Les métiers de Sabrina – Hôte (2/3)
Après avoir surpris Léon Blouet en train de se masturber, je décide d’enfiler mon maillot et d’aller nager dans la piscine. Lorsqu’il me rejoint, un jeu s’installe entre nous et dérape devant les yeux de son fils.
Proposée le 28/02/2019 par Imagine69 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: Mer, piscine, plageType: Fantasme
Je le regardais se masturber en me mordillant la lèvre inférieure lorsqu’une planche du parquet grinça. Léon s’arrêta subitement et je couru, aussi rapidement et discrètement que possible, dans ma chambre. Au moment où je rentrais dans celle-ci, la porte de la salle de bain s’ouvrit et je m’en voulu d’avoir mis fin à ce petit plaisir. Je partis discrètement dans ma propre salle de bain et me rinça pour effacer les traces de mes ébats avec Martin. Après m’être séchée, j’enfilais le petit maillot deux pièces qui était disposé dans ma penderie. La culotte se fermait au niveau de mes hanches par deux nœuds assez serrés. Le maillot avait une taille de moins et en plus d’être échancré sur mes fesses, il moulait toutes mes formes à la perfection, notamment mes tétons et mes lèvres vaginales. Là où certaines auraient eu honte de sortir, moi je me précipitais dehors pour montrer cette petite tenue à mon homme. Je dévalais les escaliers et rejoignis Martin qui finissait de ranger ses affaires avant de partir pour la ville. En me voyant arriver, un sourire coquin illumina son visage. Il me prit dans ses bras et m’embrassa fougueusement tout en portant ses mains sur mes fesses quasiment dénudées. – Tu es bien sexy pour une femme en couple, me dit-il avec un air faussement jaloux.
– Je ne pense pas que quelqu’un pourrait me faire jouir autant que mon homme, le rassurais-je. Et puis, pourquoi ne pas laisser les autres t’envier ? ajoutais-je d’un air taquin.
– Tu as raison, dit-il en souriant. Je dois partir pour la ville, je pense que je serais de retour tard dans la soirée, m’informa-t-il en finissant de boucler ses affaires. Ne fais pas trop de bêtises et appelle-moi quand tu veux, conclut-il avec son sourire de charmeur.
– C’est noté ! Je l’accompagnais à sa voiture et l’embrassais une dernière fois avant de le regarder partir en espérant qu’il serait revenu avant que je ne m’endorme pour me faire jouir de nouveau. Je traversais la maison et me retrouvais dans le jardin, à côté de la piscine. Je pris une serviette de bain et l’installa sur un transat parallèle à la maison. Le soleil était à son paroxysme et l’air était chaud en ce début d’après-midi. Je m’allongeais un petit peu pour prendre des couleurs en écoutant les cigales chanter et en pensant à monsieur Blouet en train de se masturber. Pensait-il à moi ? Était-il en train de m’observer à travers la fenêtre au lieu de travailler ? Mon bassin recommença à s’échauffer à l’idée qu’il puisse rêver de mon corps. Au bout d’une trentaine de minutes, je décidais de piquer une tête dans la piscine. L’eau était agréablement rafraichissante et mes tétons commençaient à pointer. J’avais envie de me caresser mais n’osait pas réellement le faire. Pour me changer les idées, je décidais de faire des longueurs. Je commençais par faire de la brasse et sentis ma culotte rentrer dans mes fesses sans que cela ne me dérange pour autant. Si Léon m’épiait depuis le premier étage, cela ne pouvait que me convenir. Je passais ensuite au crawl et enchainais les allers retours avec la tête sous l’eau. Lorsque j’arrêtais avec dans l’idée de me reposer un peu au soleil, je vis que Léon m’avait rejoint dans le jardin. Il était physiquement mieux que ce que j’avais pensé. Malgré son âge, il conservait un corps assez athlétique et des abdominaux saillants. Il portait un short rouge qui le moulait sans toutefois lui coller complètement au corps. Je rougis un petit peu en le voyant allongé sur mon transat et hésitait à aller lui quémander ma place. Je sortais finalement de l’eau et vis son visage s’illuminer en contemplant mon corps mouillé s’offrir à sa vue. En y regardant de plus près, mon maillot était en fait très transparent une fois trempé et le quinquagénaire pouvait facilement admirer mes seins, mes tétons durs ainsi que mon sexe. Il détourna à peine le regard par courtoisie mais était obnubilé par cette jeune femme qu’il avait entendu jouir dans la cuisine le matin même. – Excusez-moi, est-ce que je pourrais prendre ma serviette ? demandais-je en me penchant vers le morceau de tissu qui était sous lui et en voyant son regard passer de mes yeux à ma poitrine.
