Les métiers de Sabrina – Monitrice de ski (3/3)
Suite à mon dernier cours, je tombe sur Richard et Sabrina dans le chalet des moniteurs et éprouve une envie irrésistible de me faire prendre par le bel étalon… entre temps je tombe sur un saisonnier qui ne me satisfait que partiellement… Richard aura tout à faire dans un sauna
Proposée le 8/04/2019 par Imagine69 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Sauna, club, sexe shopType: Fantasme
Michel ne voulait pas me faire attendre plus longtemps et me remercia une dernière en me faisant promettre de l’appeler une fois la période hivernale finie. Nous nous serrâmes la main comme deux personnes professionnelles l’auraient fait, mais je pouvais voir dans ses beaux yeux qu’il avait envie de m’embrasser, voire plus. Il s’en alla vers les restaurants qui bordaient les bas des pistes et je retournais vers le chalet des moniteurs de ski avec l’impression de savoir ce que j’allais y découvrir. L’air était chaud et humide à l’intérieur à cause de la neige fondue et des douches que prenaient les moniteurs après une journée passée dans le froid. Mon attention fut directement portée vers des bruits venant du fond de la pièce, entre les deux grandes rangées de casiers. Je me déchaussais sans faire de bruit et me rapprochais discrètement du lieu en question. Arrivée à l’extrémité de l’allée, je penchais légèrement la tête pour observer la scène. Je vis immédiatement Richard et Sabrina, la femme de Michel, en train de faire l’amour. La quadragénaire était nue et à quatre pattes sur le sol tandis que le moniteur était derrière elle et la prenait en levrette. Leurs peaux étaient luisantes de sueur et cela devait déjà faire un moment qu’ils forniquaient. Richard n’y allait pas de main morte avec elle. Son bassin pilonnait celui de la brune, ses mains claquaient ses fesses sans ménagement et des insanités érotiques fusaient dans les airs par-dessus les gémissements de plaisir. J’aurais aimé les rejoindre, gouter à la chaire du moniteur et sentir son membre me pénétrer mais le voyeurisme avait quelque chose d’excitant aussi. Je commençais à me caresser au travers de ma combinaison en imaginant me faire prendre de la sorte par le bel étalon aux cheveux poivre et sel. Ses mouvements accélérèrent un peu plus puis il se retira, se releva et se déchargea sur la raie de la femme qui lui était offerte. Sabrina râlait de plaisir, après avoir certainement joui plusieurs fois, et passait ses doigts entre ses fesses pour ressentir la semence qui coulait désormais sur son anus. Y voyant un signe, Richard fléchit les jambes et posa son gland sur l’œillet étroit de son amante. Celle-ci précipita sa main pour en bloquer l’accès et dit, en souriant :- Je pense que tu m’as assez faite souffrir pour aujourd’hui.
Richard ne l’écouta pas. Il écarta sa main et força sur son anus à l’aide de son mât qui s’insinuait déjà dedans. Sabrina grimaçait de douleur et décida de se confier :
– Je ne me suis jamais faite sodomisée.
Le moniteur arrêta sa course, la considéra du regard puis lui dit :
– Peut-être que notre cours de demain pourrait être dédié à cela ? concéda-t-il un peu déçu.
– Oui, murmura-t-elle essoufflée, mais je suis suffisamment épuisée pour ce soir.
– Si tu as l’occasion de te préparer un peu, dit Richard avec son charisme de professeur, n’hésite pas. Je n’ai pas envie de faire de mal à ce beau petit cul mais, tout compte fait je préfère te prévenir, je risque de ne pas être doux, assura-t-il en souriant malicieusement et en se retirant. La jeune femme acquiesçait docilement mais elle ne se rendait pas compte de ce que de tels mots impliquaient venant de Richard. Mieux valait être prête le moment venu, car lui le serait. Il ne manquait pas d’être obscène et les bruits de couloirs racontaient toutes sortes d’histoires à son sujet. Les deux individus se levèrent et se rhabillèrent en quasi-silence. Je retournais vers la pièce principale mais fis chuter un ski sur le sol par mégarde. Quelques secondes après, Richard apparaissait à la fin de l’allée et me dévisagea. – Ça fait longtemps que tu es là ? demanda-t-il en jetant un coup d’œil vers Sabrina que je ne pouvais voir.
