Bonjour, je m’appelle Véronique j’ai 35 ans et j’habite dans une petite ville de province. Mon mari est ce que l’on appelle un notable et a beaucoup d’activités extérieures ce qui fait qu’il n’est pas souvent à la maison. Il est un peu plus vieux que moi, et nos relations sexuelles n’ont jamais été extraordinaires, elles sont maintenant quasiment inexistantes. Nous habitons une grande maison avec un parc arboré.Il y a quelques temps, un étudiant est passé pour un sondage, j’étais seule à la maison, je m’ennuyais, il m’a fait des avances et nous sommes devenus amants. Nous évitons de nous voir chez moi, et la plupart du temps, nous nous rencontrons dans son studio ou à l’extérieur.Il y a quelques semaines, il faisait vraiment beau et nous sommes allés en forêt en voiture. C’était en pleine journée, il n’y avait personne et nous étions garés à l’écart dans un petit chemin. Daniel a commencé par m’embrasser tout en caressant mes seins que j’ai assez opulents. J’ai incliné mon siège pour être plus à l’aise, sa main s’est posée sur ma cuisse et est doucement remontée sous ma jupe caressant mon entrejambe. J’ai écarté les cuisses et sa main est venue se poser sur ma culotte. Il m’a caressée à travers ma culotte enfonçant le tissus entre mes lèvres pour chercher mon clitoris. Je mouillais déjà beaucoup lorsqu’il a baissé ma culotte pour introduire ses doigts et continuer à me caresser. J’ai fermé les yeux lorsque sa bouche s’est approchée de mon sexe, j’ai senti son souffle chaud sur mon pubis avant qu’il ne commence à lécher ma cyprine et introduire sa langue.A ce moment là, j’ai ouvert les yeux et je me suis aperçue que quelqu’un nous regardait à travers le pare-brise. C’était un homme grand et fort, il portait une tronçonneuse, certainement un forestier chargé de l’entretien de la forêt domaniale. J’ai aussitôt tenté de rabattre ma jupe, mais j’en ai été empêchée par Daniel qui n’avait encore rien vu. Le type s’est encore rincé l’œil le temps que Daniel se redresse, il m’a fait un clin d’œil et s’est éloigné. Je n’avais plus du tout le cœur à batifoler et j’ai demandé à Daniel de me ramener chez moi.Il y a quelques jours, mon mari a décidé de faire élaguer les arbres du parc. Il a fait toutes les démarches pour trouver un élagueur et m’a dit que le lundi suivant, un élagueur viendrait commencer le travail. Le lundi suivant, de bonne heure, une camionnette s’est garée devant la grille de la propriété. Mon mari qui n’était pas encore parti est allé accueillir l’élagueur et quand il est arrivé sur le perron, quelle n’a pas été ma surprise de reconnaître le forestier qui nous avait surpris en forêt. Lui aussi, m’a reconnue, il est resté un moment sans parler puis m’a fait un clin d’œil. Je devais être toute rouge, et je suis remontée dans ma chambre. Mon mari est parti travailler et j’ai entendu les premiers bruits de tronçonneuse dans le parc. Un peu rassurée, je me suis mise à vaquer à mes différentes tâches ménagères.Un peu avant midi, j’ai entendu frapper à la porte d’entrée, c’était l’élagueur qui venait me demander si je n’avais pas une bouteille d’eau. Je lui ai demandé de m’attendre sur le perron, mais il m’a suivi jusque dans la cuisine. Je sentais son regard posé sur moi, je me sentais à la fois excitée et au bord de la défaillance. Il était vraiment grand et fort, il sentait l’homme et la transpiration. Rien à voir avec le côté insipide de mon mari. Je me suis penchée pour prendre une bouteille d’eau fraîche dans le frigo et il m’a dit :— Tu es vraiment bien faite, tu es agréable à regarder quand tu te penches comme ça.— Enfin Monsieur, je ne vous permets pas.— Ce n’est pas tout à fait ce que tu disais l’autre jour avec les jambes écartées en train de te faire brouter le minou, hein coquine !Je suis devenue toute rouge, et ses paroles m’ont encore plus excitée, je mouillais comme une vraie fontaine. Je sentais que ce type avait envie de moi et je n’étais pas du tout contre.— Et si tu enlevais ce chemisier qu’on voit un peu ce qu’il contient.J’ai enlevé mon chemisier et me suis retrouvé en soutien-gorge face à cet homme que je ne connaissais pas.