Manon inaugurait aujourd’hui le plus sophistiqué des cadeaux que je lui avais offerts pour Noël, cadeau que je savais que Manon apprécierait puisqu’il s’agissait d’un coffret de sex toys. Manon était toujours à la recherche de nouveaux plaisirs et moi je prenais toujours autant de plaisir à ce qu’elle soit comblée.Ce soir donc Manon avait glissé dans sa vulve un petit œuf tout lisse qu’elle avait auparavant réchauffé dans ses mains. Elle venait de faire sa toilette car nous allions sortir mais l’idée de cette introduction eut pour conséquence qu’elle n’eut pas à utiliser le lubrifiant préconisé, l’objet entra, comme aspiré entre ses lèvres chaudes. Ce petit œuf était prolongé d’une partie courbée vers l’extérieur, aplatie à son bout, qui vint se coller sur le capuchon du clitoris dès que l’œuf eut trouvé sa place. À chaque contraction de Manon, l’œuf était attiré vers l’intérieur et écrasait davantage le clitoris. Cette seule présence émoustilla Manon. Ce crochet devenait totalement invisible, caché entre les lèvres et dissimulé par les poils. Une fine culotte noire vint recouvrir cette douce cachette et nous partîmes rejoindre nos amis.— On essaye ? demanda Manon alors que nous étions sur le palier.— Si tu veux, répondis-je, glissant la main dans ma poche. Prends mon bras, ajoutai-je, certain que cette première impulsion allait la surprendre plus qu’elle ne pensait.— Oups ! soupira Manon lorsque l’œuf se mit à vibrer tout au fond de son intimité, et que son clitoris fut sollicité, s’agrippant à mon bras. Tu crois que je vais résister longtemps ? ajouta-t-elle.— Il le faut. Tu commences bien à apprendre à te contrôler et à jouir en silence, et ce soir tu sais que tu n’as pas le droit de crier. Je suis sûr que ta volonté sera plus forte que ton plaisir. Et puis hier a été un bon entraînement, non ?§§§§§La relation entre Manon et moi était toujours aussi forte. Nous éprouvions le besoin de nous toucher, de nous caresser n’importe où mais Manon ne savait pas contenir les cris qui accompagnaient toujours sa jouissance. Nous en avions parlé souvent, il fallait en quelque sorte entraîner Manon à se contrôler. Elle faisait des efforts mais nous avions souvent failli être surpris car une plainte lui avait échappé.Dans le bus, toujours bondé, j’essayais de m’asseoir sur un strapontin, Manon me tournant le dos, une jambe glissée entre les siennes. Et là, dans la foule qui nous entourait, ma main montait entre ses cuisses qui n’avaient bien entendu pas mis de culotte sous sa jupe. Et un doigt enfoncé entre ses lèvres impatientes de l’accueillir, un autre roulant sur son clitoris, Manon sentait monter le plaisir, feignant de lire le livre qu’elle tenait de sa main gauche, la droite serrée autour de la poignée qui lui permettait de ne pas tomber. Sa tête souvent penchait en avant tandis que ses jambes se raidissaient et là, quelquefois, un grognement de plaisir lui échappait. Mais ma main avait rejoint mes genoux tandis que, très sagement, je regardais distraitement dans la rue. Lorsque nous descendions je tendais mes doigts à Manon qui les suçait toujours avec plaisir. Je la félicitais de ce presque silence, persuadé qu’elle parviendrait bientôt à totalement se maîtriser.Un jour, rentrant de la fac, deux copains étaient montés avec nous dans le bus où j’avais retrouvé ma place favorite. Tandis que nous bavardions j’attirai Manon à moi, tirant sur ses genoux. Une de ses mains touchant dans son dos mon visage tenta en vain de me dissuader lorsque mes doigts touchèrent l’intérieur de ses cuisses. Elle avait aujourd’hui une jupe ample jusqu’aux genoux qui dissimulerait parfaitement ma main droite. Manon voulut serrer les jambes mais mon genou l’en empêcha. Je fis glisser mes doigts entre ses cuisses, allant toucher ses poils, essayant de la pénétrer. Ne pouvant atteindre son sexe, mes doigts s’attardèrent