– Non, mentis-je, pourquoi ? Il ne répondit pas mais une lueur dans ses yeux m’indiquait qu’il savait que je les avais vu tous les deux. Je n’attendis pas non plus de réponse et lui tournais le dos pour m’en aller. Je sentais son regard me déshabiller tandis que je sortais du chalet. J’empruntais le petit sentier par lequel j’étais venu le matin même et retrouvais la navette qui m’avait emmenée ici. Le conducteur, un beau jeune homme mince qui devait aussi être saisonnier, m’ouvrit la porte en me souriant. Je m’installais sur la banquette arrière et ouvrait un peu ma combinaison pour le laisser me mâter à son aise. Il s’installa derrière le volant et prit la route sans attendre d’autres clients. Peut-être voulait-il que nous soyons seuls ou était-ce la procédure habituelle ? Je remarquais son regard s’arrêter une fraction de seconde sur ma poitrine dans le rétroviseur, puis ses joues s’empourprer. Il était vraiment craquant mais malheureusement le trajet s’acheva sans que je puisse user de toutes mes cartes. En bon gentleman, le jeune homme vint m’ouvrir la porte et me présenta sa main pour m’aider à descendre. Je la pris bien volontiers et avant de partir je lui posais un baiser sur la joue pour le remercier. Je sentis son corps se raidir, l’objectif était atteint. Je rentrais dans l’hôtel en sentant son regard posé sur mes hanches, puis prenait le chemin de ma chambre. J’enlevais mes habits et m’allongeais nue sur le canapé pour reprendre un peu de force. Je finis par m’assoupir. Je me réveillais alors que les derniers rayons du soleil se couchaient derrière la montagne blanche et magnifique. Malgré l’air doux, mes tétons pointaient et je décidais d’aller passer un petit moment au sauna de l’hôtel. On ne m’avait pas fourni d’habits autres que la combinaison de ski et je du donc opter pour une serviette trouvée dans la salle de bain. Je la serrais autour de ma poitrine et remarquais qu’elle était vraiment courte car le tissu cachait à peine la plissure de mes fesses. Qu’importaient les apparences, je voulais mon sauna. Je sortis dans le couloir et tombais sur un couple âgé qui me dévisagea de haut en bas comme si j’étais une criminelle. Je m’excusais et avançais d’un pas rapide afin de limiter les chances de renouveler cette expérience. Au bout du couloir, le choc fut inévitable. Mon corps se heurta à celui d’un homme que je ne reconnus pas tout de suite. Ses mains se plaquèrent instinctivement dans mon dos et sur mes reins. L’instant d’après, pour me protéger d’une chute, il me plaqua contre un mur et se colla à moi de façon maladroite. C’était le chauffeur de la navette. Mes jambes étaient écartées pour garantir mes appuis, mes mains étaient posées sur les hanches du jeune homme et ma serviette était légèrement écartée, de sorte qu’il pouvait voir ma cuisse, ma hanche et une partie de mon ventre sans pour autant voir mon pubis. Cette vision et la présence de mon corps collé au sien sembla l’exciter car une bosse dure se matérialisa contre mon bassin. J’avançais ce dernier pour mieux la ressentir et plongeais mes yeux pétillants dans les siens sans rien dire. J’avais envie qu’il m’embrasse, qu’il me fasse l’amour et il ne pouvait pas ignorer mes sentiments. Ses doigts se crispèrent un peu sur le tissu qui entourait mon corps.- Je suis vraiment désol… commença-t-il.
– Chut, murmurais-je en posant mon index sur ses lèvres. Nous étions restés ainsi trop longtemps pour simplement s’excuser et se séparer. Je pouvais observer son envie et il pouvait sentir la mienne. Je retirais mon index et le remplaçais immédiatement par mes lèvres. Le jeune homme fut désarçonné et tétanisé mais il se joignit assez rapidement à mon baiser. Mon bassin me brûlait autant que sa timidité m’excitait. Je posais mes mains sur sa bosse à l’aveuglette puis ouvrait la fermeture éclair de son pantalon. Je chauffeur laissait mes mains le découvrir et s’introduire dans son habit pour baisser son caleçon et faire ressortir son membre par l’ouverture. Mes gestes étaient fiévreux mais empressés. Il continuait de m’embrasser en respirant fortement et en sentant mes mains masturber son sexe bandé d’une quinzaine de centimètres. Après tout, quel homme s’en serait plaint ? Je le fis passer sous ma courte serviette et remontais ma cuisse sur sa hanche. J’enfonçais son gland entre mes petites lèvres. Nous nous regardâmes un instant puis le saisonnier, dont je ne connaissais pas le nom, fit le reste du chemin et me pénétra entièrement. Je retins un râle de plaisir en me mordant les lèvres et passais mes mains sur ses épaules pour prendre appui. Son bassin restait quasiment toujours collé au mien et bien que ses mouvements ne furent pas très amples, ils étaient intenses et secs. Son autre main passa sous ma cuisse et il me souleva littéralement contre le mur tout en gardant son corps plaqué contre le mien. Nous nous embrassâmes à plusieurs reprises et nous dévisageâmes entre temps comme pour admirer nos grimaces de plaisir à chacun de ses mouvements. Devant tant de passion nous allâmes éjaculer et jouir de concert lorsque des bruits assez proches se firent entendre. Sans réfléchir, le garçon me reposa à terre à contre cœur et retira son sexe du mien. Je lui en voulais de ne pas avoir continué et d’avoir baissé les bras si facilement mais je pouvais, d’autre part, comprendre ses peurs. Il enfouissait tant bien que mal son mât bandé dans son pantalon tandis que je remettais en place ma serviette. Une femme de ménage d’un certain âge apparut dans le couloir et nous jaugea du regard avec méfiance. – Je recherche le sauna, pouvez-vous m’indiquer par où aller ? demandais-je au chauffeur comme si je venais de l’interpeller.
– Oui c’est par là, puis au niveau -1, répondit-il en rentrant dans mon jeu pour faire bonne figure face à la femme qui passait juste derrière lui.