— Joli soutien-gorge de bourgeoise, voyons un peu ce qu’il contient.Il s’est approché de moi, je n’étais pas rassurée du tout devant cette armoire à glace. J’étais appuyée contre l’évier et je ne pouvais pas reculer. Ses mains calleuses se sont posées sur mes seins et les ont empoignés. Je pensais qu’il me ferait mal, mais pas du tout, sa caresse était douce, et mes tétons se sont érigés. Écartant mon soutien-gorge, il les a pris entre ses doigts et a commencé à les faire rouler. Je suis très sensible des bouts de seins, mais personne ne m’avait encore fait jouir par-là. L’étrangeté de la situation, l’excitation, on fait que j’ai eu un orgasme qui ne lui a pas échappé.— Mais tu viens de jouir coquine, tu aimes ça mes caresses. Je n’aurai jamais cru qu’une bourgeoise comme toi pouvait être aussi salope ! Et maintenant, tu vas baisser mon pantalon !Pendant qu’il continuait à me caresser les seins, j’ai défait sa ceinture et baissé sa braguette. Son pantalon est tombé à ses pieds et j’ai pu entrevoir l’énorme bosse qui gonflait son slip. Comme attirée par un aimant, j’ai posé ma main sur son slip et j’ai commencé à le caresser à mon tour. Je n’avais jamais senti un sexe aussi gros.— Prends-moi dans ta bouche.— Mais vous êtes très gros et je n’ai jamais pris quelqu’un d’aussi gros.— Mais non, tu vas voir, tu as juste la bouche qu’il faut. Tes lèvres sont une vraie promesse, si pulpeuses.Je me suis accroupie devant lui, j’ai baissé son slip et j’ai découvert son sexe en érection, gros, avec les veines gonflées, palpitant de désir. J’ai posé mes lèvres sur son gland. Ça sentait fort l’homme et un peu l’urine. J’ai ouvert les lèvres et j’ai pris son sexe dans ma bouche. Rien que son gland me remplissait presque la bouche. J’ai levé les yeux espérant croiser son regard, mais il avait le visage rejeté en arrière et les yeux fermés. J’ai compris qu’il éprouvait un plaisir intense. Je mouillais comme une folle, et je me suis déchaînée sur son sexe, le pompant comme je n’ai jamais sucé personne. Son sexe s’enfonçait dans ma gorge, effleurant ma luette. Ses mains se sont posées sur ma tête et j’ai senti qu’il allait jouir. J’ai eu un moment de panique parce que je n’avais jamais avalé le sperme d’un homme mais j’ai senti que je ne pourrais pas l’éviter. Son sexe a encore gonflé et il a joui dans ma gorge. J’ai senti les longs jets de sperme chaud inonder ma gorge et j’ai eu un orgasme fantastique au même moment.J’espérais qu’à son tour il me caresserait et peut-être me ferait l’amour, mais il a remonté son pantalon et il est sorti en me disant :— Je reviens demain, en attendant, donnes-moi ta culotte et demain, n’en mets pas, j’aurai une surprise pour toi.J’ai enlevé ma culotte qui était toute trempée, il est revenu vers moi pour la prendre, il l’a portée à son nez— Hummmm, ça sent bon la bourgeoiseIl m’a pris contre lui et après avoir relevé ma jupe, il a glissé sa main dans mon entre fesse.— Tes fesses sont juste de la bonne taille pour les mains d’un honnête homme, je sens qu’on va bien s’amuser demain.Il m’a lâchée et il est reparti. Peu de temps après, le bruit de la tronçonneuse a repris. J’étais à la fois frustrée et apaisée. J’aurai bien aimé qu’il me fasse l’amour. Tant pis, ce sera peut-être pour demain, après tout, il est reparti en me faisant une promesse.Le lendemain, j’ai entendu la camionnette arriver mais je ne suis pas descendue, j’avais trop peur que mon mari s’aperçoive de mon trouble. J’ai entendu mon mari partir, et les bruits de tronçonneuse ont repris dans le parc. J’avais pris mon temps pour faire ma toilette, j’avais mis du lait corporel sur tout mon corps, je m’étais un peu caressé les seins. Je me suis habillée avec une jupe sage mais au-dessus du genou, un chemisier blanc légèrement transparent et un soutien-gorge en dentelle. J’ai d’abord mis une culotte et puis un peu rougissante, je l’ai enlevée. Ça m’a fait tout drôle, je n’ai vraiment pas l’habitude de ne rien porter sous ma jupe mais finalement, je ne trouve pas