Représenter son entreprise aux obsèques d’un collègue, ce n’est pas très excitant mais l’histoire que je vais vous conter peut faire vous changer d’avis. C’était il y a un an. Mon collègue Bernard Cordier était mort subitement d’un infarctus. En pleine réunion de travail, il s’était levé brusquement, les mains agrippées à sa poitrine et s’était écroulé sur la table, mort. Les secours n’avaient rien pu faire. Étant son plus proche collaborateur, je m’étais proposé pour représenter notre entreprise à ses obsèques. Celles-ci se déroulaient dans son village natal à une cinquantaine de kilomètres au sud de Paris. J’étais parti tôt car la messe débutait à dix heures. Sur place, j’avais confié la couronne de fleurs aux employés des pompes funèbres et rejoint le groupe qui pénétrait dans l’église.Il y avait une trentaine de personnes. Marianne, la femme de Bernard et ses deux enfants, les parents, le frère et sa femme, quelques cousins, et des amis. L’ambiance était plombée, je me mis au diapason en baissant la tête. La cérémonie fut émouvante, le frère de mon collègue fit la lecture de passages de la bible. Intérieurement, je souriais car Bernard était un joyeux fêtard, gros mangeur, gros buveur, et ne se privant pas, à l’occasion de nos déplacements en province, de tromper sa femme avec des putes de luxe que nous sélectionnions sur Internet avant de partir. Pourtant, Marianne était magnifique.C’était une belle bourgeoise blonde aux yeux bleus, grande et mince. Les cheveux longs et fins, la poitrine généreuse, les fesses hautes. Lors de soirées organisées par notre entreprise, j’avais pu secrètement l’admirer. Nous n’avions jamais échangé que deux ou trois phrases banales. Marianne était discrète, effacée derrière son mari, mais je la trouvais terriblement bandante, vêtue avec classe, un brin sexy.Avant d’entrer dans l’église, j’avais pu détailler sa tenue. Elle portait un tailleur noir à fines rayures grises. La jupe, qui s’arrêtait aux genoux, épousait ses formes pleines et était fendue devant. Ses jambes étaient gainées de nylon noir à couture et ses pieds étaient chaussés d’escarpins vernis noirs à talons hauts. La veste boutonnée masquait le haut de ses fesses et laissait apercevoir un corsage noir en soie boutonné jusqu’en haut. La belle veuve avait relevé ses longs cheveux blonds en un strict chignon. Elle portait sur sa tête un petit chapeau noir recouvert d’un voile de crêpe noir transparent qui couvrait son visage éploré. Elle portait enfin une paire de gants noir brillant. Je la trouvais absolument craquante et me sentais excité.La messe prit fin et tout le monde sortit de l’église. Marianne, accompagnée de ses deux enfants, émergea sous le soleil. Elle reçut les condoléances de l’assistance, dignement. Mon tour arriva et je me présentai face à elle ; je vis ses beaux yeux bleus humides derrière le voile et un timide sourire.— Merci d’être venu, Richard, me dit-elle. Je sais que Bernard et vous étiez très proches.— C’était un véritable ami, Marianne. Sachez que je suis à votre entière disposition.— Merci, dit-elle en baissant les yeux.Tout en lui adressant les condoléances au nom de l’entreprise, je matais discrètement sa poitrine généreuse qui tendait agréablement la soie de son chemisier noir et les pans de la veste de tailleur puis je m’éloignai de quelques pas. Le personnel des pompes funèbres sortit le cercueil et l’engouffra cérémonieusement dans le corbillard. Autant Marianne restait digne, toute en retenue, autant sa fille Mélanie, âgée de dix-huit ans, laissa exploser sa peine. Elle cria « Papa ! » et se mit à pleurer. Sa mère la consola dans ses bras, puis la confia au frère du défunt, Gilbert. J’étais resté à proximité, alors que le reste de l’assistance, pudiquement, s’était éloigné afin de gagner les voitures