur m’envahir en même temps que j’entendais ces gémissements de plaisir.Ce fut le début de nos jeux érotiques.Je suis rentrée chez moi fourbue mais satisfaite. Pas « satisfaite » dans le sens « je l’ai eu », loin de là, juste le « satisfaite » qui voulait dire, « il m’a comblée, mon corps a eu ce qu’il voulait : du plaisir, de l’émotion, et il est repu ». Je n’ai pas vu le chemin du retour alors qu’il faisait un temps épouvantable, j’étais sur mon nuage, revivant nos caresses.Et puis c’est dans ma nature, le doute s’est insinué au fond de moi : a-t-il apprécié ? Aura-t-il envie de me revoir ? Pour me rassurer, je me remémorai ses yeux fermés dans le plaisir d’être touché, son sexe durci et qui resta dur tout au long de cette soirée passée ensemble, ses gémissements au moment où le plaisir fut plus fort que l’attente, sa bouche qui réclamait la mienne. Peut-on simuler ? Je ne le connais pas, je verrai, j’attendrai de ses nouvelles.De toutes les façons, ce fut un super moment.LUI : J’aime et je n’aime pas ces moments après l’amour J’aime ce calme après la tempête, cette envie de m’endormir sans plus penser. Quand le plaisir et l’attente sont si intenses, la jouissance me fait presque mal et j’ai besoin que l’on ne me touche plus. Pourvu qu’elle ne l’ait pas mal interprété. C’est vrai qu’une femme aime se lover auprès de son « mâle » après l’amour. Elle n’est pas en cause, juste moi qui suis un peu particulier, je l’avoue. Et puis je crois que je vis la fameuse phrase « post coït, omni animal triste », oui, les tensions retombent, l’envie est partie, je veux être seul. Je l’embrasse doucement à la fenêtre de sa voiture. Elle est partie.Aurai-je envie de la revoir ? Je sens naître une complicité. Demain sera un autre jour !Des petits sms sont venus agrémenter nos quotidiens respectifs.MOI : J’aime le troubler ainsi. Je me dis : il est peut-être en réunion sérieuse, il va sentir son téléphone vibrer et se demander si c’est moi qui pense à lui, qui lui écris ses envies coquines. Il lui est arrivé d’y répondre pendant une réunion, me disant qu’il préférerait me « prendre » plutôt que d’écouter ces discours ennuyeux. Je me sens toute humide rien qu’en y pensant !LUI : J’aime qu’elle me trouble par ses messages, qu’elle pense à moi, mais je ne veux pas être romantique. Je ne lui réponds pas toujours ; surtout, pas d’habitude ! Je sais que les femmes aiment les petites attentions, trop d’ailleurs, alors je me méfie ! Mais cependant, je veux la revoir, j’aime le plaisir qu’elle me donne, j’aime sa sensualité .L’envie, qu’est-ce que l’envie ?Peu importe, elle s’est de nouveau manifestée pour l’un comme pour l’autre et nous avons programmé une nouvelle rencontre mais ce fut difficile. Pierre ne veut pas aller à l’hôtel, trop impersonnel et peut-être trop ciblé dans la démarche, à moins qu’il ne soit « radin », tiens je vais y réfléchir ! Je le comprends, mais parfois comment faire autrement ? N’oubliez pas, qu’il est sous-préfet ; alors, chez lui, même en l’absence de sa femme et ses enfants, ce n’est pas facile ; il y a du personnel de maison. Mais nous sommes parvenus à trouver un créneau de temps en temps. Un moment volé entre midi et deux. Pas évident – je n’habite pas sur place – mais notre envie est très forte et nous faisons l’amour avec passion, pour le plaisir de se sentir l’un contre l’autre. Nos bouches avides de baisers attendus ne cessent de se chercher et réclament cette salive qui se mélange. Nos parfums nous stimulent, nous sommes tous les deux sensibles aux odeurs. Il m’a dit qu’il aimait la mienne. Oui, il parle, quand il est dans la recherche du plaisir, et ça j’adore, le sentir « fondre », être lui complètement, je le sens à moi. J’aime, quand il me dit :Il m’avoue aussi que je lui ai manqué, que je le rends fou de désir, que je l’excite et qu’il se caresse dans l’ombre de son lit durant mon absence. Ces étreintes brèves mais intenses me comblent mais me frustrent. Je ne veux pas être un objet de plaisir qui obéit au doigt et à l’œil, qui fait les kilomètres pour le voir. Mais quand il m’appelle, qu’il est libre, j’y cours.Il le sait et en profite ; tant pis pour mon amour propre ! Je sais aussi que je ferai tout pour que son envie de moi soit de plus en plus forte et qu’il ait du mal à se passer de moi. Tout doucement, il se laisse aller davantage. Détail important, il ose me regarder dans les yeux et peu importe si j’y vois du plaisir et une certaine soumission, oui vous avez bien lu, elle se dessine, et je sais qu’un jour