Ce soir-là , alors que je revenais de prodiguer des conseils d’informatique à une amie et que je retournais chez moi, une envie viscérale de déguster des raisins bien juteux m’a fais bifurquer de mon chemin. J’ai donc mis le cap sur le marché du coin. Arrivée sur place, je me mis en quête de bien fouiller parmi la variété de raisins offerte afin de dénicher ceux qui auraient tout à l’heure rendez-vous avec ma bouche. Alors que je cherchais, j’ai entendu une voix derrière moi me disant une banalité du genre de :— Ils sont chers ces temps-ci hein?Je me suis retournée, m’attendant à avoir à faire à une de ces personnes que l’on croise souvent… mais à qui on ne porte souvent pas attention. Au lieu de ça, je suis tombée nez à nez avec un homme au physique plutôt « inspirant » et détenteur d’un de ces regards et d’un de ces sourires dont vous ne vous lassez pas de goûter des yeux. Un peu surprise, non pas par son commentaire mais bien par son allure, je n’ai pas trouvé mieux que lui répondre une banalité, ma foi, encore plus banale que la sienne. Ce qui était sûr par contre c’est que je ne pouvais pas partir « des raisins » sans faire profiter mes yeux encore un peu de ce qu’ils voyaient donc j’ai entrepris de lui faire la conversation du mieux que je le pouvais… dans les circonstances. Cela n’a pas été si difficile puisqu’il semblait ne pas demander mieux.Humm! Ils étaient bien beaux les raisins… il était encore plus beau cet inconnu mais je ne pouvais quand même pas m’incruster là , la fermeture de l’épicerie était imminente. Je lui ai donc fais mes salutations, en me maudissant presque intérieurement de ne pas avoir eu le courage de lui sauter dessus, et continuai mon chemin.Le hasard… ou le désir par contre n’avait pas dis son dernier mot, tous les prétextes semblaient bon pour se croiser à nouveau lui et moi à travers les allées. Un frôlement, un sourire enjôleur, un regard à la dérobée… les messages étaient plus que clairs. C’était impossible que cette rencontre ne s’en tienne qu’à une petite conversation… devant les raisins.J’ai presque crû que j’avais complètement raté ma chance de pouvoir découvrir un peu plus cet homme lorsque j’ai été interrompue dans mes fantasmes par cet adonis inconnu qui arrivait derrière moi alors que j’allais refermer la portière de ma voiture. La conversation s’est donc poursuivie… et moi, dans ma tête, je voyais des images se bousculer à vive allure sur ce que je lui réserverais comme sorte. Au diable la dégustation de raisins!Le courant passait, la chimie était puissante et l’attraction que nos deux corps se manifestaient était incontrôlable. Je ne connaissais rien de lui, pas plus que lui de moi mais qu’importe, tout ça était beaucoup trop puissant pour que ça s’arrête ainsi. Un léger baiser qu’il a déposé sur mes lèvres, qui en aurait voulu plus, allait donner le coup de départ à un moment torride, je n’allais certainement pas rater cette occasion. En guise d’invitation, je lui ai rendu un baiser plus avide doublé d’un regard qui en disait long sur mes intentions. Malgré qu’il s’agissait là d’un langage muet, il a très bien saisi le message et m’a suivi jusque chez moi pour la suite… de la dégustation. Arrivés chez moi, le désir rehaussé d’un cran et les inhibitions en moins, nous n’avons pas perdu de temps en présentations et avons tout de suite entrepris de nous explorer.Sa peau si douce, si tendue par ses muscles saillants, son regard si enjôleur n’ont eu que pour effet que me faire attaquer à nouveau sa bouche. Mes lèvres avides goûtant les siennes, ma langue cherchant la sienne. Durant ce baiser enflammé, ses mains se baladaient sur mon corps, frôlant au passage ma chatte déjà mouillée, empoignant fermement tantôt ma généreuse poitrine de ses mains puissantes. Nous en étions encore qu’au stade découverte mais déjà il réussissait à m’arracher des râlements sourds tant mon désir était grand. Un désir quasi bestial qui faisait en sorte que je ne demandais qu’à être prise par un homme dans toute sa définition.Encore soudée à sa bouche, j’ai commencé à déboutonner sa chemise et me suis mise à goûter sa peau, traçant avec ma langue le parcours que celle-ci parcourait, tout en descendant, je me suis attardée à lui taquiner un mamelon de sa poitrine en lui mordillant la pointe bien dure pour ensuite l’engloutir dans ma bouche et la faire durcir encore plus avec ma langue. Sa respiration qui se faisait plus saccadée, m’encourageait à poursuivre mon exploration, tantôt en léchant sa peau, tantôt en mordillant les endroits étant susceptibles de le faire frissonner de plaisir. Je le caressais de mes mains tout en continuant mon manège, je pouvais ressentir les frissons que mes caresses lui procuraient… ça ne contribuait qu’accroître mon désir et maintenir tous mes sens en éveil. À l’aide de mes dents, j’ai entrouvert son pantalon, juste assez pour ne découvrir qu’en partie sa queue, juste assez pour faire grimper encore d’un cran mon niveau de désir qui me poussa à lui débarrasser illico de son pantalon et de son slip. Tout en