sur sa rosette. Ses cuisses insensiblement s’écartèrent, me permettant d’aller glisser entre ses lèvres déjà humides. Manon parlait, parlait, sans doute pour feindre de n’être pas sensible à mes attouchements, mais surtout pour que personne ne puisse rien lire sur son visage. Je participais bien sûr à la conversation tout en caressant le clitoris de Manon qui, toujours en parlant, tourna son visage vers moi pour pouvoir révulser ses yeux comme à l’approche de la jouissance. Mais je ne lus aucun reproche ni interdiction dans ce regard, me sentant ainsi autorisé à accentuer mes caresses. Manon feignit de perdre l’équilibre pour, basculant vers moi, dissimuler le gémissement qui lui échappa lorsque le plaisir la submergea. Mais personne ne remarqua rien, les joues de Manon s’étant pourtant légèrement empourprées. Elle me regarda un instant comme pour s’assurer que je faisais bien ce qu’elle pensait, que mon doigt se trouvait bien dans ma bouche.Ces expériences nous poussèrent à essayer d’autres stimulations qui permettaient à Manon d’apprendre la jouissance silencieuse, mais ça n’était pas gagné d’avance. C’est ainsi que je me décidai à offrir à Manon ce beau coffret pour Noël. Elle n’en fut pas vraiment surprise car, au détour d’une de nos conversations, je lui en avais glissé un mot.— Je suis sûre que j’aimerais ça, m’avait-elle dit.§§§§§Le coffret contenait également, et ceci attira rapidement l’attention de Manon, un petit objet à glisser dans son intimité et à relier à son baladeur. Et cet objet allait vibrer au rythme de la musique que Manon écoutait beaucoup, dans tous les genres, ce qui lui permettrait de goûter à diverses sensations.Et, comme le père Noël fait toujours bien les choses, il avait apporté, chez ses parents, le dernier né des MP3 que Manon essaya sur le champ. Prévoyante comme toujours, elle avait dans son sac la partie intime à brancher sur le baladeur. Elle n’eut pas besoin de me prévenir ; j’ai tout compris quand je l’ai vue prendre son sac et se diriger vers les toilettes. Et surtout quand je la vis ressortir, rayonnante :— Je l’ai réglé sur faible pour commencer, murmura-t-elle à mon oreille. Et puis j’écoute de la musique douce mais ça me semble très agréable.— Tu aurais pu attendre qu’on soit rentré, tes parents sont là tout de même, lui reprochai-je.Mais elle avait réponse à tout :— Ils seront satisfaits de voir que j’apprécie leur cadeau. Et ils savent que j’aime la musique, mais là, je redécouvre vraiment Mozart !Un peu plus tard je constatais que Manon n’avait plus ses oreillettes.— Je n’ai ôté que les oreillettes mais je continue à écouter la musique. Et je suis la seule à la percevoir, c’est génial, me dit-elle alors que j’avais en fait un peu compris ce qu’elle était en train de faire.— Merci papa et maman, dit Manon alors que nous allions partir. Je suis très contente de votre cadeau. J’ai l’impression de redécouvrir la musique ; je l’entends maintenant comme je ne l’ai jamais entendue.Et, dès que nous fûmes dehors :— Merci mon Fred, c’est toi mon plus beau cadeau de Noël. Mais je suis très contente de celui que j’ai en moi ; il me stimule très légèrement sans jamais m’amener trop haut. Il m’aura simplement parfaitement préparée à t’accueillir comme je vais le faire dès que je vais pouvoir te sauter dessus.Et au bout de quelques pas :— Mais j’ai hâte d’écouter les « pom, pom, pom, pom » de la cinquième de Beethoven ou le dernier « Dancefloor » de David Guetta. Je pense que je vais les aimer davantage, avec ou sans oreillettes.§§§§§Hier donc la journée fut très dure pour Manon. J’avais proposé que, comme nous le faisions régulièrement, nous allions courir le matin au bois.— Tu vas enfiler ça, avais-je dit à Manon, lui tendant des boules de geisha, métalliques, enrobées et reliées par du caoutchouc souple et contenant chacune une lourde bille. La première introduite s’enfonçant profondément, la seconde restant au bord des lèvres. Manon avait enfilé la jupette avec laquelle elle adorait courir sans rien dessous.Nous voilà donc sur le palier.