– Peut-être pourriez-vous m’y rejoindre ? lui murmurais-je en regardant l’intruse s’éloigner d’un pas nonchalant. Seulement si vous aimeriez finir ce que vous avez commencé ? ajoutais-je en lui souriant. Le garçon me donna son approbation d’un signe de tête puis je repris mon chemin, non sans me retourner au bout du couloir pour le voir mater mes fesses qui dépassaient légèrement de dessous ma robe improvisée. Il m’adressa un sourire puis nous nous perdîmes de vue. Je pris l’ascenseur pour descendre au moins un et tombait nez-à-nez avec une femme en colère qui s’empressa de monter dans la cabine sans me prêter attention. Elle avait une serviette enroulée autour de son corps et ses cheveux dégoulinaient d’eau. Son visage me disait quelque chose sans pour autant que je la reconnaisse. Je regardais les portes de l’ascenseur se fermer et arrivais dans une zone luxueuse comprenant une salle de sport, une piscine, plusieurs jacuzzis, des salles de massage et des saunas. L’endroit était silencieux et, au vu de ce qu’il risquait d’arriver avec le chauffeur, j’optais pour le sauna le plus éloigné. Au détour d’un mur porteur, je tombais sur un jacuzzi occupé par deux personnes et je compris immédiatement qui était la femme que j’avais croisé aux ascenseurs. C’était la femme du trentenaire que j’avais sucé en début d’après-midi sur la remontée mécanique et qui nous reluquait un peu plus tôt avec Ekaterina. Et comme pour boucler la boucle, ce même trentenaire était dans le bain bouillonnant en compagnie de la belle russe. Ou plutôt, il était sur le rebord du jacuzzi, le maillot enlevé et le sexe bandé à l’intérieur de la bouche de l’étrangère qui avait encore la moitié du corps immergé. Elle le pompait avec dévotion et avidité, comme pour lui faire oublier sa femme, et l’homme semblait bien en profiter avec sa respiration rauque et sa main posée sur la tête de sa fellatrice. J’indiquais ma présence au couple et l’homme me regarda avec de grands yeux. Ekaterina saisit son regard et se retourna vers moi en gardant la queue du père de famille entre de bonnes mains. – Salut Sabrina, comment vas-tu ? me lança-t-elle en me souriant sincèrement tandis que m’installais vers eux en bordure du jacuzzi.
– Très bien et vous ? lui demandais-je en la regardant suçoter sa gourmandise sans attendre de réponse précise. Votre femme a dû vous voir faire car elle n’avait pas l’air très contente en partant, dis-je à l’attention de l’homme.
– Elle n’a pas apprécié que je les rejoigne nue dans le jacuzzi, m’indiqua Ekaterina en consultant son amant du regard. Et il faut dire que monsieur n’était pas très discret pour reluquer mes seins donc elle était contrariée et elle est partie. Le problème c’est qu’elle est revenue quelques minutes plus tard et qu’elle a surpris son mari en train de me sucer le sein et de me doigter dans l’eau, poursuivit-elle en léchouillant le gland de l’homme qui ne semblait pas plus stressé que ça. Du coup, je me disais qu’une petite pipe serait la moindre des choses pour le réconforter. Tu veux nous rejoindre ? me proposa-t-elle.
– C’est gentil, la remerciais-je, mais je suis déjà passée avant toi sur ce coup et j’attends de la visite dans le sauna, ajoutais-je en rigolant.
– Ah, je vois que vous êtes deux petits coquins ! nous confia Ekaterina avec son sourire ravageur. J’espère qu’il te reste de quoi satisfaire mon gosier, dit-elle à son amant.
– Et pas que, compléta-t-il d’un air désinvolte. Sur ce, la russe reprit sa fellation plus langoureusement et profondément. Le trentenaire me regardait en grimaçant et je malicieusement posais mes lèvres sur les siennes avant de m’enfuir un peu plus loin dans le sauna. J’aurais aimé rester avec eux, et surtout Ekaterina, mais je voulais également que le chauffeur me rejoigne. Peut-être pourrions-nous convenir d’un plan à quatre dans le jacuzzi ? L’idée repartit aussi rapidement qu’elle était venue car je savais que le garçon était trop timide, et surtout, qu’il devait travailler. Le sauna était composé de quatre bancs en bois – deux à droite et deux à gauche de l’entrée, avec toujours un banc plus bas que le second pour former des marches – et d’un bloc de pierres chauffées au milieu. Je m’installais sur un banc en hauteur et attendis patiemment l’arrivée de mon amant. Quelques minutes plus tard, je le vis entrer dans la petite pièce chaude en regardant vers le jacuzzi. Je lui souris et il fit comme s’il n’avait pas vu la russe et son copain trentenaire. Il s’approcha de moi, je me penchais en avant et l’embrassais passionnément. Il me repoussa délicatement en arrière, écarta virilement mes cuisses en admirant mon intimité que la serviette ne pouvait pas cacher, se pencha en avant et commença à me lécher avec fougue. Mes mains se posèrent machinalement sur sa tête et je sentis sa langue s’insinuer dans la fente de mon vagin avec entrain. Il me dégustait comme un chien affamé, me dénuda complètement et à l’aveuglette, posa une main sur mes seins pour les malaxer et introduisit deux doigts dans mon intimité. Moi qui voulait de l’action, j’étais servie. Ses mouvements de langue sur mon clitoris étaient à la fois fermes et précis tandis que ses pénétrations ne souffraient d’aucune limite pudique. J’imaginais son sexe bander dans son boxer et j’avais envie de le prendre dans mes mains, de le sucer jusqu’à ce que mon amant me supplie de continuer pour éjaculer dans ma bouche. J’avais envie de le sentir s’enfoncer en moi, dans tous mes orifices, de l’exciter, de le cajoler, de le masturber, de le… Mes pensées furent subitement coupées par la porte du sauna qui s’ouvrait sur Richard. Le jeune garçon se releva vers le nouvel arrivant comme si de rien n’était. Il me laissa à la vue de cet homme, dans mon plus simple apparat, sans se soucier de ma potentielle pudeur. Décidément, ça avait l’air d’être un bon coup mais son manque de courage faisait indéniablement redescendre mon excitation. J’avais envie de lui dire de rester, de continuer son œuvre, quitte à me partager avec quelqu’un d’autre, mais il ne l’entendait pas ainsi et je croisais les jambes pour limiter les vues sur mon intimité. Sous le regard du quadragénaire, il se retourna vers moi avec un regard apeuré, s’excusa et s’enfuit hors du sauna. Je peinais à remettre ma serviette en évitant le regard inquisiteur du moniteur de ski qui portait également une serviette de douche autour de la taille. – Décidément j’aurais dû venir plus tôt. Je vois que les festivités ont déjà commencé ici et dans le jacuzzi, me dit Richard en rigolant.