émettant des gémissements sourds de satisfaction, je frottais ma poitrine généreuse contre cette queue bien bandée. Lorsque son excitation s’est fais très évidente, j’ai léché sa bite de la base jusqu’à son sommet très doucement, très langoureusement… pour ensuite l’enfourner d’une traite au fond de ma bouche. Avec un va-et-vient rythmé où ma langue s’entortillait à son gland bien gonflé et où je le suçais à une cadence effrénée, je le maintenais otage d’un plaisir plus qu’évident. Il a tenté à quelques reprises de me caresser mais chaque tentative a été esquivée car mon plaisir était le sien… enfin, pour le moment.La pipe que je lui ai servie m’a plus qu’allumé, ses râlements, ses mouvements cadencés n’ont fait qu’embraser encore plus mon corps en émoi, mon désir en pleine ébullition. Avant qu’il explose en ma bouche, j’ai donné congé à sa queue rouge d’excitation afin de faire durer le plaisir. Je suis alors remontée vers mon point de départ, sa bouche si invitante. Alors, que je remontais, mes seins dont les mamelons durcis par l’excitation, frôlaient son torse, sa poitrine, j’en rajoutais en le caressant de mes seins, pour son plaisir… mais pour le mien aussi. Je remontais et remontais sans cesse jusqu’à ce que j’effleure sa bouche de ma langue… pour ensuite lui offrir ma poitrine généreuse comme joujou.Il s’est emparé un à un de mes seins ou encore les deux simultanément et a englouti mes mamelons, centre de mon plaisir, dans sa bouche experte tout en les léchant férocement de coups de langue, le plaisir que ce manège me procurait m’arrachait de petits cris d’excitation jusqu’à ce que je n’en puisse plus et que je me retire de son emprise… que momentanément cependant. Toutes ces caresses avaient mis ma chatte en émoi, l’envie d’y sentir la douceur et la chaleur de ses caresses devenait de plus en plus viscérale, je l’ai donc invité de mes yeux, de mes gestes à calmer ce désir.Écartant mes cuisses, je lui ai offert ma fente bien luisante et mon clito rouge de désir. Lentement, il s’est approché et s’est mis en tête de faire frémir chaque parcelle de mon corps avant d’arriver au moment ultime où sa langue rencontrerait ma chatte. Il parcourait de sa langue l’intérieur de mes cuisses, se promenant d’une à l’autre tout en prenant soin de lécher furtivement mes lèvres gonflées d’excitation, ce manège doublé de la sensation de son souffle sur ma chatte ne contribuait qu’à me faire cambrer d’un désir plus qu’évident, les décharges de plaisir électrifiaient mon corps tout entier. Au moment où je m’en attendais le moins, il a plaqué sa bouche sur ma vulve et a labouré mon antre de plaisir de coups de langue avides, délirants… délicieux. Il a inséré d’abord un doigt… puis deux dans mon vagin, et s’est aventuré d’un doigt dans mon anus bien lubrifié faisant un va-et-vient bien cadencé avec le mouvement de mon bassin. Lorsqu’il a senti par mes muscles qui se raidissaient de plaisir, qu’il a perçu mes râles qui se transformaient peu à peu en gémissements maintenus, il s’est attaqué à mon clito qui ne demandait pas mieux. Le désir et le plaisir étaient si intenses qu’il n’a pas eu à s’y aventurer longuement. Dans un élan d’excitation porté à son paroxysme, j’ai atteint un orgasme fabuleux.Encore sous l’emprise d’un désir animal, je l’ai ensuite invité à se laisser mener. Je l’ai plaqué dos contre lit et me suis mis au-dessus de lui, le regardant de mes yeux félins et tout en maintenant son regard, je me suis assise sur sa bite encore gonflée à bloc. Tout doucement, j’ai laissé glisser sa queue à l’intérieur de moi afin de bien la sentir. Tout doucement afin de voir dans le visage de cet homme dont je ne connaissais pas même le nom, le plaisir que ça lui procurerait. Doucement… pour devenir frénétiquement… puis sauvagement… la sensation qu’il me procurait était tellement divine. Je ne le quittais pas du regard guettant le moment où il exploserait… guettant le moment où je lui ferais encore plus plaisir.Au moment où il allait atteindre lui aussi l’orgasme, je me suis retirée et suis allée enfourner sa queue bien au chaud dans ma bouche. À la même cadence que la chevauchée que nous avions entamé, j’ai sucé et bien aspiré sa bite. J’allais et venais avec ma langue guettant le moment où tel un volcan, il expulserait sa lave, que j’accueillerais alors avidement de ma bouche. Dans un grognement de plaisir, il a explosé à grands jets que j’ai pris soin de savourer… pour ensuite lécher les gouttes qui s’étaient dispersées sur son ventre. J’ai continué de lécher sa bite plus doucement jusqu’à ce que le calme revienne… jusqu’à ce que nos corps se détendent, repus de satisfaction.Pendant qu’il se remettait de ses émotions, je me suis levée et suis allée à la cuisine. J’en suis revenue avec ces fameux raisins qui ont fait en sorte que j’ai connu un tel plaisir ce soir en compagnie de cet Adonis du IGA. Nous nous sommes alors présentés… tout en dégustant les petits fruits que l’on trouve à l’épicerie… ce fameux marché que je ne pourrai plus jamais faire comme avant.Nathalie