– Oui, bien sûr, je suis vraiment désolé je n’avais pas fait le rapprochement, mentit-il en se levant pour que je puisse prendre la serviette.
– Merci beaucoup, dis-je en me tapotant délicatement la peau. Je vous en prie, restez sur ce transat.
– Non, je vous le laisse je vais en prendre un autre, insista-t-il en se dirigeant vers le transat perpendiculaire à côté du mien et situé face à la maison. Je le remerciais à nouveau et m’allongeais sur le dos face à la maison tandis que Léon en faisait de même. Nous nous sourîmes de façon un peu gênée et je pu voir son regard se perdre à plusieurs reprises sur mes seins et mon corps. Je fis mine de me détendre mais je ne pouvais ignorer cette bosse qui déformais de plus en plus le maillot rouge de monsieur Blouet. Je repensais à sa masturbation et me demandais s’il avait fini par éjaculer ou non. En repensant à ses regards et à son excitation, je me convainquais que non. Au bout d’une trentaine de minutes passées à rêvasser de son corps, je pris la décision de débloquer un peu la situation. – Ça vous dérange si j’enlève le haut de mon maillot pour bronzer ? lui demandais-je en l’extirpant de ses pensées.
– Pas du tout, répondit-il à la fois content d’avoir l’opportunité de me mater un peu plus et triste que je n’enlève pas le reste. Une belle femme comme vous ne devrait même pas demander, ajouta-t-il pour me complimenter. Je souriais en réponse à ses méthodes de drague un peu désuètes puis enlevais mon maillot et libérais mes seins fermes. Prit en flagrant délit de voyeurisme, Léon détourna subitement le regard puis fixa le ciel comme si de rien n’était. Je souris puis me détendis à nouveau en attendant de savoir si le quinquagénaire plutôt attirant oserait quelque chose. A peine quelques minutes plus tard, Léon enfila une paire de lunette de soleil comme s’il était soudainement gêné par les rayons. Je ne pus m’empêcher de rigoler intérieurement et encore plus lorsque je vis clairement ses yeux, à travers les lunettes, me dévorer. – Vous feriez un bien piètre espion, monsieur Blouet, l’interpellais-je en choisissant de passer à l’attaque.
– Pardon ? dit-il d’un air quelque peu honteux. Je me levais de mon transat et me rapprochais de lui tandis qu’il faisait mine de ne pas savoir de quoi je voulais parler. Il détournait son regard de ma poitrine et de mon corps lorsque je m’assis à côté de lui en passant une jambe par-dessus la sienne. J’enlevais ses lunettes sans lui demander la permission, posais délicatement ma main sur son menton et détournais sa tête vers ma poitrine en lui souriant. – Vous ne voulez plus mater mes seins ? lui demandais-je d’un ton taquin feignant la tristesse.