ça désagréable. Je me suis occupée dans la maison en attendant ou plutôt en espérant que mon bûcheron frapperait à la porte. J’ai pensé à appeler la femme de ménage pour lui demander de ne pas passer l’après-midi, j’étais donc seule à la maison.Vers onze heures, j’ai entendu frapper à la porte d’entrée, j’ai pris le temps de mettre un peu de parfum sur mon cou et je suis descendue ouvrir, mon cœur battait la chamade et mon minou était déjà sérieusement humide. Quand j’ai ouvert la porte, la surprise m’a clouée sur place, il n’était pas seul, ils étaient trois. Je les ai fait entrer, je n’avais d’yeux que pour le grand bûcheron. Je commençais à entrevoir ce qui allait m’arriver et ce n’était pas pour me déplaire, enfin un vrai changement dans ma vie si bien réglée.— Je vous attendais tout seul, qui sont ces gens.— Je te présente la surprise du jour, Mahmoud et Hocine, des collègues bûcherons.— C’est vrai que c’est une belle affaire ta bourgeoise Aurélien, je crois qu’on va pas regretter d’être venus.C’est Hocine, qui avait parlé tout en me déshabillant du regard des pieds à la tête avec un regard lubrique et en s’attardant sur ma poitrine. C’était un arabe d’une quarantaine d’année, pas très grand et d’allure un peu fluette. Mahmoud lui était un noir, jeune, aussi imposant qu’Aurélien mais avec des épaules encore plus larges.Aurélien s’est approché de moi, il m’a pris contre lui, j’étais tout contre sa poitrine et il a posé ses mains sur mes fesses à travers ma jupe puis il l’a relevée et a posé ses mains sur ma peau nue. Comme il était de dos par rapport à ses collègues, il s’est tourné pour leur montrer mon dos et ma jupe relevée.— Je vous avais bien dit que c’était une cochonne, regardez, elle a fait comme je lui avais dit, elle n’a pas mis de culotte.Ce faisant, il a écarté mes fesses pour que ses collègues aient une première vue sur mon intimité. J’avais fermé les yeux, j’étais un peu gênée et à la fois très excitée par cette situation où j’avais l’impression d’être un objet qu’on exhibe. J’ai senti une autre main se poser sur moi puis se glisser entre mes fesses écartées par Aurélien et un doigt s’immiscer dans mon intimité.— Elle est déjà mouillée la coquine, tu lui fais de l’effet AurélienC’était Mahmoud avec son accent africain inimitable. Il s’était enhardi à poser ses mains sur moi. Aurélien m’a pris dans ses bras et m’a emmené jusque dans la cuisine où il m’a reposée. Hocine et Mahmoud nous ont suivi.— Tu peux te mettre à genou ?Je m’y suis mise et je pensais que j’allais à nouveau sentir le sperme d’Aurélien au fond de ma gorge, aussi j’ai été déçue quand il a dit :— Hocine, c’est à toi de commencer, approches.Il s’est approché et a baissé son pantalon puis son caleçon. Il avait les jambes toutes maigres et un petit sexe qui m’a rappelé celui de mon mari. J’ai commencé à le lécher puis à le prendre dans ma bouche. Aurélien s’était collé derrière moi, de sa main gauche, il avait ouvert mon chemisier, baissé mon soutien-gorge et empoigné mon sein avec la même douceur qu’hier. Avec sa main droite, il avait écarté mes cuisses, et caressait mon sexe à pleine main s’attardant sur mon bouton. J’étais trempée, et je sentais ma cyprine couler sur sa main. Je ne savais plus si je devais avoir honte ou profiter de l’instant et de l’expérience. Je décidais de profiter à fond du moment et de me lâcher. Hocine a joui très vite dans ma bouche, une petite quantité de sperme que j’ai avalée, il devait être en manque pour être aussi rapide. Mahmoud, qui avait lui aussi baissé son pantalon et son slip, a pris la place d’Hocine et m’a présenté son sexe. Un sexe énorme, encore plus gros que celui d’Aurélien, mais légèrement plus mou. On aurait dit un concombre un peu flétri. J’ai eu un léger mouvement de recul, étonnée par cette taille, mais Aurélien m’a encouragée à l’oreille et j’ai posé mes lèvres sur le grand objet noir. C’était doux et chaud, un peu mise en confiance, j’ai pris la hampe dans mes deux mains, oui oui, dans mes deux mains et le gland dépassait encore de bien sept centimètres. J’ai