– Tu aurais pu frapper avant de rentrer, lui rétorquais-je, énervée par la tournure que prenaient les évènements.
– Désolé, je n’étais pas censé savoir que tu te faisais lécher dans un sauna public par le chauffeur de l’hôtel, répondit-il à son tour en s’asseyant face à moi pour essayer de percevoir mon intimité.
– Tu as raison, c’est toi qui a raison, m’excusais-je en baissant les yeux. Mais ceci étant dit, je ne suis pas la seule à faire ce genre de choses dans des endroits publics, argumentais-je en faisant référence à ses ébats avec Sabrina dans le chalet des moniteurs.
– Tu veux parler de…, commença-t-il en essayant de me tirer les vers du nez.
– Du chalet, oui, assénais-je d’un air triomphant telle une avocate avançant une preuve irréfutable.
– Bon d’accord, on est quitte, conclut-il en rigolant. C’était bon au moins ? demanda-t-il avec son air coquin et son sourire charmeur après un certain moment.
– C’était plutôt bien mais trop court, répondis-je en souriant à mon tour. Dommage que je sois tombée sur un peureux, me confiais-je en lui tenant involontairement une perche.
– Eh bien, dit-il en bombant légèrement le torse, si tu as besoin de quelque chose n’hésite pas, je suis là pour ça. Je le remerciais en sentant mes pommettes rougir, en fixant un morceau de bois d’un air gêné et en faisant osciller mes jambes croisées. Après tout, j’avais eu envie, le matin même, qu’il me prenne dans les vestiaires avant mon cours de ski, puis aussi plus tard avec la femme de Michel. Pourquoi fallait-il que je me prive d’une occasion comme celle-ci ? Pour le chauffeur ? Certainement pas ! Après tout, il m’avait laissée en plan sans même essayer de me protéger. Toute réflexion faite, j’immobilisais mes cuisses puis les décroisais en portant timidement mon regard vers mon homologue. Il guettait mes agissements, attendant certainement le moment propice pour passer à l’attaque. J’écartais lentement mes jambes et vis son regard descendre le long de mon corps pour s’arrêter sur mon entrecuisse qui lui était tout offert. Il souffla, puis me dit : – Tu as un magnifique corps, encore plus beau que dans mes rêves. Sur ces mots il se leva pour passer à l’attaque et quand il fut assez proche, je levais ma jambe, posais mon pied sur son torse luisant de chaleur et lui répondis : – Pas si vite, assieds-toi et montre-moi plutôt ce que tu caches sous cette serviette. Mes mots étaient fermes mais accompagnés d’un sourire malicieux. Je voulais le sentir me désirer jusqu’à n’en plus pouvoir. Je voulais guider la marche, voir ses réactions et sentir ses pulsions monter à l’extrême. Richard se rassit, non sans montrer une certaine touche de mécontentement. Je fis sensuellement glisser mes doigts entre mes cuisses et commençais à me malaxer le clitoris. Le moniteur me lorgnait avec envie. Je savais qu’il voulait me prendre depuis un bon moment. Malgré cela, il décida de rentrer dans mon jeu et d’en suivre les règles. Il écarta sa serviette, sans toutefois la dénouer, et m’exposa son membre bandé et décalotté qui devait mesurer un peu moins de vingt centimètres. Je l’avais déjà vu dans la journée, mais pas d’aussi près. Il était beau et virile avec des veines qui ressortaient ici et là. Ses bourses pendaient nonchalamment avec la chaleur environnante. C’était à mon tour de vouloir me précipiter vers lui pour enfoncer ce mât puissant dans ma petite bouche. Mon excitation redoubla quand il commença à se masturber doucement. Mon cœur battait la chamade et ma langue passa instinctivement sur mes lèvres par gourmandise. Je voulais ses mains sur moi et son sexe en mon sein. Je le désirais plus que tout mais tentais de faire preuve d’un peu de recul. J’enfonçais deux doigts dans mon intimité et observais son sexe se tendre. Il réagissait plutôt bien à mes agissements. Nous nous masturbâmes de concert en se dévorant du regard. La tension montait de seconde en seconde puis je retirais mes doigts et me relevais. Je vis dans son regard une lueur d’espoir qui s’évanouit lorsque je me retournais vers le mur. Mes pieds étaient posés sur le banc inférieur et je me penchais en avant pour poser mes mains sur le banc supérieur. J’écartais légèrement mes jambes et ma serviette s’arrêtant sur le haut de mes fesses ne lui cacha rien de mon entrecuisse luisant. Je fis courir mes doigts sur mes fesses puis le long de ma raie pour les arrêter sur ma rondelle. Je leur fis décrire de petits cercles autour de mon sphincter, puis m’enfonçais un doigt dans l’anus sous le regard ébahi du quadragénaire. Essayant une nouvelle fois de passer à l’attaque, Richard se retrouva bloqué par mon pied qui se posa sur son buste. Il aurait pu le repousser, enlever ma main et enfoncer son sexe d’une traite dans mon petit cul et j’aurais crié, sans pour autant me débattre. Il aurait pu me sodomiser comme un diable et j’aurais adoré. Mais Richard fit preuve de tact. Sa main retrouva le chemin de son sexe qui dépassait de sa serviette et il recommença à se masturber en me regardant me doigter l’anus. Soudain, il s’arrêta et remit sa serviette par-dessus son sexe. – Bon, je pense que l’on a assez joué, me dit-il. Je retourne dans ma chambre. Je n’en croyais pas mes oreilles. Il voulait vraiment partir ? Maintenant ? Alors que je m’apprêtais à passer aux choses sérieuses ? Il ouvrit la porte et fit un pas pour sortir du sauna lorsque sa serviette s’enleva, le laissant nu comme un ver à la vue de tous. Il se retourna vers moi avec un regard un peu agacé. Je tenais dans mes mains son seul habit et le regardais avec un sourire malicieux. Il fit marche arrière et voulut s’emparer de sa serviette que je mis derrière mon dos en