– Je… balbutia-t-il, je suis désolé je pense qu’il y a un malen… poursuivit-il. Avant qu’il n’ait pu finir sa phrase, je pris sa main et la posais sur mon sein. Il me regarda bouche bée et paralysé. J’approchais alors mon visage et déposais doucement mes lèvres sur les siennes. Son corps se crispa au moment où ma langue pénétra sa bouche. Timidement, Léon approcha sa langue et nous nous embrassâmes lentement et sensuellement. Voyant que je ne voulais pas le sermonner il prit un peu confiance en lui et sa main commença à malaxer tendrement mon sein ferme et rond. Je posais une main sur sa joue puis la glissais sur son torse un peu velu, ses abdominaux saillants puis sur la bosse de son short. – Je vous ai vu vous masturber dans la salle de bain, monsieur Léon, dis-je en le regardant fiévreusement. Vous pensiez à moi ?
– Oui, me confia-t-il après un instant de réflexion.
– Vous êtes un vilain garçon monsieur Léon, continuais-je en étreignant doucement sa bosse. Que ferait un vilain garçon à une vilaine fille ? En guise de réponse sa main délaissa mon sein, effleura mon ventre et s’insinua entre mes cuisses en massant mon sexe à travers mon maillot. Je le regardais avec passion puis me tournais vers sa main et quittais un instant sa bosse pour défaire le nœud sur le côté de mon maillot. Léon me regarda faire et je vis son sexe se contracter devant mon initiative. Je me retournais à nouveau vers lui et continuais à l’embrasser en faisant sensuellement valser ma langue contre la sienne. Sa main acheva d’ôter mon maillot puis se repositionna sur mon sexe nu. Je gémis de plaisir en le sentant effleurer mon clitoris puis le masser doucement avec timidité et tendresse. Le soleil chaud réchauffait nos corps déjà bouillants d’excitation. Les caresses du quinquagénaire étaient précises et envieuses. Je reposais ma main sur sa bosse puis l’immisçais sous son short et agrippais soigneusement son sexe un peu trempé par tant de passion. Je le masturbais lentement à l’abris des regards et sentais son pieux se contracter. Nous nous caressâmes mutuellement en s’embrassant puis sa bouche vint saisir l’un de mes tétons tandis que mon autre main se posait sur sa tête pour l’encourager à continuer. Il suçait et mordillait méticuleusement mes auréoles tout en enfonçant lentement son majeur dans mon intimité chaude. Il faisait ça avec respect sans trop en demander en retour et j’appréciais ce caractère. Lorsqu’il revint pour m’embrasser, je posais un baiser sur ses lèvres en lui souriant puis posais mes genoux sur le transat à côté de son bassin et saisissais l’élastique de son short pour l’enlever. Léon me donna un coup de main en haussant son bassin puis en pliant ses jambes pour que je puisse le débarrasser de son vêtement. Son sexe bandé gisait sur ventre et le quinquagénaire se déplaça un peu plus vers le bord du transat pour me laisser de la place pour agir. – Est-ce que les hommes vilains comme vous aiment se faire sucer par les filles vilaines comme moi ? lui demandais-je sans attendre la réponse.Je me saisis de son sexe encore calotté et me penchais en avant au-dessus de lui. En même temps que je ramenais ma main vers son pubis et décalottais son gland, j’enfonçais langoureusement ce dernier dans ma bouche et l’enrobais de bave. Léon gémit de plaisir et posa sa main sur mon dos nu pour me caresser. Cela devait faire longtemps qu’il n’avait pas été proprement sucé et je tenais à le faire dans les règles de l’art. Je rabattais mes cheveux qui lui cachaient la vue sur ma bouche et le laissa admirer mes joues qui se gonflaient à chaque pénétration. Son sexe avec le goût de l’excitation pré-éjaculatoire, ce qui ne me gênait pas et que je trouvais plutôt gratifiant. Mes lèvres gagnaient du terrain à chaque mouvement grâce à la lubrification progressive de sa hampe. Léon me laissait le sucer doucement sans tenter