il me l’exprimera, mais il n’est pas encore prêt. Pas facile de se laisser dévoiler par une femme, surtout lui qui a trop maîtrisé et caché certaines pulsions. Je vous raconterai.Libre, il est libre, nous sommes libres toute une soirée !!! Nous allons pouvoir prendre notre temps !!! Il m’attend sur le seuil de la porte. Ses yeux se détournent encore un peu, mais la porte à peine refermée, je me blottis dans ses bras, je respire sa peau, colle ma bouche à la sienne, cambre mes reins contre lui et lui murmure qu’il m’a manqué. Il me serre contre lui et me caresse les seins et ne quitte pas ma bouche. J’adore.Il m’entraîne dans le salon où trônent deux flûtes et une bouteille de champagne. Il est très délicat et j’apprécie. Malgré notre envie réciproque, il prend le temps de m’apprivoiser en discutant de lui, de moi, de sa vie. Ces moments sont agréables, ils me permettent de le connaître – important pour moi – car en dehors de nos rencontres, et quelques sms échangés, il est assez froid et distant, ce qui me gêne assez ! De quoi a-t-il peur ? Que je m’accroche à lui, que je perturbe sa vie ? Il ne me connaît pas, mais je ne chercherai jamais ni à lui nuire ni à sa famille. Je saurai m’éloigner de lui s’il me MONTRE qu’il n’a plus envie de moi, et à cette seule condition, autrement je serai capable de réclamer ses caresses à cor et à cri !!!Nous retournons sur le canapé, où, tout en buvant et discutant, je m’approche de lui, l’embrasse dans le cou – il adore et accepte cette caresse maintenant !Je croise et décroise les jambes, j’ai envie qu’il glisse les mains sur mes cuisses et qu’il aille constater une situation évidente de mon envie. Moi, je déboutonne sa chemise, caressant et embrassant son torse velu. Je pose la main sur le renflement de son pantalon Son sexe est raide, nu – pas de caleçon ! – j’ouvre la fermeture et je glisse la main. Quelle sensation de sentir sa queue vibrer – elle vibre vraiment, elle a des petits sursauts ! – elle est dure comme j’aime ! Finies les discussions, vite, que nos corps se touchent. Nous allons dans la chambre d’ami, un peu mansardée. Pierre m’entraîne et me dit de fermer les yeux :— Ne dis rien, laisse-toi faire, tu es à moi.Il pose un bandeau sur mes yeux, m’enlève mes bas, et accroche chacune de mes mains à une poutre à l’aide de ceux-ci. Oui, je suis à sa merci, nue, attachée, mais j’aime. Il me caresse doucement, vient téter mes seins à petits coups de langue, puis les prend en bouche . Je me trémousse de plaisir. Il glisse une main dans mon sexe et me dit son contentement que je sois trempée pour lui. Il s’appuie contre moi, derrière moi avec son sexe droit comme un « i » . Je le veux, le toucher, le sucer, l’avoir au fond de moi. Mais il me le refuse. Je gémis :— Prends-moi, enfonce-moi— Pas tout de suite, me répond-il.C’est la première fois que je vis cette expérience ; c’est vraiment jouissif ! Il ne veut surtout pas que j’aie mal et plusieurs fois il s’enquiert de savoir si les liens ne sont pas trop serrés. Mais non, Pierre, fais ce que tu veux de moi ! Soudain, il me détache. Nous roulons sur le lit comme deux fous. J’ai besoin de le sentir en moi, lui aussi. Il me pénètre. Je pousse un cri de bien-être.— Oui, ma chérie, tu aimes ma queue.Première fois qu’il utilise ce mot doux, j’adore, ça m’émoustille ; j’en ai besoin, comme lui, d’ailleurs, ce que je ne manque pas de faire ! Il se retire. Je glisse le long de son corps et vais chercher sa queue pour la sucer. Je lui demande de m’apprendre à le sucer comme il aime. J’aimerais qu’il me jouisse un jour dans la bouche, je veux le boire. Je ne me contente pas de sa queue, je tète ses bourses et remonte le long de son filet et glisse même un doigt autour de son anus. Tiens il a l’air d’aimer !Pierre se reprend de temps en temps en fumant une cigarette. Je le regarde lascivement étendue sur le lit, attendant fébrilement un nouvel « assaut » qui ne tarde pas à arriver .Cette fois il me pousse doucement au bord du lit pour que je me penche, et là mes fesses contre son sexe, il me pénètre, et prend mes seins à pleines mains. Je sens ses bourses appuyées contre moi, j’aime cette sensation d’être « prise » totalement, avec, il faut le reconnaître, une certaine vigueur dans ses allers et venues. Il me veut à lui et je le sens à travers ses mouvements, sa jouissance monte, il va jouir au fond de moi. Non, il s’arrête, retire son sexe et aidé d’une main experte il m’inonde les fesses, le dos de sa semence salée, chaude ! Que c’est bon ! Le