pour suivre la procession jusqu’au cimetière. Gilbert s’adressa à sa belle-sœur :— Marianne, je vais prendre Mélanie et Olivier dans ma voiture. Tu peux monter avec les grands-parents, proposa-t-il.La veuve hésita un instant. Manifestement, elle n’avait pas envie de laisser ses enfants, et encore moins de se retrouver avec ses beaux-parents. Je m’avançai :— Si vous le souhaitez, je peux vous proposer ma voiture, Marianne, je suis garé juste derrière.Elle hésita encore, puis avisant ma main tendue, accepta :— Merci, Richard, ça ne vous dérange pas ? demanda-t-elle poliment.— Non, bien sûr que non, répondis-je, ça me fait plaisir.Elle prit mon bras et nous nous dirigeâmes vers ma Jaguar. Ma voiture est une X-type, berline sportive, confortable, sellerie cuir. J’ouvris la portière à ma passagère qui prit place ; elle tendit ses jambes en faisant remonter sa jupe et je pus apercevoir lors d’un fugace instant une bande de peau nue au-dessus du nylon noir. Marianne portait des bas ! Vision fugitive qui fit instantanément grossir ma queue dans mon boxer. La belle s’assit dans le siège en cuir et tira le bas de sa jupe sur ses genoux. Je contournai la voiture et m’installai au volant. J’avisai le corbillard qui démarrait lentement et prit sa suite. Le cortège devait se rendre au crématorium distant de quelques kilomètres, dans la ville voisine. Marianne s’était emparée d’un mouchoir et, soulevant son voile, le porta à ses yeux. Elle pleurait silencieusement. Je n’osai rien dire mais je lâchai le volant pour tapoter son genou gauche gainé de noir. La veuve ne réagit pas. Alors je laissai ma main posée sur le genou immobile. Elle baissa son mouchoir et se tourna vers moi :— C’est vraiment gentil d’être venu, merci Richard, dit-elle.— Pas de quoi, Marianne, répondis-je, tout en laissant ma main sur le genou de ma passagère.— Je suis tellement nerveuse, je n’ai pratiquement pas fermé l’œil, cette nuit.— Oui, j’imagine ! Profitez de l’instant, détendez-vous.— Oui, merci.Marianne ferma les yeux et s’enfonça un peu plus dans son siège, faisant glisser ses fesses. Sa jupe se retroussa de quelques centimètres, dévoilant le bas de sa cuisse. J’y fis glisser ma main, faisant agréablement crisser le nylon. Marianne avait posé ses deux mains sur le siège, de chaque côté de ses jambes. Elle ne semblait pas réagir au contact de ma main sur sa cuisse, à la lisière de sa jupe. Je décidai de m’enhardir et fis progresser lentement ma main sous la jupe, la retroussant jusqu’à dévoiler la cuisse blanche au-dessus du bas nylon. Je me mis à masser délicatement la peau douce. Marianne ouvrit les yeux et tourna la tête vers moi, sans pour autant dégager sa jambe de mes caresses.— Richard, que faites-vous ? demanda-t-elle doucement.— Ne voyez pas dans ce geste une insulte, Marianne. Je vous sais infiniment triste, et anxieuse à la fois. Je voudrais que ce trajet en voiture soit pour vous une parenthèse, un moment de détente, loin de votre peine. Abandonnez-vous à mes caresses, ne pensez plus à rien.Marianne ne répondit pas et au bout de quelques secondes, je la sentis se détendre à nouveau. Ses jambes s’ouvrirent lentement afin que ma main puisse gagner l’intérieur de la cuisse, là où la peau est si douce, tout près d’une petite culotte que je devinais en dentelle.La belle veuve glissa un peu plus ses fesses vers l’avant du siège, écartant encore les jambes. Je la vis glisser ses mains vers le bas de sa jupe et remonter cette dernière jusque sa taille. Par ce geste, sans un mot, elle me signifiait qu’elle se donnait à moi, qu’elle me donnait sa chatte.Je plaquai alors ma main droite contre sa petite culotte et me mis à frotter sa chatte sous la dentelle. Je peinais à voir le visage de la belle veuve, masqué derrière sa voilette, mais j’entendais sa respiration