de m’imposer un rythme spécifique. En réalité, c’était son charisme qui me donnait envie de le prendre toujours plus loin ou de le pomper toujours plus intensément. Ses mains effleurèrent mon dos et caressèrent mes fesses sans trop s’y attarder. De ses deux mains, Léon m’invita à poser un genou de chaque côté de sa tête. Il me guida méticuleusement dans cette tâche tandis que je continuais à contenter son membre dur comme du béton. Mon entrejambe lui était complètement offert et je sentis son regard admirer la fente de mes lèvres vaginales ainsi que mon anus. Ses mains passèrent sous moi et se posèrent en appui à mes hanches. Je sentis finalement sa langue humide et chaude se poser sur mon clitoris et je gémis de plaisir. Ses gestes étaient légers mais précis et je sentais mon excitation monter en puissance. J’étais heureuse de pouvoir offrir cela à un quinquagénaire et surtout à un client qui semblait oublier tous les petits tracas du quotidien. Une pensée me traversa l’esprit concernant sa femme et ses enfants mais je la chassais immédiatement, et un peu honteusement, de mon esprit. Je multipliais les vas et vient ainsi que mes mouvements de langue tout autour de son gland. Lorsque le moment fut opportun, je plongeais lentement ma tête vers son pubis et sentis ce dernier pénétrer ma gorge. J’exerçais un peu de pression pour que cette dernière s’ouvre entièrement à lui et réprimais une envie spontanée de vomir. Cela ne m’arrivait quasiment jamais mais je n’étais pas à l’abri de ça. Une fois bien en place avec mes lèvres à l’orée de ses bourses, je commençais à remonter puis redescendre en sentant mon cou se déforme quelque peu. Le sexe de Léon se contractait à de multiples reprises sous l’effet de l’excitation et je sentis sa langue accélérer le mouvement sur mon clitoris. Elle remonta ensuite la fente de mon vagin et plongea dans mon intimité où elle put gouter à mon nectar. Le quinquagénaire me dévorait avec grâce et j’ondulais machinalement mon bassin pour rechercher ses léchouilles. J’enfonçais une dernière fois son sexe dans ma gorge puis le retirais de ma bouche et le masturbais énergiquement en posant son gland contre mon téton. L’excitation commençait à monter dangereusement chez mon compagnon qui mit fin à son cunnilingus et m’invita à me redresser. Je m’agenouillais donc à l’envers au-dessus de son bassin et il relevait son buste pour venir me serrer contre son torse. Il rigolait et embrassait mon épaule toute en laissant ses mains redécouvrir pleinement ma poitrine. Je sentais son sexe chaud s’écraser sur mon entrejambe trempé sur toute sa longueur. Je profitais encore un peu de ses caresses puis je me penchais en avant en prenant bien soin de trémousser mon arrière train devant ses yeux. Je posais mes deux avant-bras sur le sol et gardais mes genoux sur le transat en maintenant mon fessier à un niveau plus haut que ma tête. Léon mit un petit temps pour comprendre où je voulais en venir. Je remuais brièvement mon fessier pour l’appeler et le sentis enfin se positionner derrière moi. S’appuyant d’un pied parterre et d’un genou sur le transat, le bel homme rapprocha son bassin de mon fessier et caressa mes lèvres du bout de son gland avant de l’enfoncer dans mon intimité. La tête vers le bas, je gémis de plaisir en creusant mon dos et en bombant mes fesses pour mon amant. Il m’attrapa par les hanches avant de s’enfoncer complètement en moi. C’était la deuxième fois dans la journée que je me faisais prendre mais mes envies étaient intactes. J’adorais sentir ce pieux dur et gorgé de passion occuper mon corps de la sorte. Même si Léon semblait calme, je savais qu’il bouillait à l’intérieur et qu’il était au paradis. Ce n’était pas tous les jours qu’il avait l’opportunité de sauter une femme qui aurait pu être sa fille et qui réclamait ainsi son sexe. Il se retenait d’évacuer toutes