temps a passé trop vite, nous n’en avons aucune notion quand nous sommes ensemble ! Chaque rencontre nous pousse à exprimer nos envies, nos fantasmes. Les possibilités de nous voir ne sont pas régulières et parfois je suis vraiment en manque !MOI : Quatre semaines sans le voir, c’est trop pour moi. Tout mon corps est énervé à la pensée de me retrouver dans ses bras. Pourquoi m’attire-t-il ainsi ? J’avoue avoir beaucoup de plaisir avec lui, mais pas forcément d’orgasme. D’ailleurs, il ne le recherche pas systématiquement et ça me convient. Je crois que si notre aventure se poursuit, j’oserai le guider dans ses gestes pour vivre ce moment avec lui ; mais ce n’est pas une fin en soi. En fait, il sait être à l’écoute de mon corps, et veut que nous vivions ensemble nos fantasmes les plus fous !LUI : Son corps, ses seins, ses mains sur moi me manquent j’adore quand elle me caresse tout le corps, ses mains m’effleurent à peine mais me donnent des sensations extrêmes, que je vis les yeux fermés ne voulant pas qu’elles cessent. En plus, elle aime parler, exprimer ses envies, ce qu’elle ressent en faisant l’amour, et j’aime car je suis comme elle. Je crois que petit à petit elle pourrait me dominer, et je pense que j’en ai envie, comme c’est difficile de l’avouer !Ne pas encore le lui montrer trop ! J’ai envie de tout faire avec elle. Pourquoi ? Elle me comprend, elle aime le sexe et me respecte comme je le fais avec elle, ne me juge pas. Pourquoi je dis cela ? Parce que lors de notre dernière rencontre, j’ai osé lui confier un secret délivré à personne. Maman avait une amie, Marie, qui venait souvent à la maison, une belle femme, plantureuse avec de gros seins fermes. J’avais dix-neuf ans, elle quarante, j’étais timide avec les filles de mon âge – je me suis bien rattrapé depuis ! – mais avec une envie de sexe énorme !Marie me plaisait, je lui plaisais, au vu de ses regards appuyés. Une fois, j’étais assoupi sur mon lit, dans ma chambre ; Marie est venue, me demandant où était ma mère. Dans un état semi-comateux, la sentant assise à côté de moi, si près, sa jupe courte montrant ses cuisses, ses seins serrés dans son corsage qui s’ouvrait légèrement et me laissait deviner la profondeur, une pulsion irrésistible m’a poussé à lui mettre une main sur la cuisse.Surprise elle s’est dégagée, mais trop mollement, alors j’ai récidivé, et comme nos regards se sont croisés et qu’elle a lu l’envie que j’avais d’elle, elle s’est laissée faire . Nos bouches se sont trouvées et ce fut le début de 2 années de folies sexuelles. Le mari de Marie était marin, donc peu souvent là. Je lui faisais l’amour tous les jours, dans tous les endroits possibles de la maison – sur la table de la cuisine, contre un mur. Je dois même avouer que j’étais jaloux des retours de son mari ; il me prenait ma maîtresse, j’avais du mal à supporter qu’il la touche. Mais c’est avec moi qu’elle avait du plaisir ! Et bien ce secret je l’ai avoué à Élisabeth et à ma grande surprise cela l’a excitée, elle a voulu des détails et elle m’a même demandé comment Marie m’appelait dans l’intimité.Depuis elle me murmure :— Viens, mon bébé, prends-moi.Je reconnais que je peux alors difficilement retenir ma semence. Comment a-t-elle fait pour que je lui confie cela ? Je n’étais pas au bout de mes surprises. J’ai peur d’être vulnérable, il faut que je la soumette ! MOI : Je le vois ce soir, il m’a dit de venir sans soutien-gorge, ce que je fais bien entendu. Mes seins sont tendus sous le tissu de mon tee-shirt, attendant ses mains, les tétons durcis par l’envie. Ce soir, j’ai envie à mon tour de l’attacher, mais je le ferai sur le lit. Il s’est laissé faire. Je crois qu’il en avait envie ! Je l’ai chevauché, m’empalant sur son sexe tendu et je lui ai demandé d’ouvrir les yeux et de me regarder, puis je suis venue lui présenter mes seins à sucer, à téter. Je lui ai caressé le visage, les cheveux – il n’aimait pas au début de notre rencontre – signe qu’il m’appartenait de tout son corps et pour qu’il en soit persuadé je lui ai demandé de le dire :Et de le répéter haut et fort. Il le fit et je l’embrassai pour le récompenser.LUI : Oui, je peux être complètement à elle si elle ne « joue » pas avec moi. J’ai envie de vivre mes fantasmes avec elle . Je suis content de l’avoir rencontrée. C’est la plus merveilleuse complice que je n’ai jamais eue.Il a effectivement prononcé ces paroles, me prouvant à chaque rencontre que son envie était toujours présente.Puis, catastrophe, un mail est venu tout changer !!!