— Tu crois que je vais résister, c’est infernal, je sens les billes taper au moindre mouvement. Et puis j’ai peur de les perdre, pleurnicha-t-elle.Je la rassurai en lui montrant une culotte que j’avais glissée dans ma poche pour le cas où effectivement, les sécrétions qui ne manqueraient pas de se produire et le choc de chaque foulée tendraient à faire s’échapper ces objets qui l’habitaient.Je descendis les escaliers en courant alors que Manon se cramponnait à la rampe. Avant de sortir dans la rue je vérifiai du bout du doigt que les boules n’avaient pas bougé.— Parfait, constatai-je.Arrivés au bois nous commençâmes à courir mais Manon, pourtant sportive accomplie, avait adopté une foulée inhabituelle.— Je vais exploser tous les dix pas, si je cours. J’arrive à me concentrer en marchant, mais en courant, je ne tiendrai pas.— Essaye, l’encourageais-je, adaptant mon rythme au sien.Au bout de quelques minutes elle s’arrêta, s’accrochant à mon bras.— Je jouis, marmonna-t-elle entre ses dents serrées.Et au bout de quelques pas :— Donne-moi la culotte, je serai plus sûre.Un baiser sur les lèvres l’encouragea à poursuivre.— Je sens le choc des boules dans tout mon corps, murmura-t-elle. C’est une sensation à la fois affreusement douloureuse et extrêmement agréable. Je pense que je vais jouir encore, ajouta-t-elle, serrant à nouveau mon bras tandis que je continuais à trottiner.De nombreux joggeurs nous croisaient, d’autres nous dépassaient aussi devions-nous faire en sorte que nul ne remarque l’état de Manon. En toutes petites foulées, courageusement elle avançait, cramponnée à moi comme à une bouée, ses yeux cherchant un encouragement.— C’est incroyable, il y a plein de monde autour de nous et moi je jouis, je jouiiiiis, siffla-t-elle, se penchant en avant comme pour faire cesser la vague qui la soulevait. Je jouis et je ne crie pas ! J’y arrive, mon Fred, j’y arrive.Et cette jouissance se renouvela de nombreuses fois tandis que nous nous enfoncions dans le bois. Elle se contrôlait de mieux en mieux, ses soupirs devenant quasiment inaudibles. Je ne me rendais compte de ses explosions qu’au fait qu’elle me serre un instant le bras tout en continuant à courir. Nous étions maintenant seuls dans la forêt car nous avions quitté les sentiers balisés.— Tu peux te laisser aller maintenant, personne ne t’entendra, lui dis-je, sachant que le cri qu’elle allait pousser lui permettrait de mieux apprécier sa jouissance.Au bout de quelques mètres Manon s’immobilisa, sa main souleva l’avant de sa jupe, glissa dans sa culotte et trouva le clitoris qu’elle s’empressa de faire rouler. Je la saisis par la taille au moment où un cri d’animal blessé sortait de sa gorge. Je la sentis vaciller sur ses jambes et la serrai dans mes bras, étouffant sa plainte d’un baiser.Lorsqu’elle se calma elle dit : « Enlève-moi ça », écartant les jambes, posant un pied sur une branche, tirant sur l’entre-jambes de sa culotte. À genoux, je glissai un doigt dans ce sexe détrempé et attirai la première boule, suivie de la deuxième qui sortit avec un bruit de succion. L’objet glissé dans une pochette, Manon posa ses deux mains sur un arbre penché, après avoir relevé sa jupe sur ses hanches, prestement baissé sa culotte et cambré ses reins.— Viens, supplia-t-elle.Et je la pénétrai, comme aspiré. Quelques secondes suffirent pour que je ne puisse me retenir, me lâchant au plus profond de Manon qui explosa une nouvelle fois, son cri se perdant au cœur de la forêt. Cette journée fut très dure mais elle fut surtout très bonne, amenant Manon vers de nouveaux horizons de plaisir.