ses frustrations de façon bestiale et se contentait de me pénétrer avec retenue. Je lui tendais mes fesses pour qu’il les prenne à sa convenance mais il restait respectueux de ma personne, ce qui était honorable et mignon. Son bassin claquait contre mes rondeurs fermes et j’écartais au maximum les cuisses pour le laisser admirer son sexe écarter mes lèvres à chaque aller-retour. Je remontais ma main vers mon pubis puis posais un doigt sur mon clitoris pour le caresser. En relevant la tête je perçus un mouvement derrière la vitre de la cuisine et vit Maxime nous regarder. Je détournais immédiatement les yeux vers le sol et fis mine de ne pas l’avoir vu. Que devait-il se dire en voyant son père sauter une autre femme que sa mère et, qui plus est, une personne que lui-même avait envie de sauter ? D’ailleurs, le reste de la famille était-elle rentrée ou bien était-il le seul à être là ? A en juger par le calme ambiant, le jeune homme était rentré sans le reste de la meute. Je savais qu’il ressentait de la colère mais aussi de l’excitation en me voyant ainsi soumise à son paternel et donc je décidais de continuer en le faisant profiter du spectacle. Léon posa une main sur le transat en se penchant pour prendre appui et ses coups de reins se multiplièrent. Son sexe pénétrait de plus en plus rapidement mon antre dilaté et ses bourses claquaient contre ma main malaxant mon clitoris. Il se retira avant qu’il ne soit trop tard et je me retournais sans attendre vers lui en le poussant contre le dossier du transat. Le quinquagénaire était essoufflé autant qu’il était excité. Je lui signifiais qu’il pouvait se reposer un peu à son tour et il s’allongea confortablement en posant un pied de chaque côté du transat et en écartant les cuisses. Je m’agenouillais entre ses jambes et me penchais en avant pour prendre son sexe en bouche. Je le suçais à la fois tendrement et énergiquement en essayant de gérer au mieux son excitation. Il posa de lui-même sa main sur ma tête tout en me regardant lustrer son pieux et en lorgnant mes petites fesses remontées. J’avais fait exprès de me mettre dans cette position pour que Maxime puis reluquer mon entrejambe tout en admirant ma tête monter et descendre pour faire plaisir à son paternel. Le jeune loup aurait été près à le tuer pour prendre sa place et besogner la jeune louve en chaleur. La fellation que je procurais à Léon n’avait rien à voir avec la première. J’avais moins de retenue, je m’empalais complètement sur son pieux à un rythme endiablé car non seulement j’adorais ça mais je voulais aussi réveiller en lui son côté bestial et le libérer de toutes les frustrations qu’il pouvait avoir. Mais l’homme était un gentleman invétéré et je dus donc changer de stratégie tout en poursuivant dans la même voie. Je me relevais, non sans avoir aspiré méticuleusement son gland une dernière fois, puis venais sur lui. Je collais ma poitrine contre ses pectoraux et l’embrassais passionnément en lui faisant goûter le fruit de nos ébats. Je n’eus pas à attendre bien longtemps pour que Léon positionne son sexe à l’entrée du mien et me pénètre une nouvelle fois. Je le chevauchais assez rapidement et sentais son bassin monter vers le miens en faisant frémir mes fesses. Ses mains les malaxaient en les écartant innocemment. Je posais mes doigts sur les siens et, tout en le fixant avec passion, dirigeais son majeur vers mon petit trou et exerçais une pression dessus. Son membre se tendit en moi et je su qu’il avait compris le message lorsque sa première phalange s’immisça dans mon anus. Mon sphincter ne put s’empêcher de se contracter un peu mais je me détendis et Léon parvint à continuer son œuvre. A en croire son regard stupéfait, il n’avait jamais doigté l’anus d’une femme, même si l’idée semblait lui plaire. Il finit par enfoncer tout son majeur et son excitation atteignit un nouveau