s’accélérer. Je glissai un doigt sous la dentelle et parcourus le sillon de sa vulve. Je ne sentis aucun poil, uniquement une peau incroyablement douce, nue. La belle devait s’épiler ! Ma queue fit un bond dans mon boxer. Je caressai un peu plus haut et sentis une petite touffe de poils sur le pubis. Je redescendis le majeur sur la vulve, et massai la fente, de haut en bas, lentement, insinuant mon doigt délicatement dans le vagin. Bientôt, alors que les petites lèvres s’ouvraient en corolle, j’enfonçai le doigt profondément dans l’antre humide et brûlant, arrachant un cri subit puis un soupir de plaisir chez ma passagère.— Oh, Richard, gémit-elle, c’est si… doux, si… bon.Je la doigtai lentement, profondément et bientôt je joignis l’index au majeur. Sa chatte était brûlante, soyeuse, humide. La belle veuve se mit à onduler du bassin et, empoignant mon avant-bras de sa main droite, se mit à guider mes doigts en elle, accélérant le rythme de la pénétration. La tête renversée en arrière, elle gémissait sans discontinuer. Je bandais comme un cerf et je faillis décharger comme un collégien dans mon pantalon quand je la vis lever la cuisse droite et poser le talon de son escarpin sur le tableau de bord en face d’elle, dans une position incroyablement impudique. Faisant fi de tout ce qui se passait à l’extérieur, cette belle salope se faisait jouir ! Je voyais sa voilette se soulever au rythme de sa respiration saccadée. La main droite agrippée à la mienne, elle faisait aller et venir mes doigts dans sa chatte détrempée.Les grilles du cimetière apparurent sur la droite. J’enclenchai le clignotant et m’engageai sur le parking tandis que le corbillard s’engouffrait lentement à travers les grilles ouvertes. Marianne soudain se cambra en arrière et poussa un cri de jouissance, mes doigts enfoncés à mort dans sa chatte ruisselante. Elle resta ainsi, le souffle coupé, pendant plusieurs secondes, puis elle s’effondra sur le siège comme une poupée, libérant ma main. Excité, je portais mes doigts à mes lèvres, savourant cette mouille divine.Je me garai un peu à l’écart alors que les autres voitures commençaient à se ranger près des grilles. Je coupai le contact et baissai ma braguette pour entamer une masturbation. Marianne, qui avait recouvré ses esprits, tirait sa jupe sur ses genoux. Elle me vit et s’écria :— Mon dieu, Richard, je dois vous remercier pour ce que vous m’avez fait, mais… vous êtes dans un état !… Je veux dire, je crois que je n’en ai jamais vue d’aussi… grosse !Il est vrai que j’étais tellement excité que ma queue dépassait largement de la main qui la branlait. Le gland imposant et décalotté était d’un rouge luisant et des gouttes perlaient au méat. Encore une fois, Marianne me surprit. Elle releva prestement sa voilette, et, repoussant ma main pour empoigner ma queue à son tour, elle se pencha en avant et emboucha mon gland. Elle se mit à le téter goulûment. Déjà très excité, je ne résistai pas à cette caresse buccale diabolique. Je me laissai gagner par la jouissance et je sentis bientôt les bordées de sperme gicler entre les lèvres de la belle veuve. Celle-ci les avala une par une, consciencieusement, sans lâcher prise une seule seconde, jusqu’à ce que ma bite ramollisse dans sa main gantée. Puis, elle releva la tête et baissa sa voilette.— Dans l’état où vous étiez, vous n’auriez pas pu descendre de votre voiture, dit-elle.— Effectivement, Marianne, répondis-je en souriant. À moi donc de vous remercier de votre aide précieuse.Je descendis de voiture après m’être rhabillé et allai lui ouvrir la portière. Comme si rien ne s’était passé, la somptueuse veuve sortit dignement, sans tourner la tête vers moi et se mit à marcher lentement vers sa famille, qui l’entoura et l’entraîna lentement vers le cimetière où je la perdis de vue.