commencé par lécher ce gland énorme et à l’avaler. Cette sensation dans ma bouche et Aurélien qui continuait à me caresser en prenant complètement possession de mon sexe, ses doigts étaient profondément enfoncés dans mon vagin ont fait que j’ai eu un orgasme violent. Mahmoud en a profité pour enfoncer un peu plus son pieu dans ma gorge et moi aussi j’ai écarté le plus possible les mâchoires pour l’engloutir. Je le sentais aller et venir dans ma gorge, je le sentais loin en moi, il a encore grossi et j’avais mal aux mâchoires et peur d’étouffer lorsqu’il a éjaculé une quantité impressionnante de sperme au fond de ma gorge. Seul, Aurélien n’avait pas encore profité de moi et je sentais son sexe tendu contre mes fesses, j’étais toujours à genou et lui derrière moi. Il m’a fait relever et m’a soulevée pour m’asseoir sur le bord de la table, les jambes pendantes dans le vide.— Tu veux bien t’allonger sur la table ?J’avais envie de le sentir en moi, j’avais envie qu’il me possède. J’étais restée frustrée de son départ de la veille sans qu’il me prenne.— Hocine, enlèves-lui son chemisier mais laisses-lui son soutien-gorge, j’aime bien, je le trouve joli. Mahmoud, tu vas lui caresser les seins, tu vas voir, elle aime ça cette salope.J’ai aidé Hocine à enlever mon chemisier et je me suis allongée sur la table. Elle était un peu froide sous mon dos mais je sentais que ça n’allait pas durer. Aussitôt, Mahmoud a baissé mon soutien-gorge et s’est emparé de mes seins. Il était moins doux qu’Aurélien et a commencé à me tordre les tétons mais sans me faire mal. Je me sentais comme une volaille sur une planche à découper.— Vous ne trouvez pas qu’elle est bonne cette bourgeoise, je vais la farcir.Joignant le geste à la parole, Aurélien prit mes jambes et les releva pour poser mes pieds sur le bord de la table. J’avais les jambes complètement écartées le sexe offert. Je pensais qu’il allait me prendre tout de suite, mais j’ai senti son souffle puis sa langue s’introduire dans mon minou. Il n’eut aucun mal à trouver mon clitoris, tellement il était gonflé par le désir. Il avait glissé deux doigts qu’il faisait coulisser dans mon vagin et sa langue allait et venait sur mon clitoris. J’ai joui une deuxième fois.— Tu es vraiment chaude toi ! Tu en redemandes cochonne, maintenant, je vais te prendre.Pour lui monter que j’en avais envie, j’ai écarté encore plus les jambes et j’ai senti qu’il mouillait son sexe dans ma cyprine puis il s’est enfoncé en moi d’une seule poussée me coupant la respiration. Son sexe a rempli mon ventre. Il est resté un moment sans bouger puis a commencé à aller et venir en moi, ressortant presque complètement avant chaque coup de boutoir. Son rythme était lent et je sentais qu’il prenait son temps je crois qu’il avait envie de me faire jouir encore aussi je me suis mise à l’unisson et j’ai bougé mon bassin au même rythme que lui. Jamais je n’avais été prise comme ça, mon mari et Daniel faisaient piètre figure à coté. Hocine me tenait les bras, mais c’était inutile, je n’aurai bougé pour rien au monde. Mahmoud continuait à me caresser les seins, mais je ne vivais plus que par le sexe qui me prenait. Aurélien a un peu accéléré son rythme et j’ai senti qu’il allait prendre son plaisir, mon bassin est allé encore plus loin à sa rencontre et le plaisir a commencé à monter de mes reins. J’ai senti qu’il éjaculait et je n’ai pas retenu mon plaisir en criant à pleine voix. Ça aussi, c’était une découverte, je n’aurais jamais pensé éprouver une telle jouissance. Sans être frigide, je n’éprouvais jusque là que des plaisirs modérés. J’étais un peu fatiguée et je pensais qu’ils allaient repartir travailler. Je dois dire que je me faisais quelques illusions…— Hocine, ça te dirais de profiter de la dame à ton tour ?— Ah oui ! Je n’ai jamais baisé avec une jolie femme comme ça.Hocine est venu prendre la place d’Aurélien et a introduit son sexe. Après Aurélien, je dois dire que je n’ai pas senti grand chose. Par contre, j’ai bien senti son doigt qui caressait mon anus. Il en profitait parce que j’étais dans les bras d’Aurélien et Mahmoud et j’ai eu beau me tortiller et serrer les fesses, son doigt a fini par s’introduire dans mon petit trou aidé par la cyprine qui l’avait particulièrement bien lubrifié. Jamais personne n’avait encore touché à mon anus et encore moins pénétré.