degré. Derrière la baie vitrée, Maxime regardait avec envie cette jeune femme chevaucher son père en se prenant un doigt dans le cul. Il était en colère mais il bandait tellement fort qu’il ne pouvait interrompre sa séance de voyeurisme. Je continuais à m’empaler sur Léon en sentant le regard de son fils sur mon entrejambe. J’embrassais le père en pensant à son enfant puis quelque chose se passa dans l’esprit du premier. Une sorte de déclic. Il retira son doigt de mon anus et sans retirer son sexe du mien, il nous leva et m’allongea sur le transat. Ma tête tombait vers le sol, étirant mon corps svelte devant les yeux envieux de mon amant. Il rabattit mes jambes vers mon buste et les maintint écartées et en l’air. Avec cela, mon bassin fut relevé vers le haut en facilitant l’emprise et les pénétrations à venir de Léon qui était quasiment debout au-dessus de mon entrejambe. Il recommença à me pénétrer, de façon plus brusque et sauvage et je gémissais en sentant le sang me monter à la tête. Un coup d’œil furtif vers la maison m’indiqua que Maxime était toujours là à nous épier. Léon me besognait désormais avec une nouvelle fougue et je sentais son côté obscur se révéler au grand jour. Finis la retenue et les bonnes manières. Il voulait désormais satisfaire ses envies les plus primitives. Il fit une pause pour m’admirer, reprendre son souffle et resserrer son étreinte autour de mes chevilles en l’air. J’en profitais pour poser mes mains sur mes fesses et les écarter. Le message était clair, je voulais qu’il me sodomise. Léon me regarda un instant, cherchant à s’assurer de ce que je voulais. Je fis un effort pour redresser ma tête et lui adressais un sourire coquin en me mordant les lèvres et en maintenant mes fesses écartées. Léon retira son sexe du mien, et tout en continuant à m’interroger du regard, il posa son gland mouillé sur mon anus. Je l’encourageais d’un hochement de tête et sentis immédiatement son sexe pousser les portes de mon antre. Je gémis de plaisir et non de douleur car Léon y allait avec des pincettes. Il dilatait précautionneusement mon anus en ne forçant pas trop et en effectuant de petits allers retours à chaque palier. Je ne savais pas s’il avait déjà sodomisé une femme mais il se débrouillait parfaitement bien. Il finit par enfoncer complètement son sexe bandé en moi et mes pupilles s’élargirent de plaisir. Léon entreprit des allers retours calmes mais amples en détendant par la contrainte mon petit trou. Je crus un instant qu’il s’était calmé mais une fois suffisamment préparée, il me sodomisa énergiquement. Je criais et gémissais de plaisir tant son insistance à chaque pénétration me faisait du bien. Il agissait comme un marteau piqueur au-dessus de moi et plus rien ne le retenait. Il avait un parfait contrôle de la situation et ma complète soumission.Très rapidement, son côté obscur refit surface. Il passa ses bras sous mes cuisses, plaqua ses coudes contre mes hanches, posa ses mains sur mes omoplates et ramena un peu plus mes jambes contre mon corps en calant mes mollets sur ses épaules. J’étais dans une position étriquée, à son entière disposition et encore plus à la merci de ses envies. Je ne pouvais simplement plus bouger et me défendre s’il le fallait. Mais j’étais pleinement confiante en cet homme qui me pilonnait désormais le cul avec animosité. Je ne sentais presque pas de douleur mais je savais qu’elle était là quelque part. Je posais une main dans la nuque de Léon et ramenais l’autre vers mon clitoris qui me suppliait de le caresser. Je me masturbais tant bien que mal et enfonçais par intermittence deux doigts dans mon vagin pour libérer la pression que j’accumulais. Mon souffle était cadencé et mes joues rougissaient de plaisir et de suffocation. Mon plaisir explosa enfin sous la forme d’un orgasme qui me fit abondamment éjaculer. Mon cœur battait la