le défiant. Il évalua un instant la situation, puis, comme je l’avais prévu, m’enleva d’un geste sec ma propre serviette. Nous étions désormais tous deux nus. J’ouvrais ma bouche d’un air faussement indigné et il se jeta à l’eau en m’embrassant farouchement. J’empoignais immédiatement son sexe tant désiré et commençais à le masturber tandis que ses mains attaquèrent sans tarder mes fesses qu’il malaxa fougueusement avant d’introduire profondément un doigt dans mon anus. Je râlais de plaisir en sentant ce corps étranger assez large s’insérer en moi et me réjouis de voir que Richard laissait parler ses envies. Cela faisait si longtemps que je le voulais et l’inverse était, semblait-t-il, vrai. Il me caressa virilement de l’intérieur tandis que je le masturbais rapidement. – J’ai envie de te sucer, lui murmurais-je entre deux gémissements. Ces mots l’excitèrent particulièrement car ils flattèrent son égo. Moi, Sabrina, son homologue de presque vingt ans sa cadette, le suppliait de pouvoir prendre son sexe dans sa bouche. Ce n’était cependant pas une stratégie de ma part, j’avais réellement envie, voir besoin, de ça. Richard hocha la tête comme si sa réponse était nécessaire et je le poussais vers le banc sur lequel il était assis quelques minutes auparavant. Il retira son emprise sur moi et pris place sur les lattes de bois en écartant ses cuisses pour me laisser la place. Il admira mon corps nu devant lui, plongea son regard dans mes yeux verts puis m’observa m’agenouiller sensuellement entre ses jambes. Mes genoux se posèrent sur le sol, je rabattais mes cheveux humides et ondulés vers la gauche de ma tête où ils retombèrent sur mon épaule, puis observais le sexe de Richard, posé sur son ventre. Je voulais encore jouer un peu avec ses nerfs et sentir la tension monter davantage. Je rapprochais mes lèvres de ses bourses et tout en le regardant passionnément, je les gobais langoureusement à tour de rôle. Je prenais mon temps pour les suçoter et faire monter le désir qui sommeillait en elles. Richard me regardait avec envie. Je cambrais mon dos, posais ma langue entre ses deux testicules puis remontais lentement vers son gland en sentant sa hampe se durcir à mon passage. Je taquinais un peu son frein puis saisis doucement sa hampe à l’aide d’une main. Je voulais lui dévorer le sexe comme une chienne affamée mais me contrôlais pour laisser durer un peu le suspense. Je laissais ma langue virevolter à la base de son gland puis sautais le pas et l’enfonçais précautionneusement dans ma bouche. Les muscles de Richard se crispèrent puis se détendirent lorsqu’il souffla de plaisir. Malgré la chaleur ambiante, son gland était plutôt frais et le liquide pré-éjaculatoire lui le recouvrait lui donnait très bon goût. Sa main passa doucement sous mes cheveux pour venir se poser derrière ma tête et je me surpris à prier pour qu’il me dicte un rythme rapide de fellation. Mais Richard n’en fit rien, il me laissa jouer et aspirer son gland doucement en regardant mes joues se creuser pour mieux le sucer. Je lui faisais une pipe comme une pucelle s’y attelle pour la première fois, avec timidité, méticulosité et retenue. Pourtant je voulais tout le contraire et Richard devait se douter que je pouvais, sinon voulais, faire plus. Il me laissa avec les limites que j’essayais de maintenir mais qui volèrent bientôt en éclat. Je retirais son sexe de ma bouche, prenait un peu de hauteur et fis couler un long filet de bave qui s’écrasa sur son pieux et dévala sa hampe. A l’aide de ma langue, j’étalais le liquide sur son membre puis, après lui avoir jeté un regard coquin, passais à l’attaque. J’enfonçais d’une traite son sexe au fond de ma bouche et entamais une fellation bien plus sauvage. Richard sourit d’un air satisfait et gémit en renforçant sa poigne derrière ma tête. Les bruits de bave remuée et de succions résonnèrent rapidement entre les quatre murs de la pièce tandis que ma tête montait et descendait à un rythme effréné au niveau de son bassin. Le quadragénaire maintenait une petite pression sur ma tête et admirait ma tête s’empaler du son chibre, mes lèvres enserrer sa hampe, ma main le masturber et ma langue lustrer son gland. Il était si bon que ma prochaine action parue comme une évidence. Non sans quelques difficultés, j’enfonçais son sexe dans ma gorge et le faisais disparaître entre mes lèvres devant les yeux ébahis de Richard. Je sentis le bâton de chair se durcir en déformant ma trachée mais tins bon et poursuivais ma descente jusqu’à ce que mon nez se colle au pubis du moniteur. Comme pour le surprendre davantage, je sortis ma langue de ma bouche obstruée et léchouillais ses bourses qui s’étaient rétractées sous l’effet de l’excitation. Le bel étalon n’en revenait pas car jamais une femme ne lui avait fait quelque chose de semblable, qui plus est avec envie et facilité. Soudain, toute une myriade d’idées et de possibilités lui vint à l’esprit. Je sentis sa main étreindre une mèche de cheveux et commençais à le sucer plus profondément, en utilisant ma gorge pour le faire gémir. – Tu suces trop bien…, me susurra-t-il à l’oreille sans pour autant finir sa phrase.Je me rappelais les mots crus qu’il avait utilisé avec l’autre Sabrina et me demandais s’il voulait également les utiliser avec moi. En réalité, je voulais qu’ils les utilisent car c’était, pour moi, révélateur de son état et de ses idées. Et je ne voulais pas qu’il ait des idées pieuses, bien au contraire. Je retirais péniblement son sexe de ma gorge puis de ma bouche et pris une longue inspiration en continuant de le masturber. – Sabrina ? lui demandais-je comme pour compléter malicieusement sa phrase.