— Non, pas ça, je ne veux pas.— Hé les gars, je crois qu’elle est pucelle du cul, on va arranger ça !Hocine continuait à aller et venir, et je sentais son doigt s’enfoncer de plus en plus profond dans mon cul et ça me faisait mal. N’en pouvant plus, à un moment j’ai desserré les fesses et le doigt d’Hocine est rentré plus loin sans me faire mal. Il l’a ressorti, l’a remouillé de cyprine et me l’a réintroduit. Dans un mouvement réflexe j’ai serré les fesses pour les desserrer aussitôt, et son doigt est entré sans effort. Je ne dirais pas que j’y prenais du plaisir mais je n’avais plus mal. Ça me faisait un drôle d’effet d’avoir sa bite dans le vagin et un doigt dans le cul. Il a fini par éjaculer et cela ne m’a pas laissé un souvenir impérissable. J’ai senti son sexe devenir tout mou, il a retiré son doigt de mon cul et il est allé se rincer à l’évier, il a ouvert le frigo, a pris une bouteille de Coca et a commencé à la boire.— Il y en a d’autres des bouteilles de Coca ?— Oui, un pack complet.— Tu m’en donne une et aussi une à Mahmoud, tu en veux une la bourgeoise ? Au fait, c’est comment ton prénom ?— Oui, je veux bien un Coca avec un verre s’il vous plait. Et mon prénom c’est Véronique.Je m’étais assise sur le bord de la table, ma jupe en corolle autour de moi, j’avais remis mon soutien-gorge. Je sentais le sperme couler de mon sexe sur la table. Aurélien m’a tendu un verre qu’il avait rempli de Coca, je l’ai bu d’un trait et je me suis levée pour le poser dans l’évier. J’en ai profité pour me rincer sans aucune pudeur maintenant et je me suis rafraîchi le visage. J’ai pris une éponge et j’ai commencé à essuyer la table. Aurélien est arrivé derrière moi et m’a coincé contre la table, j’ai tourné la tête et à son regard j’ai compris que j’allais encore connaître le plaisir.Il m’a enlevé mon soutien-gorge et ma jupe qu’il a jetés dans un coin de la pièce. J’ai vu du coin de l’œil Hocine récupérer le soutien-gorge, il doit être fétichiste… J’étais nue appuyée au bord de la table avec Aurélien collé dans mon dos. Je sentais son sexe qui était redevenu dur tout contre mes fesses.— Penches-toi en avant.— Mais pourquoi ?— Véronique, je vais te faire découvrir des plaisirs que tu ne soupçonne pas.Je m’exécutais, et je m’appuyais les coudes sur la table.— Il n’y aurait pas un peu de beurre dans le frigo, tu peux regarder Mahmoud ?— C’est de l’allégé, mais il y en a.— Donne !J’avais beau essayer de me tortiller, avec Aurélien toujours collé contre moi, je n’ai pas pu voir ce qu’il faisait. J’ai senti un doigt me caresser l’anus en tournant, me pénétrer doucement, je n’avais pas du tout mal, je pense qu’il était enduit de beurre. Aurélien était très doux dans ses gestes, il a remplacé son index par le majeur et est allé beaucoup plus loin. Je commençais à ressentir des frissons. Je ne pensais pas que l’on puisse prendre du plaisir par-là. Puis, il a enlevé son doigt. J’ai senti quelque chose de froid contre mon anus et j’ai compris qu’il allait me sodomiser avec une bouteille de Coca. Mahmoud est monté sur la table et s’est mis à genou devant moi me présentant à nouveau son sexe à sucer. Je n’ai pas hésité à le prendre, je savais que c’était possible et j’ai commencé à l’avaler. Pendant ce temps, Aurélien avait enfoncé le goulot de la bouteille dans mon cul et poussait doucement. Je sentais mon anus se dilater, pour laisser passer le renflement de la bouteille. Ça ne faisait pas mal du tout tellement Aurélien faisait doucement.