chamade, la cyprine se déversait de mon intimité à foison et les coups de reins de Léon ne m’offraient aucun répit. J’ouvrais la bouche de plaisir et de douleur mais aucun bruit ne sortait. Mes yeux imploraient la pitié de mon amant mais je priais intérieurement pour qu’il continue tellement sa façon de me sodomiser était jouissive. Le quinquagénaire arrivait au bout de ses forces lorsque je sentis une giclée chaude se déverser en moi. Il retira prestement ses mains ainsi que son sexe et je sentis une deuxième giclée s’étaler sur mon ventre et mes seins. Je me redressais immédiatement vers Léon, qui était debout avec un pied de chaque côté du transat, et lui offrais mon visage mon réceptacle pour sa semence. Je le vis hésiter une fraction de seconde mais la situation était trop urgente et le plaisir trop grand. Je lui souriais malicieusement lorsque le reste de son sperme s’étala sur mon visage en plusieurs éjaculations. Je dû fermer les yeux un instant en sentant les traînées de nectar balayer mon visage puis une fois que je rouvris les yeux, je pu contempler la mine satisfaite de mon client. Son torse était rouge et sa respiration saccadée. Il avait toujours son membre décalotté en main et je le replongeais une dernière fois dans ma bouche pour récolter les ultimes gouttes de foutre. Je le suçais soigneusement et sentis la main se Léon me caresser la joue engluée de sperme. Il me remercia un nombre incalculable de fois avant que je ne dépose un dernier baiser sur son gland et que je ne me relève. Je pris soin de me tourner vers la maison pour montrer le résultat à Maxime en faisant toujours mine de ne pas le voir, puis je remis mon maillot et Léon en fit de même. Je m’absentais une minute pour aller me débarbouiller dans la cuisine et constatais que Maxime ne s’y trouvait pas. Il avait certainement dû remonter dans sa chambre sans savoir quoi faire. Avant de nettoyer complètement mon visage je gouttais par curiosité la semence de mon amant et la trouva exquise. Je retournais à l’extérieur en m’assurant que personne d’autre que le jeune homme n’était rentré, et rejoignis Léon qui était encore en train de reprendre son souffle à côté du transat. J’allais l’embrasser et lui confiais que j’avais goûte son sperme et que je le trouvais succulent. Suite à ces mots je me retournais vers la piscine, ramenais un peu les bords de mon maillot dans le sillon de mes fesses pour le laisser admirer mon postérieur, et plongeais dans l’eau. Léon ne tarda pas à me rejoindre et nous jouâmes tendrement avec des idées plein la tête jusqu’à ce que j’enlace mes jambes autour de son bassin et sente son érection renaître. Il me plaqua contre un mur de la piscine, baissa son short, écarta ma culotte et me pénétra à nouveau lentement mais sûrement. Nous nous embrassâmes et passâmes le reste de l’après-midi à faire l’amour, se poursuivre, jouer, découvrir de nouvelles choses et se faire plaisir. Je le suçais sous l’eau, il me lécha lorsque j’étais sur le rebord de la piscine puis il me prit en levrette sur les marches de la piscine et finit cette fois-ci en moi après que j’eus atteint l’orgasme. Cela avait été une très bonne après-midi et j’étais sûre que Maxime n’en avait rien loupé du haut de sa chambre. J’étais éreintée et Léon semblait également fatigué. Fatigué mais aux anges. Lorsque sa famille revint, il était dans sa douche à effacer toute trace susceptible de le démasquer et j’en faisais de même. La petite famille sortie pour le dîner et je perçus Maxime qui faisait la gueule dans son coin. Il me jeta un regard à la fois noir et envieux que je fis mine de ne pas percevoir. Léon semblait tout léger et aidait sa femme plus de coutume avec les enfants. Cela devait la réjouir, mais si seulement elle savait. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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