– Oui, mentit-il en balbutiant de peur que je le prenne mal et que je mette fin à la fellation, c’est ce que j’allais dire.
– Dommage, répondis-je d’un air triste en sentant un filet de bave couler sur ma poitrine dure, j’aurais préféré « salope », ajoutais-je non sans lui sourire coquinement. Je me réjouissais de voir Richard rester bloqué un instant. Lui qui respirait la virilité, voir le machisme, venait de se faire distancer par une jeune femme qui lui en mettait plein la vue. Sentant que j’avais fait mouche, je pris une inspiration et me tint prête pour la suite. La réaction de Richard ne se fit plus attendre. Il attrapa son sexe d’une main en emprisonnant la mienne, puis exerça une pression sur ma tête pour me ramener vers son bassin. J’eus à peine le temps d’entrouvrir les lèvres que son membre s’enfonça en moi brutalement. Je me laissais faire sans résister et appréciais les envies de Richard se matérialiser. Ses deux mains prirent possession de ma tête que le quadragénaire utilisa pour se faire plaisir. Il besognait mes lèvres avec fougue et s’arrêtait parfois en gardant son sexe au fond de ma bouche en le contractant. Il retira un instant ma tête pour que je puisse reprendre ma respiration, mais je repartais à l’attaque pour lui montrer à quel point j’avais envie de le sucer. Il enleva à nouveau ma tête et la maintint éloignée, comme pour me priver de son corps. Je le suppliais du regard, le suppliais de ma laisser le prendre en bouche et Richard s’en amusa presque. – Tu as envie de la sucer, hein ? me demanda-t-il d’un ton délicieusement obscène en agitant son membre devant moi et en renforçant son emprise sur mes cheveux. Tu sais ce que tu es ?
– Une salope, répondis-je en sentant mon bassin brûler de plaisir et mes tétons pointer comme jamais.
– Non, non, non, murmura-t-il férocement. Tu es ma salope, me reprenait-il en enfonçant son gland dans ma bouche puis en le ressortant immédiatement. Et que fait une bonne salope ?
– Sucer, m’hasardais en commençant à vraiment être excitée par ce petit jeu.
– Alors qu’est-ce que tu attends ? me demanda-t-il. Sans attendre de réponse, Richard tira sur ma tête et enfonça de nouveau son sexe en moi jusqu’à la glotte. Je le sentais la pression continuer, voir s’accentuer, et je compris son dessin. J’ouvris ma gorge en grimaçant et sentis son pieu l’investir sans ménagement. J’aimais la façon dont il avait de m’utiliser avec virilité. J’avais tout fait pour en arriver là, je ne pouvais pas me plaindre. Il me faisait le sucer comme une dingue et cela dépassait de loin ce dont il avait toujours rêvé. Il m’encourageait avec des mots crus, voir grossiers, mais cela ne me déplaisait aucunement. J’avais envie de me doigter, ou plutôt, de le sentir me doigter, m’envahir toutes les extrémités. Mon corps était luisant de sueur, bouillonnant de chaleur et d’envies tandis que celui de Richard était rouge de plaisir, contracté et dur comme un roc. – J’ai envie lécher ta belle petite chatte et ton joli petit cul avant de les baiser, dit Richard sans hausser la voix. Ça te dit ? me questionna-t-il sans relâcher la pression de ses mains. J’acquiesçais en gémissant puis il poussa ma tête en arrière et m’invita à monter sur l’escalier. Je reprenais difficilement mon souffle et il m’aida à poser un pied de chaque côté de son bassin. Il me retourna ensuite de sorte à avoir mes fesses devant lui puis me poussa à faire un grand écart jusqu’à ce que ton intimité soit à portée de lèvres. Je sentis sa langue s’immiscer en moi et je gémis de plaisir. Malgré ses airs d’homme dominateur voulus par les règles « sauvages » du jeu, Richard restait une personne douce et sensible à certains égards. Il me léchait avec envie et passion comme s’il avait toujours attendu ce moment pendant longtemps. En voyant son sexe bandé laissé à l’abandon, je ne pu m’empêcher de vouloir le cajoler. Je penchais mon buste vers l’avant, saisis son sexe d’une main et l’inséra dans ma bouche. Le bassin de Richard se souleva instinctivement et sa main retrouva le chemin de ma nuque pour mieux sentir mon œuvre. C’était un soixante-neuf acrobatique que je trouvais tout à fait plaisant malgré ma position compliquée. Richard me léchait assidûment tandis que je le suçais avec méticulosité. Il semblait s’être un peu calmé mais à peine cette idée m’avait-elle effleurée l’esprit que je sentis son doigt pénétrer mon anus sans trouver de quelconque obstacle sur son chemin. Il me doigtait intensément et je sentais son sexe bander encore plus entre mes lèvres. Il voulait mon petit cul et il l’aurait. Une fois son appétit pour mon intimité rassasiée, Richard me fit part de son envie de me faire l’amour, sans y mettre les formules de politesse. Je changeais donc de position en m’asseyant sur lui. Je posais mes pieds au niveau de ses genoux pliés et prenait appui de mes mains sur le bord du banc supérieur. Mon bassin flottait au-dessus de celui de Richard et je sentis le quadragénaire porter