— La salope, elle commence vraiment à se dévergonder. Alors Véronique, tu aimes ce qu’on te fait, tu en redemandes hein cochonne ! C’est pas avec ton mari ou ton amant qui te donnent du plaisir comme ça.Je ne pouvais pas répondre, la bouche pleine du sexe de Mahmoud qui allait et venait dans ma gorge. Hocine qui ne voulait pas être en reste s’est approché et s’est mis à me caresser les seins. Lui, m’a fait mal en tordant les bouts assez violemment. Pendant ce temps, la bouteille continuait sa progression dans mon cul et je n’aurais pas cru pouvoir absorber une telle taille. Que de découvertes aujourd’hui ! J’avais de plus en plus de frissons, et des ondes de plaisir montaient de mon ventre, j’allais encore jouir, je sentais le plaisir arriver. La bouteille, passé le renflement, est entrée d’un coup dans mon anus, me remplissant le ventre. Aurélien lui a fait faire quelques aller-retour et j’ai tendu mes fesses pour qu’il comprenne que j’allais jouir. Il l’a enfoncée d’un coup sec au plus profond de moi et j’ai été prise des tremblements de l’orgasme. Mahmoud a de nouveau éjaculé dans ma gorge, et j’ai joui encore un moment embrochée entre le sexe de Mahmoud et la bouteille d’Aurélien.— Eh bien ! Ma cochonne, tu n’as pas l’air de t’ennuyer, toi qui ne voulais pas que l’on touche à ton petit cul, tu as eu l’air d’apprécier.— Et pourtant je n’avais jamais été prise par-là.— Attends, on a pas encore fini avec toi, on a encore de la réserve, C’est pas souvent qu’on baise quand on est en forêt. Je vais me coucher sur la table et tu vas venir t’empaler sur mon sexe, tu vas voir, tu vas aimer. Mahmoud, tu vas guider mon sexe pour que Madame s’empale bien à fond.J’ai bien vu qu’il lui faisait un clin d’œil mais sur le moment, je n’ai pas compris. Aurélien s’est assis sur le bord de la table, jambes pendantes et s’est allongé sur le dos.— Viens Véronique, tu montes sur la table et tu t’accroupis les jambes de chaque côté de mon corps et tu t’empales sur ma bite.Je suis montée sur la table, j’ai enjambé son corps et j’ai posé mes mains sur son torse. Je suis descendue doucement vers son sexe que Mahmoud a guidé à l’intérieur du mien. J’ai commencé à monter et descendre le long de son pieu, je le sentais bien coulisser à l’intérieur de moi, dans cette position, il allait vraiment loin.— Véronique, arrêtes-toi un peu et recules-toi— Tu n’es pas bien, je te fais mal ?— Non non ! Mahmoud, à toi maintenant.J’ai compris que dans cette position, j’offrais mon cul grand ouvert et encore un peu dilaté par la bouteille de Coca au sexe énorme de Mahmoud. J’ai eu peur d’être déchirée et je me suis dit qu’après tout, la bouteille de Coca était bien passée. J’ai encore plus tendu mes fesses à l’envahisseur et je me suis dit que j’allais être prise par deux hommes à la fois, encore une nouvelle expérience. Le sexe de Mahmoud s’est posé sur ma rondelle et il a commencé à pousser doucement. J’ai eu un peu mal jusqu’à ce que son gland soit passé. Aurélien et moi ne bougions plus, attendant que la pénétration soit complète. Je sentais mon ventre et mon cul remplis par ces deux sexes de grosse taille et une sensation de plénitude m’a envahie. Je me suis mise à bouger, à onduler des reins donnant le signal du départ pour une double pénétration. Je sentais le plaisir arriver de partout, de mon cul, de mon ventre de mes reins, une vraie déferlante. Aurélien et Mahmoud poussaient en cadence et se retiraient en cadence me remplissant et me vidant tour à tour. J’ai senti qu’ils allaient jouir à leur façon différente de pousser et je me suis laissée aller à l’orgasme. J’ai hurlé mon plaisir sans retenue lorsque j’ai senti que mes deux amants se vidaient à leur tour l’un dans mon vagin, l’autre dans mon cul. Je me suis écroulée sur la poitrine d’Aurélien, et j’étais bien, je me sentais comblée. Mahmoud s’est retiré très délicatement et j’ai pu me dégager du sexe d’Aurélien.Cette fois, tous sont partis, sans un mot me laissant seule avec mes découvertes et mes souvenirs.Car finalement cette journée aura été pour moi celle de toutes les découvertes. Découverte qu’au fond de moi, j’étais une vraie salope qui aime le sexe. Découverte de l’intensité du plaisir. Découverte du plaisir d’être prise par plusieurs hommes à la fois.J’ai arrêté mes relations avec Daniel qui m’ont parues bien fades. Je n’ai jamais revu mes élagueurs.Véronique.