§§§§§Donc ce soir 31 décembre Manon, enfermant dans son intimité un objet de plaisir et moi, ravi de savoir pouvoir contrôler à distance son excitation, sortons. Nous allons rejoindre des amis pour une longue nuit de fête. Manon est magnifique avec une courte jupe droite sur des bas autofixants, talons hauts et chemisier de satin flou.Elle sait, et moi également, qu’elle va être l’objet de nombreuses sollicitations car nos amis de ce soir nous savent amis mais pas amants. Mais Manon ne cèdera à personne ce soir, même si elle flirtera un peu, avec mon consentement. Cet œuf télécommandé me permettra de rappeler à Manon qu’elle ne doit pas se laisser aller. C’est elle qui m’a proposé d’essayer ce soir cet objet qui lui torturera le ventre :— Je ne pourrai pas penser à quelqu’un d’autre lorsque tu appuieras sur le bouton.Lorsque nous entrons dans le restaurant nos amis s’approchent pour nous embrasser et, à cet instant, j’appuie sur le bouton, jetant un coup d’œil à Manon qui a un léger sursaut mais qui continue à parler comme si de rien n’était. Et l’œuf vibre durant toutes les embrassades mais comme tout le monde bouge, les frissons de Manon passent inaperçus. Lorsqu’ils s’assoient, les vibrations cessent.— Dommage ! glisse Manon à mon oreille, je commençais à m’y habituer.Et, très régulièrement, j’appuie quelques secondes sur le bouton sans que Manon, parfaitement concentrée et sans cesser de parler et de rire avec nos amis, ne tressaille. Le repas se déroule sans encombre, Manon avait réussi à s’asseoir en face de moi pour me faire le signe que nous avions convenu lorsqu’elle souhaiterait que l’œuf produise son effet. Mais je m’étais tout de même réservé le droit de l’activer à ma seule initiative, et je ne m’en privais pas, surtout lorsque le voisin de table de Manon semblait un peu trop l’intéresser.Les premières danses commencèrent et j’augmentai alors les vibrations de l’objet, permettant à Manon d’atteindre une première jouissance, au milieu de ses amis, sans que nul ne se doute de rien. Lorsque son voisin de table l’invita pour une série de slows, j’appuyai sur le bouton. Manon me lança alors des regards affolés mais je fis celui qui ne remarquait rien. Manon allait donc jouir dans les bras d’un garçon qui l’ignorerait et qui croirait que si elle s’agrippe à lui, c’est pour répondre à ses avances. Je remarquais ses yeux révulsés, sa tête sur l’épaule du garçon. J’attendis quelques secondes et fis cesser le tourment de Manon qui retrouva le sourire et quelque distance avec son cavalier.— Je dois aller aux toilettes, me glissa-t-elle, je sens que ma culotte doit être dans un sale état, je me sens mouillée, mouillée. Ça coule sur mes cuisses.À son retour, elle glissa sa main dans ma poche :— J’ai préféré la quitter, elle est trop mouillée.Ma main alla vérifier et trouva une petite boule de tissu humide qu’elle serra entre ses doigts. Les yeux souriants de Manon croisèrent les miens alors que cette main présentait à mon nez cet objet gorgé de cette odeur qui me rendait fou. Elle savait que j’accomplirais ce geste, que je ne pouvais me passer de son odeur.D’un clin d’œil elle me demanda d’actionner l’objet qui l’habitait aussi intimement. Et elle rejoignit la piste de danse et se laissa emporter dans une sorte de transe que nos amis pensaient provoquée par la musique mais qu’elle et moi savions provenir de la télécommande logée dans ma poche avec sa culotte dévastée. Je décidai d’attendre qu’elle m’envoie un signe pour stopper les vibrations qui la transportaient. Je ne la quittais pas des yeux, craignant qu’elle ait du mal à supporter cette stimulation aussi longtemps, mais aucun signe de lassitude ne vint. Plusieurs minutes s’écoulèrent avant qu’elle ne s’approche de moi et me souffle :— Stop ! Sinon je meurs devant tout le monde !Elle se pendit à mon cou, jambes flageolantes.