son sexe à l’entrée de mon intimité. Nous y étions enfin, le moment que j’attendais tant. Il posa son autre main sur ma hanche et m’invita à descendre. Je descendais doucement mon bassin en sentant son sexe écarter mes lèvres et me remplir le vagin à la perfection. Nous gémîmes de concert, puis aidée par mon amant, je commençais à monter et descendre sur lui et sa main libre vint malaxer ma petite poitrine ferme. Nos corps suants glissaient l’un contre l’autre en émettant des bruits humides et érotiques. Je jetais un coup d’œil à travers la porte vitrée du sauna et remarquais, caché derrière une poutre de bois, le jeune chauffeur nous regarder avec envie et jalousie. Que devait-il penser de moi ? Et quelle sensation ressentait-il sachant qu’il aurait pu être à la place de Richard ? J’avais un petit pincement au cœur mais en vins à la conclusion qu’il était le seul responsable de la situation. Maintenant il n’avait qu’à me mâter en train de me faire prendre par un homme, un vrai. Et je voulais d’autant plus qu’il me voit me faire prendre sauvagement, sans vergogne et sans pudeur, pour qu’il regrette ses actes et sa lâcheté. J’avais tellement attendu de me faire prendre par Richard, et qui plus est sous le regard du chauffeur, que l’orgasme ne tarda pas à arriver malgré nos gestes lents. Je criais de plaisir sans retenue pour que le jeune homme m’entende et je sentis la satisfaction s’emparer de mon amant. Ma cyprine coulait sur son mât, ce qui était plutôt une bonne nouvelle pour la suite de mon plan. Tout en reprenant mes esprits, j’écartais les jambes de Richard et posais mes pieds sur le sol entre les siens. Je retirais lentement son sexe lubrifié du mien, et le posais sur mon anus. Richard se crispa de plaisir en comprenant mes intentions et en voyant mon petit cul forcer sur son sexe pour l’y introduire. Il prit la relève sur ma main et je posais les miennes sur ses genoux pour prendre appui. Je poussais ensuite mon bassin vers le sien et sentis quasi-immédiatement son gland me pénétrer. Je grimaçais de plaisir et notre voyeur devait désormais être sûr de ce qu’il se passait à l’intérieur du sauna. Richard pouvait voir son sexe imposant disparaître dans mon anus en le dilatant et cette vision ne cessait de l’excitait car son membre se tendait à intervalles réguliers et rapprochés. Je finis par m’empalais entièrement sur lui et en prenant appui sur mes jambes fermées et fléchies, j’entamais des allers retours lents mais amples et profonds tout en me déhanchant pour mieux sentir ce mât me remplir. Richard gémissait en me répétant que j’étais trop « bonne » et ses mains prirent les miennes en otage pour les ramener vers lui. Il reprenait le contrôle. Mes bras étaient tendus vers l’arrière et le quadragénaire en usait pour me faire aller et venir à sa guise. Malgré la folie qu’il pouvait avoir, je me sentais en sécurité avec lui et j’avais envie qu’il recommence à lâcher prise. Sans bouger autre chose que ses bras, Richard dictait la cadence et me sodomisa de longues minutes ainsi. Sur mon invitation, il me délivra de son emprise et suivit mon corps qui se mettait en position de levrette sur le sol sans se retirer de ma cavité anale. Il posa ses mains sur le rebord du banc inférieur et baissa son bassin dans le vide pour qu’il arrive à la même hauteur que le mien. J’allongeais mes bras sur le sol en baissant ma tête, en creusant mon dos et en faisant ressortir mes fesses afin que mon amant soit électrisé par cette vue. Le bassin du moniteur se mit alors en marche et la sodomie pu reprendre de plus belle devant notre voyeur. Cette fois-ci, je tentais de rester immobile tandis que Richard accomplissait son œuvre en percutant mes fesses de plus en plus intensément. Le bel homme mugissait bestialement tandis que je lançais des cris de plaisir à moitié étouffés. Devant le regard du jeune courtisan, le vieux lion sodomisait si puissamment la jeune lionne que son corps était emporté vers l’avant à chaque pénétration. Je mis une main entre mes cuisses pour me masturber et atteignit immédiatement l’orgasme tant j’étais à fleur de peau. Mes cris résonnèrent dans le sauna, mes muscles se contractèrent de plaisir et mon sphincter se referma autour du sexe de Richard qui accéléra soudainement la cadence. Il se retira en laissant un trou béant à la place de mon anus et éjacula sur mon dos puis sur la raie de mes fesses. Je sentis sa semence chaude recouvrir mon corps trempé de sueur et de vapeur d’eau puis son gland se posa dans le sillon de mes fesses et apporta une quantité de sperme jusqu’à mon anus, comme pour me marquer de l’intérieur également. Je restais un instant dans cette position, le corps un peu endolori, mais consciente que mon amant admirait mes formes ainsi que son œuvre. Au bout d’un moment, il m’aida à me relever et nous nous embrassâmes en reprenant lentement notre souffle. – Tu es la plus belle femme que j’ai eu l’occasion de…, commença Richard en me souriant.
– De sauter ? De sodomiser ? complétais-je d’une voix douce et coquine.
– Les deux, je présume, dit-il en m’embrassant.
– Je serais sûrement en avant demain matin, insinuais-je en posant délicatement ma main sur son sexe exténué. Peut-être que…, continuais-je en me mordant la lèvre.
– J’y serai ! confirma Richard avec un entrain presque enfantin.
– Dans ce cas, je te souhaite bonne nuit et te dis à demain, conclus-je en l’embrassant une dernière fois. J’enroulais mon corps dans ma petite serviette et quittais le sauna sans me retourner mais en sachant pertinemment que je laissais un homme comblé et vidé derrière moi. Il ne restait plus que le jeune chauffeur de la navette, qui avait disparu de derrière de poteau en bois tout comme Ekaterina et le père de famille du jacuzzi. Je reprenais les ascenseurs en essayant de percevoir l’aura du saisonnier mais ne le vis nulle part. Je marchais dans les couloirs en évitant le regard des badauds et en cherchant un indice pouvant me confirmer la présence du jeune homme. J’allais ouvrir la porte de ma chambre lorsque je le sentis enfin s’approcher derrière moi. Je souris intérieurement lorsque sa main se posa sur mon dos et me plaqua face à la porte en bois. Je faisais mine d’être choquée, voir apeurée, en entendant le cliquetis de sa ceinture qu’il défaisait. En réalité, j’écartais indiciblement mes jambes et tendais un peu mes fesses vers l’arrière pour qu’il puisse les voir dépasser de dessous ma petite serviette blanche. Une main vint se poser sur ma bouche pour étouffer mes cris et je sentis le sexe bandé du jeune homme s’enfoncer d’une traite dans mon anus encore lubrifié de semence. Une deuxième main vint se poser sur ma bouche et mes plaintes se perdirent dans ma bouche. Le jeune homme me sodomisa comme jamais je ne l’avais été auparavant. Ses mouvements étaient si rapides et intenses que je ne pouvais rien faire. Son bassin claquait mes fesses de façon fulgurante et mon anus, pourtant bien dilaté, fut mis à rude épreuve. Le jeune voulait finir rapidement et il voulait se décharger de toute sa frustration et sa jalousie. Quant à moi, je me laissais faire car finalement je pouvais voir sa face cachée, son instinct animal. Quel homme doué de raison irait sodomiser ainsi à découvert une cliente de l’hôtel pour lequel il travaille sinon un homme qui a perdu pied ? Au milieu du vacarme que générait les chocs entre nos corps, le chauffeur me susurra à l’oreille : « Tu aimes te faire enculée comme ça, hein salope ? ». Malgré ces mots crus, je décidais de rentrer dans son jeu et acquiesçais en émettant deux bruits gutturaux approbateurs. Il ne sembla pas quoi savoir dire sur le moment car il ne s’attendait pas à avoir ce type de réponse. Cependant, cette preuve que je prenais du plaisir sembla l’exciter terriblement car il se retira soudainement de mon petit cul, me retourna face à lui et me dis de m’agenouiller, dos à la porte de ma chambre. Je regardais son visage grimaçant et ouvrais ma bouche sans qu’il n’ait eu le temps de me le demander. Immédiatement, le chauffeur planta son sexe dans ma gorge, poussant ma tête contre la porte, et me besogna la bouche aussi rapidement qu’il m’avait sodomisée. Mes lèvres peinaient à encaisser ses coups de reins, ses bourses claquaient contre mon menton et son sexe de cessait de se tendre en moi, diminuant considérablement l’apport en oxygène dont mon corps avait besoin. Sa hampe avait la saveur de la semence de Richard, mais ça, je devais être la seule à le savoir. Je plaçais mes mains sur son pantalon au niveau de ses fesses sans pour autant essayer de le ralentir. Finalement, le chauffeur poussa un grognement, enfonça son sexe au plus profond de ma gorge sans me ménager, et éjacula toute la semence contenue dans ses bourses. Je manquais de m’étouffer, voire de vomir, mais la présence de ce sexe en moi m’en empêchait. Une partie de son nectar dévala donc ma trachée tandis que l’autre trouva le chemin de mes lèvres pour être déchargée contre ses bourses rétractées. Une fois l’éjaculation terminée, le chauffeur se retira de ma bouche sans prévenir. Il allait s’enfuir en me laissant à peine le temps de reprendre ma respiration et d’avaler sa semence qui restait en moi. C’est à ce moment-là que je le retins par le pantalon avec mes mains. Je finis de reprendre mes esprits et un semblant de respiration sous le regard questionneur de mon amant. Je me penchais finalement vers son bassin et le suçais méticuleusement pour nettoyer son membre de toute trace de bave ou de sperme. Le jeune homme était bouche-bée devant ma dévotion car il ne savait pas à quel point j’avais aimé ce moment et voulais l’en remercier. Une fois sa queue bien lustrée, il la remit dans son pantalon, se pencha en avant pour déposer un baiser sur mon front, me remercia et fila l’esprit troublé mais étonnamment apaisé. Je restais agenouillée en le regardant partir, puis décidais de rentrer dans ma chambre, de faire un brin de toilette et de partir me coucher, les orifices délicieusement usés après cette journée torride. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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