— Tu me tues. J’avais l’impression que c’était ton sexe qui vibrait en moi, et j’attendais que tu exploses, mais ça ne venait pas mais j’étais si bien. J’ai retrouvé certaines des sensations du gang bang du Cap d’Agde, cette impression que ça ne finira jamais, que la jouissance durera toujours. Dis-leur que j’ai trop bu et que tu dois me ramener. On va rentrer et on va faire l’amour.Nous rentrions à pied, enlacés et nous bavardions comme deux amoureux, sachant qu’ils vont s’aimer, ne se pressent pas de rentrer.— L’effet de ces objets me fait penser à l’effet que me fait JB : jouir ; JB ne me sert qu’à ça. En fait, avec ces toys, je vais pouvoir me passer de lui.— Sûrement pas, lui répondis-je, tu dois continuer à le voir. Lui ou un autre. Tu n’es pas une machine qui ne réagit qu’à l’effet d’une machine. Même si vos rapports sont simplement jouissifs, JB te parle, JB vit, JB est un être humain.— Tu as raison. Il me parle, très peu, mais il me parle et je ne sais pas si je dois te le dire mais j’aime ce qu’il me dit.Et Manon me regarde, attendant ma question, que je ne lui pose pas car elle a trop envie de continuer.— J’aime quand il me dit que j’ai un beau cul. J’aime, quand je crie un peu, qu’il me dise que je suis une bonne baiseuse, qu’il adore m’entendre crier, que je suis sa petite cochonne. J’aime ça, mon Fred, parce que je crois bien que je suis devenue un peu cochonne mais, avec toi, je ne suis pas cochonne, j’aime simplement beaucoup, beaucoup, faire l’amour avec toi.Je lui fis un gros baiser sur la joue car je savais que ça lui avait fait du bien de me dire tout ça même si je savais tout avant qu’elle ne me le dise.— À quoi penses-tu ? demandai-je à Manon qui, depuis un moment, marchait en silence, sa hanche contre ma hanche.— À JB ! J’imagine sa tête, lorsque je vais aller le voir et qu’il va découvrir entre mes fesses, lorsque je vais m’installer à quatre pattes sur son lit, le brillant serti sur le plug que tu m’as offert. Ça va le rendre fou. Je pense que je vais avoir droit au grand jeu de sa part et que cette soirée sera mémorable.Manon me parlait de ça avec le plus grand naturel. Il lui semblait normal de m’expliquer que, lui présentant ses fesses, JB allait baisser sa culotte.— Il adore baisser ma culotte. Il m’a dit qu’il aimait déballer lui-même ses cadeaux et que ce que ma culotte cachait était un superbe cadeau, m’avait-elle dit.J’avais beau me dire que Manon avait le droit de prendre du plaisir à se faire baiser, je ne pouvais m’empêcher de la voir, à genoux, sexe ouvert, offerte à ce rustre de JB qui allait la pénétrer sans autre formalité. Je savais qu’elle ne souffrait pas de cette introduction aussi rapide car, sachant ce qui l’attendait, elle était prête depuis longtemps. Et je l’entendais crier sans retenue, ravie de ce pilonnage sauvage, sachant que l’ego de JB était flatté proportionnellement à la hauteur de ses cris qui le rendaient plus performant encore.Manon me parlait de ça comme elle m’avait dit, il y a quelque temps, avoir constaté que la résistance de JB avait très sérieusement augmenté. Elle m’avait expliqué qu’il lui avait dit que, lorsqu’il savait qu’elle allait arriver, il se masturbait afin de durer davantage avec elle. Elle trouvait normal de me raconter ceci, comme elle me parlait de la pluie et du beau temps. Il faut dire que, du fait de la violence de la jouissance de Manon, il fallait un sérieux entraînement pour ne pas exploser rapidement. Personnellement, Manon usant et abusant de moi, je n’avais nul besoin d’avoir recours à de telles pratiques. Et, dès que nous fûmes dans notre appartement :— On va faire l’amour. J’ai envie de l’odeur de ta peau. J’ai besoin de ton corps sur mon corps. J’ai envie de tes mains sur mes seins. J’ai besoin de tes doigts qui me fouillent. J’ai envie de ta langue dans ma bouche. J’ai besoin que ta bouche me dévore. J’ai envie que ton sexe me pénètre. J’ai besoin que tu me fasses l’amour. Je t’aime, mon Fred…